Il me fixait en souriant, sûrement satisfait de la vision, qu'il avait devant lui ; il saisit son énorme tuyau noir d'une main et commença à jouer avec son prépuce, calottant et décalottant son gland qu'il avait un peut moins noir que le reste du corps. Il ne parlait pas et continuait à sourire..
Proposée le 7/06/2022 par Trixie
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Toute la semaine suivante, je pensais à l'expérience sexuelle que je venais de faire. Je culpabilisais un peu, car... oui, me disais-je, il était vieux, laid, ridé, mais quel engin monstrueux !! Il m'avait faite hurler de plaisir ! Ce n'était pas comme avec mon mari.
J'étais d'ailleurs seule chez moi, mon époux était, comme souvent, en stage pour trois jours. La nuit était tombée. Après avoir avalé rapidement mon dîner, je décidai de visionner un DVD. Mais avant cela j'aimais, lorsque j'avais un moment de tranquillité le soir me mettre à l'aise. Je me dirigeai vers ma chambre. J'enlevai mon chemisier et ma jupe, la glace de mon armoire me renvoya l'image d'une fille qui assumait, sa féminité. Mes cheveux, châtain doré, teintés de nombreuses mèches blondes, tombaient en accroche-cœur sur mon front. Ils étaient savamment tirés au dessus des oreilles et attachés en une sorte de queue de cheval qui les laissaient gracieusement retomber en ondulant sur mes épaules. Je portais une fine chaîne en or, au bout était accrochée une pierre bleue. Elle descendait jusqu'à la naissance de mes deux seins, très appétissants aux aréoles et tétons assez foncés, soutenus par un soutien-gorge noir, seins nus aux fines bretelles. Je réajustai mon soutien- gorge ce qui fit pointer les tétons vers le haut. Je me les pinçai les, en pensant encore au vieux fermier et au DVD coquin que j'allais regarder. L'acteur porno qui me faisait le plus fantasmer était Mandingo. J'avais lu sur internet que ce grand noir avait un sexe de trente centimètres, au diamètre de six centimètres qui lorsqu'il bandait, devait avoisiner les huit centimètres. Mes mains descendirent et passèrent entre mon porte-jarretelles et ma peau, j'hésitai un peu, ôtai ma culotte de dentelle noire. Je lissai mes bas noirs, gainant mes longues jambes fines. Je décidai de garder mes talons aiguilles qui les affinaient un peu plus.
Je choisis une Nuisette sexy toute transparente entourée d'une fine dentelle. Cette nuisette était très érotique avec ses ouvertures sur les seins et ses nœuds en satin pour les fermer. Je positionnai les fentes en face de mes tétons, et les malaxai. Le souvenir du petit jeu de Maxime, un copain de boulot qui aimait bien les triturer, en les faisant sortir par les trous de mon chemisier blanc, eut pour effet de les faire gonfler et durcir, ils pointèrent au travers des fentes, je me dis que le vieux marchand de légumes deviendrait fou de désir s'il me voyait dans cette tenue, je trouverai bien un prétexte pour l'attirer chez moi !
La longueur du négligé dépassait à peine le bas de mon pubis. La transparence était telle que l'on pouvait apercevoir le petit triangle de mes poils soigneusement épilés, finissant en pointe au dessus de mon sexe qui, ainsi dépourvu de pilosité laissait apercevoir mon clitoris et la fente de ma vulve.
Satisfaite de mon examen, je partis vers le salon, je savais que j'allais fantasmer sur la vidéo et surtout sur l'acteur noir, et finir par me caresser, ainsi vêtue cela me faciliterait la tâche. J'allumai la télé, mis le DVD dans le lecteur, le film commença. J'enviai la mignonne petite brunette qui allait se faire baiser. J'allai fermer les volets, et tirer les rideaux, lorsque j’aperçus une ombre derrière la porte-fenêtre de la chambre du voisin qui surplombait légèrement celle de mon salon. Paul devait avoir entre soixante dix et soixante quinze ans, je savais qu'il faisait chambre à part avec sa femme, et cette fenêtre était celle de sa chambre. Souvent il m'épiait, essayant de m'apercevoir en petite tenue, alors pourquoi ne pas lui faire plaisir ce soir, lui offrir un petit cadeau pour qu'il puisse se masturber. Je laissai les volets et les rideaux de la baie du salon grands ouverts, le divan était juste en face, avec la lumière crue de la pièce, il allait pouvoir se régaler à m'épier. Il coupa l'électricité de sa chambre, mais j'étais sûre qu'il me regardait,et cela m'excita encore plus.
C'est à ce moment que l'on frappa à la porte. Je me demandai qui cela pouvait bien être, et comment cette personne avait fait pour arriver jusque là. Puis je pensai que j'avais oublié de fermer à clé le petit portillon donnant sur la rue. On frappa à nouveau. Un peu agacée, je saisis mon déshabillé en tulle noir décoré d'une superbe dentelle sur le devant, l'arrière était complètement transparent. Ce déshabillé aussi sexy et arachnéen que ma nuisette était fermé à hauteur de mes seins par un ruban de satin noir, qui le laissait s'entrebâiller sur tout le devant de mon corps. Comme ma nuisette il était retenu par deux fines bretelles et laissait mes épaules nues. Il était un peu plus long que la nuisette et m'arrivait aux genoux. Avec cette nuisette et ce déshabillé ultra sexy, mon corps habillé d'un voile léger, aurait donné des envies à ceux qui auraient pu avoir le plaisir de me regarder.
Nouveau coup sur la porte, cela me contraria un peu ! Mais qu'importe, je n' entrebâillerai que juste un tout petit peu la porte et arriverai sûrement et facilement à chasser l'intrus sans qu'il se rendre compte de la façon dont j'étais vêtue, puisque je resterai derrière le battant. Puis une fois celui-ci parti, comme il ne faisait pas froid et que la nuit était vraiment noire, je pourrai ainsi habillée aller fermer à clef mon portillon personne ne me verrait.
Je laissai tourner le DVD, me dirigeai vers la porte, tournai la clef et l'entrebâillai légèrement.
J'allais demander qui était là, mais je n'en eu pas le temps. Je sentis un pied qui s'intercalait dans l'interstice, et une poussée me fit reculer d'un bon mètre et la porte s'ouvrit en grand. Un immense noir se tenait devant moi. J'eus un hoquet de peur et de surprise. Rapidement, il referma la porte et donna, un tour de clef.
— N'ai pas peur, ne crie surtout pas. Je ne te veux pas de mal, Chutttt... tout va bien se passer !
Marmonna-t-il. Je n'étais pas rassurée.
— Mais ! Que vou...voulez-vous ?
Tandis qu'il me faisait à nouveau face, je l'examinai. Sa peau était vraiment noire et brillait à la lumière, il avait le crane rasé, il mesurait plus d'un mètre quatre vingt. Il était vraiment costaud, ses mains étaient énormes, une chemise ouverte sur un torse puissant et un jean l'habillaient.
C'était une coïncidence, mais il ressemblait à mon acteur préféré celui du DVD. Je m'aperçus qu'il me fixait avec étonnement, ne s'attendant pas à se retrouver en face d'une telle vision de rêve.
Sous la lumière vive du plafonnier du couloir, mon déshabillé et ma nuisette ne cachaient pas grand chose de mon corps et laissaient apparaître en transparence soutien gorge, bas et porte-jarretelles.
En se rétrécissant, les yeux du grand noir m'examinèrent des pieds à la tête. Il me répéta que si je ne criais pas, tout se passerait bien. Au regard qu'il venait de me lancer, je compris qu'il ne me ferait pas de mal. Je me dis qu'effectivement, je ne crierai pas.
Mon fantasme le plus secret allait-il se réaliser ? Me faire prendre par un noir au sexe énorme. La vision de mon corps blanc enlacé par ce grand noir couleur anthracite, le contraste noir sur blanc m'excita au plus haut point. Avec le vieux des légumes, je n'avais satisfait que la moitié de mon désir, pour qu'il soit abouti, il avait manqué la couleur et un tout peu petit peu de grosseur supplémentaire au sexe du vieux paysan sadique, cela m'aurait bien plu, mais l'expérience avait été plus que concluante, celle là serait peut être meilleure !
Le noir toujours éberlué, scrutait maintenant chaque partie de mon corps avec insistance, je vis que son regard se portait à tour de rôle de mes seins à mon sexe que l'entrebâillement du déshabillé laissait offert à ses regards, car ce n'était pas la transparence de la nuisette qui cachait quoi que ce soit.
Il était maintenant vraiment très émoustillé. Mes yeux se portèrent vers le bas de son pantalon, une bosse semblait pousser le long de sa jambe. Je frissonnai, et si son engin était aussi gros que celui de Mandingo ! C'était en général le cas pour les noirs et si son sexe était en rapport avec sa taille et sa corpulence, cela pouvait vraiment être très très intéressant. Comme s'il avait lu dans mes pensées, il défit le zip de son jean et d'une main sorti son sexe. J'en eu le souffle coupé, la verge commença à prendre une certaine rigidité, mais elle pendait encore molle, jusqu'au milieu de la cuisse. Au bas mot, elle devait bien faire trois centimètres de plus que celle du marchand de légume. Quand à la grosseur, elle me sembla aussi large si ce n'est plus, mais elle n'était pas encore en totale érection. Une paire de bourses assez conséquentes ressemblant à deux petites outres noires sortaient aussi de sa braguette.
Mes seins devinrent durs et l'intérieur de mon vagin commença à s'humidifier, ma respiration s'accéléra. Tout en quittant sa chemise, il me demanda de nous conduire au salon, d'où provenait des cris de plaisir émanant de la télévision. Je tournai les talons et me dirigeai vers celui-ci. Je sentis son regard qui fixait intensément les deux globes de mes fesses qui frottaient l'un contre l'autre, du fait de mes talons aiguilles. Le tulle de mon déshabillé absolument transparent dans tout le dos, laissait voir la dentelle du porte-jarretelles qui m' entourait la taille, les deux lanières descendant sur l'arrière de mes cuisses suivaient le mouvement des fesses. On apercevait ma peau blanche tranchant avec le noir de mes bas. Tout en m'emboîtant le pas, le noir ne put détacher son regard du magnifique spectacle qui lui était offert. Son gros rouleau se mit à durcir et à s'allonger.
J' allai franchir l'embrasure de la porte, lorsque celui-ci apercevant la télévision, me prit par les épaules et m'arrêta. Il me dépassait de plus d'une tête. Il regarda la télé, Mandingo était en train de pénétrer l'actrice, qui n'était vêtue que de ses bas et de son porte-jarretelles.
— Dis donc petite Salope, on dirait que le porno, te branches et avec des noirs bien montés de surcroît. Mais je crois que je ne lui doit rien, dit-il en pressant sa bite.
Ses mains passèrent devant ma poitrine, il attrapa le ruban de satin noir du déshabillé et y tira dessus. Les pans du vêtement s'écartèrent. Il se saisit des fines bretelles et me les baissa sur les bras, je facilitai la manœuvre par un léger mouvement d'épaule. La bretelle gauche de ma nuisette suivit le mouvement et tomba sur mon bras laissant mon épaule dénudée. Le grand noir, ôta le déshabillé le laissa tomber. Il se pencha sur moi, ses lèvres se posèrent au dessous de mon oreille, et l'embrassèrent. Sa langue descendit le long de mon cou pour me lécher la peau jusqu'au bout de l'épaule, j'en attrapai la chair de poule. Sur l'écran l'actrice gémissait de plaisir, cela m'émoustilla.
Je tremblais de désir. Ma chatte mouillait maintenant abondamment. Les mains du grand noir, se saisirent des nœuds de satin qui fermaient les fentes de la nuisette d'où émergeaient les deux tétons tendus qui commençaient à être gorgés de sang. Mes aréoles comme le reste de mon corps étaient pigmentées de petits points dus à la chair de poule, ce n'était pas désagréable. Il tira sur les rubans, écarta le vêtement, puis délicatement, sortit les deux seins. Ils émergèrent comme d'un écrin du soutien gorge seins nus, par les fentes maintenant grandes ouvertes. Il les malaxa, je gémis en regardant les deux mains noires prodiguer une caresse appuyée sur mes deux globes laiteux. Il commença à promener ses majeurs, sur les deux sphères, ses doigts se rapprochèrent des aréoles, en firent le tour, plusieurs fois, puis il enserra à nouveau les deux seins et les pressa doucement. Son pouce et son index remontèrent vers mes tétons durcis. Je crus qu'il allait les saisir et les pincer, mais il ne fit qu'en effleurer la pointe. Je rejetai la tête en arrière déçue. Ma nuque appuya sur sa poitrine lisse, il baissa la tête et ses grosses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue s'insinua dans ma bouche, en allant chercher la mienne. Je le laissai faire, lui rendant son baiser. Pendant ce temps ses grosses mains s'occupaient toujours de mes seins, il les tritura, les malaxa, effleura les tétons, et les aréoles, mais on aurait dit qu'il évitait de saisir mes petits cônes bruns et de les faire rouler entre ses doigts ou de les pincer avec ses ongles. Au bout de ma frustration, je lui attrapai les mains et les plaquai sur mes mamelons. Je lui pris les doigts et lui fit comprendre ce que maintenant je désirais. Il s'exécuta, les tirant doucement, pinçant la pointe des tétons, là ou la zone est la plus sensible, les malaxa jusqu'à ce qu'il entende de petits cris sortir de la bouche, de la fille blanche qu'il tenait dans ses bras. Puis ses mains descendirent le long de la nuisette, il la remonta au dessus du porte-jarretelles, elles descendirent le long de mes hanches nues et se glissèrent sous les lanières de devant du porte-jarretelles, juste au dessus des bas. Le noir commença à se plaquer contre moi, et son énorme sexe, qui avait encore grossi vint effleurer le bas de mon dos, il était passé sous la nuisette, et s'était positionné entre les deux globes de ses fesses. Du foutre commença à suinter de mon vagin. Ses mains firent doucement plusieurs va et vient sur ma peau nue entre le haut de mes bas et mon porte-jarretelles, cela m'excita au plus haut point, je me frottai au sexe en érection, que je sentis dans mon dos. J'essayai de le saisir d'une main mais le noir se recula. La frustration me gagna à nouveau.
Cessant son petit jeu avec le porte-jarretelles, il attrapa la nuisette et la fit passer au dessus de mes cheveux blonds.
Il me fit se tourner face à lui pour mieux m'admirer dans ma nudité presque totale, et quitta son pantalon. J'eus alors un plein aperçu du sexe monstrueux qui se balançait devant moi. Tout en me fixant en souriant, sûrement lui aussi satisfait de la vision, qu'il avait devant lui ; il saisit son énorme tuyau noir d'une main et commença à jouer avec son prépuce, calottant et décalottant son gland qu'il avait un peut moins noir que le reste du corps. Il ne parlait pas continuait à sourire, tout à coup il me dit :
— Tu es vraiment bandante petite salope blonde, regarde ce ce que je vais te mettre, et ce ce jusqu'au bout. Regarde, crois-tu que j'ai quelque chose à lui envier, à cet acteur ? Me dit-il en me montrant Mandigo.
J' essayai de comparer la longueur et la la largeur de l'énorme grosseur qu'il me présentait avec la bite de Mandigo qui s'étalait en gros plan sur l'écran, effectivement c'était presque la même ! Puis je me remémorai la queue du vieux des légumes, il n'y avait pas de doute, le noir arrivait largement en tête. Mon foutre commença à ruisseler à l'intérieur de mes cuisses. Mon sexe complètement épilé, à part le petit triangle châtain au dessus de ma fente, fit qu'il avait du s'en apercevoir. Il avança la main vers moi, et la plaqua sur mon pubis et il entra deux doigts à l'intérieur des lèvres. Mes jambes fines s'ouvrirent toutes seules, il fit deux va et vient et retira ses doigts luisants de foutre, et en souriant et en me regardant dans les yeux, il les suça.
— Excellent...
Puis il me repoussa vers le tapis, qui était devant le canapé et me demanda de m'y coucher face à lui. Je m'exécutais.
— Montres que tu as envie de moi ! Tu allais sûrement te masturber en regardant le film. Tu as maintenant le modèle avec toi, profites en, je sais que tu as envie de ma grosse bite noire, tu ne mouillerais pas autant sinon !
Je commençai à passer une main dans mes cheveux blonds épars sur le tapis, de l'autre je me caressai les seins qui me faisaient presque mal tant ils avaient durci. je fléchis les jambes et posai bien à plat mes talons hauts. Il avait ainsi une vue parfaite sur mon sexe ouvert. Puis je pris appui sur les épaules et soulevai mon bassin, mimant une pénétration, ouvris au maximum mes jambes, en roulant des hanches, tout en écartant d'une main les lèvres de mon sexe. Je me retournai sur le ventre, le sexe ouvert, toujours offert à ses regards, tournai la tête vers lui et de mes yeux bleu vert, je le regardai langoureusement, je mis deux doigts dans ma bouche et les suçai. A la vue de mon sexe offert, du haut de mes cuisses de plus en plus humides, la respiration du noir s' accéléra. Il me demanda de m'asseoir sur le canapé, j'obéis. Il m'écarta doucement les jambes et s'agenouilla entre celles-ci. Il me saisit les hanches au niveau du porte-jarretelles. Sa tête s'approcha de mon sexe en feu qui palpitait devant lui. J'aperçus sa langue rose qui sortit de sa bouche et j'écartai au maximum les jambes, mes lèvres s'écartèrent, mon vagin s'ouvrit en plein.
Je ne sais pas pourquoi, mais la vision de mon vieux voisin qui devait nous mater de sa fenêtre et forcement se masturber, en me regardant me faire baiser par un noir me traversa l'esprit, cela boosta ma libido.
Puis tout d'abord la douce caresse de la langue rose me tira des gémissements et me donna des frissons, le contraste de sa peau noire avec la mienne m'excita beaucoup. Il me parcourut plusieurs fois la totalité de la fente, en faisant parfois de légères incursion jusqu'à mes petites lèvres internes, mais sans vraiment jamais pénétrer très profondément, cela m'excita de plus en plus. je saisis à deux mains la tête lisse et noire, lui remonta bouche à hauteur de mon clitoris et la lui appuya dessus. Les deux grosses lèvres saisirent délicatement mon petit bouton rose et la langue vint me le titiller, il avait l'air expert. Il me l'aspira, puis sa langue en fit une, puis deux fois le tour, il le malaxa ensuite entre ses lèvres lippues, puis pour finir il le mordilla délicatement avec ses dents, je crus défaillir.
Je contins au maximum mon plaisir, souhaitant que cela continue le plus longtemps possible. Mon foutre coula à flot dans la bouche du noir. Je fus secouée de petits soubresauts, et des gémissement continus s'échappèrent de ma bouche, je lui maintins la tête plaquée contre mon ventre de peur qu'il ne la retire. Il cessa de me lécher, et fit pénétrer son majeur dans mon vagin. Il entra doucement en moi, de plus en plus profondément, ses doigts étaient très longs. Il y adjoignit bientôt son index, puis l'annulaire et enfin son petit doigt, il tourna la main dans mon sexe ouvert, il l'enfonça en la tournant doucement, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que pouce qui soit dehors, le reste de sa grosse main réussit à se faufiler à l'intérieur du sexe. Il commença des allers et retours, la lubrification de ma chatte en facilita grandement la tâche. Je saisis la main qui me pénétrait et essayai de la faire entrer plus profondément en moi, en me cambrant. Il voulait vérifier que l'élasticité de ma vulve serait suffisante pour que, vu la grosseur de son sexe celui-ci puisse y pénétrer sans trop de peine. Je vis la télé devant moi, Mandingo sodomisait la petite brune, son immense bite disparaissait entièrement dans le cul de la jeune fille, je me demandais si j'allais avoir le même traitement.
Puis, jugeant que ce petit intermède avait assez duré, ou sentit que mon désir était exacerbé au maximum, il se releva. Son monstrueux sexe était maintenant en pleine érection, c'était vraiment impressionnant. Il était juste à hauteur des mes yeux, mon désir de me voir envahir par cet énorme rouleaux noir, en fut décuplé.
Il s'assit à côté de moi, et me demanda de bien vouloir l'enjamber en lui tournant le dos, je m'exécutai. Ma vulve ouverte était juste au dessus du gland qui effleurait le bas de mes lèvres, j' aurais voulu m'empaler, mais il me retint par la taille, et me dit de ne pas être si pressée. Il me laissa descendre un tout petit peu, effectivement je sentis de suite qu'il avait le sexe beaucoup plus gros que le marchand de légumes. Son gland eut un peu de difficulté a s'insinuer en moi. Il me retint et se retira, ses mains me caressèrent le dos, se saisirent de la fermeture de mon soutien gorge seins nus et la défirent, cela me donna un long frisson, lorsque mon soutien gorge tomba. Il le ressentit, car il me saisit les deux seins à pleine mains et les pétrit longuement. Il m'embrassa et me lécha le dos un peu de partout, chaque baiser me fit me tortiller, et j'aurais bien voulu qu'il me pénètre à nouveau. Mon sexe n'arrêtait pas couler, la lubrification devait être suffisante pour supporter la pénétration de cet énorme tuyau noir. A ce moment là, la lumière de la chambre de mon voisin s'éclaira, je le vis devant sa porte-fenêtre ne perdant pas une miette du spectacle que nous lui offrions. Il voulait sûrement que je sache qu'il me matait.
Ses rideaux étaient grand-ouvert et debout en pleine lumière, il se masturbait ardemment, il avait des jumelles me sembla-t-il le coquin, je ne regrettai pas d'avoir laissé mes volets ouverts.
Encore une fois, je crus que mon amant avait lu dans mes pensées. Il me reprit à la taille et commença à m'empaler sur ce qui maintenant ressemblait à un petit pieu noir pointant vers le ciel. Je sentis d'abord que le gland s'était enfoncé un petit peu plus profondément que tout à l'heure, je fis jouer mes muscles internes pour écarter les parois de mon vagin et écartai les jambes au maximum. Le noir sentant que la pénétration avait progressé, m'appuya brièvement sur les hanches, je criai un peu, il me remonta. Il cracha dans sa main, enduisit son sexe, déjà luisant des sécrétions qui émanaient de mon vagin, de sa salive et recommença l'opération. Il gagna six centimètres, il commença alors un lent va et vient sans chercher une pénétration plus profonde. Des ondes de chaleur me traversèrent le ventre. Il continua un petit moment ses allers et retours puis jugeant que le passage avait été élargi, il poussa d'un seul coup son énorme engin de quatre ou cinq centimètres plus profondément, puis il stoppa tout mouvement. Je grognai de plaisir, vu qu'il ne bougeait plus, je regardai entre mes jambes et je m'aperçus que plus de la moité de la grosse colonne noire était à l'intérieur de ma chatte, de voir ce gros sexe noir me rendit folle d'excitation.
Je jetai un coup d’œil au vieux qui se branlait toujours d'une main et tenait ses jumelles de l'autre, cela décupla mon excitation.
— Tu as vu, ton voisin, il se masturbe, de te voir baiser avec un noir, cela doit lui plaire vachement, tu ne crois pas !! Mais à toi aussi non, depuis que tu as vu qu'il nous regardait, il me semble que tu te surpasses !
En réponse, je commençai alors à tortiller mes fesses, de droite à gauche, puis de haut en bas, à chaque mouvement, bien que je sois vraiment obligée de forcer, je sentis que le sexe monstrueux entrait doucement jusqu'au fond de mon vagin. Mon plaisir était intense, mon ventre en feu, ma respiration courte et saccadée, on aurait dit que mon cœur était pris dans un étau, je ne sentais plus que ce sexe en moi, le monde y tournait autour. Rien à voir avec l'expérience que j' avais faite dans le hangar des légumes. Le fait que ce soit un noir qui me possède y était sûrement pour beaucoup, j'en rêvais depuis toute jeune fille. J'avais été élevée strictement, une éducation teintée de léger racisme, et ça m'avait toujours fait fantasmer de transgresser ce tabou. De voir ces mains noires se promenant sur la blancheur de mon corps, me plut énormément, le vieil homme qui se branlait en nous regardant y était aussi pour beaucoup.
Il reprit ses va et vient, me tenant toujours fermement aux hanches, il me souleva et me laissa retomber à un rythme plus rapide. Chaque fois que le sexe de l'homme entrait un peu plus profondément un petit cri s'échappait de ma bouche. Puis tout à coup les poils frisés et rêches du noir me chatouillèrent la fourchette vulvo-anale, je compris que j'avais englouti entièrement le monstrueux rouleaux de chair noire. Maintenant que son sexe avait pénétré entièrement mon vagin, le noir accéléra de plus en plus le mouvement, un tout petit peu plus brutalement, mais ce ne fut pas pour me déplaire. Sur l'écran de télé Mandingo, éjaculait dans la bouche de sa partenaire qui déglutissait le sperme qui giclait de son énorme bite noire.
Puis il retira complètement son énorme phallus, me retourna face à lui pour que je me trouve toujours à cheval sur ses cuisses.
Sans trop de ménagement il m'empala sur son pieu et poussa son avantage d'un seul coup jusqu'au fond de ma vulve, je criai de plaisir. Il resta ainsi à se trémousser légèrement, tandis qu'il me prit un sein dans la bouche, et me caressa le clitoris de son pouce gauche. On eut dit qu'il voulait profiter de la profondeur et le largeur du sexe qu'il avait conquis. Il ne devait pas être à pareille fête à chacune de ses expériences sexuelles surtout avec une blanche, d'habitude la grosseur et la longueur de son sexe devait plutôt rebuter ses partenaires. Je hoquetai de plaisir, j'aimai le sentir ainsi au plus profond de ma vulve. Je recommençai à me trémousser de gauche à droite et d'avant en arrière, frottant mon corps blanc sur ce torse lisse et noir. J'y écrasai mes seins et les frottai. Il avait l'air d'apprécier. Il respira de plus en plus vite. Il se leva, me tenant toujours empalée sur son sexe, il me souleva et me laissa retomber sur celui-ci deux ou trois fois, puis toujours en moi, il me coucha sur le canapé.
Il m'attrapa les chevilles et me relevant les jambes il les écarta au maximum pour faciliter la pénétration de son énorme pénis noir. Sans ménagement, il l'approcha des lèvres de ma chatte, engagea le gland et poussa d'un seul coup, je hurlai à nouveau de plaisir. Il commença alors une série de va et vient extrêmement rapides, je sentis ses bourses rebondir avec force sur mes fesses. Il me traita de petite salope de blanche, me demanda si j'aimais sa grosse bite, je balbutiai oui. Il me prit de plus en plus sauvagement. Le plaisir monta à l'intérieur de mon ventre, il accéléra encore le mouvement, je sentis la vague du plaisir me submerger. La pièce résonna de l'écho de mon cri, mon vagin se contracta enserrant fortement le sexe noir monstrueux, mon orgasme fut tel, que je crus m'évanouir. Celui-ci déclencha certainement l'éjaculation du noir. Un liquide chaud et abondant se répandit au plus profond de mes entrailles, il me sembla qu'il ne s'arrêtait pas d'éjaculer, lui aussi grogna de plaisir, en m'enserrant fortement les seins.
Puis il se leva, approcha son énorme sexe dégoulinant de foutre et de sperme de ma tête, j' ouvris la bouche, il força un peu pour m'enfourner son gland. J'aspirai goulûment, le bout du pénis. Ouvrant la bouche au maximum, je réussis à faire entrer un morceau supplémentaire de cette immense hampe noire. Je lui caressai les bourses et aspirai avec avidité ce qui pouvait rester de sperme, le long du méat de cet imposant pénis. L'application de mon aspiration et la douce caresse prodiguée, provoqua une contraction des testicules et fit couler, un filet de sperme dans ma bouche, comme pour celui du vieux fermier, j'en trouvai le goût délicieux, et l'avalai. Le noir me prodigua un tendre baiser.
— Je m’appelle Jamaar, tu es une petite salope de blanche qui baise fabuleusement bien.
Tout en me caressant les seins il murmura
— As-tu aimé ? Ma grosse bite a-t-elle comblé tes attentes ?
— Oh oui, j'ai adoré baiser avec toi ! Je m'appelle Trixie. Il y a t longtemps que j' avais envie de me faire baiser par un homme noir, parce que vous avez des bites énormes et vraiment très grosses et que j'adore cela.
— Oui c'est mieux que se masturber, en regardant un film porno, même si c'est un noir qui baise une blanche me dit-il ! Et de te donner en spectacle à ton vieux voisin ça à l'air de t'exciter vachement.
— Oh oui, ça n'a rien de comparable répondis-je. Ta bite est merveilleuse.
Je jetai un coup d’œil à la fenêtre d'en face, le vieux voisin était toujours là, avec ses jumelles, je lui souris.
Je caressai la bite ramolli sur la longueur, calottant et décalottant le prépuce. Je léchai à petits coups de langue le gland brun. Jamaar gémit de contentement. Je le pris entre mes lèvres. Il était tellement gros que je dus ouvrir démesurément la bouche pour le faire entrer. Mais Jamaar ne bandait pas encore, cela facilita l'insertion. Je ne pus, par manque d'expérience, n'en avaler que la moitié, je sentis le gland frotter au fond de ma gorge. Ma bouche allait et venait sur le gros rouleau noir, il commença à s'étirer à nouveau.
La bite noire était maintenant en érection totale, Je n'en avais jamais vue une aussi grosse, mais je désirai ardemment qu'il me baise à nouveau. Jamaar me fit mettre à genoux sur le canapé, il se mit derrière moi. Il écarta doucement mes fesses, dégageant mon trou intime. Je compris ce qu'il voulait faire, un gémissement de plaisir sorti de ma bouche.
— Bien, dit-il le vieux mates toujours, passons à l'apothéose !
Il cracha dans mon anus et sur sa verge, il enfonça entièrement deux doigts dans le trou offert, il les tourna pour bien humidifier l'anus et enfonça lentement, mais d'un seul coup vingt huit centimètres de son énorme phallus noir. Je hurlai un peu de douleur mais beaucoup de plaisir. Il commença alors un martèlement vigoureux dans mes fesses. Il me demanda si j'aimais ça. Je lui répondis que oui, que j'étais une vrai salope et que j'étais folle de sa grosse bite noire. Avec cette pénétration brutale, je me tordis de plaisir, mon ventre accéléra la cadence, je sentis le plaisir qui montait dans mes entrailles. Avec un cri sauvage le grand noir enfonça sa bite au plus profond de mon orifice anal, et lâcha sa semence avec de grands jets, je sentis le liquide tiède et poisseux se répandre au fond de moi. Mon corps se cambra, mon orgasme fut si puissant que je perdis, en hurlant de bonheur, la notion du temps...
J' étais en sueur, mais j'étais détendue et comblée, le grand noir s'habillait, je fermai un instant les yeux, j'entendis la clef tourner dans la serrure et la porte se refermer. Je me retrouvais seule.
Je crus avoir rêvé, ce que je venais de vivre, mais le sperme qui coulait de mon vagin et de mon anus, me prouva bien que j'avais tort et que c'était bien réel. Machinalement je m'approchai de la baie vitrée, mon vieux voisin était toujours derrière sa fenêtre, il n'avait rien du rater de nos ébats. En le fixant avec insistance, de mon index et mon majeur je recueillis un peu de sperme et portai mes doigts à la bouche, je les suçai délicieusement en lui souriant. Il leva le pouce...
Je ne revis, jamais le noir et ne sus pas pourquoi, il était venu forcer ma porte. Mais je m'achetai tous les films de Mandingo...
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Commentaires de l'histoire :
guepiere
Bravo pour cette première avec un black moi même j'adore. je m’appelle Marie et comme vous je suis une salope qui aime la pluralité masculine pour le plus grand plaisir de mon mari. Bientôt vous pourrez lire mes aventures réelles . Bisoussssss Marie
Posté le 6/10/2022
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