La splendide et sensuelle Sophie, mariée à Lucas, tout deux en vacances sur la côte d'Azur, est l'objet des convoitises de la jeune et belle Margaux. Comment évoluera cette possible relation à trois ?
Proposée le 26/10/2022 par pascallarc
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
1
Ma femme Sophie et moi louons depuis quelques années pour les vacances une confortable villa avec piscine dans un petit village de la côte d’Azur, à flanc de coteau, en pierre, tuiles ocres et façades blanches. Sur place, nous profitons du soleil et de la piscine, buvons du vin, baisons beaucoup. Le village est à quelques minutes à pied, nous y croisons souvent des connaissances formées au fil des années qui y habitent ou louent également dans les environs.
Depuis un dîner quelques jours plus tôt chez des amis logeant dans une villa voisine de la nôtre, leur fille Margaux ne nous quitte plus. Jeune, à peine vingt ans, magnifique, la taille fine, cheveux châtain, des yeux verts attentifs et un petit nez fin, nous la connaissons depuis longtemps. Elle avait toujours été timide à notre endroit, réservée. Cette année elle s’ouvre davantage à nous, parle plus librement et s’affirme, armée d’un sourire irrésistible. D’autre part, son intérêt pour ma femme semble avoir évolué.
Si on aime les femmes, il est en effet difficile d’ignorer Sophie. De très bonne compagnie, prenant plaisir à discuter de toutes les humanités, j’avais été à notre rencontre foudroyé par son intelligence et sa beauté. Grande, blonde aux yeux bleus capables de vous faire fondre ou de vous poignarder, des formes plantureuses et sensuelles que je vénère, des traits fins, une bouche immense. Je ne peux que comprendre qu’on en tombe amoureux.
Margaux cherche toutes les occasions de passer du temps avec nous. L’intérêt marqué de cette jeune fille pour ma femme donne parfois lieu à des scènes cocasses, comme quand Margaux débarque chez nous à l’improviste, sonnant à notre porte pendant que Sophie et moi sommes en train de faire l’amour. Devinant l’identité de la visiteuse et, pour m’amuser, j’envoie ma partenaire à la porte, à peine couverte d’une petite serviette de toilette, linge bien incapable de dissimuler correctement les formes divines de ma femme, dont j’ai joui un instant avant. Leur échange à peine terminé, Sophie revient dans le lit, et m’ouvrant ses cuisses pour que je recommence à la prendre, me raconte la gêne de Margaux à la porte, rouge comme une pivoine, confuse, perdant ses mots. Comme envoûtée, elle n’a pourtant pas réussi à détourner les yeux de la plantureuse poitrine, des hanches et cuisses galbées de son aînée. N’ayant pu se méprendre sur l’activité de Sophie quelques instants avant, trahie par ses cheveux en désordre, les seins dressés, la mouille suintante au bas-ventre, la jeune fille est repartie troublée, frustrée, sûrement déçue.
Alors que, excité par mon petit tour, je baise derechef ma femme, elle m’interrompt soudain.
– Attends… Attends… La petite, elle te plaît vraiment ? Je la trouve très belle aussi.
Connaissant la ligne franche de Sophie sur le sujet des aventures extra-conjugales, je m’arrête de nouveau un instant pour lui répondre.
– Elle est devenue une très belle femme, très désirable, mais je ne sais pas si je lui plais. Toi par contre, c’est évident.
Ses yeux me scrutent. Sentant mon sexe se durcir davantage en elle à l’idée d’un trio, elle ajuste légèrement son bassin pour mieux m’accueillir. Je suis planté dans sa chatte trempée, enfoncé profondément. Me tenant amoureusement par la nuque, elle m’embrasse alors.
– S’il te plaît, continue.
Alors que je relance les mouvements de mon bassin et que, rapidement, elle s’abandonne de nouveau au plaisir, haletante, j’ai la curiosité d’imaginer comment cette situation peut évoluer. Mais Sophie a déjà échafaudé un plan.
Plus tard dans la journée, sous prétexte de se faire pardonner de notre indisponibilité à son égard l’après-midi, elle propose à Margaux de nous accompagner pour dîner le soir même à Saint-Tropez. La jeune fille ne se fait pas prier. En cette chaude fin de journée, nous passons la chercher chez elle avant de filer à travers la garrigue à bord de notre Maserati GranCabrio vers un restaurant connu où nous avons réservé. Conduisant la décapotable qui nous offre un peu d’air face à la chaleur encore forte, je joue au chauffeur et invite les deux beautés à profiter des sièges à l’arrière pour échanger plus confortablement entre elles. Depuis le rétroviseur j’observe la jeune femme qui, cheveux aux vents, distribue des sourires enjôleurs à sa voisine.
Le repas est animé. Les deux femmes s’apprécient, deviennent complices. L’intérêt de Margaux pour Sophie n’est plus réfutable. Celui de ma femme pour la jeune fille grandit. Cette dernière est étourdissante de beauté dans une robe blanche ouvragée en lin, échancrée, serrée à la taille par une ceinture de cuir brun. Des boucles blanches sur ses fines oreilles s’harmonisent avec sa robe et une bague de nacre portée à sa main droite. Des escarpins montés haut Jimmy Choo mettent en avant la ligne de ses jolies pieds fins. De plus le parfum de ses cheveux autour du coquelicot, précieux safran et fleur d’orange, m’envoûte. Je suis séduit, définitivement sous son charme. Mais c’est Sophie qui remporte tous les suffrages et attire les regards de toute la salle, hommes et femmes. Elle est habillée d’une une robe rouge aérienne en tissu léger, rendant intolérable la sensualité de ses formes, soulignées par une ceinture noire à boucle dorée. Les hauts talons de ses escarpins loubi accordé à sa robe la grandissent encore, sonnant comme un avertissement à l’inconscient qui s’y aventurerait.
Margaux et moi échangeons ce soir-là naturellement, sans gêne. Je l’amuse et l’intrigue même si son centre d’intérêt principal reste ma femme. Elle soutient par moment difficilement mon regard, que je peux avoir perçant. Je la surprends à s’arrêter plusieurs fois au milieu d’une phrase, bouche bée, quand Sophie dévoile sa nuque en se recoiffant ou se baisse un peu trop, laissant entrevoir la sensualité – à dessein – du haut d’une cuisse ou le creux de ses seins. Désinhibée par quelques verres de vin et l’ambiance décontractée de la soirée, Margaux devient tactile, effleurant l’épaule de ma femme, lui prend la main, la complimentant sur sa tenue. Ses yeux pétillent. La petite est amoureuse, visiblement accro. De temps à autre, presque gênée, Sophie me lance des regards, où se confonde les excuses de mener un manège aussi évident et néanmoins le désir de continuer. Je m’en amuse beaucoup et souhaite mettre Margaux à l’aise en tout point.
Au sortir de table, la jeune fille nous remercie chaudement, me fait plusieurs fois la bise, serre Sophie dans ses bras, l’embrassant fort sur les joues. Alors que nous remontons dans les terres et devant la décevante perspective d’interrompre ici la soirée, Sophie propose à Margaux de boire un dernier verre chez nous. Si nous finissons trop tard, elle pourra dormir dans la chambre d’amis. La jeune fille, visiblement enchantée par l’offre de ma femme, accepte avec empressement.
Revenus à la villa, nous discutons fort tard de mes affaires aux quatre coins du monde, des galeries d’art de Sophie à Londres et Paris, ainsi que des études littéraires de Margaux. M’étant isolé sur un fauteuil individuel, leur faisant face, je suis ébloui par la beauté des deux femmes, côte à côte assises sur un canapé de jardin, baignées par le clair de lune, un verre de champagne à la main. Partageant un Cordon Rosé d’un vieux millésime, nous découvrons davantage la vie de la jeune femme, jusqu’ici restée discrète sur ses aspirations intellectuelles et professionnelles, malgré sa fréquente présence à nos côtés depuis quelques jours. Elle semble désormais davantage en confiance. Ses regards à mon encontre sont plus francs, empreints de chaleur. Je l’encourage à se livrer, à nous parler d’elle.
De son côté, Sophie retourne désormais les effleurements de Margaux qui, subjuguée par cette tension sexuelle naissante, rougit, se perd dans ses phrases, oublie ses mots. Les yeux fiévreux de ma femme sont deux brasiers qui brûlent ce soir à l’attention de Margaux. Elle s’est rapproché et finalement lui prend la main. J’ai bu raisonnablement ce soir mais je finis par prétexter l’alcool et la fatigue pour m’éclipser, à grand regret. De toute évidence Sophie ne me rejoindra que le lendemain.
2
Au petit matin, ma femme se glisse dans la chambre, ôte rapidement la robe froissée qu’elle a portée hier et, soulevant les draps en lin, se blottit dans mes bras, en cuillère, son dos chaud et doux contre mon torse musclé. Je reconnais sur elle le parfum de Margaux. Elle me raconte qu’elle n’a pas été longue après mon départ à prendre l’initiative et à l’embrasser. J’imagine la scène, les deux déesses enlacées sur la terrasse, seins nus, robes baissées… Scènes obscènes qui m’embrasent. Elles ont ensuite quitté le jardin pour faire l’amour dans une chambre d’amis. Au petit matin, épuisée, Margaux s’est endormie, d’un sommeil lourd que seule la satiété des sens procure. Pendant que Sophie agrémente son récit avec force détails, excité je la caresse, sentant partout sur elle les traces de l’amour, dans ses cheveux défaits, l’odeur étrangère sur sa peau, ses tétons encore durs ou les lèvres enflées de sa vulve. Sophie m’avoue :
– J’ai envie de toi, là, maintenant.
– Je ne suis pas jaloux.
– Je sais, j’ai juste très envie de toi.
J’ai fantasmé toute la nuit, à imaginer les deux femmes durant leurs ébats, ne réussissant à m’endormir que fort tard. Mon sexe réagit violemment à cet aveux. Je suis pris de frissons. Une véritable barre de fer se dresse contre le cul de Sophie.
Glissant à sa demande mon sexe entre ses cuisses, au bas des fesses, je trouve ses petites lèvres entrouvertes, déjà bien sollicitées cette nuit-là, qui néanmoins accueillent ma queue avec abandon. Elles suintent de nouveau, peut-être grâce à mes doigts agiles qui les ont caressées quelques instants plus tôt. Une poussée suffit pour que je la pénètre de toute ma longueur. Mes mains serrent ses seins, les malaxent et j’effleure des doigts les sensuelles aréoles. Sophie râle, répète mon prénom comme une incantation.
Profitant de son vagin accueillant, je la percute de derrière, par à-coups brusques, le visage perdu dans ses cheveux. Leur odeur mélangée à celle d’un parfum étranger me grise, rend ma queue dure, rigide à souhait. Sophie le perçoit, l’apprécie, m’encourage :
– Ça t’excite qu’on ait baisé, Margaux et moi ?
– Oui ça m’excite, tu sens son parfum.
Le contact du cul de Sophie contre mon pubis me rend fou. Elle pousse ses fesses contre moi, m’accroche d’un bras, pour mieux que je l’enfonce. Elle continue :
– Dans la chambre, la petite tremblait presque. J’ai pris l’initiative, je l’ai poussée sur le lit, je lui ai sucé la chatte, je lui ai léché les seins. Elle a aimé, elle a joui. J’ai tout léché : ses petites lèvres, sa vulve, son cul.
Crevant d’envie, j’ai désormais un voile blanc devant les yeux en écoutant ses aveux. Pantelant, je lui demande :
– Et elle ? Elle t’a fait jouir ?
– Oui elle m’a léchée aussi. Elle m’a sucé les seins, longtemps. Elle m’a mis des doigts, puis a utilisé sa langue. J’ai hurlé de plaisir.
– J’ai entendu Margaux aussi crier un moment.
– Oui, je lui ai dit de ne pas se retenir, pour partager ses cris avec toi.
Le récit des ébats de Sophie avec Margaux m’ont mis hors de moi. Je me redresse, me place au-dessus d’elle et lui remonte la jambe, elle toujours sur le flanc. Recroquevillée, cuisse levée, la chatte offerte, je l’embroche, envahissant son vagin jusqu’au plus profond. Coup après coup, mes allers et venues répandent des pertes blanches à l’orée de sa chatte, sur ses poils pubiens et ses petites lèvres désormais visqueuses. Sophie mouille absurdement. Encaissant mes attaques, elle me fixe de ses yeux fatigués, la bouche en o, subissant mes assauts. Je glisse une main dans son entre-seins, moite, recherchant la chaleur et le confort des chairs veloutées, dont Margaux aussi a dû cette nuit se repaître. Une drogue que je sais dure et sans retour. Alors que je continue à l’envahir, Sophie vient brusquement, en lâchant des « ah oh ah… Lucas… ». Un tremblement parcourt son corps, des pieds à la tête, tandis que je ralentis mon action, pour la laisser souffler. À peine remise, elle réclame bientôt :
– Tu es dur, tu es trop dur, soulage-toi, viens en moi.
Je relève davantage la jambe de Sophie, qui laisse apparaître toute sa vulve fiévreuse à travers laquelle je m’enfonce à nouveau. D’une main je sollicite ses petites lèvres rougies, utilisant mes doigts pour les frotter à ma verge. Une odeur animale de sexe me fait frétiller les narines, les exhalaisons corsées de sa chatte travaillée. Je pourrai continuer à la prendre mais j’ai envie de jouir et de la laisser dormir jusqu’au petit-déjeuner. Suite à une dernière poussée vigoureuse, ivre d’excitation au fond de son vagin brûlant, je viens d’un coup en elle, la main toujours entre ses seins lourds et fermes, lâchant un râle brusque quand ma queue commence à expulser par jets prolongés mon sperme au fond de son ventre. Sophie, quoique épuisée, a porté la main à son entrecuisse et caresse la partie de ma verge affleurante, comme pour m’encourager à me vider. Parcouru de frissons à mon tour, je laisse les contractions de mon sexe se tarir tout en regardant Sophie, perdu dans le brouillard de mes yeux passagèrement vitreux. Revenu à moi, je me dégage ensuite avec précaution avant de me lever pour m’essuyer puis me blottir contre elle. Mais Sophie dort déjà, satisfaite, fourbue. Je lui glisse à l’oreille :
– Bonne nuit, ma belle.
Nous nous reposons quelques heures jusqu’au petit-déjeuner. En arrivant sur la terrasse où la table est dressée, nous constatons l’absence de Margaux qui doit encore dormir. Sophie, les yeux encore cernés mais tout sourire, se propose d’aller la réveiller et je m’installe confortablement avec mon téléphone portable, prêt à patienter. L’adorable nuisette en soie noire ornée d’une broche en or à l’entre-bonnets qu’a passé Sophie sous son peignoir avant de quitter la chambre ne m’a pas échappée, sa possible utilité non plus. Une demi-heure après, les deux femmes me rejoignent enfin, Sophie menant Margaux par la main. Apparemment encore confuse de sa nuit ou rendue confuse par le réveil de Sophie que j’imagine passionné, elle me regarde en coin, rouge de honte, gênée. Le petit-déjeuner se termine et je sens que la jeune femme n’est pas à son aise, inquiète sûrement de mes possibles réactions. Sophie le sent aussi et pour commencer à résoudre le malentendu, formule quelques allusions devant lesquelles Margaux se recroqueville, l’air peiné, presque les larmes aux yeux en me regardant. Je décide de la rassurer en annonçant que Sophie et moi sommes en accord complet sur leur nouvelle relation et que je l’approuve et l’encourage sincèrement.
Sans en discuter davantage, Margaux semble se détendre, rassurée, et nous quittons bientôt la table. Les deux femmes repartent vers la chambre d’amis où la jeune fille avait laissé ses affaires et je rentre dans la mienne pour préparer la journée. Ma femme revient bientôt et m’informe que Margaux est rentrée chez elle et devrait repasser plus tard aujourd’hui.
Apprenant que nous sommes désormais seuls, je propose à Sophie d’aller profiter de la piscine. Plus rapide qu’elle pour me changer, attrapant une boxer de bain et une luxueuse serviette de bain orange épaisse en éponge décorée de formes géométriques complexes, je la précède et m’immerge. L’eau est déjà tiède et, rompant la parfaite immobilité de la surface de l’onde, je fais quelques longueurs pour patienter, les yeux fixés sur la céramique bleue ciel raffinée du fond du bassin. Quelques minutes plus tard, ma femme apparaît enfin. En la voyant je reste bouche bée. Sophie porte un élégant et recherché maillot jaune deux pièces dont la partie haute peine à englober sa poitrine. Son cou arbore une chaîne en or blanc dont une partie ballante est glissée entre ses seins. Le bas du maillot est un string brésilien et mes yeux exorbités fixent insolemment le galbe de son magnifique fessier. Pieds nus, elle fait le tour de la piscine par le côté opposé au mien, par de longues enjambées élégantes, pour bien se laisser admirer. Sourire en coin, la belle semble apprécier l’intensité de mes regards, contente de la réaction qu’elle a su provoquer en moi.
Une fois dans l’eau à mes côtés, m’ayant saisie une main, Sophie me complimente :
– Tu as su trouver les bons mots avec Margaux. Je lui avais dit que notre nouvelle relation ne te dérangeait pas, bien au contraire, j’avais bien tenté de lui expliquer. Mais avant que tu ne la rassures, elle avait très peur de perdre ta considération et ton amitié. Je crois qu’elle t’aime beaucoup plus qu’elle ne le laisse paraître, pour l’instant.
J’absorbe les paroles de Sophie avec fierté, concentré sur le moindre de ses attitudes, de ses mots. La sensualité qui émane d’elle est insoutenable, même pour moi son mari. Une puissante érection, gênée par mon boxer, me torture et déforme le vêtement de bain.
Sophie se rapproche encore, plonge ses yeux de braise dans les miens tout en se mordant la lèvre inférieure. Elle me chuchote :
– Je pourrai te récompenser. Te sucer là, immédiatement. Si tu le veux.
En guise de réponse, j’enlève d’un geste mon maillot de bain, le laissant flotter entre deux eaux, et m’installe sur la première marche de l’escalier du bassin, jambes écartées. Mon sexe durcit, excité par la beauté de ma femme qui, immergée dans l’eau, se débarrasse à son tour de son haut. Elle se colle ensuite à moi, s’installe entre mes jambes. J’ai ses seins plantureux en vue plongeante, et posant ses mains sur mes genoux, elle prend alors ma queue dans sa bouche déjà brûlante. Sophie commence par sucer longtemps mon prépuce, insérant le bout joueur de son habile langue dans la peau délicate. Ses belles lèvres entourent délicatement mon gland, le tête avec application, puis elle l’enfourne davantage dans sa bouche pour le sucer tout entier. Pendant qu’elle me gâte, je contemple ses longs cheveux blonds et sa voluptueuse poitrine, irréelle, qui semble flotter à la surface de l’eau. Tentant de ne pas la laisser seule à agir, j’avance mes mains et passe mes doigts sur ses aréoles mouillées, pour encore davantage l’exciter. Sous les caresses et la pression de mes doigts, les larges tétons de la belle durcissent bientôt. Occupée à me sucer, les lèvres de Sophie vont et viennent, ne levant les yeux que pour, provocante, maintenir mon attention. J’imagine la même séance avec Margaux présente, les deux femmes s’échangeant ma queue… Cette idée licencieuse me fait perdre avec délice un peu de sperme dans la bouche de Sophie. Après m’avoir branlé et bien sucé, s’attardant sur le frein qu’elle a stimulé par des petits coups de langue adroits, elle masse maintenant mon ventre, remontant ensuite ses mains pour jouer avec mes abdos et mes flancs. Dans le même temps, elle pousse mon sexe plus profondément dans sa gorge. Peu sensible au réflexe nauséeux, elle m’avale jusqu’à la garde. Puis me recrache, filet de bave aux lèvres, me fixe et replonge. À chaque fois qu’elle m’enfourne dans son gosier, je ressens la texture particulière de sa gorge dans laquelle je vais bientôt me vider. Travaillé de la sorte, je suis à l’agonie. Quelques répétitions de ce traitement ont raison de mon endurance. Devant l’application de la belle à me récompenser par cette gâterie divine, je jouis brusquement, bercé par les eaux et sa bouche, en criant :
– Sophie, tu me tues, Sophie.
Mon sperme chaud remplit bientôt ses joues. Livré aux frissons de l’orgasme, mes deux mains sont posées sur les cheveux de Sophie qui, gourmande, les yeux pétillants, me laisse finir de jouir en me massant les bourses, avant d’avaler toute ma semence en une fois. Elle lèche ensuite mon sexe délicatement, se lèche les lèvres et les doigts, tout en me regardant.
Après s’être ainsi occupé de moi, elle souhaite sortir de l’eau. Allongés sur le bord du bassin, léchés par le soleil, nous décidons de partir ensuite nous balader dans les environs, avec le secret espoir que Margaux nous revienne bientôt.
3
Sur les coups de dix-neuf heures, alors que nous profitons en cette fin de journée de la fraîcheur apportée par l’ombrage des arbres du jardin, Margaux réapparaît enfin. Sophie lui a donné une clé ce matin afin qu’elle puisse nous retrouver absolument quand elle le souhaiterait. Alors que la jeune femme nous rejoint, les yeux de Sophie s’écarquille un instant, signe – qu’elle laisse rarement échapper – d’un vif intérêt. Margaux porte un élégant crop top de créateur aux bords déchirés, sous lequel se dessine ses jolis seins, ainsi qu’une fine chaîne en or autour du cou. Un short en jeans, rapiécé, très court, met en évidence ses longues jambes bronzées et laisse savamment apparaître la naissance de ses fesses. L’ensemble lui confère un air punk-chic que je ne lui connaissais pas, mais qui correspond parfaitement à son jeune âge. Sophie de son côté n’est pas en reste, avec une robe légère aux couleurs chatoyantes, d’un tissu léger, échancrée laissant généreusement admirer sa poitrine et assez courte pour faire honneur au galbe de ses cuisses. La jeune fille nous fait la bise, chaleureusement. Son parfum ce soir est sur les agrumes, frais et citronné, entêtant. J’annonce les abandonner quelques minutes pour aller chercher moi-même l’apéritif, ayant donné congé au personnel pour la soirée.
Observant depuis la cuisine les deux beautés, je constate avec joie qu’elles se sont rapprochées en mon absence et s’embrassent avec chaleur. Sophie est à l’initiative, le visage de Margaux dans ses mains. Les scènes de trio les plus folles envahissent mon esprit. Il m’est désormais impossible de rester insensible à la beauté de Margaux. La revoir ce soir m’a procuré une émotion puissante. Son intelligence vive, sa jeunesse, sa beauté me la rendent chaque jour davantage désirable. De plus l’amour qu’elle éprouve pour Sophie rentre en résonance avec le mien.
Quand je les rejoins, armé d’un plateau et d’une bouteille au frais dans un seau à glace, Margaux me jette un regard dénué de honte ou de peur, malgré son torride baiser avec ma femme quelques secondes plus tôt. Heureux de ce nouvel état d’esprit, je lui souris et relance la conversation.
Le temps passe, nous discutons tous ensemble, et j’ai le sentiment que la jeune fille est enfin complètement à son aise. Ses doutes sur le bonheur que j’ai de contempler leur amour naissant semblent définitivement dissiper. Margaux est tout sourire, loquace, à l’aise en notre compagnie. Sûre de sa beauté, elle pose ses mains sur Sophie, me décoche d’immenses sourires, repositionne une mèche de ses voluptueux cheveux, un élégant bracelet formé par des anneaux d’or jaune, rose et gris au poignet. Tout en discutant j’extrais un jeune Chablis du seau à glace et après avoir ouvert la bouteille, sers un verre à chacun. L’instant est mémorable et solennel, à jamais pour moi inoubliable. Les deux femmes devant moi sont magnifiques et sensuelles. Je propose un toast :
– À notre rencontre de cet été ?
La soirée est chaude, le vin servi frappé. Nous buvons vite, avec délice. Je croise le regard de Margaux, ses joues rougissent sous les effets conjugués de la chaleur et du vin. Nous continuons à papoter, abordons chacun à notre tour les événements de la journée.
Sophie est tactile, excitée, cajolant Margaux qui lui a manquée. Elle décoche des bises appuyées, sur les joues et au coin des belles lèvres de la jeune étudiante. L’érotisme qui se dégage de ma femme ce soir est charnelle. Une tension sexuelle latente s’installe malgré mes efforts et ceux de Sophie conjugués pour l’alléger. Un peu plus tard, alors que nous avons commencé à grignoter des amuse-bouches, Margaux pose son verre et enfouit la tête dans ses mains. Sophie et moi demeurons interdits, sans cesser de la regarder. La fatigue ? L’alcool ? La nourriture ? Mais elle relève vite la tête et, après avoir respiré fort, annonce :
– J’aimerais essayer avec vous. De faire l’amour. Nous trois. Ensemble. Si vous le voulez.
Et malgré la rougeur qui s’est emparée de son visage, elle ne me quitte plus des yeux, cette fois.
Je pose mon verre sur la table du jardin et vais rejoindre les deux femmes assises l’une à côté de l’autre sur le canapé en face. Toute l’attention de Margaux est portée sur moi. Sophie est dans son dos, observe. Je m’assieds à côté de la jeune fille et m’empare pour la première fois de sa main, dont la douceur me fait vibrer. Je la porte à mes lèvres, lui embrasse la paume, puis les doigts. Pendant ce premier contact intime, elle frémit. Son parfum m’envahit de nouveau, ainsi que l’odeur de ses cheveux. J’explore la douceur de sa peau, veloutée, qui m’enivre. Je me penche enfin vers elle, l’embrasse sur les lèvres tout en lui faisant poser sa main sur ma cuisse. L’odeur de son souffle est délicieuse, porte aussi les fragrances du Chablis. La fraîcheur du vin est encore dans sa bouche quand ma langue rencontre la sienne. J’aime immédiatement son goût. Sophie sollicite Margaux en la recoiffant et les deux femmes s’embrassent à leur tour à pleine bouche pendant que je finis mon verre, la main de Margaux toujours sur ma cuisse. Se tournant de nouveau vers moi, les yeux de la jeune fille brillent, expriment le désir, la concupiscence. Elle m’embrasse encore, cette fois plus fort, porte ses mains à mes flancs, pour découvrir mon corps encore couvert par mon costume d’été en lin. Sophie approche son visage et propose :
– On pourrait rentrer ?
Ses yeux pétillent, elle anticipe ce qui va suivre. La connaissant intimement, j’imagine sous la robe ses tétons durs, tendus, sa vulve trempée, son vagin affamé. Margaux, le visage à quelques centimètre du mien, embarrassée, agrippant avec sa main ma veste de costume, souffle en me fixant :
– J’ai très peu d’expérience avec les hommes.
– Ne t’inquiète pas, tu seras complètement en contrôle, tu peux m’arrêter à tout moment.
Sophie lui chuchote :
– Il va prendre soin de nous, tu verras. Et je serai là.
Et sur ces mots, Sophie et moi nous levons et, tendant la main à Margaux, nous l’invitons à nous suivre, ce qu’elle fait immédiatement.
Une fois dans la chambre, la tension est palpable. J’ai du mal à me maîtriser, je tremble d’excitation. Margaux n’est pas sereine non plus, ses yeux vont de notre lit taille royale aux draps blanc cassé jusqu’aux murs couvert d’un élégant tissu parsemé de perles mates, en lin et coton. Comme bien souvent, Sophie prend les devants, nous prend chacun par main pour nous presser les uns aux autres. Désormais proches, toujours debouts, nous nous embrassons, longuement. Le goût des bouches des deux femmes se mélangent sur ma langue, réalisation de pensées que j’ai tellement fantasmé depuis quelques jours. J’invite Margaux à défaire les boutons de ma chemise, l’embrassant pendant qu’elle s’affaire sur les boutons couleur ivoire. Après avoir repoussé les pans de ma chemise pour qu’elle puisse y glisser ses mains, et pendant que je continue de l’enlever, elle étreint la base de mon cou, descends lentement vers les pectoraux, effleure de la pulpe de ses doigts délicats mes mamelons. Elle murmure, comme si elle pouvait par sa voix interrompre ou briser le sort nous liant :
– Lucas, ta peau est si douce…
Alors qu’elle descend encore pour tâter mes abdos, je m’émerveille de la grâce de ses seins entrevus par le décolleté de son top. J’aimerai les goûter bientôt. Ses mains passent sur mes flancs, ses doigts roulent sur mes obliques développés. Sophie s’est approchée et, dans le dos de Margaux, lui soulève son haut pour le lui enlever. La jeune fille m’abandonne, se tourne pour faire face à son aînée puis lève les bras pour se laisser déshabiller. Elle a un dos bronzée à la musculature taillée par la natation qu’elle pratique régulièrement. Alors qu’elle lève les bras, ses aisselles se révèlent, immaculées, sensuelles. J’observe avec attention le bas de ses fesses qui dépassent de son short court et troué à cet endroit, laissant présager des chairs délicieuses. Je sais qu’elle a un cul exquis, athlétique. Margaux s’enhardit, ses inhibitions perdues maintenant que la situation entre nous trois est clarifiée, embrasse les lourds seins de Sophie devant moi, les couvre de baisers. Portant mes mains dans son dos, je le caresse, jouant avec la ligne de ses dorsaux, jusqu’à rencontrer le fermoir de son soutien-gorge, que je dégrafe. Margaux tend les bras pour le laisser tomber et mes mains continuent leur chemin jusqu’à ses seins ronds et fermes, avec de larges mamelons, que je pétris, doigts écartés, en adoration. Puis je continue mon exploration érotique en passant par son ventre musclé jusqu’à ses hanches, au toucher ferme et velouté.
Sophie, dont les seins se font dévorer par la jeune affamée, me sourit, l’air malicieux. Je sais qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous sa robe. Elle demande à la jeune fille :
– Tu peux m’aider à me déshabiller ?
Margaux obéit avec empressement, se place dans son dos et, faisant glisser les bretelles, dézippe la petite fermeture-éclair, relâchant le tissu qui glisse aux pieds de Sophie. L’impudente ne porte pas de culotte non plus. Je souris. Je n’avais pas encore remarqué la délicate chaîne en or qu’elle porte à la cheville, à laquelle pend un somptueux jade travaillé en forme de goutte d’eau. La vue de son beau et discret triangle pubien me fait durcir davantage encore, à l’extrême. Choquée quelques secondes de voir brusquement apparaître cette somptueuse paire de fesses, Margaux finit par se ressaisir et, se collant au dos de Sophie, commence à lui caresser ses hanches veloutées. Elle s’aventure bientôt sur son ventre délectable, puis lui passe la main à travers les cuisses légèrement écartés, cherchant à effleurer sa vulve. Elle embrasse dans le même temps la nuque de Sophie dont les grands yeux bleus me fixent, gourmands.
4
Sophie sait se montrer cruelle quand la nécessité survient de faire monter le désir. S’arrachant aux ardentes caresses de la jeune fille, ma femme s’approche d’un pas décidé et colle bientôt sa poitrine contre moi. Ses lourds seins s’écrasent voluptueusement contre mes pectoraux. Je sens tout son désir dans ses tétons dardés. Sa bouche s’abat sur la mienne, l’embrasse voracement. Puis elle me repousse gentiment contre le lit, bien décidée à me sucer. Contraint par ce délicieux assaut, je m’assieds. Ses mains sont déjà sur la boucle de ma ceinture et je l’aide à me déshabiller, sans perdre de vue Margaux qui, immobile entre ma femme et moi, semble tétanisée par la vue des fesses offertes de Sophie, laquelle feint de l’ignorer momentanément. Mon pantalon glisse enfin à terre et Sophie, avide, engloutit mon sexe raide d’excitation, entame une fellation énergique. D’un signe de la main j’invite Margaux qui, ayant hésite sur la conduite à suivre, me rejoint rapidement et s’assied à côté, à la hauteur de Sophie. J’enserre la jeune fille d’un bras autour de sa taille délicate, la colle contre moi puis l’embrasse fougueusement. Nos lèvres se pressent, nos langues s’apprivoisent. Je lui baise les joues, le menton. Margaux laisse glisser ses doigts sur mon visage, prend la ligne de mes mâchoires dans ses mains tout en m’embrassant. Ma femme, vorace ce soir, n’est pas sur le même rythme que ce matin. Elle me prépare pour la suite par une inspection minutieuse de toutes les parties de mon phallus, me tête littéralement la queue. Elle n’oublie cependant pas Margaux et lui glisse une main sur les cuisses, peut-être plus bas, je ne vois pas bien, occupé à résister à la tornade qui s’abat sur mon bas-ventre.
Collé à Margaux, envahi par sa délicieuse odeur corporelle, saoul du goût de sa salive en bouche, je m’enhardis et lui demande si je peux m’aventurer à lui embrasser ses magnifiques seins, ce à quoi elle répond positivement avec un grand sourire, la chaleur de son excitation perceptible dans sa voix.
Me penchant vers sa poitrine qu’elle m’offre en bombant le torse, je cesse de m’émerveiller un instant et commence à lui baiser le sein gauche, prenant son sein droit en main dans le même temps. Leur douceur et leur velouté provoquent une violente fièvre en moi, qui, conjuguée aux soins de Sophie, passent à deux doigts de me faire brusquement éjaculer. Je me reprends et lèche du bout de la langue le beau mamelon rose tandis que mes doigts tâtent délicatement l’autre sein. Sous ces sollicitations, les tétons de la jeune fille durcissent rapidement. Pour me laisser le champ libre elle glisse ses mains dans mes cheveux. Au fur et à mesure que j’avance dans mon exploration, je sens ses doigts vibrer contre mon cuir chevelu. Quelques petits cris qu’elle laisse échapper m’indiquent que je m’y prends plutôt bien.
Sophie relève la tête, salive aux lèvres et, malicieuse, passe d’un petit bond de mon entrecuisse à celui de Margaux, lui écartant sans peur ses longues jambes bronzées. La jeune fille, surprise, bascule en arrière, atterrit sur les coudes, à moitié sur le lit. Je me suis relevé, lui fais face, toujours à côté de Sophie, tenant en main mon sexe lourd, excité, gorgé de sang. Margaux le considère l’air songeur quand, interrompue par le cunnilingus habile de ma femme, elle bascule la tête en arrière en grognant. La jeune fille lâche :
– Putain Sophie tu fais ça bien, on ne m’a jamais léché comme tu le fais, c’est trop bon. J’ai joui déjà deux fois ce matin.
Elle est splendide parcourue par le plaisir, des frissons s’égayant à travers tout son beau corps ferme et musclé. Surexcité par le plaisir d’enfin les voir faire l’amour, je passe derrière Sophie et m’installe à genoux.
Ses fesses magnifiques sont légèrement en arrière, offertes. Elle sait que je vais la prendre, m’invite en dandinant son superbe cul. Je lui glisse la main à l’entrecuisse et constate qu’elle est déjà trempée. Mon pouce s’aventure sur ses belles grandes lèvres. Entre elles les petites lèvres humides affleurent, excitées. Sans attendre, la sentant prête, impatiente, j’oriente ma queue vers l’entrée de son vagin et la pénètre aisément, d’une simple pression. Sophie réagit d’abord à peine, toute à sa tâche, m’accueille en habituée. Les yeux de Margaux s’écarquillent quand elle me voit procéder. Ses cris augmentent rapidement. Au bout de quelques minutes, elle se reprend, capable d’articuler de nouveau, et avoue :
– J’ai tellement mouillé quand Sophie est venue m’ouvrir presque nue il y a quelques jours. Je m’imaginais avec vous, en train de faire l’amour. J’ai eu du mal à marcher pour repartir. Je me suis arrêté plusieurs fois, j’étais en feu.
Amusé d’apprendre que mon initiative avait eu le succès escompté, je porte la main à la nuque de ma femme pour la lui masser pendant qu’elle s’occupe de la vulve de Margaux. Mes allées et venues dans son vagin la poussent néanmoins plusieurs fois à s’arrêter, laissant échapper des râles de plaisir. Je suis sur un rythme calme, me ménage pour durer. Quelques minutes après je m’enthousiasme de voir Margaux jouir brusquement, cédant au plaisir procuré par les coups précis et subtils de langue de son aînée.
La jeune fille retombe dans le lit, digérant son plaisir. Elle rouvre plusieurs fois les yeux pour m’observer, en plein travail, pecs et abdos tendus. Je suis profondément plongé dans le vagin de Sophie et, les mains contre le lit, celle-ci encaisse les coups de mon bassin qui s’abattent sur ses fesses. Ma queue large évolue dans sa mouille abondante, qui coule maintenant le long de ses cuisses. Sophie ahane, les yeux clos, la tête posée sur le bas-ventre de Margaux, hallucinée par la scène. Quelques minutes après, la jeune femme s’est repris et, se redressant, tend sa main vers moi, m’appelle, les lèvres pincées, ses yeux pleins de désir charnel. Je me retire de Sophie, l’aidant à se relever, puis me positionne au-dessus de Margaux qui recule au milieu du lit. Je décèle néanmoins dans son regard de l’inquiétude. Elle me chuchote en me passant un doigt sur la joue :
– Tu es énorme, sois doux s’il-te-plaît.
Me positionnant au-dessus d’elle, je l’embrasse sur la bouche, les joues, les seins. Offerte ainsi, elle est à croquer. Mes mains parcourent son corps musclé et, prenant mon sexe en main, je le guide contre sa vulve, ouverte, excitée. Ses belles et longues jambes bronzées, ouvertes pour m’accueillir, me plaisent terriblement. Ses petites lèvres sont courtes, déjà rougies par le travail de Sophie, allongée à nos côtés. Positionné entre ses cuisses, je pousse doucement ma queue en elle. Sentant l’étroitesse actuelle de son vagin, je dois prendre mon temps. Margaux me fixe, ne détourne la tête que quand Sophie, posant un doigt sur son nez, réclame un baiser. De mon côté je profite de ses beaux seins, caresse ses larges aréoles, prenant une pause dans la pénétration pour mettre en bouche alternativement l’un et l’autre mamelon, tous deux gonflés, dardés par l’action de mes baisers.
Ma verge est en elle, à mi-chemin. J’y suis confortable, terriblement bien. Margaux s’agrippe à moi brusquement et quand je lui demande si je lui fais mal ou si suis allé trop vite, elle me répond que non et soulève son bassin pour m’encourager à progresser. M’agrippant, elle lâche en grimaçant :
– Je n’ai plus l’habitude, j’ai surtout connu des femmes dernièrement. Continue, c’est bon…
Sophie lui caresse la tête et Margaux prend sa main, lui saisit un doigt pour le mettre en bouche, le suçant suggestivement. Résistant à l’excitation que provoque cette scène, j’arrive au fond de Margaux et commence de lents allers-retours pleins de précautions. Margaux lâche un :
– Tu es gros, tu me tues… C’est bon, c’est si bon…
Sophie se penche, lui susurre :
– Tu verras dans quelques jours, il entrera aussi bien qu’en moi…
La jeune fille répond incrédule :
– Même aussi gros ?
Ma femme répond par un rire léger. La jeune fille rougit violemment, marque un temps de pause puis demande :
– Et… aussi par le cul ? Il te la met aussi là ?
Sourire de Sophie, qui répond :
– Oui bien sûr, si ça t’intéresse. J’adore ça.
Les entendre parler de sodomie me rend fou alors que je ne peux brusquer Margaux. Je suis obligé de me retirer d’elle pour éviter de jouir et Sophie rit encore quand je m’approche, en feu. Elle se moque :
– Il semblerait que notre discussion t’ait intéressé ?
Et pour toute réponse je passe par dessus Margaux, me glisse entre les jambes de ma femme, écarte largement ses cuisses et l’embroche, la pénétrant d’un coup jusqu’au fond. Redevenant sérieuse sous mon assaut, Sophie attrape mes flancs alors que je vais furieusement en elle, lui pliant les jambes, bras glissés sous ses cuisses pour la maintenir largement ouverte. Margaux s’approche à genoux sur le matelas et sans rien dire, la regardant à peine, je la fais écarter plus largement et glisse d’un coup deux de mes doigts dans sa vagin, ce qui la surprend beaucoup. Je les pousse en elle au plus profond, caressant du pouce le clitoris. Sophie a repris l’initiative, ajusté son bassin et m’absorbe en entier. Margaux, dans un état second grâce à mes stimulations, se penche vers ma femme pour l’embrasser. Je porte mes doigts, qui un instant encore était dans le sexe de la jeune femme, à la bouche, pour goûter. La texture de sa mouille est gélatineuse, au goût presque sucrée. Je me vois la sucer au réveil des heures durant.
L’orgasme monte en moi, irrépressible. N’y tenant plus je demande :
– Margaux, je peux jouir en toi ?
La jeune fille acquiesce par un large sourire et retourne à son baiser avec Sophie. Je me positionne derrière elle, entre ses cuisses, la prenant en levrette. Lorsque je lui écarte les fesses pour viser sa chatte fendue dans laquelle je vais bientôt venir, je découvre ainsi son adorable anus rose. Je la pénètre doucement, jusqu’à mi-longueur, les mains sur ses hanches, d’un rythme lent qui me frustre beaucoup. Pour compenser je caresse du pouce avec envie son orifice à l’auréole brune, promesse de délices à venir. Margaux, occupée à lécher les seins de ma femme, abandonne un instant sa tâche et geint :
– Lucas, tu es énorme, tu me remplis déjà !
Ma queue est tendue dans sa chatte, je commence à perdre mes repères. Des spasmes réguliers de plaisir montent depuis ma verge. Sophie dont les seins sont sucés par Margaux me sourit. Et c’est alors qu’une de mes poussées me fait atteindre le fond du vagin de Margaux que je viens soudainement en elle, en la tenant par la taille. Margaux est prise de légers tremblements, la tête posée sur la poitrine de Sophie. Poussé en elle profondément, mon sexe déverse le sperme en plusieurs jets longs et généreux que je sens expulser depuis le méat au bout de mon gland. Margaux me laisse me vider en elle, le dos cambré, les yeux fermés, affalée sur la poitrine de ma femme qui lui caresse amoureusement les cheveux. Je perds tout repère durant l’intense orgasme, mes doigts marquent la peau délicate de la jeune femme que je remplis de mon épaisse semence.
Vidé, fourbu, je bascule sur le côté, observant Sophie se rapprocher de Margaux, qui s’est affalée ventre sur les draps, digérant l’orgasme que nous venons réciproquement de nous donner. Sophie se couche à son niveau et lui propose :
– Je pense que cela exciterait beaucoup Lucas que tu viennes sur le bord du lit pour me lécher tout en me mettant des doigts… Y compris pour me préparer à la sodomie que va m’administrer devant toi mon mari une fois qu’il aura récupéré.
La jeune femme ne répond pas, lascive, rassemblant ses forces. Elle oriente finalement son visage vers nous pour répondre tout bas avec une mollesse qui souligne l’effort qu’elle fournit, encore perdue dans les délices de sa jouissance :
– C’est une tâche dont je m’acquitterai avec grand plaisir.
Affalée sur le lit, épaules contre le mur, je reprends mon souffle, mon dos en sueur qui perle à grosses gouttes. Les yeux un instant fermés je digère mon bonheur. Un courant d’air frais venu du jardin s’aventure par la porte dans la chambre et apporte un brin bienvenu de fraîcheur, léchant nos corps échauffés. Et au sortir de ma torpeur momentanée, je peux admirer les deux femmes, superbes, se repositionner dans le but de s’offrir l’une à l’autre, mon esprit embrouillé comprenant avec félicité que cet été serait sans aucun doute à nul autre pareil, tant l’initiation de la belle Margaux nous inonderait d’amour et de satiété des sens, tous les trois.
FIN
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