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L'initiation d'Eve, chapitre 1 : un délicieux outrage

Prude et pleine de tabous, Eve est jalouse, et devient prête à tout pour séduire son homme...Elle se découvre alors l'envie de se soumettre à lui corps et âme, et libère l'animal qui sommeillait en elle. Pour son plus grand plaisir.

Proposée le 9/11/2022 par Créatif21

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


En plein effort sur son rameur, mon homme était concentré dans son échauffement, casque vissé sur les oreilles. Il ne m’avait pas vu arriver à la salle, et j’en profitai pour le contempler à l’œuvre. Cela faisait quelques minutes que je l’admirais discrètement, avec une petite envie qui montait tout doucement en moi, quand je le vis tourner la tête pour regarder une fille passer à côté de lui. Je n’en crus pas mes yeux : Xavier était en train de lui mater le cul ! Son rythme avait baissé d’un cran, et ce fut comme un coup de poignard quand je vis flotter sur son visage un sourire niais, tandis que son regard accompagnait les hanches fuyantes de la jeune femme…


Je le crus saisi d’une attaque cardiaque quand je lui mis la main sur l’épaule. Il se leva en sursaut, si brusquement qu’il en fit tomber son casque.


« Ah, salut, Eve ! Euh…hum, tu es déjà là ?
- Dis-donc, ça va ? Ne te gêne surtout pas, hein ! », lui répondis-je, furieuse et amère.


Il était rouge comme une pivoine. La sportive, bien gaulée il faut le reconnaître, s’était retournée en m’entendant assassiner Xavier verbalement, et nous regarda d’un air amusé. Son petit rire se doubla d’une moue qui montrait combien elle était à la fois désolée pour lui et flattée. Juste après elle me toisa, et lui planta son regard dans les yeux…Une provocation ?
Je décidai de ne pas en rajouter, et embrassai mon mec pour montrer gentiment à cette petite salope – on ne sait jamais – que c’était MON mec. Elle tourna les talons sans relever. Je me rendis dans les vestiaires pour me préparer, mais une chose était sûre, on allait en reparler après ! Je connaissais le passé de Xavier, et la possibilité qu’il ressurgisse venait de me sauter au visage…et si ?


Une fois notre séance terminée, sans un mot nous sommes rentrés chez moi nous doucher. Séparément. Alors que Xavier avait pris ma place dans la salle de bains, j’eus envie de le frustrer, de le faire souffrir un peu comme pour le punir. J’enfilai alors un tanga en dentelle rouge, celui qu’il m’avait offert dernièrement, et une mini-jupe que je mis, pour la première fois, sans collants. Pour le haut, j’optai pour un débardeur que je n’avais encore jamais essayé, sous lequel mon soutien-gorge assorti au tanga laissait visible un décolleté amplement suffisant. J’étais plutôt contente d’avoir ces seins-là, d’autant plus à quarante ans, mais je réalisai que c’était bien la première fois que je ne les cachais pas, tout comme mes jambes, finalement. Et c’était par envie de frustrer, paradoxalement. Je me regardai dans le miroir et constatai, satisfaite, que je n’avais pas à complexer tant que ça face à la petite jeune de la salle de sport. Il ne manquait plus que les talons, touche finale que je contemplai avec un sourire vengeur aux lèvres.
Xavier allait voir ce qu’il risquait de perdre, songeai-je (naïvement, comme j’allais m’en rendre compte rapidement).


Je l’attendis ensuite sur le canapé du salon, prête à lui dire ma façon de penser. Il arriva, l’air de rien, en caleçon, finissant de se sécher les cheveux.


« Dis-moi, c’est souvent que tu mates les autres femmes ?
- Je ne vais pas te mentir. Oui, mais juste comme ça !
Il me répondit avec le sourire mais fermement. Il vit que je m’étais habillée différemment cette fois-ci, mais ne releva même pas. Ou fit mine de ne pas relever. J’en fus vexée et mon ton changea.
- La petite brune de tout à l’heure, tu l’as littéralement baisée du regard… Tu te rends compte ? Ajoutai-je froidement.
- En effet, je suis désolé si ça t’a blessée. Cela dit, je t’aime pour plein de raisons, mais ça ne m’empêche pas d’être attiré par d’autres femmes !
- Je ne te suffis pas, c’est ça ?
- J’ai juste des envies, des fantasmes qui me viennent parfois... Les jeunes femmes m’attirent, même si elles seraient bien incapables de me faire vivre tout ce que je peux vivre avec toi.
- En gros, tu pourrais me larguer pour retourner à tes plans culs et à tes partouzes ?
- Je sais bien que ça ne sera jamais ton truc, toi tu es plutôt du genre classique, je t’aime comme ça et je n’ai pas à te changer…je ne veux pas te forcer, c’est un monde qui n’est pas le tien et ne le sera jamais. Donc oui, si un jour l’envie de revivre tout cela est trop forte, je partirai… »


Je m’effondrai, interdite, et fondis en larmes. Je l’avais déjà senti plusieurs fois depuis que nous nous étions rencontrés, six mois auparavant, et là il était clair qu’un jour, Xavier me quitterait sans crier gare, comme il l’avait déjà fait avec plusieurs autres femmes quand l’envie lui reprenait de remplir de nouveau son tableau de chasse. Honnête certes, mais cruel. Notre couple était en harmonie à plein d’égards, au lit aussi, mais c’était sans doute du sexe bien édulcoré, vanille même, par rapport à tout ce qu’il avait connu avant moi ! J’étais trop frileuse, trop prude, pour garder un mec comme ça sur le long terme…


Je l’aimais, ce con. Je l’avais dans la peau. Il se leva de son fauteuil et me proposa ses bras. Je me levai et il me prit tendrement sur son torse nu et musclé, sans dire un mot, durant de longues minutes. Il était désolé, en plus ! Je fus à la fois pris par la peur de le perdre et enveloppée par la confiance absolue qu’il m’inspirait en cet instant. Je me souvins alors des récits pimentés qu’il me délivrait parfois, sur l’oreiller, en évoquant ses excitantes expériences passées à deux ou à plusieurs. Je sentis à ce moment se réveiller en moi quelque-chose de nouveau, ou plutôt quelqu’un d’autre qui était là, quelque-part, qui sommeillait depuis toujours. Du fond de mon ventre grandissait l’envie d’interdit et d’indécence, l’envie d’appartenir entièrement, d’être guidée sans ne plus penser. Le besoin de tendresse s’effaça. De son côté aussi, à en juger par la protubérance qui appuyait de plus en plus contre mon bas-ventre. Mon Dieu, cette queue…Après tout, ma tenue était peut-être efficace !


Je lui susurrai alors à l’oreille ces mots que jamais je n’aurais cru prononcer un jour. « Fais de moi ta pute ce soir. Démonte-moi, encule-moi. Apprends-moi. Je suis à toi. »
Il me regarda, incrédule. Une lueur que je n’avais jamais vue encore s’alluma dans son regard. Animale.


Sans un mot il me poussa doucement mais fermement contre le mur le plus proche, et me retourna. Sa main me força à me pencher en avant, et il souleva ma jupe. Mon tanga se retrouva à terre. Sa langue se mit à me parcourir les cuisses, à remonter vers mes fesses rebondies. Je la sentis alors lécher mon trou du cul, puis l’investir. Quelle sensation étrange…je fus terriblement gênée au départ, et faillis tout arrêter tant c’était abrupt, mais l’envie que mon homme m’utilise, et une certaine curiosité, ne tardèrent pas à reprendre le dessus. Ce fut loin d’être désagréable, au bout de quelques instants…et tellement indécent que ma chatte en était toute mouillée. Je commençai rapidement à gémir. Xavier s’en rendit compte et cracha sur mon petit trou. Je me redressai d’un coup tant je trouvai cela déplacé, mais fermement sa main m’obligea à me cambrer, pendant que de l’autre il me pénétra le cul avec un doigt. J’eus un peu mal, et me demandai comment j’allais pouvoir encaisser sa bite épaisse, moi qui ne m’étais jamais fait prendre par derrière. J’en étais presque à regretter ma téméraire envie de jouer à la salope, mais peu à peu la douleur laissa la place à une stimulation d’un genre nouveau. Je me dilatais peu à peu, et me surpris moi-même à trouver cette sensation inédite, et interdite, terriblement excitante. Xavier introduisit finalement tout son majeur dans mon cul, puis un deuxième doigt humidifié, et ses allers-retours se firent de plus en plus amples. Il savait s’y prendre, le salopard, et n’en était pas à son coup d’essai, de toute évidence…Mes appréhensions s’étaient évaporées, et il était temps d’en profiter pour m’affranchir des limites que je m’étais fixées jusqu’alors.


Je repoussai alors les doigts de mon homme, et offrit mon cul à sa queue en l’écartant avec mes mains.
« Tu as envie d’être une salope, aujourd’hui ? me demanda mon partenaire.
- Oui, ta salope. »


Je sentis alors un filet de bave couler sur mon trou du cul, et n’y trouvai cette fois rien à redire. Xavier se redressa et son gland se fraya un chemin, commençant à m’écarter. Il s’enfonça toute doucement. Je fus saisie d’une incroyable excitation mais aussi de terreur devant cette sensation de douleur aigüe et de stimulation mélangées. Il s’en rendit compte car il resta quelques instants comme cela, à moitié fiché en moi, à me caresser le dos avec tendresse. L’absolue confiance que j’avais en lui me libéra peu à peu. Après quelques secondes ainsi figée, je me cambrai en arrière. Sa queue continua de rentrer centimètre par centimètre. C’est là que je réalisai combien elle était large. D’une longueur presque normale certes, mais putain qu’elle était large ! Elle était en train de m’écarteler, je gémis en serrant les dents. Je me retournai pour regarder mon bestial amant, et vit à quel point il était en train de prendre son pied. J’eus alors envie de tout lui donner, d’être à lui corps et âme, cul compris. Je ressentis une sensation de plénitude quand ses couilles butèrent contre mes fesses, que ses mains puissantes écartaient toujours fermement. Nous restâmes quelques instants ainsi, interdits de cette première fois. Je n’avais plus mal. J’étais remplie, et sentir ce sexe palpiter, à l’étroit contre mes parois intimes, me fit mouiller de plus belle. Mon excitation fut à son comble quand Xavier passa une de ses mains sous mon ventre, pour me branler doucement mon petit dôme. J’étais toujours bluffée de la facilité avec laquelle il le trouvait systématiquement, mais là je dus l’arrêter pour ne pas jouir tout de suite.


« Je vais te montrer ce que ça veut dire, se faire baiser », chuchota-t-il, avec une assurance de dominateur.


Il retira sa queue de mon cul. Je ressentis alors pour la première cette sensation de béance, d’être comme ouverte aux quatre vents. Une sensation agréable à laquelle se mélangeait celle du manque. Je n’eus pas le temps de l’éprouver longtemps, car Xavier m’encula de nouveau avec une facilité déconcertante, jusqu’à la garde, ce qui m’arracha un cri de plaisir. J’étais prête, et il le savait car sans hésiter une seconde cette fois, il commença à me baiser de plus en plus fort.


« Tu es terriblement bonne, Eve…tu aimes te faire baiser ? On ne t’a jamais vraiment baisée avant ? Dis-moi ? »


Je n’eus même pas la capacité de répondre tant je vivais un moment divin, mais ces mots crus décuplèrent mon excitation et mon plaisir. Je crois bien que j’ai crié tout au long de ce magnifique outrage, et je ne sais même pas combien de temps ça a pu durer. Tout ce que je sais, c’est que j’avais l’impression de flotter quelque-part, d’être dans une autre dimension. Être soumise à une mâle puissance déployée ainsi sans retenue me donnait une vision de mon homme que je n’avais encore jamais eue, celle d’un héros grec ou quelque-chose dans le genre…Je finis les mains, la tête et la poitrine plaquées contre le mur, pendant qu’il me faisait subir un pilonnage en règle. En plus de la stimulation intense que je ressentais au fond de mon cul, mon vagin était comme massé de l’extérieur. Mes fesses étaient marquées au fer de ses mains qui les claquaient en cadence – divine douleur – en même temps que pleuvaient les mots obscènes. Toutes ces sensations, combinées à la bestialité de mon amant, donnait un cocktail indéfinissable que je ne pensais jamais connaître un jour, et qui finit par exploser en un orgasme d’une longueur et d’une intensité surnaturelles. Ce moment animal, étiré sur un temps totalement déformé, distendu, s’accéléra encore quand j’entendis le souffle et le râle de Xavier changer de nature. Il se retira d’un coup, et je décidai alors de lui faire contempler celle que j’étais devenue entre ses mains.


Je me retournai, me mis à genoux devant lui, enlevai mon débardeur et abaissai mon soutien-gorge, lui offrant ainsi mes seins tandis qu’il se branlait, face à moi. Le voir me regarder, ainsi émerveillé et extatique, prolongeait ma jouissance, mes chairs intimes palpitant encore au souvenir de ses coups de boutoir. Je pris sa grosse queue dans ma main, et n’eus aucune peine à l’achever. Son sperme ne tarda pas à gicler, en longues saccades, se répandant sur mes seins, sur ma bouche, et dégoulinant par terre. J’eus envie de le goûter avec ma langue, et je me surpris à aimer la texture chaude et visqueuse de son liquide, son goût salé et amer.


Puis je m’effondrai sur le canapé, le corps endolori, entièrement rassasiée, coulante de sperme et dégoulinante de plaisir. Je ressentais la béance de mon cul délicieusement élargi, qui tressaillait encore de cet assaut mémorable. Je ne pensais pas qu’il pouvait être à ce point jouissif de se faire outrager, utiliser et souiller par l’homme qui partageait ma vie désormais. Ce jour-là, je me suis découverte soumise.


« Tu m’as baisée comme personne ne m’a jamais baisée, finis-je par dire quand j’eus recouvré mes esprits. Je me souviendrai toute ma vie de ce moment.
- Je vais t’avouer une chose…personne ne s’est jamais donnée comme tu t’es donnée…Aucune femme que j’ai connue n’est aussi bonne que toi. »
Notre relation, si fragile deux heures plus tôt, venait de changer radicalement. Pour le meilleur et pour le vice, comme vous pourrez vous en rendre compte une prochaine fois.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

kiphilou
La lecture jouissive du premier de vos récits m'a incité à en lire un second, tout aussi bien décrit, avec juste ce qu'il faut pour pouvoir se mettre à la place de l'auteur, et vivre ces incroyables moments d'un érotisme de haut vol ! Bravo, et merci pour ce beau voyage, qui en plus, a l'avantage de me donner de l'inspiration pour mes expériences amoureuses personnelles :-)
Posté le 29/12/2022


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