Histoire Erotique

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Prise à son propre jeu pervers !

Vana, magnifique travesti de 20 ans en vacances dans le sud de la France surprend un voyeur, se masturbant en l’observant. Elle l’oblige à lui montrer son sexe, ou alors dénonce ses activités auprès des riverains. Mais ce jeu se retourne contre la nymphette au grand plaisir du vieux vicelard !

Proposée le 2/09/2022 par Zorg13

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Thème: Chantage
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Bonjour !

Voici l'histoire que Vana m'a contée avec ses mots et qu'elle veux bien partager, j'ai en fais en sorte en la retranscrivant de ne pas dénaturer son style et sa voix.

Moi c’est Vana ! J’ai 20 ans et parlerais de moi au féminin, car même si je suis un garçon, je porte en coiffure un carré long noir et suis imberbe naturellement ! Avec juste un peu de maquillage et une jupe, j’ai l’air d’une jolie Eurasienne très sexy ! Bien qu’en "civil" on me prenne aussi la plupart du temps pour une fille : je mesure 1m72 pour 55 kg.
Je vis en région parisienne, dans un deux-pièces sympa bien enluminé et travaille dans un salon d’esthétique assez branché VIP. Pendant mon temps libre, j’adore me travestir, sortir dans les boîtes branchées de Paris et fréquenter les beaux gosses bien montés ! Mais je suis quand même sélective, voire exigeante et très à cheval sur les bonnes manières, et l’hygiène !


Pour les vacances de cette année et enfin débarrassé des restrictions du Covid, avec ma copine Sandra, une magnifique et plantureuse blonde que j’avais connu au salon à l’époque où elle résidait encore dans la capitale et qui poursuivait à ce jour des études dans le domaine de la mode, on avait décidé d’échanger nos appartements pour une durée de deux semaines. J’étais vraiment excitée par l’idée de ce séjour, d’autant que Sandra vivait à présent dans le sud au sein d’un coquet studio dont j’avais vu les photos, en plein centre-ville d' Aix en Provence !
Mais… C’était trop beau ! Voici qu’au dernier moment, le proprio de mon amie imposait des travaux dans la salle de bains qui paraissait-il devenaient plus qu’urgent ! Donc, voilà comment ce beau rêve tombait à l’eau ! La pauvre Sandra mortifiée se confondait en excuses, même si je ne cessais de lui répéter que ce n’était pas de sa faute ! Alors, elle m’a suggéré de lui faire confiance et me déclarait avec conviction qu’elle trouverait quelque chose de cool pour moi, tout en assumant les frais de ce que cela coûterait !

Sandra avait tenu parole, au début du mois de juillet, voici qu’après quelques heures de train et une correspondance en bus, je me retrouvais au petit village pittoresque de M.…. Il s’agissait d’un tout petit bled de peut être un millier d’habitants, paumé au milieu de nulle part et à une trentaine de bornes d’Aix en Provence !
Le cœur de ce hameau millénaire aux ruelles étroites fleuries et propres m’apparaissait tranquille… Même un peu trop ! Comme convenu avec ma copine, c’était là, au numéro 23 de la rue piétonne Seard, que Monsieur R.…. M’attendait afin de me remettre les clefs du logement qui m’était destiner, il était en ce moment en train de me faire visiter les lieux. Ce mec était horrible ! D’environ 55 ans, grand, maigre, les cheveux rares longs et sales, il n’en perdait pas une pour me toucher le bras ou l’épaule l’air de rien, avec son sourire édenté ! Ses petits yeux foncés et vicieux au-dessus de son gros nez en bec d’aigle disaient qu’il mourait d’envie de me sauter comme un animal, sur le canapé vert du salon ! Du coup, troublé par ses fantasmes malsains, il s’embrouillait dans ses propos et devenait maladroit avec son fort accent du sud :

- Voilà, Mademoi… Pardon, jeune homme ! Hum… J’espère que vous vous plairez ici, en tout cas s’il vous faut quoique se soit, n’hésitez pas à me téléphoner !


Ouais, la bicoque semblait acceptable, 30 mètres carrés de mur de pierres en rez-de-chaussée divisés en trois pièces qui sentait un peu l’humidité et le renfermé, mais c’était frais et en contraste avec l’atroce chaleur de l’extérieur ! Cette situation glauque m’amusait ! J’ai toujours adoré allumer les morts de faim comme lui, alors innocemment j’ai fait ma petite salope ! Et en passant avec lui le chambranle de la porte de la chambre pour découvrir le chiot/salle d’eau, j’ai fait en sorte de frotter mon cul revêtu d’un jean moulant contre la bite du vilain monsieur ! Bingo ! Le saligaud s’était mis à bander sur l’instant tel un taureau de Camargue ! Comme le proprio portait un bermuda bleu assez fin il n’arrivait pas à dissimuler son érection, malgré les efforts qu’il faisait en vain pour cacher comme il le pouvait avec les mains, la bosse de son entrejambe qui révélait un sacré engin ! Cela me faisait pensait à une tente de camping dressée. Alors, en appuyant mes yeux noirs allongés aux longs cils que j’accompagnais d’un regard coquin au dessus son énorme excroissance, j’ai dit d’une voix douce et sensuelle :

- Hum… Oui, bien sûr ! J’aime bien un peu de compagnie le soir pour jouer aux cartes… Ou autres ! Il se pourrait bien que je vous appelle un de ces quatre si vous êtes Ok !

Le pauvre n’en pouvait plus ! Gêné à l’extrême, tremblant, suant et rouge écarlate, il répliquait avec peine en s’en allant avec le plus de hâte possible et plus perturbé que jamais :

- Oui, oui… Comptez sur moi… Quand vous voulez !

Je le raccompagnais, une fois qu’il avait passé le seuil de la porte cochère, je l'observais à travers la grande et unique fenêtre ouverte de mon nouveau chez-moi, cet immense type laid en claquettes se dandinait sur les pavés de la rue déserte pour rentrer chez lui au plus vite, afin de se branler comme un malade en pensant à moi ! Je riais aussi, en l’imaginant bavant devant son téléphone, désespéré d’attendre mon appel que jamais il ne recevrait !

Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, à travers la campagne sèche et jaunissante du Lubéron, je me rendais à Aix assise à l’intérieur d'un bus plein à craquer de vacanciers qui comptait parmi eux plusieurs couples de hollandais d’un certain âge. Oui, c’était une ville magnifique, riche et bourgeoise, avec ses fontaines, ses magasins de luxes et ses larges avenues majestueuses animées par une faune de touristes venus de toute la France et du monde entier, l’espèce d’un tout petit Paris de province en somme ! J’avais même repéré un policier municipal, grand, blond, costaud, dans les 30 ans, très viril avec son arme qui pendait à son ceinturon ! Sa queue devait être longue et large, j’en fantasmais en la rêvant au fond de mon joli petit boule bronzé ! Mais bon… Il patrouillait avec trois de ses collègues, le long du parking souterrain de La Rotonde et au milieu de cette foule mouvante, il ne m’avait pas du tout remarqué !
J’ai renouvelé ces visites aixoises durant trois matinées de la semaine, mais le tour en était vite fait, car il ne s’agissait pas d’une ville immense et les amis que Sandra m’avait recommandée comptaient absent à l’appel ! Mis à part Léo, un jeune guitariste paumé aux cheveux longs, rencontrer dans un petit bar situé en haut du cours Mirabeau. J’avais trouvé ce pauvre type sympa, mais sans aucun intérêt et ne désirais pas le revoir, malgré son insistance.
Résultat des courses, je n’ai pas tardé à me faire vraiment chier ! Je ne disposais pas de véhicule et le soir venu il n’y avait rien à faire dans le patelin où j’avais atterri, en plus quand les après-midi en Provence pointaient, le soleil lançait des lances de feu à brûler la peau d’un éléphant ! Donc, en suivant les conseils avisés d’une vieille voisine sympathique au visage doux et ridé, par dépit d’autres activités, je passais pas mal de temps au bord de la rivière au niveau déjà bien asséchée à cause de la canicule qui sévissait sur l’intégralité du territoire. C’était un endroit agréable et relativement frais, grâce à l’ombrage diffusé par les rangées de ces gigantesques platanes plusieurs fois centenaires. Le matin on y voyait un peu de monde, des joggers obnubilés par leurs courses et focalisés par les statistiques données par les smartphones accrochés au bras, et aussi des gens de tous âges promenant leurs chiens, l’ennuie me portait à constater que la plupart ne ramassait pas les crottes faites par leurs compagnons à quatre pattes !
Mais l’aprèm, il n’y avait presque personne, parfois il revenait un charmant couple poli et souriant d’une vingtaine d’années qui déambulait avec nonchalance en baladant un bébé installé dans une poussette bleue, puis pour mon plus grand plaisir il passait régulièrement un plutôt beau mec assez jeune aux cheveux dorés et épais. Ce joli garçon de haute taille et mince avec un visage séduisant promenait un grand chien fin et beige aux oreilles droites, du style malinois. Comme je m’emmerdais de plus en plus dans cette cambrousse perdue et que j’avais vraiment le feu au cul, j’ai sauté sur cette occasion inespérée en commençant par l’aguicher avec des œillades provocantes et langoureuses ! Lui répondait par un sourire crispé et gêné, mais voici qu’à la trois ou quatrièmes fois que je croisais son chemin, une ravissante brune aux lèvres épaisses refaites et aux yeux de biches a fait son apparition en approchant à pas sûrs et lents, en tortillant du cul de sa démarche de salope ! Elle s’est approchée du type et a commencé à le gameler d’une fougue de tigresse, en me lançant un regard furtif et hostile, comme si elle marquait son territoire en indiquant « propriété privée » ! Même si cela ne m’empêcherait pas de dormir, après cette petite déception je commençais à regretter Paris et les magnifiques apollons qui m’attendaient là-bas, en particulier Kamel un rebeu musclé et rasé à la queue mortelle !

Mais voici qu’au bout d’une semaine, ces vacances insipides prenaient une tournure tout à fait inattendu et vraiment kiffante, de surprises et de sexe !
Pour se rendre à la rivière, il fallait le longer le boulodrome où presque tous les jours une trentaine de types, des vieux pour la plupart disputaient de plaisantes parties de pétanques animées de « galéjades » cris et joyeuses disputes, hautes en couleurs et en vocabulaire cru. Avec le désir de rester discrète et d’éviter de trop me faire remarquer au village, j’avais déjà pris pour habitude de me vêtir sobrement, pantalons de toile ou bermuda de mec, avec des tee-shirts amples, en prenant soin de porter les cheveux attachés. Malgré cela, passer inaperçu devant ce ramassis d’abrutis au QI d’huître qui ne sortaient jamais de leurs trous et de plus, échauffés par l’apéro du midi tenait du miracle ! Une personne étrangère représentait un événement et une distraction, pour ces campagnards arriérés ! Alors quand j’arrivais à proximité d’eux j’évitais de les regarder, mais à chaque fois après mon passage, j’entendais dans mon dos des rires étouffés et des plaisanteries à mi-voix, dont j’imaginais bien être la cible !


Comme ce séjour à la noix me saoulait, la patience suivait et me manquait aussi ! Tout ceci commençait à me gonfler en profondeur, puis je n’avais pas l’intention de me laisser emmerder sans réagir ! Alors, le jour suivant, bien décidée à répondre à la provocation par la provocation après ces moments désagréables de railleries, durant lesquels je m’étais sentie obliger d’adopter un profil bas, j’ai revêtu mon short en jean moulant, celui qui ferait bander un mort et qui mettait en valeur mes fesses bombées avec mes belles jambes bronzées et épilées, j’ai ensuite enfilé un tee-shirt de nana court et près du corps, puis devant le miroir de la salle de bains je me maquillais légèrement en prenant tout de même soin de ne pas paraître trop pute mais en accentuant un peu sur le rimmel, pour un charme dont je détenais seule le secret. Après cela, en m’observant je me félicitais, car le tout ne paraissait pas vulgaire et je savais qu’avec cette allure mi-sage mi-nymphette, n’importe lequel des plus endurci des hétéros craquerait à coup sûr devant moi !
Vers 15 heures, je passais donc à nouveau sur le chemin du boulevard, en adoptant une démarche légère et retenue, et cette fois-ci j’osais observer les joueurs de boules d’un regard un tantinet effronté, accompagné d’un sourire ironique retenu ! Ce changement soudain d’attitude a suscité chez ces derniers une sorte d’étonnement suivi d’un silence d’une dizaine de secondes, même deux ou trois équipes avaient interrompu leurs parties ! Au beau milieu de tous ces gars, j’ai reconnu mon proprio, ce grand type laid que j’avais rencontrée à mon arrivée ici et qui devait encore attendre que je l’appelle ! Installé au comptoir de la buvette animée, il paraissait gêné et ne me regardait pas ! En toutes discrétions, avec son verre de bière à la main, le bougre quittait le tabouret sur lequel il se tenait assis, pour fuir loin de moi !
Hélas, ce moment de gloire n’a pas duré ! Tout de suite après ce petit effet de surprise, il suivait de gros éclats de rire agrémenter de sifflements impudiques et moqueurs ! De mon côté, j’affectais l’indifférence et m’éloignais de ces primates, en pensant gaiement que la majorité de ces hommes ne me charriait qu’à cause du phénomène de groupe, afin de ne pas paraître cons devant les autres et d’agir comme le troupeau, dans « les normes » ! Mais j’avais bien vu dans les lueurs de leurs yeux lubriques qu’ils rêvaient en douce de leurs queues dans ma bouche et au fond de mon cul !

J’arrivais enfin sur le petit sentier de terre longeant les berges asséchées de la rivière et comme bien souvent à cette heure-ci, c’était le désert total. Après avoir dépassé les grands platanes, je m’installais à mon coin favori. Il s’agissait d’un vieux banc de ferraille verte rouillée, envahi par les hautes herbes jaunes et cerné par la broussaille, un coin oublié ou négligé des employés municipaux. Quel dommage, car cette mini-clairière presque toujours l’ombragée et à l’abri des regards se prêtait à la perfection à des pique-niques ou à de petites réunions en plein air : j’y passais des heures entières rivée sur mon téléphone, à écouter de la musique sur You Tube ou à me mater un film de l’application Netfix. De temps en temps, je me déplaçais à trois mètres de là et allais me mouiller au mince filet d’eau fraîche qui restait de ce large ruisseau en grand péril, à cause du manque de pluie !
C’était justement à cette occasion alors que je m’aspergeais le visage et la nuque que j’ai entendu un léger bruit furtif provenant des épais buissons à la droite du banc ! J’avais peur que ce soit une bête, style un sanglier assoiffé descendu des collines environnantes ! Mais autre chose me chiffonnait, depuis deux ou trois jours, je ressentais le pur sentiment et la désagréable impression d’être épiée par intermittence ! Il fallait en avoir le cœur net ! Malgré mon appréhension, je me dirigeais à pas de loup vers le bosquet avec la tension grandissante et prête à partir en courant, selon face à quoi je me retrouverais ! Je rassemblais mon courage en respirant un bon coup et j’écartais une branche touffue d’un geste sec, pour tomber nez à nez avec un vieil homme qui finissait en hâte de remonter son bermuda !

Je reconnaissais ce vieux d’au moins 80 ans, il se joignait de temps en temps au groupe des joueurs de boules et n’était pas le dernier à rire et à me moquer quand il me voyait passer, mais à l’instant présent il ne faisait pas autant le malin qu’en compagnie de ses copains, le salaud !
Ce vieillard de taille médiocre que les autres appelaient Jules d’après mes souvenirs était gros, empâté, avec une bedaine proéminente qui dépassait de son débardeur gris d’une propreté douteuse ! La tête se voulait encore pire que le corps ! En dessous une casquette de grand-père, je voyais de près avec vives répulsions un visage gras, rougeaud, aux traits grossiers qui transpiraient à cause de la chaleur et de l’émotion, l’œil droit devait rester fermé en permanence et son nez grotesque, au-dessus d’une grosse moustache jauni par le tabac apparaissait comme une fraise géante piquetée de trous noirs ! Cet être répugnant représentait vraiment la définition de « remède contre l’amour ! »
Une fois passé l’effet de stupeur dû a ce face-à-face incongru, j’interpellais l’espion d’un ton vif et choqué :

- Mais… Qu’est-ce que vous foutez caché là, vous ?

Pas difficile de comprendre à quelles activités ce vieux cochon s’apprêtait, avant que je ne le démasque ! D’ailleurs, il apparaissait mort de honte et continuait à s’embrayer fiévreusement avec des gestes désordonnés, tout en balbutiant d’une grosse voix mal assurée accompagnée d’un accent prononcé de paysan du sud :

- Je… Je cherchais un coin pour pisser tranquille ! Mais j’ai fini, je m’en vais ! Adieu petit, je te laisse tranquille !

Le Papy dépravé commençait à s’éloigner à pas rapides, en voulant cacher l’imposant gonflement de son entrejambe, mais la belle affaire ! Il ne se tirerait pas de cet impair aussi facilement ! Je me trouvais en position de force et il fallait le reconnaître, je voulais lui faire un peu payer les fois où il s’était foutu de moi au jeu de boule ! Alors, je lui criais avec insolence et aucun filtre :

- En fait, vous étiez en train de vous astiquer le poireau en me matant ! Hein, vieux vicelard ! Je pense que ça ferait bien marrer vos potes s’ils savaient ça ! Non ?

Le bougre s’est arrêté net et paraissait effrayé tout à coup, mes paroles l’avaient comme pétrifier ! Il regardait partout de son œil unique, tellement il avait peur qu’on le surprenne ainsi dans une situation aussi compromettante avec moi ! Alors, maintenant, il suppliait :

- Non, non petit qu’est que tu vas t’imaginer ? C’est… C’est un malentendu ! Tu... Tu vas rien dire au village, hein ! ? Je te donnerais des sous ! Combien tu veux ? Je te les donne tout à l’heure ! Mais dit rien à personne !

Je gagnais ! Satisfaite, tout en gardant le silence, je jetais un regard coquin et malicieux au niveau du sexe du vieux qui n’avait pas eu le temps de débander, et réfléchissait à quoi faire à présent. Je n’étais pas vénale ni profiteuse, même si j’adorais jouer avec les gens ! Alors, je décidais une fois de plus de faire ma petite salope et d’allumer ce vieux pervers, tout en lui faisant peur en but que ça serve de leçon ! Donc, je reprenais la voix sûre et claire, en fixant ma victime dans le jaune de son œil unique :

- Laissez tomber le fric, c’est pas ça qui m’intéresse ! Je dirais rien, mais à une seule condition !

L’autre complètement décomposé demandait :

- Quoi… Qu’est que tu veux alors ?

J’annonçais le deal, avec toute simplicité :

- Montrez-moi votre bite ici et tout de suite, et on oublie tout !


Le pauvre croûton semblait avoir pris un énorme coup de massue ! Il ne savait plus où il était ! À un point tel que j’avais peur qu’il ne canne devant moi, d’un malaise cardiaque ! Les événements le dépassaient, il tremblait et répliquait avec crainte dans un souffle, en montrant mon téléphone que je tenais :

- Mais… T’es sûr que tu veux que ça ? Tu vas pas me prendre en photo avec ton truc, au moins ! ?

Je le rassurais en riant et l’entraînais vers mon endroit, en prenant sa main :

- N’ayez pas peur, c’est pas mon style ! Suivez-moi !

À présent, le vieux schnock se tenait droit devant le banc en face de moi, à deux mètres ! Il cogitait comme pas possible et ne parvenait toujours à se mettre à l’aise ! En ce qui me concernait, je passais un cap aussi, car même en ayant abusé de la patience de pas mal de mâles, jamais je ne m’étais projeté aussi loin dans la provocation, néanmoins je ne le montrais rien à cet imbécile et simulais même l’impatience, en ne le lâchant pas des yeux :

- Alors ? On va pas y passer la nuit ! Allez-y, montrez-moi votre queue ou je raconte tout et en plus je dis que vous avez essayé de me violer !

Le papy se sentant pris au piège hésitait encore et laissait passer une dizaine de secondes, avant de se décider ! Puis ne pouvant plus se dérober davantage, il a enfin capitulé en baissant son bermuda et son slip tout pourri jusqu’aux genoux ! C’était à ce moment précis que tout devenait irrationnel et que je me laissais prendre à mon propre jeu ! Car je découvrais la plus grosse et longue teub qu’il m’avait été donné de voir, jusqu’à cet instant ! Ce gros dégueulasse tout décrépi et visqueux possédait le trésor d’être équipée par la nature d’une véritable trique d’âne, toute violacée et agrémenté de veines saillantes ! À vu de nez comme ça, je l’estimais à plus de 25 cm de longueur, avec le diamètre d’un carton de papier toilette !
Je m’en retrouvais toute désabusée, car l’idée première de ce qui partait pour rester une petite blague, était de faire baisser le froc du vieux et de me foutre de sa gueule, pour ensuite le laisser en plan la quéquette à l’air… Rien de plus ! Mais voici que je me surprenais à m’approcher de lui jusqu’à presque le coller, puis sans réfléchir, de la main droite j’ai saisi son énorme queue dure comme de la pierre et j’ai commencé à la branler d’un rythme modéré et régulier. Je n’en revenais pas qu’on puisse être aussi en forme à cet âge avancé ! À croire que ce vieux salaud prenait du viagra, car il bandait comme un cerf !
Au début, Monsieur Jules restait immobile comme une statue, tant il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait ! Mais ça n’a pas duré, très vite il a commencé à me peloter le cul de ses grosses mains fermes et vicieuses, j’ajouterais qu’il ne manquait pas de stimulation, car tout en continuant à le masturber je m’étais mise à le gameler comme une folle ! Rien ne tenait plus à la normale, moi d’habitude si difficile et sélective, voici que je m’offrais comme une putain à ce vieux croulant tout moisi ! Ce péquenot rustre et frustre sentait l’aï, la sueur et le pastis, et pourtant au lieu que ça ne me dégoûte le contraire se produisait, ça m’excitait au point que ma raie mouillait comme une fontaine ! Puis, tout à coup je me suis senti serré avec brutalité, j’ai cru une seconde que pépé allait me prendre de force ! Mais c’était juste son cerveau qui lâchait, il m’avait attrapé par les hanches et s’était mis à frotter son sexe contre mes fesses tel un animal ! Comme le satyre perdait tout contrôle de lui et que je craignais qu’il ne me fasse mal, je l’ai repoussé doucement en lui murmurant la voix douce et suave :

- Doucement, doucement, Monsieur Jules ! Calmez-vous ! Je vais encore vous faire beaucoup de bien, mais il faut que vous me laissiez faire !

Cette promesse avait calmé l’ardeur animale de ce bourrin trempé de sueur et puant plus que jamais ! Afin de le combler, j’ai sorti une serviette-éponge de mon sac à dos, je l’ai pliée, installée au sol aux pieds de Jules et me suis mise à genoux devant lui. Je trépignais d’avoir cet énorme manche en bouche, son gland était aussi gros qu’une balle de ping-pong ! Mais il fallait commencer par le nettoyer, alors j’ai passé ma langue à l’espace précis situé entre le gland et la verge, pour enlever les dépôts blancs au goût de pisse et de fromage de chèvre qui fermentaient là, depuis je ne sais quand ! Avant cette opération m’aurait fait vomir, mais à cet instant, je ne me délectais à déguster et respirer la saveur et l’odeur forte du mâle dominant ! Ensuite, j’ai commencé à le sucer doucement puis avec plus de volupté et de plus en plus vite autant que je pouvais en prendre au fond de ma gorge, je m’en décollais la luette ! L’ancêtre, lui se trouvait parmi les anges et grognait de temps en temps, en caressant fort ma tête :

- Oh fachedecon que c’est bon ! Ne t’arrête surtout pas !

Je le pompais comme ça depuis un petit moment, mais le vieux tardait à jouir et je commençais à avoir mal à la mâchoire, à force de me démener sur cette teub au gabarit exceptionnel ! Mais soudain, mon vieil amant m’a redressée avec fermeté par les cheveux et m’a ordonné d’un ton catégorique, prononcé d’une voix étrange et rude :

- Allez met toi à poil vite ! Je vais te mettre le vier bien profond dans le cul !

Le vieux pervers recommençait à péter les plombs ! Il transpirait tout ce qu’il pouvait, haletait et son œil exorbité n’avait plus rien d’humain ! C’était devenu une bête… Et j’y avais bien contribué ! De mon côté, je n’avais pas du tout envisagé d’en arriver jusque-là ! J’espérais conclure ces ébats en vidant Monsieur Jules dans ma bouche ! Je lui faisais part de mon avis :

- Mais… C’est pas l’endroit, on pourrait nous surprendre, les gens recommencent à sortir à cette heure !

Le vieux saligaud en rut et désinhibé montrait son mécontentement et répliquait :

- Espèce de petit con ! Ne me fais pas ça, j’en peux plus ! De toute façon il y a personne et toi t’es jeune, t’entendra si quelqu’un arrive ! Et puis salope et bordille comme t’es, me dit pas que t' as pas envie que je t’encule ! ?

Il fallait que je sois prudente, Jules assoiffé de sexe devenait agressif et insultant ! Mais je ne pouvais pas le blâmer, car même si lui tenait le rôle du premier fautif, c’était bel et bien moi qui avais provoqué cette situation, et maintenant il me fallait assumer je perdais à ce jeu pervers, en lequel je m’étais perdue ! En plus, à voir dans l’état bestial dans lequel je l’avais mis, j’étais certaine qu’en cas de refus de ma part il me violerait et me violenterait ! Non merci ! Je ne désirais vraiment pas entrer dans le genre d’histoire, police, tribunal etc. Puis le vieillard avait vu juste, au fond de moi je mourrais d’envie de sentir son énorme bite exploser dans mon cul ! Même si en regardant cet engin, j’avais peur qu’il ne me provoque un déchirement rectal ! Je réfléchissais à comment m’en sortir, puis en souriant au patriarche, je proposais en toute sincérité :

- D’accord Monsieur Jules, on va le faire ! Et c’est vrai que j’ai très envie de vous aussi ! Par contre, il faut que vous promettiez de me laisser faire à ma manière et que vous ne me fassiez pas de mal, OK pour vous ?


Ce consentement portait ses fruits et apaisait le vieux, toujours en méga érection ! Je jetais un furtif coup d’œil derrière les buissons pour vérifier que l’on soit toujours absolument seul, puis j’ai retiré mon tee-shirt moulant et mon short, pour me retrouver en string blanc devant le gros vicelard tout bavant qui voyant mon corps bronzé et parfait de nana, sans néanmoins les seins, a cédé à la tentation de se jeter sur moi ! Il me collait contre son vieux cuir et recommençait à se frotter en me léchant le visage et le cou, tout en grognant comme un sanglier ! Avant qu’il ne me viole, je le rappelais à ses promesses en riant !
L’animal m’accordait un bref répit, mais à sa respiration saccadée je savais que ça ne durerait pas ! Alors, je me suis dépêché de sortir de mon sac, le flacon d’huile solaire acheter la veille et qui servirait à cette occasion de lubrifiant ! Avant que l’autre ne redevienne fou, je le prévenais avec un reste de fermeté timide et de solennité incertaine :

- Vous allez vraiment vous éclater la queue en m’enculant et moi aussi je vais kiffer ! Je vous demande juste de rester zen et d’être patient quelques minutes ! Mais là, je vous préviens, si jamais vous pétez encore les câbles, je me casse en courant et vous aurez qu’à vous finir à la main ! On fait comme ça, ou pas ?

Lui, agacé et dépassé par mon vocabulaire juns répliquait, avec la peur que je n’échappe à ses grosses griffes de prédateur :

- Bon, bon, d’accord petit t’en va pas ! J’attends ! Mais va vite, j’en peux plus !

J’approchais du fauve l’index sur la bouche afin qu’il reste gérable et à nouveau à genoux devant lui, j’enduisais en intégralité d’huile son phallus devenu gigantesque et tout violet ! Ensuite, après avoir lubrifié ma chatte anale, j’expliquais à Jules comment me fister. Malgré son intelligence limitée, ça, il comprenait vite ! Au bout d’une minute, il avait déjà introduit quatre de ses doigts boudinés dans mon cul et ça frétillait avec ce va-et-vient délicieux ! Quand enfin je me sentais psychologiquement et physiquement prête à accueillir cette queue de dinosaure en moi, je m’appuyais contre le dossier du banc, en offrant ma croupe cambrée au vieil obsédé sexuel ! Tout de suite et toujours avec sa délicatesse habituelle, le vieux à tenter de me défoncer d’entrée ! Il s’est précipité derrière moi, à fait remonter son gros ventre gélatineux jusqu’au-dessus de mes fesses et tentait de me pénétrer par de petits asseaux instinctifs. Mais comme il était plus petit que moi, son engin ne parvenait pas à s’ajuster à mon trou : la position levrette droite n’était pas la mieux adaptée, pour réaliser l’accouplement ! En plus, au bout de quelques essais comme ça en vain, il recommençait à s’énerver et cela n’arrangeait pas les choses ! Bref… Ça ne fonctionnait pas ! Il fallait procéder autrement !
Comme côté sexe, je tenais à coup sûr plus d’expérience que ce paysan âgé qui n’avait dû baiser plus d’une femme ou deux dans sa vie, au vu de son aspect repoussant, je lui ai suggéré de s’asseoir sur le banc et de me laisser faire. Puis l’anus ainsi bien travaillé et dilaté, je me plaçais à califourchon sur lui en dirigeant l’incroyable verge en direction de ma chatte anale ! Pour ne pas que cette queue ne m’explose les organes, je la laissais glisser lentement en moi et tout en m’empalant en douceur sur mon queutard, je lui faisais des langues bien profondes et cochonnes ! C’était l’extase, le vieux m’avait enfoncé sa pine d’un autre monde jusqu’aux couilles ! Je la sentais bien loin dans mon ventre, à un point tel que j’avais l’impression qu’elle ressortirait par la bouche ! Il me tenait fermement par les hanches de ses grosses mains et me faisait sauté sur lui, en me ramonant sans ménagement, comme une pute de bas étage : moi qui avais l’habitude qu’on me traite comme une princesse, avec égard et respect, j’étais devenue la chienne de ce vieux vicelard et j’adorais ça ! Cet être abject d’une mocheté extrême avait éveillé des désirs inavoués en moi, jamais même avec le plus beau gosse je m’étais donnée comme ça, je le ressentais en ce moment comme mon maître qui pouvait tout exiger de moi, alors que personne n’avait jamais eu le dessus dans une relation quelle qu’elle soit, au contraire j’ai toujours fait souffrir et là, tout chamboulait !
Le vieux me baisait encore et encore, mais toujours pareil : j’avais eu le temps de jouir trois fois qu’il ne venait toujours pas ! Et au bout d’un moment, le cul me brûlait tellement que je me suis retirée de son gros sexe, en pensant que Jules avait réellement pris un stimulant, car je le voyais crevé et pourtant il bandait plus dur que jamais, en trouvant quand même la force de répliquer :

- Pourquoi tu te retires comme ça ?

Exténuée, je m’avouais vaincu :

- J’en peu plus ! J’ai le cul en compote, je vais vous reprendre en bouche pour terminer !

Le vigoureux vieillard ne protestait pas ! Alors ainsi le boule explosé, mais avec la mâchoire moins douloureuse, je me suis à nouveau mise à genoux devant le vieux mâle en rut pour le finir en le suçant encore une fois, espérant bien qu’il jouirait à son tour !
Je pompais ce dard infatigable depuis deux ou trois minutes, mais j’en avais assez et mes mandibules redevenaient lancinantes ! Quand enfin, j’ai senti ce gros porc se raidir et levé son œil au ciel ! Il fallait profiter de cette occasion ! Alors, j’ai appuyé le bout de mes doigts en incrustant mes ongles sur ses cuisses grasses et flasques, ce qui a soudain déclenché un impressionnant jet de foutre chaud et épais, si attendu dans ma bouche ! Il avait de sacrée réserve en stock le salaud, sûrement dû à une longue abstinence ! J’avalais avec avidité le jus qui giclait des couilles de Monsieur Jules, mais il en sortait encore ! Alors, je me suis mise à branler cette pine intarissable et terminais en m’inondant le visage et le torse, en fixant l’œil de ce vieux mentor du moment d’un regard intense de salope soumise ! Puis, avec mes mains, j’étalais ce sperme gluant en concluant ainsi ces ébats sordides !

Le lendemain qui suivait cette exceptionnelle partie de baise intense avec le gros vicelard, je n’étais pas sortie de l’appartement, tant mon cul cassé m’empêchait de marcher droit ! Je me sentais démontée de l’anus à la bouche, avec en prime des hématomes sur les bras et les hanches faites par les mains puissantes de Monsieur Jules, quand il me tringlait comme une vulgaire putain ! Mais je ne regrettais rien, au contraire, jamais je n’avais pris autant mon pied ! Aussi durant la semaine qui restait de mon séjour ici, j’ai revu à plusieurs reprises mon vieil amant rustique et connaissais à présent, le secret de son ardeur malgré son âge ! Mais de cela, j’en parlerais dans un autre volet !

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Vivement la suite, c'est trop bandant !
Posté le 15/11/2022

Anonyme
J'ai tellement adoré cette histoire.. ça m'a tellement excité
Posté le 9/11/2022

Anonyme
J'ai tellement adoré cette histoire.. ça m'a tellement excité
Posté le 9/11/2022


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