Un jour, je reçois un mail d'une dame qui me demande si je voudrait en faire ma muse, écrire des histoires dont elle serait le personnage central... Pourquoi pas. C'est original comme démarche, d'autant que l'on ne se connait ni d'Eve, ni d'Adam...
Proposée le 28/12/2022 par Sweet64
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Nancy, bien loin de ses Pyrénées, de son océan Atlantique.
Philippe venait de traverser la France pour s'adonner à son sport dans des contrées inconnues pour lui. Il allait découvrir cette région au travers de la première édition d'un ultra trail en pays Nancéen.
Ainsi loin de ses bases, peut-être allait-il briser ce plafond de verre qui l'a vu tant de fois buter sur ce plafond de verre que constitue le "longue distance" au-delà des cinquante kilomètres.
En privilégiant une épreuve moins accidentée que celles auxquelles il s'était confronté, avec une dénivelé conséquent mais bien moins que ceux auxquels il s'était frotté, il voulait enfin réaliser un nouveau pas dans sa pratique sportive.
Et en partant ainsi à l'autre bout du pays, il pouvait tenter cette expérience loin de toute pression des amis ou des copains de course.
Mais en fin d'après-midi, ce mercredi, il avait encore le temps de rentrer dans son défi. Le départ ne serait donné que samedi à quatre heures du matin.
Il avait réservé un logement sur une plate-forme en ligne dont il avait récupéré la clé.
Visitant le cœur de cette magnifique ville, et en particulier la fameuse place Stanislas, il allait se mettre en quête d'une table pour le soir même.
Dîner seul au restaurant n'est pas forcément toujours très réjouissant, mais le faire dans un petit studio à huit cent kilomètres de chez soi est encore moins engageant.
Tout à sa recherche, et ne disposant d'aucune recommandation, il manqua de percuter une charmante dame qui, semblant quitter son travail, sortait d'un bel immeuble ancien donnant sur la place.
"Oh, pardon... excusez-moi, je cherche mon chemin et je ne vous ai pas vu sortir" adressa t il à la dame.
Elle était particulièrement élégante, dans son tailleur et sa jupe assortie, assez courte, qui laissait voir de jolies jambes surmontant des escarpins légèrement relevés par des talons lui donnant une délicieuse posture très féminine.
Sa veste entrouverte laissait entrevoir un chemisier très soyeux qui enveloppait avec délice une poitrine que Philippe devinait assez voluptueuse, ronde et ferme...
Elle devait avoir peu ou prou le même âge que lui, autour de la cinquantaine, peut-être cinquante-cinq ans maximum.
Toujours est-il que le charme de cette rencontre fortuite n'était pas pour lui déplaire.
"Il n'y a pas de mal cher monsieur. Vous vous êtes perdu ?" lui répondit-elle.
Sa voix était aussi douce que ses courbes et l'expression de son visage d'une bienveillance rassurante.
"Perdu ? Non. Je ne suis pas du coin, et tout en visitant, je cherche une bonne adresse pour dîner ce soir".
"Ecoutez, je sors du travail, je vais rejoindre ma voiture, mais en passant rue Stanislas, je peux vous montrer deux ou trois tables plutôt reconnues..." proposa la belle inconnue.
"C'est fort aimable à vous. Mais je ne voudrais pas vous faire perdre du temps." répondit Philippe
"Aucun problème. J'ai tout mon temps".
"Alors je veux bien. Merci beaucoup... euh, excusez-moi, je me présente : Philippe"
"Et moi Simone."
"Enchanté Simone."
Les présentations ainsi faites, Simone et Philippe traversent la place Stanislas, sous un beau soleil printanier.
Philippe n'a de cesse de remercier Simone d'ainsi l'accompagner et l'aider dans sa quête.
Elle lui répond que c'est avec plaisir, qu'elle n'a rien d'urgent à faire, et que, pour le coup, ça l'oblige presque à flaner un peu en bonne compagnie.
Peut-être a -t -elle employé le terme "bonne compagnie" pour ne pas oser encore des mots trop forts comme "agréable" ou "charmante".
Mais Philippe, lui, ne s'éteint pas:
"C'est très gentil. Et pour moi, plus qu'agréable de découvrir les lieux en si charmante compagnie. D'ailleurs accepteriez vous que je vous offre un verre sur une de ces terrasses? Il fait si bon!"
"Pourquoi pas, avec plaisir" lui répondit Simone.
Une fois installés et servis, ils se mirent à échanger sur les richesses de la région, les raisons du séjour de Philippe.
Ce dernier était sous le charme de la délicieuse Simone. Le calme de sa voix, ses yeux pétillants, ... et ses courbes attirantes.
Ce chemisier qui laissait entrevoir une jolie dentelle de soutien-gorge.
Et détail qu'il mit un peu de temps à remarquer, mais qui eut pour effet de lui provoquer un certain émois, il découvrit la lisière d'un bas qui se dévoilait tandis que la belle croisait ses jambes, entraînant ainsi un glissement de sa jupes vers le haut de ses cuisses.
Ils ne virent pas le temps passer. C'est plus le soleil qui commençait à baisser qui leur fit un clin d'œil.
"Le temps passe et je ne vous ai même pas montré les bonnes tables alentour... "
"Oh, ça n'est pas grave. Le temps passe, mais c'est plutôt agréable de le passer avec vous. Ca vous direz que l'on prolonge la discussion autour d'un dîner ?"
Simone observa un petit silence. Elle avait dit à deux reprises qu'elle n'avait rien de particulier à faire. Mais pouvait-elle s'autoriser à dîner avec cet homme qu'elle ne connaissait pas encore il y a deux heures?
"Je ne voudrais pas vous accaparer... vous avez certainement bien des choses à faire si près de votre course."
"Ne vous inquiétez pas pour cela. Je suis venu assez tôt pour profiter un peu avant de rentrer dans mon épreuve. Si je vous le propose, c'est avec grand plaisir."
Coquetterie féminine, Simone demanda à Philippe de lui laisser le temps de faire un aller-retour chez elle pour se rafraîchir et se préparer.
Avant de le quitter, elle lui confia l'adresse d'un restaurant à proximité et de l'y retrouver à vingt heures.
Philippe était déjà impatient de retrouver l'élégante Simone...
Tout comme elle, il prit tout de même du temps pour se doucher, se raser, non seulement la barbe, mais également cette zone secrète qu'il aime avoir toute douce - tout comme il l'apprécie chez ses partenaires - et troqua son polo par une belle chemise.
Simone arriva à l'heure pile. Philippe l'attendait depuis quelques minutes.
Il n'était habituellement pas d'une grande ponctualité, mais ce soir-là, peut-être mû par une attirance rafraîchissante, il tenait à ne pas commettre ce crime de lèse-majesté.
La dame portait un nouveau tailleur veste-jupe, tout aussi élégant que le précédent, sur un chemisier blanc.
Mais cette fois-ci, et Philippe le remarqua aussitôt, point de pièce en dentelle sous le chemisier. Il devina très vite des tétons libres qui se laissaient caresser par le tissu à même la peau.
"Si je peux me permettre, vous êtes très élégante"
"Merci. C'est un minimum lorsqu'un monsieur vous invite à dîner non ?" questionna Simone.
"J'apprécie." répondit Philippe
Philippe proposa à Simone d’entrer dans le restaurant sans tarder.
Il avait pris soin avant l’arrivée de son invitée de s’assurer auprès d’un serveur que leur table serait au calme et un peu isolée.
Tandis que Simone s’asseyait et que Philippe lui repoussait la chaise, il eut un nouveau petit coup de cœur.
La jupe de Simone remonta légèrement sur sa cuisse et révéla la jarretière d’un bas et ce qui devait être l’attache d’une jarretelle.
Décidément, la dame avait mis les petits plats dans les grands.
Le dîner était plutôt fin et goûteux.
Ce qui ajouta à la douceur du moment.
Simone n’eut de cesse de confier à Philippe les nombreuses richesses de la région : les traditions, les paysages, l’architecture, les gens…
« Et des dames fort séduisantes ! » osa Philippe.
Simone allait elle s’empourprer devant ce compliment ?
Elle sourit: sa bouche, son regard traduisait le plaisir qu’elle avait en entendant ses paroles.
Mais ses tétons qui se dardèrent quelque peu trahissaient un petit frisson.
« C’est en général le regard d’un homme qui rend une dame séduisante. »
« J’espère que le mien ne vous met pas mal à l’aise. »
Philippe s’éclipsa un instant, le temps de régler l’addition et revint auprès de la charmante Simone.
« Êtes vous pressée de rentrer ? »
« Pressée ? Non. J’ai tout mon temps. »
« Dans ce cas, puis je vous offrir un café ou autre chose dans ma « garçonnière » nancéienne ? »
« Garçonnière me dites-vous ? »
« A mon âge, je ne peux plus parler de chambre d’étudiant. »
Simone offrit un nouveau sourire à Philippe.
« Avec plaisir » lui dit-elle.
La dite garçonnière se trouvait à moins de trois cents mètres du restaurant.
Il ne leur fallut pas plus de cinq minutes pour y arriver.
Une fois entrés, Philippe mit en chauffe la cafetière avant de revenir vers Simone pour la libérer de sa veste.
Au prétexte de l’aider à la retirer, il s’arrangea pour frôler un sein du dos de sa main.
Tandis que Simone s’installait sur le canapé, son hôte alla servir le café et revint avec deux tasses fumantes pour s’assoir à ses côtés
Simone manqua de se bruler en portant le café à sa bouche.
« Ouh là, il est brulant ! »
« C’est l’atmosphère et votre charme qui l’a réchauffé. » s’exprima Philippe en saisissant la tasse de Simone pour la poser sur la table.
Revenant auprès d’elle et sans crier gare, il s’approcha pour déposer un baiser dans le cou de la douce.
Simone n’eut aucun mouvement de recul. Elle pencha même sa tête pour mieux recevoir ce cadeau.
« Voyons voir la morsure du feu du café » lui dit Philippe.
Et de déposer un nouveau baiser sur les lèvres de Simone.
Celui-ci était encore plus délicat.
Les lèvres s’effleuraient, avant de se rejoindre, se déguster.
Les langues entreprirent de se découvrir, se mélanger.
Simone avait passé ses bras autour du cou de Philippe, qui lui, lui enserrait la taille.
Assez vite, il fit glisser une main sur un flanc de sa belle maîtresse, la remonta lentement et saisit un de ces fruits qui pointa aussitôt dans sa pomme.
Simone n’eut aucun mouvement de recul. Elle pencha même sa tête pour mieux recevoir ce cadeau.
« Voyons voir la morsure du feu du café » lui dit Philippe.
Et de déposer un nouveau baiser sur les lèvres de Simone.
Celui-ci était encore plus délicat.
Les lèvres s’effleuraient, avant de se rejoindre, se déguster.
Les langues entreprirent de se découvrir, se mélanger.
Simone avait passé ses bras autour du cou de Philippe, qui lui, lui enserrait la taille.
Assez vite, il fit glisser une main sur un flanc de sa belle maîtresse, la remonta lentement et saisit un de ces fruits qui pointa aussitôt dans sa paume.
Il aimait déjà pétrir ce sein qui emplissait sa main lui donnait envie de le faire frémir.
Délicatement, et sans se départir des baisers de Simone, il défit le chemisier de sa muse. Bouton après bouton, jusqu'en bas, pour dégager ses épaules, faire glisser le tissu et libérer cette poitrine qui ne demandait qu'à être dégustée.
Et c'est avec une infinie douceur que Philippe vint déposer sa bouche sur un téton, pour le titiller, le léchouiller, l'exciter du bout de la langue, tout en continuant à pétrir son jumeau.
Bientôt ses lèvres dégustaient l'un puis l'autre des tétons.
Simone se cabrait pour offrir ses deux trésors aux baisers et aux caresses de son amant.
Dans le même temps, elle-même avait entrepris de défaire la chemise de Philippe.
Et une fois celui-ci à demi nu, elle le caressait sur tout le torse et le dos.
Sa main glissa jusqu'à la taille de son étalon du jour, effleura une fesse, et glissa jusqu'à tomber sur un renflement bien dur entre les deux cuisses.
Philippe, poursuivant sa dégustation, descendit lentement vers le nombril de la belle.
Ce faisant, sa main s'était glissée sous la jupe. Elle remonta à la lisière des bas, glissa le long d'un jarretelle qu'elle fit sauter et alla se perdre vers le jardin secret de Simone.
Un jardin ouvert au quatres vents : Simone avait tout simplement oublié ou retiré sa culotte.
Il découvrit ainsi un abricot délicieusement doux, tout épilé, comme il les aime.
Doux et déjà humide.
Ce qui facilita la prospection qu'il lança du bout de ses doigts.
Il faisait glisser son index le long de la douce fente, écartant peu à peu les lèvres pour aller titiller un bouton qui déclencha un vrai frissonnement dans les reins de Simone.
Ne tenant plus, Philippe fit glisser encore plus bas sa bouche pour aller embrasser ce mont de Vénus et ce clitoris gorgé de désir.
Il faisait tourner sa langue autour de la zone prête à exploser, tout en ayant pris soin de commencer à visiter la cavité gourmande du bout des doigts.
Puis il offrait de longs et lents coups de langue tout le long de la fente, de l'entrée de la grotte au sommet du "clito".
Simone, s'étalant du le canapé s'arrangea pour pouvoir caresser le sexe encore caché de Philippe.
Mais elle ne tarda pas à défaire son pantalon pour en sortir un dard tendu par le désir.
D'une main elle le caressait sur toute la longueur, tout en lui caressant les couilles toutes lisses offertes sans retenue.
Il ne leur fallut que peu de temps pour qu'ils s'arrangent de sorte à partager un soixante neuf presque vorace.
Simone savait y faire et englober avec envie presque tout le sexe, pourtant assez épais, de Philippe.
Celui-ci, continuait de la lécher tout en titillant sa chatte.
Sa langue glissa même jusqu'à exciter son petit trou. L'exciter et l'humidifier. Jusqu'à ce qu'il soit en mesure de n'offrir aucune résistance quand Philippe décida de lui enfoncer un doigt dans chaque trou...
Simone eu un tressaillement à se faire déflorer de la sorte par ses deux orifices.
Un tressaillement qui fut accompagné d’un long soupir marquant son approbation.
Philippe, dégageant sa queue de la bouche gourmande qui la dévorait, se mit à lécher goulûment les seins tendus de Simone.
Il poursuivait l’introspection de sa chatte et de son cul avec ses doigts.
Son sexe dégoulinait de plaisir, luisait d’envie d’être rempli.
Les tétons dardaient avec fierté sous les coups de langue, les mordillements. Philippe les avalait, les pinçait du bout des lèvres, les aspirait… et Simone se cambrait, soupirait…
N’y tenant plus il retourna sa partenaire, l’installe à quatre pattes telle une chienne qu’elle prenait plaisir à être en ces instants.
Il se posta derrière elle et se mit à titiller sa chatte et son clito de son gland.
Par quel trou allait honorer la belle gourmande ?
C’est dans sa chatte qu’il enfourna son pieu. Lentement, il se glissa au plus profond de son ventre.
Il retira sa queue tout aussi doucement avant de l’y enfoncer à nouveau.
Durant un bon moment il entreprît des va-et-vients très longs et profonds.
Il accéléra…. Simone en redemandait.
Elle voulait être totalement prise, fouillée, explorée.
La queue luisante, Philippe frotta son gland sur le petit trou de Simone avant d’introduire son sexe dans ce cul si attirant.
Simone poussa un crie tout en demandant à être châtiée.
Philippe exauça son vœu en l’honorant de son membre vaillant.
Il lui pétrissait les seins tout en l’enculant consciencieusement !
Jusqu’à se retirer pour cracher son jus sur ses fesses.
Simone s’écroula sur le flanc. Philippe embrassa le sein qui se présentait avant de déposer un tendre baiser sur les lèvres de Simone.
Elle décida de ne pas s’éterniser et de rentrer chez elle sans trop tarder, tout en étant dans un état de douce félicité.
Mais elle proposa à Philipoe de rester en contact. Ce qu’il accepta sans réserve.
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Commentaires de l'histoire :
Pongodu21
Merci à l'auteur pour cette délicieuse histoire érotique. çà serait super d'avoir une suite.
Posté le 1/01/2023
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