Vient maintenant la troisième session de jambes en l'air dans cette première soirée dans un club échangiste pour la belle Livia. Elle va (enfin) connaitre sa double pénétration. La scène qui ne la concerne pas est bien réelle. Ce récit se termine par la conversation soft entre les deux couples durant laquelle cette soirée fut envisagée.
Proposée le 28/11/2020 par Clitorine
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman
Nous continuons à siroter notre verre et, comme je suis impatient d’en savoir plus sur Livia, je ne peux m’empêcher de lui poser les deux ou trois questions qui me taraudent depuis le début de la soirée.
« Livia, maintenant, tu peux nous le dire, même devant ton mari… Tu étais déjà allée dans un club échangiste auparavant ? » Ma question est osée, car Dominique risque d’apprendre quelque chose sur la sexualité de sa femme devant Emilie et moi, ce qui pourrait les mettre mal à l’aise tous les deux.
« Tu sais que j’ai commencé ma carrière comme journaliste pour la presse régionale. A l’époque, on m’avait demandé de faire un reportage dans un club qui commençait à être connu. Il l’était d’autant plus que c’était le seul dans la région, à l’époque. Je suis allée avec un photographe à une soirée masquée : c’était mieux pour tout le monde. Évidemment, nous avons dû nous mettre en sous-vêtements. J’avais 24 ans et j’étais célibataire. Quand j’ai vu les corps des autres femmes dans le vestiaire déjà, ma gêne est passée et je me suis déshabillée. J’avais évité les sous-vêtements en coton pour ne pas paraître grand-mère, mais je portais pas non plus ma lingerie la plus affriolante. Après, nous avons fait le tour du club et nous avons interviewé des personnes présentes. Comme nous sommes arrivés tôt et que ne sommes pas restés longtemps, nous n’avons pas vu grand-chose. C’est tout. »
Dominique enchaine : « J’aurais tant aimé être avec toi ce soir-là. »
« Honnêtement, à cet âge-là, j’étais pas du tout prête ».
« Tu ne l’étais pas il y a quelques heures encore… », réagit Emilie.
« Peut-être, mais ma sexualité s’est vachement développée depuis cette époque-là. Dominique a des fantasmes et on a expérimenté pas mal de choses tous les deux. ».
Ce faisant, elle prend la bite de Dominique et se met à l’astiquer. De l’autre main, elle prend la mienne et entame le même geste. Il ne nous faut que quelques secondes pour obtenir une belle érection.
« Et il y a encore quelque chose que je veux expérimenter ce soir », ajoute-t-elle.
Elle s’agenouille et prend nos belles bites en bouche, l’une après l’autre, ne suçant une bite que quelques secondes avant de passer à l’autre. Elle frotte nos sexes l’un contre l’autre en les léchant, prend les deux glands en même temps en bouche, crache pour les mouiller encore plus. Elle se relève et nous emmène vers le matelas posé à même le sol entre les divans du bar. Elle me demande de me coucher sur le dos et elle s’empale sur ma bite. Je contemple son visage, ses seins, son ventre, et sa chatte qui reçoit ma bite dans un va-et-vient langoureux. Elle se penche vers moi pour m’embrasser à pleine bouche. Une sensation très bizarre m’envahit. J’ai déjà embrassé des femmes tout en étant avec Emilie, dont je suis profondément amoureux, et je n’ai jamais ressenti ça. Il y a plus qu’un baiser érotique dans la manière dont Livia m’embrasse. Je remarque d’ailleurs qu’elle ferme les yeux. Je renforce le mouvement de la pénétration en elle et j’entends des petits gémissements. Elle se relève un peu et enfourne la bite de Dominique, à genoux à côté de nous. Dominique et Emilie ont décidé de nous imiter et ça me fait un peu bizarre. Emilie embrasse assez peu les autres hommes. Et si eux s’embrassent de la même manière que Livia et moi, quelque chose est en train de se passer.
Livia redescend vers moi avec la bite de Dominique en bouche. Elle force son mari à se pencher, son gland s’approche de moi et elle dirige la bite de Dominique vers ma bouche pour que je le suce. La dimension érotique a repris le dessus et Livia, après m’avoir vu lécher du sperme, veut me voir sucer son homme. Je n’hésite pas une seule seconde : Livia et moi suçons cette belle bite tour à tour puis en même temps, et nous mélangeons nos langues sur le gland de Dominique.
Livia pousse un petit gémissement. « Quelqu’un me doigte le cul », me dit-elle. « je pense que c’est Emilie ».
Ça m’excite et je me remets à pilonner Livia tout en continuant à sucer Dominique.
« Vas-y, c’est bon ! Je sens deux doigts maintenant ».
J’intensifie le mouvement et Livia ferme les yeux, se mordille les lèvres et gémit. Dominique bouge. Je peux supposer qu’il s’apprête à enculer sa femme car je sens qu’on touche mes cuisses et mes genoux. Livia me regarde, m’embrasse et pousse un long râle. Sa première double pénétration commence. Rapidement, Livia se cambre légèrement pour permettre au sexe qui s’enfonce dans son cul d’aller le plus loin possible et de commencer un va-et-vient, ce qui m’oblige à arrêter le mien car je me retrouve dans une position moins confortable. Heureusement, je suis bien calé dans le vagin de Livia et je peux la laisser profiter de la sodomie.
Une double pénétration n’est pas chose courante dans les clubs échangistes. Outre le fait d’accepter la sodomie, la dame et ses partenaires doivent faire preuve d’une certaine agilité. Il est donc normal de voir un attroupement d’hommes se former autour de nous. La plupart se masturbent, mais peu bandent assez fort pour prétendre à une éventuelle participation à la scène. Ils ne sont pas non plus suffisamment souples pour pénétrer correctement Livia dans cette position.
Le mouvement s’accélère et Livia pousse des gémissements qui se font de plus en plus forts. Un des voyeurs éjacule plusieurs jets puissants de sperme qui retombent sur Livia. L’homme se retire et cède sa place à un black bien monté. Il a l’air de bander bien dur. Sa bite dépasse les 20 centimètres et le diamètre est impressionnant. Pas sûr qu’il puisse prétendre à une pénétration anale pour cette raison.
Le mouvement s’arrête et j’entends un râle masculin : Dominique est venu au fond de sa femme. Il se retire, Livia se retire également et invite le beau black bien monté à se coucher sur le dos. Elle s’agenouille devant lui, laissant ainsi le sperme s’échapper de son anus et dégouliner le long de sa vulve, puis de sa cuisse. Elle prend la capote que lui tend le black (sans doute un modèle xl) et le lui enfile en le suçant. Elle enfourche la bite bien dressée et se penche vers le visage de l’homme pour l’embrasser, m’offrant par la même occasion sa croupe et son anus luisant. Je me positionne et je sodomise Livia pour la deuxième fois de la soirée. Mes couilles frôlent celles du black, ce qui augmente les sensations.
J’accélère le mouvement. Plus souple que Dominique, je n’ai pas besoin que Livia se cambre pour la pénétrer correctement. Le black peut donc continuer à s’enfoncer et se retirer. Notre mouvement est coordonné : Livia reçoit les coups de bite en même temps dans sa chatte et dans son cul. Elle hurle de plaisir à chaque coup. Après une bonne session de pilonnage, elle s’avance brusquement, sortant ainsi les deux bites de son corps, elle pousse un cri de plaisir et nous éclabousse de jets sortant de sa chatte. Je les sens sur ma cuisse et celles du black sont trempées. Les premiers jets laissent la place à des gouttes. Les jambes écartées, couchée sur le black, Livia a les jambes qui tremblent et elle continue de gémir. L’orgasme est puissant. De mon côté, ça va venir aussi. Je touche à peine ma bite que de longs jets de sperme se projettent sur le dos de Livia. Le résultat d’une soirée d’excitation et de retenue, c’est une éjaculation qui tapisse son dos. Les deux premiers jets ont même atteint ses cheveux, et les derniers se versent sur son anus. Entre les deux, de nombreuses gouttes et des lignes de sperme se dessinent sur le dos encore tremblant de la belle Livia. Emilie étale le sperme sur tout le dos et les fesses ; lorsque Livia se relève enfin, Emilie étale le sperme sur ses gros seins.
Le regard harassé mais heureux, Livia se dirige vers la douche, seule dans sa bulle. Les seuls qui la suivent vont également à la douche : les autres ont compris qu’elle avait son compte et qu’il ne fallait plus rien espérer d’elle. Nous nous retrouvons donc, le black, Dominique, Livia et moi sous les jets d’eau chaude, et nous aidons Livia à se laver le dos.
Seule Livia est complètement nue lorsque nous nous rejoignons au bar pour prendre un dernier verre : sa culotte a disparu, sans doute cachée ou volée par un petit comique. Emilie, excitée par la scène de double pénétration à laquelle elle vient d’assister, a pris la place de Livia et se fait ramoner le cul par un jeune homme encore en forme.
Il se fait tard, mais quelques libertins sont encore actifs. Après avoir bu un verre, nous repartons, à trois, voir les scènes d’orgie qui se déroulent encore dans les alcôves. Nous nous attardons dans une des seules pièces que nous n’ayons pas encore visitées : la mini salle de cinéma. Un écran plat diffuse un film porno devant huit sièges, tous vides. Devant l’écran et derrière les sièges, des grands matelas accueillent les libertins. Et entre le matelas situé devant l’écran et les sièges, un espace d’un mètre où se trouvent quatre hommes et une femme. La femme est à genou, bouche grande ouverte devant le gland d’un homme qui se masturbe. Elle a du sperme autour de la bouche. L’homme éjacule, elle en récolte un max et lèche le gland de l’homme, qui se retire rapidement laissant la place au suivant. Pipe, masturbation, bouche grande ouverte, et la sauce qui arrive. Léchage de gland, retrait et au suivant. Même scénario. J’adore, ça m’excite et je me masturbe. Je veux être le numéro 5 (partant de l’idée qu’un homme avait déjà éjaculé avant notre irruption dans la pièce, mais c’est peut-être plus qu’un). Le numéro 4 a un peu de mal à venir et je dois me retenir. Il lâche une bonne dose et se fait nettoyer le gland. La femme avance vers moi et enfourne ma bite. Son menton et sa gorge sont maculés de sperme dégoulinant. Elle n’avale pas. A côté de moi, Dominique tend également sa bite à hauteur du visage de la belle. J’asperge la belle de ma semence et Dominique me suit. Sa première giclée s’étale en même temps que mes dernières gouttes : le mélange de notre sperme chaud recouvre la langue de cette belle quadra blonde. Il n’y a plus personne après nous : elle se relève et quitte la pièce sans s’être essuyée. Nous la suivons. Elle rejoint un homme seul dans une autre alcôve, se penche devant lui, relève sa jupette pour lui offrir sa croupe et se fait pénétrer. Son mari (ou son compagnon) l’attendait sagement, gardant une érection afin d’être disponible, l’ayant sans doute envoyée se faire asperger de sperme avant de la baiser. Quelques bons coup de butoir et l’homme pousse un râle, la bite au fond de sa femme. Il se retire et une quantité impressionnante de sperme dégouline de sa chatte. Elle se retourne et embrasse son mari, le salissant du sperme qu’elle avait accumulé quelques minutes plus tôt.
A notre retour vers le bar, nous croisons Émilie qui se dirige vers la douche. Ses seins sont couverts de sperme. Soit le dernier amant que j’avais vu avait lâché une décharge de cheval, soit ils s’y étaient mis à plusieurs.
La soirée touche à sa fin et nous rejoignons les vestiaires pour nous rhabiller. Nous sommes exténués par la soirée de baise que nous venons de vivre mais la satisfaction se lit sur tous les visages.
Dans la voiture, personne n’ose entamer le débriefing à voix haute mais je suis convaincu que, tout comme moi, chacun revit les scènes dont Émilie avait été l’actrice principale. Elle m’a subjugué par sa capacité à se lâcher et par la qualité de ses performances. Certes, elle n’est pas allée beaucoup plus loin que les autres femmes présentes ce soir dans le nombre d’amants, mais son entrée dans le monde du libertinage est parfaitement réussie.
Arrivés à leur appartement, juste avant de sortir de la voiture, elle nous dit ceci:
« Depuis qu’on en avait parlé et que vous nous aviez proposé de vous accompagner, j’ai beaucoup réfléchi et je me suis informée sur le net. Je pense que tout ce que j’ai fait ce soir était devenu un ensemble de fantasmes, mais une crainte subsistait. Elle est effacée. Merci pour cette soirée. Quand est-ce qu’on remet ça? »
Je vois l’air surpris mais satisfait de Dominique. A lui de contrôler et satisfaire sa salope de femme, maintenant…
—
Je reviens maintenant sur la conversation que nous avions eue avec Dominique et Livia, lorsque nous étions en vacances ensemble au bassin d’Arcachon, et durant laquelle nous avions révélé notre pratique du libertinage et amorcé l’invitation de ce soir.
C’est Livia elle-même qui, après un repas, avait abordé la question de la nudité en public. Le topless à la piscine et le naturisme à la plage étaient ses deux premières expériences de dévoilement de son corps à d’autres personnes qu’à un homme avec lequel elle était en couple.
« Tu parais vraiment à l’aise avec ton corps, Emilie. Il est vraiment beau, c’est vrai, mais toutes les femmes qui ont un beau corps ne l’exhibent pas aussi facilement que toi. Je n’ai pas un corps parfait, même si ne je ne m’estime pas trop mal foutue, et ce n’était pas inné pour moi de me montrer à d’autres personnes. Si Dominique ne m’y avait pas encouragée, je ne suis pas certaine que j’aurais enlevé quoi que ce soit ».
« c’est une question d’état d’esprit et d’habitude. C’est vrai que j’ai toujours été à l’aise avec mon corps, je continue à l’entretenir, mais le naturisme, ça fait longtemps que nous le pratiquons. La première fois, c’était en vacances près de Montpellier. Sans le vouloir, nous sommes tombés sur une plage mixte. »
Je me souvenais comme si c’était hier. Je m’étais vite foutu à poil et Émilie avait d’abord enlevé le haut puis, une demi-heure plus tard, le bas. Cette sensation de bien-être et de liberté accompagnée d’une touche d’érotisme nous a plu et ne nous a jamais quittés.
« Après ça, nous n’avons plus voulu autre chose que les plages naturistes. Nous avons aussi passé des vacances dans un camping naturiste. Honnêtement, passer des vacances sans se soucier des vêtements, c’est génial ».
« Encore faut-il ne pas se soucier du regard des autres… », ajouta Livia. « J’ai quand même un peu de mal à m’exposer nue sur la plage. On sait malheureusement qu’il y a des voyeurs ».
« Tant que tu ne fais que les exciter et qu’il ne t’importunent pas, ce n’est pas un problème pour moi ».
« Pourtant, c’est ce que je crains… les regards lubriques des hommes, c’est ce qui empêche même certaines femmes de s’habiller aussi sexy qu’elles le voudraient… Moi qui travaille dans un milieu plutôt masculin, j’y suis assez attentive. »
Je pouvais la comprendre, mais en même temps c’était une question de contexte.
« Au début, j’y étais un peu sensible. Mais depuis que nous fréquentons des clubs échangistes, je suis au-dessus de tout ça ».
Il y eut un blanc de quelques secondes. Emilie et moi nous étions toujours mis d’accord pour ne jamais parler de ce pan de notre vie à notre entourage. Je fus donc très surpris par sa déclaration et elle s’en rendit compte. En face, nos amis furent stupéfaits d’apprendre ça alors que nous nous connaissons depuis si longtemps. C’est Dominique qui réagit le premier.
« Des clubs échangistes ? Vous ? Vous baisez en groupe, avec des inconnus ? »
Question directe mais ô combien pertinente. Impossible de revenir en arrière, Livia s’en rendait compte et elle répondit.
« Oui, si tu veux… En général, on fait un peu connaissance avant, mais oui, en groupe avec des inconnus. »
Faire un peu connaissance avant ? Je riai intérieurement. Le nombre de fois que Livia s’était fait embrocher par des types à qui elle n’avait jamais adressé la parole… Dominique se fit de plus en plus curieux.
« Et comment c’est arrivé ? Je veux dire… il y a bien une première fois, non ? »
« Nous étions allés boire un verre aux lacs de l’eau d’Heure, dans la botte du Hainaut. En fait, nous avons bu plusieurs verres et nous étions un peu ivres sur le chemin du retour. Nous savions que nous allions passer devant un club échangiste en rentrant car nous avions entendu parler de ce club assez connu. L’alcool aidant, nous avons décidé d’aller y faire un tour. Nous pratiquions le naturisme depuis quelques années, ça aidait déjà. Plusieurs fois, la question des clubs libertins avait constitué un sujet de conversation entre nous ou avec d’autres personnes, mais cette fois, on voulait voir à quoi ça ressemblait. On est entrés, on s’est déshabillés et on s’est retrouvés en sous-vêtements au bar. Il y avait peu de monde à l’intérieur. C’était une après-midi réservée aux couples et vu le beau temps, les clients étaient à l’extérieur, au bord de la piscine. Alors, nous y sommes allés aussi. Il y avait une dizaine de couples, tous nus. Certains bronzaient sur les transats, d’autres se prélassaient dans la piscine. Seuls trois couples étaient occupés à s’envoyer en l’air. Ils étaient plus âgés que nous. Nous nous sommes installés à proximité, nous nous sommes déshabillés et nous les avons regardés.
Je me souvenais avoir commencé à bander bien dur. Les corps des femmes étaient moins beaux que celui d’Emilie, mais ils étaient quand même très attirants, et c’était la première fois que je voyais des gens occupés à une activité sexuelle devant moi. Nous avons commencé à nous caresser. Un couple a voulu nous aborder mais, outre le fait que nous n’étions pas prêts à nous mélanger, leur âge leur a complètement fermé la porte. C’était des sexagénaires. Nous avons poliment décliné l’offre. Nous avons fait l’amour devant les autres, sur un transat. Certains nous ont regardés en se caressant. Ensuite, nous sommes rentrés boire un verre et nous sommes partis.
« Pas vraiment concluant, comme première expérience ! », ponctua Dominique.
« Ben t’as déjà baisé devant des gens, toi ? D’accord, on n’a pas échangé, mais ce n’était que le début ! », repondit Emilie. « Et comme ça nous a bien plu, on s’est dit qu’on allait recommencer, mais sur Bruxelles cette fois. Nous avons trouvé un club qui organisait des soirées réservées aux couples et nous y sommes allés. Nous avons été initié par un couple de notre âge mais expérimenté et, de là, ça s’est enchainé. Nous sommes devenus réguliers, au départ lors de soirées couples, ensuite avec des hommes seuls. Comme j’en voulais toujours plus, on a commencé à s’orienter vers les évènements qui acceptent les hommes seuls, ceux qu’on appelle les gang bang. Là, on a voulu essayer d’autres clubs car les gang bang de ce club sont souvent fréquentés par des affamés peu respectueux. »
Livia l’interrompit : « Je n’en crois pas mes oreilles… tu participes à des gang bang ? Et Dominique te laisse faire ? »
Non seulement je la laissais faire, mais je l’y encourageais pour me délecter du spectacle.
« Et votre sexualité de couple, elle devient quoi ? » ajouta-t-elle.
« Aussi vivante qu’au premier jour. Différente, évidemment, mais elle plus qu’intacte, rassure-toi ».
« J’hallucine. J’avais entendu parler de libertinage et de clubs échangistes, mais de là à imaginer que tu… enfin vous… étiez amateurs de ça… »
Dominique était tout rouge d’excitation. La belle Emilie, qu’il avait eu le plaisir de voir à poil cet après-midi, était une vraie salope, et cette assoiffée de sexe était assise tout près de lui. Elle prit la parole.
« En 2020, on peut presque dire que c’est un loisir comme un autre, même si les adeptes restent marginaux dans la société. Ceci dit, ça vous dirait de nous accompagner une fois? Rien que pour voir, évidemment, et plus si affinités».
Il y eut un nouveau blanc. De nous trois, personne ne s’attendait à cette proposition. Mon regard se fixa sur Emilie pour voir sa réaction.
« Tu as dit que les femmes étaient obligées de participer! Ce n’est pas rien que pour voir, ça! »
« Il y a moyen de s’arranger. On a déjà vu des couples débutants qui ne faisaient pas grand-chose d’autre qu’observer ou faire l’amour à deux et, s’ils l’avaient annoncé à l’entrée, on ne leur a rien reproché. On connaît bien le club: on en parlera avec la patronne ».
Dominique n’osait réagir. J’étais convaincu qu’il voulait dire oui mais il craignait que sa femme ne le prenne mal. Elle l’interpella:
« Tu me vois à moitié à poil devant des inconnus? Je parie que tu ne refuserais pas de mater d’autres femmes à poil en train de s’envoyer en l’air... »
Dominique était embêté, mais il finit par trouver la solution:
« Si tu le veux, on ira. C’est toi qui décides ».
« Il faut que j’y réfléchisse. Qu’on ne parle. C’est pas comme si vous nous invitiez à aller voir un match de basket... »
« Réfléchissez à votre aise. Emilie, tu vas faire le café? »
Je continuai à suivre le regard de Dominique. Lorsqu’Emilie se leva, il la déshabilla littéralement du regard. Il est vrai que sa petite jupe droite blanche mettait son beau cul en valeur et que son petit chemisier rose bonbon lui donnait un éclat plutôt sexy.
A notre retour à table, nous pûmes revenir à des sujets plus conventionnels.
La suite se devine: Emilie finit par accepter et nous savons ce qu’il en est advenu.
Dans un prochain récit, je vous raconterai la sortie qui confirma Emilie dans son attirance pour le libertinage en club.
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Commentaires de l'histoire :
Peter
Bonjour, ton récit me donne envie d'aller bander à mort dans une telle ambiance. C'est très beau et bien! Merci pour ces émotions
Posté le 20/01/2022
Forrest Gump
Merci pour cette « initiation ».
Posté le 29/11/2020
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