Me voici de retour chez Louise et Jacques, un couple de retraités que je connais depuis fort longtemps. Louise est une dame d'un certain âge mais au tempérament de feu et pas que.... Je vais pouvoir une nouvelle fois en faire l'expérience d'autant plus qu'elle s'est arrangée pour être seule ce jour-là !
Proposée le 8/10/2019 par sorggulp
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Ascenseur
Type: Fantasme
Me voici de retour chez Louise, des idées plein la tête…
Au souvenir de la visite précédente, j’ai pris mes précautions. Exit le slip trop gênant et toilette intime approfondie !
Louise m’annonce à l’interphone qu’elle descend à ma rencontre.
Tiens donc, que se passe-t-il ? Aurait-elle quelque chose à me dire ?
Quelques instants plus tard, je la vois traverser le hall de l’immeuble au travers de la porte vitrée d’entrée.
« Bonjour mon grand, comment vas-tu ? » glisse-t-elle en me claquant la bise.
Nous nous dirigeons vers l’ascenseur.
Louise et Jacques habitent au dernier étage de l’immeuble.
L‘ascenseur est assez petit
-Maximum 4 personnes- ai-je eu le temps de lire sur le panneau d’informations avant que Louise ne plaque sa main sur mon entrejambe.
Ouah, elle n’y allait pas par quatre chemins !
« Jacques est parti chez des voisins. Je n’ai pas de temps à perdre mon grand »
Elle avait déjà ouvert ma braguette.
« Oh, le coquin ! » dit-elle découvrant ma nudité tout en sortant ma queue qui avait déjà quasiment doublé de volume.
« Humm tu es en forme ! Tant mieux !»
Se penchant en avant et sans me laisser le temps de réaliser ce qui m’arrivait, elle m’astiquait la queue. Je sentais celle-ci gonfler à vue d’œil.
J’hallucinais lorsque je découvrais la scène dans le petit miroir placé sur la paroi de la cabine.
La sonnerie de l’ascenseur indiquant notre destination nous ramenait brutalement à la réalité.
Ayant remis tant bien que mal de l’ordre dans tenue, je suivais Louise dans l’appartement.
La porte refermée, elle se rua littéralement sur moi. Ayant envoyé balader tous mes vêtements au sol, elle se positionna à genoux devant moi. Elle gémissait de plaisir tandis que sa langue jouait avec mon gland cramoisi.
Sapristi ! On pouvait dire qu’elle ne perdait pas son temps en palabre la Louise !
Soudain, elle me fixa.
« Suis-moi mon chéri »
Tout en tenant la queue d’une main, elle se dirigeait vers la cuisine.
Elle ouvrit le réfrigérateur et sortit un bac de glace. Elle s’asseyait tandis que je restais debout à ses côtés.
« Tu te souviens de ce que je t’ai dit la dernière fois ? » me demanda-t-elle tout en continuant de me branler.
Elle porta alors une cuillère de glace à la menthe à la bouche puis reprit ma bite entre ses lèvres.
Le contact de la glace me fit à la fois frissonner de plaisir et de froid.
Troublant mais terriblement excitant.
« Hummm, elle est bonne » dit-elle en jouant avec mon gland. Ses deux mains s’activaient sur mes pendentifs tandis que j’avais pris sa nuque pour guider ma queue au fond de sa bouche soyeuse.
La glace fondue était un pur bonheur. Ma respiration s’accélérait.
Louchant sur la poitrine de Louise, je ne résistais pas à glisser une main dans le soutif blanc. Les seins n’étaient plus de première vigueur mais comme ils étaient volumineux.
« Elle devait avoir une sacrée paire de nibards plus jeune ! » pensais-je en les malaxant énergiquement.
Cela semblait plaire à Louise car elle dégrafa son soutien-gorge sans autant arrêter de me pomper. Très forte.
Elle tint ses seins des deux mains pour me faire une courte branlette espagnole. Je donnais de vigoureux coups de reins entre les deux coussins moelleux.
« Tu aimes ça mon petit salop » me dit-elle d’un regard embrasé tout en observant ma queue coulisser entre ses mamelons.
Elle se passa la langue sur les lèvres puis se rua de nouveau sur ma bite. Je la sentais chaude comme jamais. Je maintenais sa tête des deux mains sur ma bite.
Louise reprit plusieurs fois de la glace. J’accélérais le rythme, sentant le plaisir monter de plus en plus fort. La glace fondue dégoulinait de sa bouche, enduisant ma queue d’une crème verdâtre qui m’excitait encore plus.
Soudain, je sentis comme une décharge électrique me traverser le corps puis exploser dans mon cerveau comme un feu d’artifice. Je plaquais la nuque de Louise sur ma queue.
De longues décharges de foutre se mélangèrent à la glace fondue dans la bouche de Louise. Me retirant légèrement, je regardais l’épaisse semence se déverser par saccades.
Me branlant lentement, Louise lécha consciencieusement les dernières gouttes de sperme pour ensuite avaler la totalité du mélange.
« Ahhhh, c’est tellement bon » dit Louise en léchant ma queue délicatement.
« Viens »
Je la suivais dans le salon. Elle me demanda de m’allonger sur le canapé puis vint se placer entre mes cuisses.
Elle me fit rapidement reprendre. Je bandais rapidement très fort sous les coups de langues expertes de Louise.
« Tu tiens une forme éblouissante mon chéri ! Il faut en profiter ! » dit-elle en sortant un tube de lubrifiant.
Elle enduisit mon chibre du liquide transparent.
« Lève-toi » m’ordonna-t-elle en relevant les pans de sa robe. Elle se plaça à genoux sur la banquette tout en retirant sa culotte. Je me plaçais derrière elle tandis qu’elle guidait ma queue entre ses fesses.
Je compris rapidement ses envies lorsqu’elle poussa en arrière tandis que ma bite forçait l’entrée de son cul !
« Allez ! pousse ! » dit-elle en donnant un coup de rein en arrière.
Sur le coup, je sentis ma queue entre d’un coup dans son cul.
« Ahhhhhh ! » dit-elle en s’affalant sur la banquette. « Défonce-moi ! j’adore ça »
Louise était méconnaissable, une vraie chienne en chaleur !
Je pris ses hanches des deux mains en m’activant de plus en plus rapidement.
Louise poussait des cris des plaisir à chaque coup de boutoir. La banquette tapait contre la cloison.
Son cul était comme un fourreau de soie et je ne tardais pas à décharger une seconde fois.
Poussant un dernier râle de plaisir, je restais planté au plus profond d’elle.
Je me retirais quelques instants plus tard, laissant un filet blanchâtre s’écouler à l’intérieur de sa cuisse.
« Tes visites sont un véritable bonheur. Tu peux revenir aussi souvent que tu veux mon chéri » me dit-elle en remettant de l’ordre dans sa tenue.
« Je ne t’ai même pas proposé un café ! Jacques ne devrait pas tarder à rentrer. Je vais en préparer un »
Effectivement, quelques minutes plus tard, Jacques poussait la porte d’entrée.
« Regarde qui nous rend visite, Jacques ! » lui dit-elle en me faisant un clin d’œil.
« Il adore la glace à la menthe, ça te dirait d’en partager une avec nous ? »
J’observais Louise en buvant mon café. Elle était redevenue une femme aux allures sages comme on en croise souvent dans la rue et pourtant….
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
histoire lubrique mais trés excitante j'ai aimé
Posté le 10/01/2021
plaisirvoupte
j'ai adoré. j'étais avec vous dns la cuisine
Posté le 17/05/2020
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