Suite de l'histoire vraie d'une amie, amante, amoureuse... Volcanique. Pauline était libre mais pas moi. Grâce à elle j'ai reconstruit ma sexualité. Ce récit est le récit d'une vie (ou presque).
Proposée le 9/07/2022 par Ivannormal
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Je me réveille… seul… La lumière émanent des persiennes ne me permet pas de savoir l’heure. Je ne travaille pas alors je prend mon temps. Je ne veux pas savoir l’heure qu’il est, ni le temps qu’il fait, ni rien. L’instant présent me suffit… Jusqu’à ce que le cerveau se réveille… et ressasse. Ce que mon cerveau a retenu de cette nuit de bien, de beau, il a dû me le servir en rêve mais maintenant que je suis réveillé, il me rend tout ce que je veux ignorer… en vain.
Je suis infidèle. Coupable car avant de l’être, je fantasmais de l’être. Une chose essentielle me retenais : j’avais toujours éprouvé moins de désir pour une fille que le désir d’être infidèle… ouai c’est pas simple… En gros, j’éprouve aujourd’hui du désir, immense désir pour Pauline, j’avais envie d’elle et que d’elle, je ne pensais à rien d’autre qu’elle. C’est l’évidente conclusion de ce dérapage. Problème : ça ne peut dans ces conditions être considéré comme un accident, c’est un acte consenti, et de surcroit qui sera amené à se reproduire… M gni h grrg borde… fais ch… chut… tranquille… là… respire… Il me faut un verre d’eau, une douche, un peu de sport, un bon film. Day off / été / soleil / fare niente. Profite mon Vanvan… oui parce que je m’appelle Vanvan dans l’intimité quand je parle à mon double imaginaire… OOOkkk on passe à la suite…
Pauline entre dans la chambre. Une pile électrique, une grosse dose de bonne humeur et surtout comme je ne vais pas tarder à le découvrir, une absence totale de langue de bois. Ah et la tenue ? Un t-shirt de mec (pas le mien) et une petite culotte bleue. « ça va beau gosse ? » grand sourire, ses seins sous le t-shirt…
Elle : Bien dormi ?
Moi : Très bien et toi ?
Elle : Oh oui, c’était trop bien… mais trop court
Je prend connaissance de l’heure, il est vraiment trop tôt… bref. Pauline s’allonge sur moi…
Elle : « Ouh… grande forme matinale… c’est pas pour me déplaire » rire… j’ai envie d’elle, je passe mes mains autour de sa taille.
Moi : « Chris ? »
Elle : « Ils sont dans la piscine, il fait beau, ils profitent, ça te dit ? »
Moi : « La piscine ? … Oui bien sûr »
Elle : "Tu veux que je te débarrasse de ça ? " Elle pose sa main sur mon sexe, seul le drap nous sépare elle et moi… puis elle s’allonge à mes côtés. Et entame la conversation. « Ok, discutons. Qu’est-ce que Chris t’a dit sur moi ? »
Moi : « Rien de spécial » feignant ne pas savoir de quoi elle parle…
Elle (tout sourire) : « ok » Elle lèche sa main goulument, la passe sous le drap et m’attrape le sexe, pris en flagrant délit d’excitation soutenue… « Je reprend, qu’est-ce qu’il t’as dit sur moi ? » Elle soupire en sentant mon sexe gonfler entre ses doigts…
Moi (sans concession comme souvent quand j’ai le sexe serré entre les doigts d’une fée…) : « Que tu étais bonne… qu’il aimait tes gros seins… qu’il t’a prise en levrette et étouffé tes cris en mettant ses doigts dans ta bouche… » Ces mots l’ont fortement excité, tandis que ces mouvements sur moi s’amplifiait au fur et à mesure que je prononçais cette phrase, elle entamait des mouvements dont la nature est différente mais qui poursuivent les mêmes objectifs… J’aime resté vague… comme le mouvement de ses mains… M’entendre parler (ou à travers moi entendre Chris parler) et de surcroit parler d’elle en des termes qui ne sont pas les miens, crus donc, mais de les prononcer m’excite énormément aussi, et je me prête au jeu…
Elle : « il t’a dit comment il avait jouit ? »
Moi (timidement) : « Oui… »
Elle : « Comment ? »
Moi : « Dans ta bouche… »
Elle : « Et… »
Moi : « … que tu avais avalé »
Elle : « hummm, et… est-ce qu’il t’as dis… que j’avais deux doigts en moi quand il l’a fait… parce que ça m’a rendu folle d’excitation ? » A ce moment, j’entendait les battements de ma queue se faire masturbé par cette fille sublime et que je découvrais totalement délurée… mais aussi le bruit de sa fente qu’elle astiquait frénétiquement… Je me laissais faire car c’était trop bon, trop beau.
Moi : « Non il ne l’a pas mentionné… »
Elle (riante) : « … parce qu’il était trop occupé à déverser son sperme… »
Elle n’a jamais finis sa phrase… Je lui ai attrapé les cheveux pour la guider vers mon membre qu’elle a tout de suite gober… J’ai posé ma main sur la sienne, celle qui me branlait depuis un moment pour accompagner son mouvement… Je sens encore l’humidité de ses lèvres se poser sur mon gland puis manger avec appétit l’objet de son désir et le témoin de ma passion naissante pour cette petite effrontée… C’est un peu ringard comme mot mais qu’importe… Je ne tarde pas à lui donner ce qu’elle veut, une main sur sa main sur mon sexe, une autre dans les cheveux, et à l’autre ouverture du t-shirt, une autre main s’affole sous le tissus probablement trempé qui lui couvre (mal) ses attributs intimes… J’explose… je gémis… je rend pour la première fois mon sperme dans la bouche d’une autre… que dis-je… dans une bouche… tout court… C’est l’été des premières (et c’est pas terminé…).
Pauline de nouveau tout sur moi, son visage près du mien, sperme en bouche, un petit effort et pfiou… disparu les graines de papa… Et puis ses lèvres qui s’écrasent contre les miennes… Elle a mon goût… et loin de me dégouter ça m’excite…
Je pose mes mains partout où il est possible de les poser sur ce corps de rêve… Je la retourne dans le lit, je l’embrasse, je la chérie… On ne m’a jamais fait jouir comme cela. Elle est toute joyeuse… Après le câlin post-pipe du matin… j’aurais pu rester au lit et lui faire l’amour encore quelques heures durant, possiblement, mais des réminiscences du gars sérieux que j’étais me poussent à me lever et affronter la belle journée qui s’annonce.
Je vais à la douche. Une douche froide pour bien me réveiller et me ragaillardir de mes cochonneries. Puis plouf dans la piscine, rejoignant Chris et Agathe sans visiblement réconciliés. Moi je fais le coq si bien qu’il est difficile de cacher aux autres ce qui s’est passé… Enfin Agathe s’en moque bien mais Chris… c’est autre chose. Le flirt a continué pendant la semaine avant l’arrivée d’Agathe et ni Pauline ni Chris n’a semblé se soucier de le cacher aux autres. Pour l’instant, je ne me soucie pas de ça. Je ne sais même pas si Pauline et moi allons continuer à batifoler (ringard aussi… j’avoue).
Et Pauline débarque, bikini ultra sexy comme hier (mais un autre), petits pas de courses, bons de seins, plouf, les yeux des bonhommes hagards, les yeux d’Agathe fou de jalousie. Elle est pourtant très belle cette fille, « bien foutue » je me dis. Mais ce n’est pas là le problème. Elle se lève et part se rhabiller d’un air plus qu’énervé. Chris se tourne vers Pauline.
Chris : « A quoi tu joues ? »
Pauline : « Comment ça ? »
Chris : « Arrête ! » haussant le ton soudainement…
Pauline baisse les yeux et a déjà perdu la lueur joyeuse qu’elle avait dans les yeux. Elle se sens coupable… Elle se sait coupable. Chris quitte à son tour les lieux. Il est peu avant midi. Nous sommes seuls maintenant, discutant au bord de la piscine.
Elle sait que le jeu auquel elle jouait était puéril, la compétition entre femmes, Agathe de 6 ans son ainée… Et maintenant Pauline éprouve l’envie de rester seule. Je la comprend, je ne m’oppose en rien à ses souhaits. Je rentre.
Je me sens… bien… mitigé… triste car cette journée s’annonçait… grandiose. J’ai la sensation d’avoir été l’objet de « vengeance » ou sinon de cette concurrence entre fille… enfin je ne sais pas trop. Et bien sûr, j’ai été infidèle. Au cœur de mes pensées je cherche un moyen de ne pas porter ce fardeau qui à ce moment me pèse. Céline m’a offert ce carnet bleu, je vais baptisé ces pages pour m’apaiser et garder au fond de moi ce qui semble être un mensonge gros comme une montagne. Oui ! C’est pas rien. J’étais assez sensible.
Certains d’entre vous doivent penser que j’exagère, d’autres que je mérite bien ça. Précisons donc. Je pense comme à l’époque que tromper c’est « mal », oui c’est le mot. Et comme à l’époque, je trouve que le mensonge est la meilleurs solution. Prendre sur soi comme un adulte qui a eu une faiblesse d’adulte. Mais ce à quoi j’avais goûté dans les 24 heures que je venaient de vivre… J’en voulais encore…
Pauline m’appelle, rendez-vous 19h à la plage. J’avais hâte…
J’ai passé l’après-midi à rêvasser, notant les choses sur mon carnet tout neuf pour ne pas oublier, écrivant pour revivre ce qui s’était passé. Je sais que Pauline avait besoin de réfléchir et le fruit de sa réflexion restait obscure jusqu’à notre conversation du soir.
Elle m’attend sur la plage, un peu à l’écart même s’il y a beaucoup de monde à cette heure. Elle porte une jupe à fleur, une veste en jean et un haut blanc que j’aurais du mal à décrire mais qui, et c’est le plus important, donne un relief saisissant à sa poitrine. A ce moment, plus rien dans sa beauté ne me paraît vulgaire, ou que sais-je, je trouve son corps très beau, je la trouve très belle. Je m’assois à côté d’elle.
Pauline tout sourire… soulagement. Elle parle. Voici un résumé de ce qu’elle m’a dit (je ne me souvient pas de tout le détail mais en gros) : « Je sors toujours avec des mecs maqués et du coup tout le monde pense que je suis une salope. Cette conne d’Agathe qui prend son mec pour un objet, pas étonnant qu’il aille voir ailleurs. Un jour je me trouverai un mec tout mignon, je me marierai avec, rangée, deux enfants, une maison. Mais là j’ai envie de m’amuser, j’ai le droit non ? »
Évidemment qu’elle a le droit, et ce n’est pas à elle de culpabiliser. Après tout, elle est libre et ne fait de mal à personne. Tandis que j’évalue l’empathie que je porte à Pauline, je me rend compte que je n’éprouve (plus) aucune jalousie, aucun sentiment d’appartenance ni de possession. Avec ma petite amie oui, mais pas avec Pauline. Ça semble logique mais ça ne l’ai vraiment pas. Je me dis « j’adore cette fille, je la désire certes mais c’est aussi une amie ou du moins nous connectons et c’est une amitié naissante ». Deux sentiments (le désir et l’amitié) qui se rejoignent là où je ne pensais pas qu’il était possible de se rejoindre. J’ai toujours penser, en amitié, tu ne désires pas. Et c’est comme ça que je m’étais préparé à ce que rien ne se passe ce soir là… Naïf que j’étais.
Je lui répond donc : « Tu n’as rien à te reprocher sur ton attitude, si ce n’est, la prochaine fois, reste loin des copines de tes amants. »
Elle : « Ta copine va venir te voir je suppose ? »
Moi : « C’est prévu oui »
Elle : « Et il se passera quoi ? »
Moi : « Rien je suppose, j’éviterai de me retrouver dans la situation dans laquelle s’est retrouvé Chris hier et ce matin »
Un temps de silence…
Elle : « Pourquoi moi et pas Julie ? »
Pourquoi j’ai craqué avec elle et pas avec Julie ? Bonne question…
Moi : « Je sais pas, ça s’est pas passé pareil… »
Je vois qu’elle ne prend pas mes mots pour argent comptant et je crois qu’elle a raison. Je la désire tout simplement plus que Julie voilà tout. Mais je me refuse de le lui dire, elle s’en rendra compte toute seule si ce n’est déjà le cas. Et je la soupçonne d’en tirer une satisfaction d’ailleurs…
Elle : « Ecoute, je vais être claire. Ce qui s’est passé, ça va recommencer, j’en ai envie, t’en as envie, bon. Mais sache que je reste libre, et d’ailleurs tu l’es aussi… ok ? »
Moi (sans réfléchir) : « Ok »
Sourire.
Elle : « Si tu es ok alors suis-moi ».
Je m’exécute.
Elle me conduit à une voiture, la sienne ? je ne pose aucune question. Elle se met au volant, je suis le passager. Nous sortons de la zone urbaine. « Je t’emmène dans un coin secret ». Elle nous a conduit sur un sentier en forêt un peu sombre, une petite piste peu fréquentée à quelques km de la ville. Le soleil couchant traverse la cime des arbres pour nous donner un tissu de lumière et d’ombre à couper le souffle. Il n’y a personne aux alentours, nous sommes assis sur le capot. Je ne fais rien, elle s’en agace…
Elle : « il faut que je te dise… »
Elle se lève se met face à moi, m’embrasse du bout des lèvres sur les miennes, agrippe la fermeture de mon pantalon pour le déboutonner… et reprend en me regardant droit dans les yeux…
« J’adore sucer… »
Interloqué d’abord, je me dis que j’avais remarqué mais je le garde pour moi…
Elle a sorti mon sexe et est allé tellement vite que je n’ai pas eu le temps de bander… J’ai un peu honte de présenter une verge molle au regard de cette bombe sexuelle mais elle ne se dégonfle pas… Et elle plonge mon sexe frileux dans sa bouche humide et chaude. Je pose mes mains sur le capot derrière moi et je la regarde s’affairer comme une déesse. Elle opte pour une position jambes tendues, penchée en avant sur mon entre jambe et me laisse le loisir de voir son cul bombé. Langue contre gland, main sur mes couilles et me branlant un peu, vu sur sa croupe… Je monte en pression sanguine… Les forces me quittent et je me laisse aller savourant cette pipe qui m’amène une puissante érection. Ma queue pousse dans sa bouche et elle semble apprécier.
L’air est frais, la lumière est sublime, un courant de plaisir me traverse de part en part, je prend de grandes inspirations, je ne me suis jamais sentis aussi relaxé… Pauline travaille désormais au corps. Mon érection est vive maintenant et elle doit s’affairer en de larges vas et viens sur mon sexe usant de ses épaules, de son cou, de tout son corps… C’est pourquoi elle éprouve le besoin de faire une pause.
Elle se redresse, ne lâche pas l’emprise de sa main sur ma verge, ni le mouvement d’aller et retour. Elle me sourit et nous nous embrassons, je pose alors les mains sur ses fesses. Elle rentre son visage dans mon épaule, je lui embrasse le cou et elle continue de me masturber. Je lui tiens les fesses pour la maintenir contre moi… Mais son mouvement est en train de me rendre animal et de caresses en étreinte, j’ai soulevé sa jupe fleurie. Je descend du capot et je passe derrière elle. Je soulève sa jupe en fleur, elle porte un string rouge, j’écarte l’élastique brulant et trempée, elle tend sa croupe, je tend mon bout tout dur, j’arme. Et sous sa jupe en fleur, je pose mon gland entre ses pétales de chair. Le contact me provoque des râles de plaisir, comme à elle. Mains sur chacune de ses fesses rondes, j’avance mon bassin et me projette à l’intérieur…
Elle a les deux mains sur le capot et reste redressée, offrant simplement sa courbe à ma besogne… je réalise que je réalise un fantasme, prendre une fille en levrette sur un capot de voiture. Fantasme commun, métaphore sexuelle oblige de la courbe, de la puissance, de l’acte sexuel. Comme j’y pense mes coups deviennent puissant et cette petite Pauline n’a plus les forces de maintenir son poids bras tendus contre le capot. Elle se penche petit à petit vers la carrosserie et je pose ma main entre ses épaules pour qu’elle épouse de son torse sublime, la courbe de sa voiture. Je veux qu’elle se sente confinée entre mon étreinte et la taule… Puis pour la chevaucher encore, je lui attrape les cheveux, tire sa tête en arrière, elle crie, je crie, je jouis en elle…
Un instant sur elle pour reprendre mon souffle, je réalise qu’elle éprouve sans nul doute le même besoin… Je m’écarte.
J’apprends à ne pas trop me poser de question quand il s’agit de sexe, mais je suis encore jeune à ce moment et je me demande si ça lui a plu, si je ne lui ai pas fait mal etc… Mais elle se redresse toute pimpante, sourire, elle m’enlace, elle me susurre à l’oreille alors que j’ai toujours la bite à l’air et qu’elle ne manque pas d’attraper pour m’extirper mes dernière goûte de semence… « merci ».
Ma joie est à son comble, je vis le fantasme qui me gonfle d’orgueil… Je me sens « mâle », animal, primate… je m’abandonne en fait. Et c’est exactement l’effet qu’elle fait aux hommes. Elle remonte dans la voiture et une fois rajusté, je la rejoint au siège passager. Nous quittons la piste alors que le soleil coule derrière l’horizon.
Elle : « On va chez moi »
Et non ce n’est pas une question.
Elle (comme elle me cerne à la perfection) : « C’est l’été de tes premières fois ? »
Moi : « Ça se voit tant que ça ? »
Elle : « Oui »
Je me sens plus humble d’un coup.
Moi : « Et toi il te reste encore des premières fois ? »
Elle : « Bien sûr ! (sans transition) Tu te branles souvent ? »
Moi : « Euh »
Elle : « Allez, tu peux me dire, je veux dire malgré ta nana, tu te branles ? tu mates des films cochons ? »
J’ai l’impression d’être dans un traquenard… Mais dans ce genre de situation, il faut être honnête… même si ça me fait honte (à l’époque).
Moi : « ça m’arrive oui »
Elle : « Ça veut dire que madame ne comble pas tous tes désirs ? (je reste sans réponse) Pardon, c’est pas mes oignons… Alors qu’est-ce qui te fait fantasmer ? »
Moi : « je sais pas… »
Elle : « Mais si tu sais, le truc que tu vois faire dans ces films et où tu te dis, je lui ferai bien la même chose à cette salope ? »
Des centaines de choses me viennent à l’esprit et aussi décontenancé que je suis, cette conversation m’excite énormément…
Elle : « Ivan… Je me suis touché la chatte devant toi hier, j’ai avalé ton sperme ce matin. Tu crois que je te juge ? Et tu viens de me prendre sauvagement sur le capot d’une voiture… »
Un instant…
Moi : « Éjaculer… dehors… »
Elle : « Éjaculer sur mon corps ça te plairait ? »
Moi : « …Beaucoup… »
Elle : " Tu seras exhaussé ce soir… heureux ?"
Elle continue de regarder soigneusement la route mais moi je regarde sa gorge et j’imagine des choses…
Elle : « Moi j’aimerai bien me faire prendre par deux mecs… c’est ça que je recherche quand je regarde du porno… »
Moi : « Je suis désolé, j’ai qu’une bite… » Elle rit aux éclats…
Je suis très fier de cette blague… non mais faut voir le contexte…
Nous arrivons chez elle. Toujours personne dans cette grande maison… Elle me dit de me mettre à l’aise… Je m’attable dans la cuisine. La lumière est allumée, Pauline est devant moi et retire tous ses vêtements. Elle est nue dans la lumière. Je la contemple pour la première fois sous cette angle. Le pli des seins, la ligne de son ventre, le duvet presque roux sur son pubis et sa petite chatte qui semble gonflée, elle pose une main entre ses cuisses, son bracelet argenté accompagne son mouvement…
Elle : « Ça va être ton moment mon grand »
Je me lève, elle s’installe sur la table de la cuisine en pleine lumière. Je retire mes fringues, je me branle devant elle pour me donner de la vigueur mais c’est inutile, je suis dur et dressé comme un piquet… Elle écarte les cuisses, un pieds sur la table, l’autre sur une chaise… Sa main quitte son sexe, elle lève le petit doigt et le pli deux fois… le message est clair : « viens ici »
J’approche, sexe tendu, je pli les genoux, et je retourne où j’étais il y a quelques instants. Elle pose délicatement ses mains autours de mes épaules et me regarde en souriant… Je n’oublierai jamais ce regard… Je me jette en elle, entre ses cuisses, elle jouit d’une voix aigüe. Je jette un œil et regarde mon sexe la pénétrer vaillamment, comme ses lèvres épousent le contour de mon membre, comme il lui écarte l’entre-cuisse, je savoure le frisson que provoque nos frottements mutuels… Nous communions.
Nos peaux se nappent de sueur, elles deviennent brillantes, je vois sa sueur perler entre ses seins, je m’amuse à la bourrer violemment pour faire rebondir ses formes. Puis elle se retourne et pose ses coudes sur la table, penchée en avant, le cul présentable, les genoux légèrement pliés. Me revoilà derrière elle, mon pieux battant la mesure dans sa chatte bouillante et son cul vibrant de mes assauts… Sueur perlant cette fois entre ses fesses et que vois-je ? son petit anus tout serré… En voilà un autre de fantasme… mais ce ne sera pas pour cette fois…
Je sens que ça monte… je sens que je ne vais plus tenir longtemps à besogner cette blonde généreusement pourvue par le nature. Je n’ai pas peur de demander mon dû…
Moi : « J’ai envie de jouir Pauline »
Elle : « Mmmmmm… ça va être bon ça… Tu as choisis ? »
Moi : « Comme tu sens… »
Elle sourit, se retourne, me caresse le torse et un peu le sexe qui pointe durement, il vibre comme une flèche plantée dans le bas ventre…
Elle : « Ouuuhh… tu es à point… Suis-moi »
Et encore je m’exécute… On se croirait dans un film X. Elle aime visiblement jouer des rôles et là elle prend une voix douce et très sensuelle pour me parler. Nous sortons rejoignons la piscine… Un air frais fort agréable pour effleurer nos peaux humides… Elle s’allonge sur un transat’. Elle lève les genoux, écarte les cuisses, se frotte le clitoris vivement, et se caresse les seins, la gorge, le ventre… Je suis debout devant elle… Légèrement au dessus de son sexe, mon sexe pointe au delà de son nombril. Je me masturbe et remarque que je ne m’étais jamais branler après un coït.
Point technique que j’ai pris soin de relever dans mon journal à l’époque (ce qui m’a fait rire en me relisant), je cite : « D’habitude quand je me branle seul, j’utilise mon prépuce pour le faire coulisser sur mon sexe pour le garder humide, là impossible de faire coulisser quoi que ce soit, mon sexe est trop tendu, trop gonflé… Je me suis contenter de frotter mon sexe, mon gland, de serrer les doigts et la jouissance était sans commune mesure avec ce que j’ai toujours connu lorsque je me masturbe… C’est cool de découvrir son corps, encore après toutes ces années »
Je me suis donc secouer la tige devant elle, les yeux dans les yeux et plus j’allais vite, plus elle se branlait vite et je l’ai sentis s’exciter plus que de raison. Cette situation l’excite… Je senti mon sperme me traverser, entre mes doigts ma verge gonfla et pfuit’, un éclat de cette trainée blanche expulsée du bout de mon gland plongeant à vive allure sur la tendre chair de mon amie, ravie de cette petite pluie estivale, épaisse et brulante.
Son souffle s’emballe alors que je grogne de plaisir et expulse les giclées suivantes. Une larme de sperme sur sa joue, une autre sur sa gorge, près de son téton, et les dernières gouttes font ploc sur son ventre et sur son bas ventre, un peu sur son avant bras qui surmonte sa main qui détient les doigts qui vacillent entre ses cuisses…
J’ai les genoux en coton, j’ai chaud, je la regarde, elle est joyeuse, satisfaite… je le suis aussi, à peu près autant que je suis rompu… Le transat’ d’à côté, je m’allonge…
Elle : « C’était comment ? »
Moi : « Parfait, mieux que ça même »
Elle : « Ça t’as bien plu me gicler ton foutre sur moi »
Irrévérencieuse. Provocatrice. Le petit minet que j’étais commençait tout juste à y prendre goût… « Mon sperme sur sa peau »… Les derniers mots sur cet épisode écris dans mon journal. Nous avons finis dans la piscine à nous bécoter. Elle aurait sans doute bien aimé que je sois encore d’attaque mais ce n’était pas le cas. Et le lendemain nous retournions au travail.
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Commentaires de l'histoire :
Ivannormal
Nous nous sommes beaucoup vu avec Pauline durant cette période. Mais… plusieurs choses faisaient que nous faisions cela en cachette. D’abord l’amie de ma mère… Je n’assume pas forcément cette relation et je n’ai pas envie que cela se sache du côté de ma famille… j’ai 21 ans à l’époque et pour moi… c’est compliqué quoi. Et puis Chris et puis Julie et puis les ragots qui peuvent aller bon train d’autant qu’à la base, tous les 4 nous étions assez bien entendu… Donc on se la joue copain copain avec les autres et si un moment, il nous est possible de nous retirer... Alors ça donne une pipe dans les toilettes, un cuni sur la plage, un petit coup dans la voiture, une levrette dans les toilettes aussi, branlette espagnole… ouai ça j’aurai pu vous le raconter mais bon… dans les toilettes, dans la voiture, sur la plage… J’en passe. Et bien sûr, souvent, c’est la première fois pour moi, la plage, les toilettes, la voiture, la branlette espagnole… Bref on kiffe ! Chez elle, les parents sont souvent là. C’est une maison de vacances mais on est en pleine saison et ce sont des bordelais donc ils n’ont pas long à faire. Mais quand il nous est possible, on passe du temps là-bas et justement, on prend notre temps. Ça peut durer longtemps, ça peut être doux. Elle est capable de branler une queue avec une délicatesse rare… Ce genre de caresses peut durer des heures… je lui rend la pareille… et puis des fois c’est brutal, c’est bruyant… c’est n’importe quoi… c’est sympa aussi. Le fait est que pendant cette période, nous étions exclusifs. Nous avons parlé beaucoup de nos vies, de nos envies... Ce serait devenu sans doute bien confus pour nous deux si Céline n’était pas venu me voir cette semaine. Il n’est pas dur pour nous de feindre l’amitié, nous sommes potes, nous rions ensemble. L’idée c’est si on se voit tous les trois (Pauline, Céline et moi), c’est en terrasse, éventuellement sur la plage en pleine journée et bien sûr au resto. Pas de teuf, pas de soirée dîner ou que sais-je… Nous sommes tous les deux d’accord et elle accepte avec plaisir d’être complice. Elle sait qu’elle peut être assez vite en compétition avec Céline (comme avec toutes les filles), j’essaie de lui faire confiance pour se contenir, et elle me donnera raison. Même, cette semaine, je resterai quasiment toute la semaine avec Céline, profitant au maximum du temps qui nous était imparti tous les deux, le seul moment de l’été passé ensemble. Céline est très belle… vraiment. Mais c’est l’anti-Pauline, elle est petite aussi mais toute fine, brune, des yeux bleus absolument sublimes, peu de poitrine mais beaucoup de sensualité… Durant cette semaine, je vais prendre plusieurs jours où nous allons traîner tous les deux sans voir personne. Et ce sera vraiment un très beau moment, une belle parenthèse d’été passé avec l’amour de ma vie (du moins je devais le penser puisque je n’arrête pas de le répéter dans les pages de mon journal). Alors marche, ballade, dîner chandelles et le soir nous avons fait l’amour. Et oui je ne vais pas vous laisser comme ça sur votre faim… Je redoutais ce moment car j’avais peur de ne pas en avoir envie… mais j’en avais envie en fait… et même très envie… Comme une sensation de changement. Comme si je me lassais de Pauline. Un sentiment un peu obscur mais le résultat était saisissant. Nous nous sommes glissé dans le lit doucement sous un drap inutile avec presque pas de vêtements… Et quand j’eu retiré sa simple étoffe qui lui tenait le bassin je me suis plonger amoureusement entre ses jambes, celles de la fille que je n’ai pas vu depuis longtemps et je l’ai tellement aimé contre ma bouche, tellement choyé de baiser entre les cuisses qu’elle a jouit à gorge déployée et prise de spasmes, elle n’a pu contrôlé ses gestes, recroquevillée sur elle-même. J’ai l’habitude de lui donné ce genre de plaisir mais en général, je la laisse décider de me rendre le bonheur en retour. Mais pas là. Cette fois je me suis levé du lit et j’ai présenté ma queue à son visage… Elle a adoré, elle s’est mise à quatre pattes et elle me la dévorée, son derrière bien dressé pour m’exciter et m’endurcir… et je lui ai tenu les cheveux et quand elle n’en pouvais plus d’attendre, elle s’est simplement retournée, croupe tendue et ses faveurs acquises, elle était à ma merci… Petite caresse sur ses fesses, entres ses fesses, puis entre ses cuisses… Et je la pénètre, la traite comme un animal et la prend virilement, battant sa chair comme un cavalier chevauchant sa jument… je l’entend crier encore, je me sens fier, je la sens perdue, elle n’a pas l’habitude de ça… Et j’en rajoute quand je lui attrape sa chevelure fine, l’enroulant dans ma main pour ne pas qu’elle m’échappe et elle ne m’échappera pas… Et bientôt c’est à moi de subir des spasmes de jouissance et dans un élan… mon sexe se retrouve hors de son fourreau et viens joncher contre le sillon de ma belle croupe possédée par le plaisir. Je serre de mes mains ses fesses et m’en serre pour me donner la joie de me faire coulisser entre elles… Et très vite mon jus blanc se répend sur son dos comme une traînée laiteuse… Elle est surprise… mais pas conquise… Elle trouve ça étrange… Mais alors que je m’allonge à ses côtés, elle saute dans la douche… Puis discussion. Ça ne se passe pas trop mal, elle aurait aimé que je la prévienne mais…si ça me plait. De mon côté, « il y a longtemps que je voulais essayer » « tu me manquais »… Elle a répondu « j’ai vu »… Sourire, bisous, et elle m’a dit cette chose : elle a eu l’impression ce soir que je ne lui faisais pas l’amour, non… mais plutôt que je la « baisais »… et aussi qu’elle aimerait que je la baise plus comme je l’ai baisé ce soir là… Voilà. Elle me manquait, mais ce n’est pas que ça… Et je me suis alors mis à penser que cette histoire avec Pauline me faisait du bien, mais aussi faisait du bien à mon couple et à Céline… Cette semaine là, nous avons beaucoup baisé… Puis elle est rentré à Paris, et j’avais hâte de reprendre les hostilités avec Pauline… et aussi bizarre que ça puisse paraître, de lui raconter… De nouveau libre de retourner fricoter avec Pauline, j’étais impatient de la retrouver. Non pas parce que j’avais envie d’elle (bon ok un peu), mais parce que j’avais envie de partager ce que je vivais. D’abord cette double relation devenait de plus en plus intéressante, excitante et, de manière inattendu, inspirante pour mon couple. Et puis Pauline est la seule et unique personne à part moi à être au courant de tout ça. L’occasion de la revoir ne se présenta pas tout de suite. La raison est qu’elle et Chris se revoient, un peu en douce. Depuis la semaine que j’ai passé avec Céline. Et voilà… Je me suis senti un peu doublé, comme si je devais payer ce moment d’absence. Mais je n’ai pas forcé les choses et même, j’ai compris. Pourquoi m’attendre alors que je passe une semaine de rêve avec ma compagne. Je les ai laissé. Je ne ressentais aucune animosité. Nous avons même pu en parler durant une pause. Elle était contente de ma réaction, j’étais moi-même assez content de ma propre réaction. Et puis au bout de quelques jours, je me suis mis à avoir vraiment trop envie de la voir. Alors j’ai tenté le texto suivant : « J’ai envie de toi, trouveras-tu un moment pour qu’on se voit ? ». Et dans la foulée, elle répond « Après le boulot, on ira chez moi, ok ? »… « OK ! » Nous arrivons chez elle, il est tard, ses parents sont là donc pas de bruit et hop… dans la chambre de Pauline. Ce n’était pas notre fort la discrétion mais là… on a du faire un effort. La porte se ferme, elle commence la première à m’assaillir, bavarde comme d’habitude… « Alors comme ça on ne peut plus se passer de moi ? ». Elle m’a sorti le sexe de mon pantalon en un rien de temps, me masturbant énergiquement… Mon érection était déjà bien entamée tant sa tenue de travail m’excite, jupe noire et chemisier blanc… tout simplement. De grands sourires, je commence par son chemisier puis je m’arrête là… je lui remonte sa jupe et extirpe sa petite culotte qui lui sert la taille… je l’en débarrasse et je l’allonge sur le lit, je passe au dessus, je plante ma queue toute dure sur son con tout humide… je la pénètre… nous gardons les vêtements… oui j’avais envie d’elle et, quelques coups de reins, quelques minutes plus tard, elle recevait ma semence dans un éclair silencieux de jouissance intériorisée… Et elle essoufflée, en sueur, chuchotant… « ça va mieux ? »… ça allait mieux… Bon, c’est pas un évènement très intéressant, un petit coup vite fait comme on dit, à la discrète… mais voilà comment avait commencé notre soirée. Et comme nous n’aimons pas faire les choses dans l’ordre, nous nous sommes déshabiller, mis nu sur son lit. Je revoyais ses formes et j’étais de nouveau aux anges. Nous nous racontions notre petite vie. Nous commencions par Chris. Elle voulait s’assurer que tout allait bien, et je le lui confirmait. C’est marrant de se voir et de se raconter nos vies comme cela, puis après baiser, rire ensemble, passer du temps. Voilà la situation, elle revoit Chris et elle le reverra encore cet été. Il est au courant pour nous deux, bref je dois la partager… ça m’enchante moyen mais ok, je l’accepte et même, je me dis que… enfin j’y viendrais au prochain chapitre. Et puis les détails : comment elle le suce, comment il aime venir dans sa bouche, le plus souvent, ils ne font que ça, c’est qui lui plaît et ça lui convient. Lorsqu’il baise c’est dans la voiture, une fois dans le lit, celui dans lequel nous étions, dans lequel j'étais en train de bander et dans lequel je la soupçonnais de se rendre humide à me raconter tout ça. Je l’écoutais, appréciais de voir comment le sexe peut être différent mais ça ne dépend pas des gens, ça dépend des couples, de la relation entre les partenaires. Elle n’est pas la même Pauline avec Chris qu’avec moi, et je ne suis pas le même Ivan avec elle qu’avec aucune autre… Enfin à ce moment de ma vie je n’ai connu que deux filles… mais ça se confirmera très bientôt… Toutes ces histoires me donne envie de le faire, mais aussi d’en entendre plus. Je me surprend à poser des questions du genre « comment elle est sa bite ? »… oui oui je me suis intéressé à cette question… mais surtout parce que je voulais l’entendre décrire le sexe de Chris… Du coup pour info, pas trop grande, ni trop petite, courbée vers la droite et surmontée d’un large gland rose aplati… Voilà. Et puis c’est mon tour… Je lui racontais tout… et elle voulu tout savoir et tout comme moi, elle posait les questions dont les réponses m’échappent dans mes récits… Et nous sommes allongés sur le côté face à face et pendant que je parle, elle enroule ses doigts autour de mon sexe comme 5 serpents sur leurs proies… Et je la laisse faire en souriant et j’adore ce qu’elle me fait maintenant. De beaux vas et viens effectués avec douceur… Et je continue et elle ponctue mes récits de « Ah bon ? », « tu lui as fais ça ? chanceuse », « hmmm quelle chaudasse alors, j’aurais jamais cru »… Et c’était de plus en plus confus, plus en plus fort… Nous nous étions rapproché sans s’en apercevoir, et les yeux dans les yeux, nous continuions à parler, mes lèvres à deux doigts de siennes… et mes doigts maintenant entre ses cuisses… et nous nous masturbions mutuellement… et ça commençait à être vraiment intense… Puis plus un mot si ce n’est « comme ça c’est bon…" "ah ouai vas-y »… J’attends qu’elle vienne pour la rejoindre… mais nous ne jouirons pas ensemble car son orgasme lui fait tout lâcher… Et mes doigts sont imbibés de son plaisir juste consommé… Puis elle m’embrasse fort… Puis je l’enlace, et sa poitrine s’écrase contre mon torse, ce qui est encore aujourd’hui une de mes sensations préférées au monde… Et je parle de tous les seins qui ont un jour croiser mon torse mais surtout de ses seins à elle… magnifiques… « Comment tu veux faire ça mon Ivan ? Dis-moi, je ferais ce que tu veux… » C’est tout décidé… « J’ai envie de jouir entre tes seins Pauline »… Je la bascule dos contre le lit et me redresse… Je passe une jambe puis l’autre de part et d’autre de son buste… A genoux je laisse tomber mon sexe turgescent entre ses mamelles… Mes deux mains pressent ses seins de part et d’autre de mon membre pour commencer les doux vas et viens… Elle rit… « je sens tes petites boules me chatouiller sous les seins »… Elle me caresse les jambes, le torse, les abdos, le bas de moi, un peu le queue, le gland… J’accélère car c’est en train de monter… elle s’emballe comme si j’étais en train de la pénétrer… je sers fort sur ses seins il faut dire et enfin… je sens mon sexe se gonfler et je le vois rendre mon sperme sur sa gorge moite, un peu sur son visage car les premiers jets sont puissants… et pour finir, elle me met dans sa bouche… sa bouche chaude… sa bouche humide… j’ai lutté pour ne pas crier… Voilà le genre de moment qu’on aime passer avec Pauline, c’est un peu les prémices de ce que sera notre relation durant toutes ces années.
Posté le 25/07/2022
Anonyme
C'est frais comme tout, super bien raconté !! Tellement réaliste, exactement ce que peut ressentir un mec qui a la chance de rencontrer une femme joyeuse, gourmande et qui assure. Bravo à toi (et à elle !) La suite s'il te plaît, la suite !! ;)
Posté le 12/07/2022
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