Ma compagne vient me récupérer à la gare après une longue semaine d'absence, mais nos retrouvailles ne seront pas tout à fait celles que j'imaginais... Récit fantasmé d'une envie commune bien réelle en attente de réalisation.
Proposée le 19/08/2018 par pierrot66
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Encore une longue semaine...
Une longue semaine loin de toi et de nos jeux. Une semaine à s'exciter par écrit et à n'avoir pour seul exutoire que tes mots, tes photos et tes vidéos.
Je pense à toi, à nos échanges et je suis surexcité dans ce train qui me rapproche de toi à chaque minute.
Tu seras là à mon arrivée, tu t'y es engagée. Nous rentrerons en voiture et, peut-être, feront nous un crochet pour dîner quelque part. Je réfléchis au restaurant dans lequel nous pourrions dîner. Quelque chose de "simple" mais un peu romantique. Un endroit où la lumière ne serait pas trop forte, mais suffisamment pour que je puisse profiter de toi et plonger dans tes yeux, te dévorer avant de pouvoir te déguster...
Encore quelques minutes et je serai là.
"J'aurai quelque chose pour toi, mais c'est une surprise" m'as tu dis, énigmatique, évasive.
Le train entre en gare, je suis devant la porte, mon petit sac à la main. Les gens se pressent, se bousculent, remonter le quai est un véritable parcours du combattant, comme à chaque fois. Mais cette fois cela me semble encore plus difficilement supportable qu'à l'accoutumée. Je slalome littéralement entre les gens aux trajectoires imprévisibles et les valises, les accueils chaleureux devant les portes des voitures, les retrouvailles. Autant d'obstacles que je rêve de bousculer tel un bulldozer pour me frayer un chemin jusqu'à toi.
Où es-tu ?
Je scrute la foule, je te cherche du regard.
D'un coup, comme si la mer s'ouvrait devant moi, tu apparais. Tu es magnifique, désirable, excitante dans ton trench-coat beige, perchée sur tes talons noirs vernis, tes jambes gainées de bas noirs, maquillée, coiffée.
Rien ne se mettra entre nous, j'en ai décidé ainsi! Tu m'aperçois à ton tour et ton visage s'éclaire d'un magnifique sourire. Comme ne serait-ce que ta vue m'a manqué ! J'ai l'impression d'être parti depuis une éternité.
Une semaine des tes récits et de tes attitudes de chienne m'ont mis à bonne température. Si je pouvais je te prendrais là, sur le quai!
Je me contenterai d'un baiser langoureux, de te serrer contre moi de mes mains sur ta taille, qui s'aventurent sur tes fesses...
"Viens!" me dis tu sans plus attendre, en prenant ma main, tu me guides vers l'escalator.
Nous descendons vers le parking souterrain.
"Tu conduis !" Me dis tu en me tendant les clefs. Tu me guides vers la voiture, ton téléphone à la main, échangeant quelques messages avec je ne sais qui. Peu importe! Dans peu de temps tu seras à moi et à moi seul.
Je ne peux m'empêcher de te demander quelle est cette surprise dont tu m'as parlé.
"-Tu verras bien..." me réponds tu avec un large sourire plein de sous-entendus.
Je n'en demande pas plus.
Je déverrouille à distance les portes et me dirige vers le coffre pour y déposer mon sac, puis vers la portière côté conducteur pour prendre place au volant. Mais tu sembles tarder à monter et, tournant la tête, j'aperçois un homme sur la banquette arrière que je ne connais pas.
"-C'est qui?
-Un copain." me réponds tu sans rien ajouter.
Je suis un peu surpris, mais je prends place au volant en lui disant bonjour. Lui n'a pas pris la peine de descendre pour me saluer, mais il répond quand même à mon bonjour par un autre.
Je démarre le moteur, mais tu n'es pas à côté de moi. Je suis à nouveau surpris, tu prends place à l'arrière avec lui.
"-Ah? Tu montes derrière ?
-Oui oui, ne t'inquiètes pas
-Ok... Ou va-t-on ?
-On rentre, prends l'autoroute, j'ai mis mon pass.
-D'accord..."
Moi qui pensais t'avoir pour moi seul dès le trajet, c'est raté.
Nous roulons, pas un mot, ni de l'un ni de l'autre. Nous arrivons sur le périphérique et je me risque à te poser une question banale.
"-Tu as ressorti ton trench? Il ne pleut pas pourtant ?
-Non, c'est vrai." me reponds tu en riant.
Il rit lui aussi et je ne comprends pas bien de quelle blague je suis la "victime".
Je m'engage sur l'autoroute, qui est étrangement fluide aujourd'hui. Mais tant mieux.
Je règle le rétroviseur intérieur pour te voir et, le remarquant, tu me demandes:
"- Tu veux savoir pourquoi je l'ai mis?
-Ben oui... Il te va bien, mais bon..."
Alors, sans dire un mot, tu commences à l'ouvrir de haut en bas.
Le premier bouton degraffé ne fait qu'ouvrir un peu plus ton "décolleté", laissant apparaître la naissance des tes seins. Tu prends ton temps...
Le deuxième plonge déjà entre ces derniers et fait apparaître ce qui pourrait être la dentelle d'un bustier, ou peut-être directement d'un soutien gorge. Te connaissant, tout est possible !
Le suivant ne laisse plus vraiment de doute, il ne s'agit pas d'un soutien gorge. C'est sans aucun doute l'une de tes guêpières, ou peut-être un body. Écartant légèrement les pans de ton trench, tu me dis "tu aimes ?". Ce à quoi je te réponds que oui, beaucoup, tu le sais bien, avec un ton de surprise dans la voix quand au manque de pudeur dont tu fais preuve en présence de ton prétendu copain, que je devine être un peu plus que cela.
Tu caresses d'un doigt la peau de tes seins , juste au dessus de la dentelle de ce vêtement, dont je ne suis pas encore certain. D'ailleurs, qu'en est-il réellement ?
Je me risque à te poser la question. Est-ce donc l'un de tes bodys que je ne connaîtrais pas ?
"Patience !" Me réponds tu. Puis, te tournant vers lui :
-Et toi? Ça te plaît ?
-Il faudrait être difficile ! Répond-t-il, tendant une main pour caresser ta peau au même endroit.
Alors, sans ajouter un mot, tu acheves de défaire les derniers boutons de ton trench et je découvre avec stupeur que c'est bien une guêpière que tu portes et que tu n'as pas pris la peine de t'habiller d'autre chose. Je règle une nouvelle fois le rétroviseur pour observer en entier ta tenue.
Les bretelles de ta guêpière retiennent des bas noirs, gainant magnifiquement tes jambes et laissant à nu le haut de tes cuisses et tes fesses, sur le côté tout au moins, ce qui me fait remarquer que tu n'as pas pris la peine de mettre une culotte, ce qui ne me surprend pas de ta part.
"Hummmmm!" S'enhardit ton voisin, qui semble lui aussi abandonner toute retenue, mais qui pourrait l'en blâmer face à cet "émouvant" spectacle...?
Abandonnant la "sage" caresse qu'il te prodiguait jusque là, il plonge franchement la main dans l'un des bonnet et malaxe avec une délicate fermeté ton sein encore emprisonné dans son carcan.
Nouveau réglage du rétroviseur afin de mieux observer la scène... et je croise ton regard mêlé de défi et de satisfaction.
La position est-elle inconfortable, où est-ce par souci d'équité, il pose maintenant sa main droite sur ton sein gauche et, ce faisant, ce penche vers toi. Calcul de sa part ou heureuse coïncidence, son visage se trouve du fait très proche du tiens et tu n'as qu'à tourner la tête pour que vos lèvres se rencontrent. Elles s'entrouvrent, s'emparent les unes des autres puis ce sont vos langues qui s'en mêlent et s'emmêlent dans un balais indécemment humide. La sienne pénètre ta bouche qui l'accueille avec avidité, la suce... Un "simple" baiser peut-il être d'une telle obscénité ? Je ne le sais que trop bien. Cette sensation dans ta bouche, ton piercing qui frotte doucement, je la connais. Tu embrasses comme tu suce, et je sais, qu'à cet instant, il n'a pas grand effort à faire pour s'imaginer sa queue à la place de sa langue. Il tente en même temps de libérer le premier sein, mais il a besoin de ses deux mains pour cela. Abandonnant ta bouche, pour mieux regarder ce qu'il fait, et ton autre sein, pour pouvoir écarter la dentelle, il libère le premier et, presque dans le même mouvement, le tenant maintenant dans sa main droite, lance sa bouche à la rencontre de ton téton. Il l'aspire, le lèche, le mordille et ce dernier ne tarde pas à se dresser. Ta tête s'incline vers l'arrière, tes yeux fermés, ta main dans ses cheveux. L'abandonnant de sa bouche, mais pas de sa main, il remonte la tête pour s'emparer à nouveau de tes lèvres. Nouveau baiser langoureux, sensuel, obscène...
"J'ai DEUX seins !" Lui dis tu une fois tes lèvres libres.
"C'est vrai !" Replique-t-il avant d'obéir sans trop se faire prier et d'entreprendre le même travail sur ton autre sein.
Nouveau baiser, plus long celui-ci, pendant lequel sa main s'aventure entre tes cuisses. Tu lui facilites volontiers la tâche en les écartant bien grand. Il sait où chercher et comment s'y prendre. Commençant par caresser l'extérieur, il écarte de ses doigts les grandes lèvres, partant directement à la recherche de ton clitoris. Il doit trouver des doigts un peu secs, et toi aussi sans doute, puisque, remontant sa main le long de ton corps et après une escale sur ton sein, il en porte un, puis deux, à ta bouche. Tu connais ton rôle sur le bout des doigts car tu les lèches, les aspires, les mouilles abondamment avant de les laisser repartir entre tes cuisses, sans arrêt intermédiaire cette fois. Il trouve instantanément le chemin. Il caresse ton clitoris, tout en continuant à lécher tes seins, indroduit un puis deux doigts dans ton intimité plus qu'humide. La tête toujours renversée, les yeux toujours fermés, tu gémis, semblant goûter en connaisseuse le traitement qu'il t'offre. À l'aveugle, instinctivement j'en suis certain, ta main cherche le chemin de son entrejambe. Tu sens la bosse qui déforme son pantalon, tu la tâte, la caresse, puis la malaxe franchement quand tu es certaine de ne pas lui faire mal.
Quelle image ! Nous sommes sur l'autoroute, tu es assise à l'arrière de la voiture avec ce mec que je ne crois pas connaître, en tenue sexy, les jambes grandes écartées, ses doigts fouillant agilement ta chatte alors que sa bouche s'occupe tantôt de tes seins, tantôt de la tienne. Les conducteurs que nous croisons, dans un sens ou l'autre ne doivent pas l'ignorer! Je suis d'ailleurs surpris qu'aucun ne se soit stabilisé à notre hauteur pour en profiter plus longuement.
"Il me l'a faut !" Dis-tu dans un soupir.
Qu'à cela ne tienne ! Il ne se fait pas prier et, lâchant pour l'heure ta chatte trempée, il se redresse et entreprend de degraffer son pantalon. Tu profites du répit qui t'es offert pour ôter totalement ton trench et, n'attendant pas qu'il achève lui-même de libérer sa queue, tu te jettes dessus pour accélérer le processus, l'aider à se libérer plus rapidement et goûter au plus vite à cette épaisse tige dressée bien droit et que je devine déjà dure comme du bois.
Tu exerces ton art avec une application certaine et une grande délectation, comme si il devait s'agir d'une friandise et que tu doive faire preuve de méthode pour la déguster, à ceci près que dans ce cas, celui qui se fait manger apprécie au moins autant que celle qui mange...
Tu en lèche le bout, la tige, sur chaque face, ne laissant pas un millimètre carré de peau sèche. Tu l'engloutis goulûment tout en le branlant et en n'oublie jamais de lui caresser les couilles.
"Ça te plaît ?" Me demandes tu, lâchant un court instant sa queue de ta bouche mais jamais de ta main.
Je te souris pour toute réponse et tu reprends ton ouvrage.
Cela fait déjà quelques bonnes minutes que tu suces ton amant du moment, et notre sortie approche. Clignotant, je m'engage sur la voie de sortie, essayant de ne me concentrer à cet instant sur la conduite seulement, d'ailleurs tu as, sans pour autant te rhabiller, pour l'instant, cessé de t'occuper de l'imposant membre qui déformait, il y a quelques secondes encore, ta bouche.
Péage passé, je m'engage sur la voie rapide, tout en commençant à me demander si tu as prévu que nous emmenions ton "copain" chez nous ou si je dois faire une étape dont je ne suis pas encore informé. Aurais-tu lu dans mes pensées ? Ou était-ce tout simplement le moment de s'en préoccuper ? Toujours est-il qu'au passage d'une sortie tu m'indiques de prendre la suivante.
Aurais-tu préparé ton coup à l'avance....?
Je prends donc la sortie indiquée dans l'attente de tes instructions quand à la suite du parcours.
Nous habitons dans une ville entourée par une immense forêt, et la route que nous avons pris la traverse justement. Sans être un axe majeur, c'est une départementale assez empruntée car elle mène à d'autres villes et permet d'éviter l'autoroute. Notre compagnon de route habiterait il dans l'une d'elles ? Je n'en sais rien puisque tu ne m'as pas indiqué notre destination. Lui par contre a repris ses assauts. Sans s'être rhabillé, il continue à caresser ton entre cuisses, sa bouche allant de la tienne à tes seins, dont les tétons sont toujours dressés. En matière d'érection, la sienne n'est pas négligeable. Je ne peux que le constater. Il tient tout de même dressé ainsi depuis un moment maintenant ! Est-ce la situation, la promesse de ce que vous vous réservez mutuellement ou tes caresses, car depuis un instant tu as repris en main sa virilité et le branle doucement mais fermement.
"Le prochain chemin à droite." M'indiques-tu.
Je m'en étonne et te demande si tu es sûre car il s'agit d'un chemin forestier, goudronné certes, du moins au début, mais plus loin....?
"Oui oui" me réponds-tu entre deux gémissements, sans me prêter plus d'attention car tu es toute à ce qu'il te fait.
Je m'engage donc sans discuter, plus doucement, sur le chemin en question. Il est désert.
"Arrête-toi là." Ordonnes-tu presque, quelques centaines de mètres plus loin.
Je m'exécute sans discuter une nouvelle fois, prenant tout de même soin de dégager la route principale en me rangeant dans un espace sur le côté.
Le soleil est depuis quelques dizaines de minutes passé sous l'horizon et la luminosité se fait plus faible dans ce sous-bois.
Je coupe le contact et me retourne vers vous. Tu me regardes dans les yeux un court instant avant de plonger sur son membre et de l'engloutir. Tu le suce encore, là, sous mes yeux, un moment, et je ne peux que constater l'étendue de ton talent en voyant sa réaction et sa queue durcir encore dans ta bouche.
"Putain c'est bon!" Dit-il en aggripant tes cheveux comme pour te diriger et imprimer le rythme auquel il veut profiter de ta bouche. Je vois la salive dégouliner le long de sa tige quand tu entreprends de la mettre aussi loin que possible au fond de ta gorge. Tu relèves la tête, sans cesser le va et vient de ta main.
"Elle est bonne ta queue." Lui dis-tu en le regardant dans les yeux avant que vos bouches ne se rejoignent une nouvelle fois. Puis tu replonges vers son bas ventre pour l'engloutir une nouvelle fois.
"Allume les phares et ouvre ta fenêtre" me lances tu entre deux coups de langue.
Avec un petit sourire, j'obéis sans discuter, pensant savoir ce que tu as en tête.
Lâchant sa queue, tu sors de la voiture par là gauche, remonte vers l'avant en passant à ma hauteur, accentuant ta démarche chaloupée pour me faire admirer ta croupe magnifiquement nue, tes seins toujours libres, simplement soutenus par les bonnets de ta guêpière, repliés en dessous. Lui, libéré de ton emprise, prenant tout de même la peine de remonter son pantalon pour ne pas être gêné en marchant, te rejoints par l'autre côté, sans que je n'y prête la moindre attention. Vous êtes maintenant tous les deux devant moi, de l'autre côté du pare-brise. Cambrant tes reins, tu prends appui sur le capot et plante ton regard dans le mien. Quelle vue magnifique ! Ton visage, tes yeux de chienne, parfaitement maquillés, et tes seins...
Il se colle à toi, par derrière, profitant un instant de tes courbes. Il caresse tes fesses, ta chatte, tes seins, aggripe tes cheveux. Tu remues ton cul, comme pour l'inviter à te pénétrer, ou tout au moins lui signifier ton envie, mais il semble avoir d'autres projets puisque, te saisissant fermement par les épaules, il te redresse et t'allonge à nouveau sur le capot, face à lui cette fois. Puis il se saisit de tes jambes pour les lever avant que son visage ne disparaisse entre tes cuisses. Il te dévore littéralement. Il est vrai que jusque là tu t'étais bien occupée de lui sans réclamer la pareille, mais tu ne caches pas ton plaisir. Saisissant tes seins à deux mains pour les caresser, tu te laisses aller à la "caresse" qu'il te prodigue. Il se sert de ses doigts maintenant, ayant reposé le creux de ton genoux sur son épaule. Tu gémis, cries même, et il accélère, accentue son mouvement. Tu le supplies d'arrêter, mais il a décidé de te faire jouir, et j'avoue avoir très envie de voir ça moi aussi. Le résultat ne tarde pas, ton corps se tend, et dans une série de spasmes incontrôlés, tu atteins l'orgasme tant attendu. Il te faut quelques secondes pour reprendre tes esprits, pendant lesquelles je peux lire la satisfaction sur son visage. Mais en bonne gourmande, tu n'es pas rassasiée pour autant. De sa poche il sort un préservatif qu'il enfile avec une certaine dextérité. Pointant son gland ainsi habillé sur l'entrée de ta chatte, il en écarte les grandes lèvres et joue ainsi avec un court instant, avant de s'introduire, progressivement au début puis d'un coup, jusqu'à la garde entre celles-ci. Nouveaux gémissements de ta part, ton corps se tend à nouveau. Il te tient toujours fermement tes jambes, grandes écartées, et commence son va et vient. Il accélère... Il te pilonne littéralement maintenant. Tu laisses échapper des cris incontrôlés, proportionnels à ton plaisir sûrement. Je sais combien tu aimes cette position, une ou deux jambes maintenues en l'air. Il te défonce et tes mains vont de tes seins à ta bouche, à tes cheveux, à son torse. Je vois ta poitrine balloter d'où je suis, et les efforts qu'il fournit. "Oui!!!" Cries-tu par moments, comme pour lui signifier avec ardeur qu'il est sur la bonne voie. Il te pilonne un bon moment comme cela puis ralenti un peu avant de se retirer doucement et de caresser ta chatte de ses doigts. Les introduisant par moments, Il étale un peu ton liquide jusqu'entre tes fesses, caresse ton petit trou, et recommence. Il finit par y introduire un doigt, puis deux. Je peux voir à ta réaction qu'ils sont en toi. Il travaille ton cul, le prépare visiblement, avant d'en caresser l'ouverture de son gland. Petites pressions répétées, comme pour en tester l'élasticité, puis il crache dans sa main avant d'étaler la salive là où ses doigts étaient enfoncés il y a quelques secondes. Sa queue remplace à nouveau des doigts. Il doit juger que tu est prête car il s'immobilise un peu et commence à forcer l'ouverture. Ton cul ne doit pas résister très longtemps, peut-être d'ailleurs n'attendais-tu que cela, car je peux deviner qu'il a réussi à entrer, mais juste le bout sûrement. Il marque une pause... et reprend son effort. Progressivement, mais sans marquer d'arrêt pourtant, son bas ventre est maintenant contre le tiens, signe qu'il est enfoncé entièrement. Nouvel arrêt, comme pour te laisser t'habituer à cette présence et te détendre, et il recommence ses mouvements de bassin. Tu respires fort, gémis... Il accélère et tu te laisses aller. Pas longtemps pourtant. "Attends" lui dis-tu dans un soupir tout en l'écartant de toi. Il est forcé de se retirer. Est-ce la douleur ? As-tu besoin d'une pause? Non, visiblement, tu as plutôt une autre idée en tête. C'est toi qui prends les commandes pour faire comprendre à ton étalon ce que tu réclames, ce dont tu as besoin, envie. Tu te redresses, il se recule, et tu te retournes, les mains sur le capot, face à moi, accentuant la cambrure de ton dos afin qu'il n'y ait pas de doute sur ce que tu veux, tout en plantant à nouveau ton regard de défi dans le mien. Il se rapproche, les yeux rivés sur ce cul magnifique dont tu lui offres de prendre possession à nouveau. Il le saisit entre ses mains et pointe à nouveau sur l'étroite ouverture. Tes yeux ne quittent pas les miens alors qu'il accentue la pression, mais quand tu les fermes je devine qu'il est entré au plus profond de toi encore une fois. Encore une image magnifique. L'expression de ton visage alors qu'il t'encule sans ménagement, mais n'était ce pas ce que tu réclamais ? Tes seins, libres, ballotants face à moi au rythme de ses coups de boutoir....
Plus il tape au fond de toi, plus tu t'affaisses sur ce capot. Les avants bras d'abord, tes seins touchent la tôle encore tiède, puis tout le buste. Il te bourre sans pitié, te tiens par les cheveux, claque ton cul de sa main, et tu en redemandes. Quelle chienne ! J'adore !
Les mots, les siens fusent maintenant.
-Putain c'est bon! Tu aimes ça salope !? Te faire défoncer le cul?
-Oui!!! J'adore !! Et tu le sais très bien !
Ne serait-ce pas la première fois qu'il use de tes avantages....? Je penserai à te poser la question plus tard. Mais pour l'heure, je me repais du spectacle qui m'est offet. Jaloux...? Pas vraiment. Passé l'émotion de la surprise de voir sa bien aimée possédée, temporairement, par un autre, et aidé par l'assurance de la complicité qui nous lie, je me régale à te voir chienne, sans aucune retenue.
Profitant d'un répit qu'il t'offre, peut-être plus à lui-même d'ailleurs, tu te redresses progressivement jusqu'à te tenir debout, toujours lui tournant le dos et me faisant face, ton regard à nouveau dans le mien, comme pour mesurer ton pouvoir et l'effet que ce spectacle peut avoir sur moi.
Il a retiré son préservatif. Tu en profites pour te saisir de sa virilité et, t'en servant pour le diriger, sans un mot et sans quitter mon regard, tu l'entraîne avec toi. Vous contournez la voiture pour vous arrêter à ma hauteur, devant la fenêtre ouverte.
- Ça te plaît toujours ?
- À ton avis ? Dis-je avec un sourire.
- Tant mieux parce-que moi je prends mon pied. Je me fais défoncer !
Nouveau sourire en guise de réponse.
Tu n'as toujours pas lâché sa queue. Tu t'agenouilles devant lui pour le sucer encore un peu. Cette fois, je suis aux premières loges pour assister à la scène et mesurer à nouveau en connaisseur l'étendue de ton talent. Tu dois juger qu'il en a eu suffisamment car tu te redresses, lui tournant le dos, pour venir t'accouder à la portière. Tu passes la tête dans la voiture, tout près de mon visage, je me demande si tu vas m'embrasser, mais tendant la main, tu me demandes :
"Regarde dans mon sac s'il te plaît, il doit y avoir des capotes."
Salope!!! Tu as tout prévu !
Je trouve assez facilement ce que tu me réclame et je t'en tends une, que tu tends à ton tour, sans te retourner, à ton "jouet" qui se maintient raide. Pendant qu'il l'enfile, tu te penches à nouveau vers moi, et cette fois ta bouche part bien à la rencontre de la mienne. Je suis surpris et ne sais pas trop comment interpréter ce baiser. Marque d'affection, de complicité ? Ou plus simplement désir pervers de me faire partager le goût de sa queue ? J'en profite pour caresser tes seins, et toi ma queue bien dure à travers mon pantalon. Vas-tu me demander de me joindre à vous ? J'en doute, mais je n'ai pas le temps de me poser plus longtemps là question car, ta bouche toujours collée à la mienne, je sens qu'il a repris son labeur. Nos bouches se quittent, tes yeux fermés, et j'observe à nouveau le spectacle sous cet angle différent. Il te tient fermement par les hanches, les cheveux, claque ton cul. Combien de temps va-t-il tenir le rythme !? Il est en sueurs, et toi aussi. J'en profite pour saisir et caresser tes seins qui bougent devant moi, frottant par moments sur le rebord de la portière. Il tape, de plus en plus fort! Il t'insulte :
-Espèce de grosse pute! Ça te plaît ça, hein?
-Oui! J'adore ! Réponds-tu dans un soupir.
-T'aimes ça te faire défoncer devant ton mec!
-Oui!! Vas-y ! Défonce moi plus fort ! Montre lui!
Je souris à ces mots. C'est vrai que tu es une pute ! Ou en tous cas, tu la joue très bien.
Il mets toute son énergie et son ardeur à essayer de te faire jouir. Va-t-il y arriver !? Tu n'es pas loin, je te connais et je le vois. Tu te crispes, chancelle dans un nouveau spasmes. Objectif atteint.
Il continue à taper au fond de ta chatte, mais avec son seul plaisir pour objectif cette fois. Il s'agrippe fort à tes hanches, à tes fesses. Il est au bord de l'explosion, mais il réussit dans un effort à se retirer, saisissant sa queue pour retirer le bout de latex. Tu as bien reçu le message et il n'a pas de directive à te donner pour que tu viennes t'accroupir devant lui et le reprenne en bouche. Il se branle littéralement dans ta bouche que tu ouvres grand t'ecartant légèrement.
Dans un râle il décharge tout son sperme sur ton visage et dans ta bouche ouverte. Tu en es couverte, mais tu es insatiable ! Prenant à ton tour sa queue en main, tu en entreprends un nettoyage en règles. Tu la lèche, la branle, l'aspire pour en extraire jusqu'à la dernière goutte, le tout en le fixant dans les yeux. Puis tu te tournes vers moi, la bouche entrouverte, toujours pleine de son foutre. Tu te redresses, t'approches de moi... Je crains le pire.
Plantant à nouveau ton regard dans le mien, tu fermes la bouche et en avale tout le contenu, avant d'en recueillir de ton doigt sur ton visage et de le lècher avec délectation.
Quel spectacle !
Mais là soirée n'est pas finie, du moins pas pour nous deux...
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Commentaires de l'histoire :
Cocuforever
J'adore vos récits et je n'ai pas honte de le dire, je me suis fait du bien en les lisant. J'espère que ceci n'est que le début de l'histoire. Mon épouse apprécie aussi ces situations décrites; sans doute parce que nous les vivons. Vivemeny d'autres histoires
Posté le 12/09/2018
Patden77
J'aimerais bien lire la suite de ton retour Comment ta femme s'est faite défoncé
Posté le 25/08/2018
Mariepat17
Génial, j'ai publié une histoire identique "le restaurant et le retour"" expérience géniale, bravo
Posté le 20/08/2018
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