Victime d'un accident de voiture, je me retrouve plâtré de la tête aux pieds. Mon voisin infirmier, me prodigue des soins et en profite pour abuser de moi.
Proposée le 7/11/2022 par appetitdogre
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je n'avais pas vu sa voiture, éblouie par le soleil couchant. Je n’avais pu éviter la collision ! Nous étions dans un triste état : le conducteur de la partie adverse, comme stipulé dans la déclaration d'accident, n’avait quasi rien.
Moi ? Les bras et une cheville cassés plus quelques contusions !
Hospitalisée et plâtrée, il m’était difficilement possible de bouger. Je patientais et attendais de pouvoir rentrer chez moi pour retrouver mon mari et mes enfants.
Julie… c’est mon prénom ! Je suis une femme brune au cheveux court, de taille moyenne, plutôt menue et dans la quarantaine. J’ai de petits seins sensibles qui plaisent énormément à mon mari, et un cul qui fait se retourner les hommes dans la rue.
Ce matin, mon mari vient me chercher après 5 jours d’hospitalisation. Enfin, je rentre !
Je sors donc avec mon ordonnance pour les soins à domicile. Je suis heureuse de retrouver mon chez moi et ma famille.
Mon mari a préparé une petite fête pour célébrer mon retour. Quelques amis et les voisins sont là. La conversation s’oriente vite vers mon état de santé, les questions fusent : comment vas-tu ? Comment vas-tu pouvoir faire ta toilette ? Comment vas-tu pouvoir faire tes besoins ? Qui va faire tes soins ? Etc.
Tout naturellement, mon jeune voisin Hugues se propose pour les soins. Il faut dire qu’il est infirmier libéral et peut donc me consacrer du temps. Hugues est un garçon sympa de 23 ans et très serviable. J’accepte volontiers car après tout, il habite à côté et je me dis que cela sera plus pratique. Nous convenons de notre premier rendez-vous, demain matin.
Le lendemain, Hugues arrive à l’heure convenue. Les enfants sont déjà à l’école et mon mari a fait ma toilette avant de partir au boulot. Je suis prête à recevoir mes soins !
Je suis alitée et un peu dans les vapes à cause des médicaments. Hugues commence à me dévêtir afin de me prodiguer les soins nécessaires. Il hôte doucement mon haut dévoilant ma poitrine. Je n’ai pas mis de soutien gorge car mes côtes sont douloureuses.
Immédiatement, je sens Hugues regarder mes seins. Il me fait remarquer que ma poitrine est magnifique. Cela me gêne terriblement mais je n’ai pas d’autres choix que d’accepter cette remarque. Il retire
également mon bas de pyjama pour soigner les éraflures que j’ai aux jambes. Je me retrouve en string devant mon voisin qui n’en perd pas une miette.
Il regarde avec insistance mon entre jambes.
- Dis donc Hugues, pourrais-tu te concentrer sur les soins au lieu de me reluquer ?
- Excuse-moi Julie mais tu es très excitante… j’essaie de me concentrer mais ce n’est pas évident !
- Oui je vois ça !
En effet, je vois une bosse déformer son pantalon… le voisin bande comme un taureau !
Il commence à nettoyer de petites plaies et me passe de la pommade délicatement sur mes hématomes, situés au niveau de mes côtes. Sa main fait de petits mouvements circulaires et Hugues prend un malin plaisir à contourner mes seins. Il effleure même mes tétons, ce qui a pour effet de les faire pointer, malgré moi. Je suis plutôt surprise car je n’ai aucun hématomes par ici… serait-il en train d’abuser de la situation ? Je lui demande d’arrêter immédiatement car cela
devient vraiment gênant. Il a beau être jeune et charmant, je n’en reste pas moins mariée.
Une envie soudaine me prend, je veux faire pipi. J’essaye de me retenir pour ne pas infliger à mon voisin cette corvée et je souhaite bien évidemment préserver mon intimité dont seul mon mari profite.
Je commence à me tortiller et Hugues comprend rapidement ma gène.
- Tu veux que je t’aide à uriner ?
- Non je vais me retenir. Mon mari s’en occupera.
- Ne fais pas l’idiote, je peux t’aider si tu le veux. Ce n’est pas la première fois que je fais ça !
Il saisit aussitôt le bassin urinal sur la table de chevet et le pose à côté de moi. Il met ses mains sur mon string et le baisse doucement avant même que je ne puisse réagir. Il découvre mon sexe rasé de près, lisse comme un abricot. Ses yeux s’écarquillent à la vision de mon sexe imberbe. Je peux sentir tout le désir qu’il a pour moi et la gaule entre ses jambes le confirme. J’avoue ne pas être rassurée car avec mes bras dans le plâtre, je ne pourrais pas me battre contre son instinct
primaire et bestial ! Espérons que les choses ne dérapent pas.
Après avoir écarté mes jambes délicatement, il positionne le bassin urinal sur ma chatte afin que je vide ma vessie rapidement dans l’objet. Whouahhh ! L’envie était pressante !
Hugues saisit alors la pochette de lingettes et en sort une pour laver ma minette.
Je proteste et lui demande de remonter mon string, en lui expliquant que mon mari s’en chargera à son retour. Ce serait un comble qu’Hugues touche mes parties intimes.
Malgré tout, il ne m’écoute pas et entreprend de me nettoyer le minou. Il dépose la lingette et entame un va-et-vient lentement de bas en haut.
De son autre main, il écarte mes lèvres et continue ses mouvements.
Je rougis aussitôt et je suis submergée par une vague de chaleur. Mon voisin me touche délicatement le minou et je ne peux l’en empêcher !
Tout à coup, le petit cochon tourne autour de mon clitoris et joue avec.
Je demande autoritairement à Hugues d’arrêter mais le plaisir monte en moi. Prise au piège, je ne peux rien faire avec mes plâtres, et Hugues le sait très bien !
Il jette la lingette au sol et s’agenouille entre mes cuisses. Je les referme pour l’empêcher d’accéder à mon intimité mais ses bras musclés me les rouvrent aussitôt. Je ne peux pas lutter… ses mains tiennent fermement mes cuisses. Il approche sa tête de ma chatte et me lançe :
- Elle n’est pas encore assez propre je trouve. Je vais te nettoyer à fond.
- Non ne fais pas ça ! J’ai déjà assez honte comme ça. Non, je ne veux pas… arrête !
N’écoutant que son irrépressible envie de me baiser comme une poupée gonflable, il dépose quelques baisers tendres et veloutés sur mes cuisses, tourne tendrement autour de mon abricot puis se rapproche de ma vulve. Je sens sa langue caresser mes lèvres, rentrer dans mon vagin et remonter jusqu’à mon clitoris gorgé de sang. Cette caresse est exquise.
Je suis partagée entre le désir et une honte incommensurable.
Je vibre sous cette langue qui me fait du bien.
Il remonte mes jambes sans précaution. Je sens son souffle chaud, sa langue travaille bien. Il descend et lèche ma rondelle délicatement. Je reste tétanisée, j’ai peur de la suite… une suite que je refuse.
Il me dévore maintenant l’anus goulûment. Je me détends assez vite car je trouve cela agréable.
Pour dire vrai, j’adore ce qu’il me fait. Sa langue perfore mon cul pour simuler une pénétration, c’est sublime et l’extase n’est pas loin.
Je reprends soudainement mes esprits après ce quart d’heure de vagabondage. La raison me ramène à la réalité !
- Hugues, je t’en supplie, arrête. Je ne veux pas tromper mon mari. Ce n’est pas sérieux.
- Pas sérieux ? C’est toi Julie qui n’est pas sérieuse ! Tu es toute mouillée ! Ta chatte me supplie de la prendre et ton cul est grand ouvert…
Il déboutonne alors son pantalon et baisse son boxer d’un geste décidé. Une large queue se dresse devant moi tel un menhir. Je ne peux pas bouger pour le chasser en dehors de chez moi.
Je suis à sa merci, je ne contrôle plus rien et je prie le seigneur pour qu’il retrouve toute sa lucidité.
Mais Hugues en décide autrement, il vient sur moi et frotte sa bite toute dure contre ma grotte, et sans me demander mon consentement, il s’engouffre au fond de ma chatte, d’une poussée lente mais continue. Il se retrouve au fond de mon trou en l’espace de quelques secondes. Je
suffoque, j’étouffe et je pousse un cri tant il me comble. Son sexe me remplit comme jamais, j’ai l’impression d’être déflorer. Hugues, se sentant puissant et dominant, va-et-vient lentement puis
me pilonne de plus en plus fort. Je sens alors toute la fougue de ses 23 ans. Il me besogne sans vergogne et me fait du bien le salaud. Son sexe dure comme de la pierre me transperce la chatte,
je suis au bord de la jouissance. J’ai le souffle court et je ne peux m’empêcher de geindre. Il comprend et accélère encore. Dans un long gémissement, je cède au plaisir et jouis sans pouvoir me retenir.
Le petit con a réussi son coup, il doit être fier de lui ! Moi, sonnée et honteuse, je tarde à reprendre mes esprits.
Il poursuit un peu à me baiser et se retire dans un râle de bête à l’agonie et éjacule une quantité impressionnante de sperme sur mes seins. Un jet puissant va même sur mon visage. J’ai pris un pied impressionnant, je dois bien l’avouer. Il se débrouille parfaitement pour un jeune de 23 ans.
- Maintenant que tu as eu ce que tu voulais, pars s’il te plaît, lui dis-je !
- Non il faut d’abord que je te nettoie, je ne vais pas te laisser comme ça, pleine de sperme !
- Que dirait ton mari ?
Il essuie son sperme avec de l’essuie-tout et joue une nouvelle fois avec mes seins. Décidément, il persiste le cochon ! Cela le fait rire de voir mes tétons gonfler sous ses caresses. Sa bouche vient au contact de ma peau et aspire mes tétons à tour de rôle. C’est une caresse à laquelle je ne sais pas résister, mes seins sont super sensibles et me procurent un énorme bien-être !
J’ouvre ma bouche en grand comme pour mieux respirer… je suis en train de reprendre du plaisir.
Il me traite de petite salope, et de petite délurée, certainement pour s’exciter ! Résultat, sa bite reprend du volume à vitesse grand V. Ah les jeunes… toujours au garde à vous.
- Je crois bien que Popol a encore envie de toi Julie.
- Non, là tu vas trop loin ! Mes enfants vont bientôt rentrer de l’école, alors ça suffit, va t’en !
- D’accord mais avant, je veux explorer ton anus, nous avons bien encore un peu de temps et tu ne le regretteras pas !
- Non, va t’en de chez moi, tu en as déjà trop fait. J’avoue avoir pris du plaisir mais là…
N’écoutant que son désir d’abuser de moi, il présente sa bite devant ma bouche et me demande de le sucer pour me faire taire. Je commence timidement à sucer son monstrueux membre. Sa colonne de chair est douce et me remplie la bouche entièrement. J’aspire son gland, je le lèche comme un cornet de glace. Je m’acharne sur son noeud pour le faire juter au plus vite. Je me dis qu’il va peut-être décharger son foutre rapidement et qu’il me laissera ensuite tranquille !
C’est alors qu’il relève mes jambes contre ma poitrine, mettant ma rondelle bien en vue. Je connais maintenant ses intentions et je suis pétrifiée. Je n’ai que très rarement accepté de livrer cette partie de mon corps à mon mari. Quelques doigts dans le cul pour lui faire plaisir mais jamais plus !
Après un rapide coup de langue sensuel sur ma rondelle pour l’enduire de bave, il enfonce son majeur dans mon fondement. Son doigt glisse tout seul. Un deuxième vient rejoindre le premier. Il me lime de plus en plus vite puis les retire. Il les enfonce de nouveau et me fouille l’anus. Hugues a l’air de prendre beaucoup de plaisir à me dilater ! Mon trou s’élargit rapidement sous ses doigts experts.
N’y tenant plus, il se positionne et présente sa grosse bite sur ma rondelle. Je ne veux pas et commence à me débattre, j’ai peur d’être déchirée. Mais comment faire sans mes bras et face à un jeune dans la force de l’âge et en rût de surcroît ? Il me domine et il est beaucoup plus fort que moi.
J’ai beau essayer de le dissuader, il force le passage et perce l’entrée de mon antre. Je ne peux rien faire pour me libérer et décide de le laisser continuer… je n’ai pas vraiment le choix et après
tout, peut-être que ce petit con me baisera bien ?
Je constate que sa queue a belle et bien repris de la vigueur. Mon bas ventre me tiraille, mais rapidement, la douleur laisse place à une immense chaleur. Ne pouvant protester, j’accepte mon sort et me laisse aller au plaisir de cette nouvelle expérience. Ce jeune étalon sait y faire !
Hugues est plein de fougue et mon cul brûle maintenant de désir. Je pousse quelques soupires de contentement qui l’encouragent à m’enculer comme un sauvage.
- Tu es vraiment bandante, je vais bien m’occuper de ton cul ! Je sais que ça te plaît et je vais te faire gueuler de plaisir !
- Oui, vas-y ! Encule moi bien à fond ! Faire moi jouir ! Vas-y, va plus vite et plus fort…
Est-ce bien moi Julie, qui vient de prononcer ces mots ? Ce langage ne me ressemble pas mais l’excitation me fait perdre la tête. Il me défonce le cul et j’aime ça ! J’éprouve une nouvelle sensation, je me découvre un peu plus cochonne que d’habitude !
Que c’est bon d’être cochonne !
Ces mots sortant de ma bouche transcendent Hugues qui ne se fait pas prier et redouble d’efforts pour me labourer le cul. Je grimace, me crispe… ce n’est plus de la douleur que j’éprouve mais du plaisir. Il n’y va pas de main morte. Je me sens remplie et voir Hugues me
défoncer avec autant d’ardeur me chauffe au plus haut point. Hugues doit être excité de se taper une quadra et ça se sent ! Je suis moi même troublée d’être sodomiser pour la première fois par un jeune et de prendre du plaisir autrement qu’avec mon homme. Je me sens relayée au rang d’objet, prisonnière de ses désirs et de ses volontés. Ses mains étreignent mes hanches tandis qu’il laboure de plus en plus mon petit trou. Je le sens quasiment me soulever à chacun de ses impétueux coups de reins. Mais dieu qu'il me fait du bien. Je subis de plein fouet son assaut. Il me tire vers lui violemment et de toutes ses forces pour m’empaler sur sa bite. Avec toute sa virilité, il vient buter au fond de mon rectum, ses couilles contre mes fesses. Il répète l’opération
plusieurs fois. Je sens mon anus ouvert… complètement ouvert.
- Oui continue comme ça, c’est bon. Je vais bientôt jouir ! Hannn, hannn ! Criais-je !
- Je vais tout te mettre dans le fond du cul ! Quand je vais jouir, tu vas sentir ma queue se raidir et te déchirer le cul.
- Humm, fais moi jouir ! Oh oui, je viens ! Continue plus fort ! Oui, c’est bon !
Il me chevauche dans une cadence infernale, presque frénétique, j’hurle mon plaisir et jouis comme une folle. Ma tête me tourne, mon orgasme n’en finit plus. Je suis à la limite de m’évanouir.
Hugues me voyant prise de spasmes, se raidit et laisse couler à flots de grande gicler de sperme au fond de mes entrailles. Mon cul me fait mal mais la jouissance me fait oublier ce désagrément.
Jamais je n’ai connu pareil orgasme. Cette nouvelle pénétration, ce plaisir jusqu’alors inconnu, mêlée à l’excitation d’être sautée par mon jeune voisin, m’ont envoyé au septième ciel !
Il est bientôt l’heure, les enfants vont rentrer et Hugues se rhabille rapidement. Il sait que le temps est compté, il faut faire vite. Il me nettoie rapidement et me promet de revenir demain pour mes soins quotidien.
Il me promet également une bonne sodomie. J’ai hâte d’être à demain pour me délecter de mon nouvel amant…
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Commentaires de l'histoire :
Rouget
Il a fallut un accident pour comprendre qu il y avait une salope cacher au d Fond d elle meme, et de tromper son mari pendant qu il est au travail cela merite une suite qui peut deboucher sur plusieurs scenario..
Posté le 19/01/2023
Anonyme
J ai adoré ton histoire..vraiment très exitant..
Posté le 30/12/2022
Cpleestrie
J’adore ce genre d’histoire.
Posté le 23/12/2022
Guépiere
Bravo Julie belle histoire tu es comme moi une belle salope est c'est tellement bon. (lire mes histoires toutes réelles ) et me donner ton impression Bisous Marie
Posté le 14/11/2022
bibi
Bien écrit, sans vulgarité
Posté le 10/11/2022
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