Cédric est un homme d'environ 35 ans qui se rend dans la ville de Nantes. Lors d'une promenade il rencontre son amie de collège, son premier baiser… Ils vont se retrouver..
Proposée le 20/01/2022 par Mahorde
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
(Cette histoire se base sur des faits réels, les noms des lieux et des personnes ont été modifiés de même que certaines données.)
Il faisait un grand soleil ce jour là : chose assez rare à Nantes surtout pour un mois de janvier. Je venais de sortir d une réunion et il était midi. Prenant un rapide sandwich je décidai de flâner dans les rues commerçantes pour profiter du bon air. Je ne reprenais qu’à 15h, l avantage d’être en déplacement.
J habitais le sud mais j’avais passé toute mon enfance et mon adolescence dans cette ville. Les souvenirs remontaient dans ma mémoire.
C est alors que je la vis. Elle sortait d un magasin de perles. Je reconnu la silhouette et surtout son visage. Il n avait pas changé. Sa peau couleur caramel, ses cheveux d un noir de jais et surtout son visage aux petites joues rebondies. Najaf. Mon premier amour. Mon premier baiser.
Elle tourna les talons et commença à s éloigner. Je m élançais rapidement derrière après elle et me permit de la rattraper en lui posant la main sur l épaule.
Elle se retourna prête à sermonner le malotru qui osait la toucher ainsi.
Ses yeux changèrent d expression quand elle vit mon visage et bientôt un sourire parcourut le sien.
- Cédric ?!
- Bonjour Najaf fis je avec un sourire en coin.
Elle était juste devant moi et je pouvais désormais admirer ce visage et ce corps qui avait fortement évolué depuis ses 11 ans…
Elle était magnifique. Ses yeux noirs et profonds étaient soulignés d un trait eye liner qui intensifiait son regard. Sa peau respirait un parfum de vanille de Madagascar ; elle était originaire des îles donc ce parfum lui convenait parfaitement. Enfin sa bouche, qui déjà était un délice quand j y goûtais au collège, semblait pulpeuse et gourmande à la fois.
Elle me dévisagea puis jeta un coup d œil rapide au reste de mon corps. Elle se permit un sourire non dissimulé ; une chance pour moi de me trouver dans mon complet bleu marine du boulot qui faisait ressortir mes yeux gris.
Nous discutâmes un moment. Elle n avait jamais quitté Nantes mais son travail dans la mode lui permettait de voyager beaucoup. Au bout de quelques minutes à discuter je lui proposais un café. Elle accepta et nous partîmes place royale où une terrasse gorgée de soleil nous attendait.
Tandis que nous nous racontions nos vies, nos yeux dévoraient littéralement l autre. Elle était plus petite que moi ce qui n était pas pour me déplaire, la même taille que ma femme. Elle avait de jolies formes mais la saison l obligeait à porter une sorte de grand chandail ample qui me cachait le plus intéressant… J’appris qu'elle avait des enfants comme moi ce qui renforça mon admiration devant ce corps peu marqué par la maternité. A un moment elle se redressa soulevant légèrement son chandail pour se rasseoir correctement. Elle dévoila durant un instant des hanches envoûtantes sur lesquelles on devinait des formes moelleuses et appétissantes. Je n avais jamais été fan des femmes squelettiques et longiligne. Les courbes m attiraient beaucoup plus. Elles témoignaient de femme de caractère, indépendante qui connaissaient la vie.
Notre discussion était sans fin, on se rappelait nos bons moments riant parfois aux éclats devant notre innocence de jeunes ados. Notre premier baiser arriva très vite dans la discussion et une certaine chaleur sembla se dégageait de notre table. Nos bouches parlaient mais nos yeux eux employaient un tout autre langage. En changeant mes jambes de position, je sentis mon pied effleuré son mollet. Prétextant ne pas être bien assis je bougeais à nouveau, renouvelant la caresse de façon un peu plus insistante cette fois. Je m excusais aussitôt de façon à donner le change. Elle répondit qu'il n y avait pas de mal mais imperceptiblement elle rapprocha sa chaise de sorte qu'au bout de plusieurs minutes nos jambes se touchaient a plusieurs endroits. Mon corps était parcouru de frissons.
A force de discussion j’appris que son atelier ne se trouvait pas très loin et elle m invita…à y jeter un œil. Il était presque 14h mais j acceptais l invitation.
Une fois sur place elle me fit visiter les lieux. J’appris qu elle habitait juste au dessus. Son mari n’était pas là aujourd’hui. Dans ma tête je commençais déjà à imaginer un scénario coquin. Elle dut s’apercevoir que je n étais pas très attentif aux différentes tenues qu’elle me montrait. Alors, elle me montra un autre pan de sa collection. Ma gène du se voir sur mon visage quand elle me présenta de la lingerie fine. Par défi je lui demandais si elle portait cela pour son mari. Elle en superposa un par dessus son chandail en me disant :
- Ca m’arrive oui.
Elle enleva son chandail révélant un haut moulant de couleur beige.
Ma stupeur dut se lire dans mes yeux quand je vis la taille de sa poitrine…elle aussi avait bien grandit depuis le collège…
La belle possédait à vue d œil un magnifique 95E ce qui n était pas pour le déplaire. Je ne me gênais pas pour reluquer ses seins tandis qu’elle continuait à me présenter d autres vêtements. Prenant une tenue sur un montant, elle fit tomber quelques cintres et s empressa de se pencher pour les ramasser.
Le petit haut moulant se releva révélant la bordure d un tanga de dentelle bleue. Il me sembla qu’elle prenait bien son temps pour ramasser les cintres. Instinctivement je me rapprocher d’elle, ma veste me gênait et l excitation me tordait le ventre. J aurais pu toucher ses fesses juste en tendant le bras.
C est le moment qu’elle choisit pour se relever. Elle recula de quelques pas avant que j ai eu le temps de bouger et se plaqua sur moi.
Je sentis ses fesses rebondies frotter contre ma queue qui était dur comme du bois depuis plusieurs minutes. Elle tressaillit à cette sensation.
Elle savait que je bandais fort et en se retournant elle me jeta un regard qui en disait long. Elle fit exprès de passer si près de moi pour sortir de la rangée de montants que sa poitrine frotta légèrement sur mon torse.
Je mis quelques minutes à redescendre. Elle, elle semblait amusée par la scène. Tout en marchant elle n hésitait pas à mettre en valeur ses formes ce qui augmentait mon excitation.
Je regardais l heure et vit qu'il était 14h55. Nous échangeâmes nos numéros et convinrent de se retrouver une autre fois. Je m’empressai de regagner le travail encore tout excité à l idée de ce qui venait de se passer.
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