Il habite ici. Elle habite là. Trop de distance. Pas assez de temps. Il lui écrit ce qu’il aimerait faire la prochaine fois. Il le lui lit aussi de temps en temps.
Proposée le 27/05/2022 par Alanis
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Il habite ici. Elle habite là. Trop de distance. Pas assez de temps. Il lui écrit ce qu’il aimerait faire la prochaine fois. Il le lui lit aussi de temps en temps. Alors elle se fait plaisir au son de sa voix, sachant que bientôt elle suivra le script de ses désirs pour lui laisser les plus merveilleux de ses souvenirs.
—
Je t’embrasse. Je te caresse. Je t’excite à travers la lingerie. L’étoffe te moule, mes doigts glissent, ma langue insiste. Tu es domptée, presque hypnotisée. Je le vois bien: tu es toute trempée. J’en profite pour te retirer le bas. J’essuie ta chatte avec. J’éponge autour, je l’enfonce un peu, toute imbibée. Plus tard, quand tu ne seras plus là, je m’enivrerai de toi. Mais maintenant, je reviens à ce présent qui est en face de moi, fascinant, ouvert en grand, où l’instinct me pousse à m’engloutir. Je plonge. Je m’y noie. Tu jouis de ma bouche puis de mes doigts. Une fois, deux fois, trois fois. Tu cries. Tu te laisses aller parce que tu sais que nous ne faisons que commencer. Et puis tu aimes savoir que je m’en rappellerai.
Une pause. On cause. On se repose. On sourit de ce qu’on ose.
Mais après un moment, je ne tiens plus. La bite tendue, je veux être sucé, je veux être tenu. Je te prends la tête. Aujourd’hui tu vas jouer la goulue. Je me frotte, je te tapote, puis je te l’enfonce gentiment jusqu’à la glotte. Je veux que tu me goûtes nature et assez longtemps pour te raviver le souvenir unique de moi. Bien t’ancrer le goût de ma bite pour les fois où elle te manquera, où tu aimerais que ce soit moi. T’en imprégner avant que nous baisions et que nous mélangions tout, nos jus et nos goûts. Satisfait, à quatre-pattes, je passe de bouche en chatte. Par ici et par là, on tourne et j’y reviens. Je te tiens par les épaules. Je te saisis les reins. Quand enfin je te retourne et je t’enfourne, face à face. Je pousse. Tu t’écartes et tu me gardes en place. Qui baise qui ? On n’en sait rien. On s’en fout, c’est un tout.
Je me retire à la limite du plaisir. Tu es sur le dos, je chevauche tes seins. Tu me sens frôler ton menton et continuer à avancer - explorer comme à tâtons un terrain bien familier: tes joues, ta langue, ton front, tes lèvres, ton nez… oh, comme je les connais ! Tu oscilles la tête de droite à gauche et me fait passer d’une joue à l’autre. J’adore combien tu aimes provoquer mon excitation, la contrôler, la sentir monter, la libérer, l’accepter. C’est alors que tu me prends en main pour me forcer à me laisser aller. Je n’en peux plus. J’éclate et je t’en fous partout. Je n’en peux plus et pourtant tu continues. Enfin repu, tu me sens glisser, toujours raide mais complètement vidé, entre tes seins et plus bas encore pour m’y enfoncer. Je me glisse en toi et te re-baise de plus belle, excité à la vue de ton visage si près face au mien, abandonnée. Et toi, que tu es belle au bord de l’orgasme, couverte de mon plaisir, noyée sous nos excès.
Je n’en peux plus mais une fois encore, je te regarde et je te rejoins. Vas-y, goûte moi, avale moi, et surtout ne m’oublie pas.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email