Soulis par ma tante. Chapitre 2

Pour honorer une dette, John est obligé de se soumettre à sa riche tante. Il devient son 'homme de ménage', nu ou déguisé selon les envies de la tante. Elle va jusqu'à le louer à sa meilleure amie.

Proposée le 21/09/2022 par vstorm

Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Vers mes 40 ans, j'ai eu un pressant besoin d'argent pour rembourser une dette.
La seule personne fortunée que je connaissais était ma tante Sylvie, âgée de 73 ans.
Je pris mon courage à deux mains, et lui rendis visite.
'Tu viens enfin voir ta vieille tante à héritage ? '
L'accueil est assez sec. Par contre, elle porte une jupe en cuir et un chemisier suffisamment transparent pour laisser entrevoir son soutien 1/4 de cup, et deviner ses larges tétons. Des bottes en cuir complètent sa panoplie de parfaite salope.
Comme j'avais prévenu de ma visite, cette tenue m'est forcément destinée.
Elle m'embrasse délicatement, puis nous sert deux whiskies sur la terrasse de son penthouse.
Elle me demande des nouvelles de mon épouse, de ma fille puis en vient au fait : 'Combien ?'
10.000.
'Très bien, je vais te faire un chèque mais tu vas me signer une reconnaissance de dette accompagnée des modalités de remboursement'.
Vu ma situation, j'accepte sans hésiter mais je n'avais pas encore vu le contrat ....
'Moi, John X reconnait avoir une dette de 10.000 € envers ma tante Sylvie. Je m'engage à lui rembourser en termes de 'travaux' : Ménage, sortie à sa meilleure convenance en ce qui concerne les lieux et ma tenue. .
En cas de non satisfaction de ma tante préférée (forcément c'est la seule), la rémunération de 20€/h ne sera pas déduite de ma dette. Je m'engage aussi à faire le maximum pour encourager mon épouse Christine à plus d'intimité avec ma tante.
fait à ... , le ...
Lu et approuvé'

Bref, je deviens son esclave et la clause concernant Christine m'échappe un peu. N'ayant pas le choix, je signe. Elle range le contrat dans son soutien-gorge et du coup un bouton de plus se libère.
'Tu commences de suite, ma femme de ménage est en vacances. Déshabille- toi (ma femme de ménage travaille nue ou en tenue de soubrette) et passe l'aspirateur.'
Je me lève pour quitter la terrasse mais elle me retient. 'Non, ici devant moi et les voisins'. Heureusement, le seul vis à vis semble absent. Je m'exécute.
Je commence à comprendre.
Mais c'est quoi cette horreur ? ' désignant mes poils pubiens.
'Tu passes à la salle de bain, il y a un rasoir, je veux te voir comme à ta naissance. '
Je n'ai plus le choix et j'ose un : que va dire Christine ?
'Ce n'est pas mon problème, fait lui la surprise et j'espère qu'elle en fera autant. Dernier détail, tu m'appelles désormais maîtresse'.
Je m'exécute, trouve l'aspirateur et commence mon nouveau 'job'.
Je m'applique à bien me pencher en avant, pour le plaisir de Maitresse. tout d'un coup, une douleur fulgurante sur les fesses. Je me retourne. Maîtresse vient de m'infliger un coup de cravache sur les fesses.
'T'as oublié l'anus. retourne à la salle de bain, rase moi tout. Et n'oublies pas le plug' '
En effet, je trouve à la salle de bain un plug anal, muni d'une queue façon renard. De retour au salon, maîtresse est seins nus, elle me demande de me retourner et sa satisfaction est évidente car elle caresse ses tétons munis d'énormes piercings.
Au vu de mon regard admiratif elle me sort : 'a propos, ta prochaine mission ( 25h de travail en moins) consiste à convaincre Christine à se faire piercer les seins et à me les montrer of course. D'ailleurs, tu vas lui montrer l'exemple. Dans le cas contraire, en ce qui te concerne : 5 coups de cravache. '
Le reste de l'après-midi, elle continue à me mater. De temps en temps la cravache frôle mes zones intimes. Elle parvient mm à me faire bander. Ce qu'elle calme illico par un léger coup de cravache.
J'apprends vite à dire '"merci maîtresse" à chaque coup.
' Assez travaillé pour aujourd'hui. A la semaine prochaine, même heure. N'oublies pas de te faire percer les tétons et achète une paire de haut-talons. Et surtout apprend à marcher avec'.
Elle me tend un papier, 120€ remboursé, le .....
'Retourne à la salle de bain, rhabille toi et va-t-en directement. je ne veux plus te voir que dans les tenues décidées par moi. La semaine prochaine, la porte d'entrée sera entrouverte. Tu iras directement à la salle de bain te changer. '

Chapitre 2.
A l'heure covenue, je reviens chez ma tante. J'ai suivi les instructions. Christine était ravie, elle m'a accompagnée chez le 'pierceur', et a fait de même. Dans un petit sac de voyage, j'ai une paire de bottillon à haut-talon.
La porte est 'contre', je rentre et je me rends à la salle de bain.
J'y trouve un pantalon en cuir, ouvert devant et derrière, ainsi que le plug anal. Je les enfile, car ses désirs sont des ordres. Ainsi que les bottillons.
Je retrouve ma tante sur la terrasse et, surprise, elle n'est pas seule.
'Bonjour, neveu préféré, Je te présente ma meilleure amie Kat'. En bon larbin, je lui fait le baise main. C'est la seule idée qui m'est venue vu la situation. En effet, elles se font bronzer et sont complètement nues. Kat est vraiment pas mal, 55 ans, très bien conservée. elle mate mon sexe épilé sans aucune gène. Je remarque qu'elles ont les mêmes bijoux intimes aux lèvres vaginales.
'commence par prendre les poussières sur la terrasse, puis tu apporteras une nouvelle bouteille de champagne'.
Je me munis du matériel adéquat et je m'exécute en silence. C'est vraiment mignon cette petite queue dit Kat. 'Tu parles de laquelle?' glousse ma tante. De celle en renard, l'autre est loin d'être petite, complimente Kat.
Tu le paies combien? demande Kat. Avec stupéfaction j'entend ma tante répondre : 50 l'heure. Elle a l'esprit de famille quand même, sachant que je suis sans emploi.
Seriez-vous libre le dimanche matin, de 9 à 13h? Mon mari est au golf, nous serons tranquilles. En bon soumis je répond, si maîtresse est d'accord.
'Bien sûr mon chéri, cela te fera de l'argent de poche. Kat? j'espère que tu m'invites ces jours là afin que je puisse apprécier tes bonnes idées de dressage'.
J'étais désormais le soumis de deux maîtresses.
J'avais donc un deuxième travail.

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