Mélodie, premières et dernières hésitations

Comment accepter ce qui lui arrivait? Comment assumer avoir aimer ça? Comment pourrait elle se regarder dans une glace en se sentant sale.... et en ayant aimé ça?

Proposée le 11/04/2022 par DomiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Leur dernière rencontre datait de deux jours. Elle avait été occupée là encore. Assez pour penser à autre chose. Pour oublier comment il l'avait traité. Pour oublier ce qu'elle avait été ce jour là. Un simple vide couille. Un sac à foutre. Un morceau de viande. Une fois rentrée chez elle et douchée, elle avait ressenti l'humiliation.

Jamais, ô grand jamais, elle n'aurait pensé un jour être traitée comme ça. Et encore moins l'accepter et se laisser faire. Elle avait presque faillit pleurer une fois seule dans son lit. Presque car elle devait aussi reconnaître que repenser à tout ça l'excitait aussi. « Je dois être folle » se dit elle.

Le fait d'avoir été sale, humiliée lui provoquait un désir qu'elle ne savait expliquer. Heureusement, son emploi du temps lui avait permis de mettre ces questions de côté. Aussi, quand elle entendit son téléphone biper en rentrant chez elle à 18 heures, elle prit le temps de respirer avant de regarder si c'était lui.

Après quelques instants, elle finit par craquer. Elle regarda. C'était bien lui. Elle hésita avant d'ouvrir le SMS. Que devait elle faire ? Tout oublier et arrêter maintenant ? Continuer et assumer ce qu'il avait fait d'elle et ce qu'il lui ferait encore ? Elle était tiraillée entre la honte et le désir. La honte de l'image qu'elle se renvoyait et le désir qu'il en fasse encore plus et qu'il lui révèle totalement cette face d'elle même qu'elle ne connaissait pas.

Sans prendre de décision, elle ouvrit le message. Pour y lire ceci :
« Bonsoir Mélodie. Tu seras chez moi à 21 heures. Tu ne porteras que ce que j'ai laissé dans ta boite aux lettres. Et prends de quoi te changer pour demain matin car nous passerons la nuit ensemble. Ton Maitre »

Ce message était troublant, excitant et inquiétant à la fois. Troublant car presque tendre avec cette promesse de nuit ensemble. Excitant car elle avait hâte de savoir ce qui se trouvait dans sa boite aux lettres. Inquiétant car il ne lui laissait pas le choix et ne lui demandait pas son avis.

Elle n'était pas plus avancée. Elle décida de repousser encore sa décision. Elle sortit et récupéra ce qui l'attendait dans sa boite aux lettres. Une fois chez elle, elle ouvrit le colis pour découvrir une petite robe blanche. Des bretelles fines, un décolleté qui ne laisserait aucun doute sur ce qu'elle porterait en dessous. Courte mais pas trop. Très jolie. Et assez chère vu la marque. Elle était accompagné uniquement d'un string en dentelle blanc et d'une paire d'escarpins très discrets.

Elle se changea en quelques instants et alla s'admirer dans la grande glace de sa chambre. Elle était très jolie là dedans. Il avait très bon goût. Et un sacré coup d’œil car tout était parfaitement à sa taille. Elle tourna sur elle même pour s'apercevoir qu'elle aurait parfaitement pu s'acheter cette robe. Enfin, si elle n'avait pas coûté aussi cher.

Personne n'aurait pu deviner dans quel état d'esprit cette robe avait été acheté. Car à n'en pas douter elle allait être souillée de luxure. Alors qu'on dirait presque une vierge insoupçonnable dans cette tenue.

« Que faire maintenant ? » se demanda t'elle.
Elle attrapa son téléphone, regardant l'écran dans le vide, cherchant dans l'effet miroir de l'écran de son smartphone une réponse. Et justement, ce fut ce reflet qui lui donna la réponse.
« Et merde, allons au bout ». Elle déverrouilla l'écran et répondit laconiquement :
« Bien Maitre »

21h approcha vite. Elle se prépara puis parti à pied de chez elle. Encore une fois, elle fut vite devant chez lui et ensuite vite devant sa porte. Il ouvrit et l'accueilli avec un sourire bienveillant.
« Bonsoir Mélodie. Entre »
Il lui glissa un doux baiser sur les lèvres avant de fermer la porte. On aurait presque dit une rencontre amoureuse. Puis elle vit le collier en cuir dans ses mains. Ce qui la ramena sur terre. Elle savait ce qu'elle devait faire. Sans un mot, elle s'agenouilla et souleva ses cheveux.

Elle le vit sourire et il lui passa son collier autour du cou. Il l'invita à se relever et elle le suivit dans le salon. Elle remarqua quelque chose de nouveau. Un grand miroir. Posé face au canapé. Il alla s'asseoir en face puis il l'invita à le rejoindre.

« La robe te plait ? »
« Oui Maitre. Merci »
« C'est évidemment un cadeau. Tu peux la garder et la porter quand tu veux »
« Merci. »
« Tu as hésité avant de venir ? »
Elle ne savait pas quoi dire. Il semblait lire en elle sans aucune difficulté.
« Oui.... je suis désolé »
« Ne t'excuse pas. Qu'est ce qui t'a décidé à venir ? »
« Je..... » elle semblait hésiter sur sa réponse.
« Réponds honnêtement sans aucune crainte »

Elle le regarda dans les yeux, ne sachant pas comment formuler ce qu'elle voulait dire. Alors elle choisit une forme plus directe. Elle attrapa sa main et vint la placer entre ses cuisses. Directement sur sa chatte à travers le tissus fin de la robe et la dentelle. Il ne cacha pas son sourire.

« Tu aimes ce que j'ai fait de toi ? »
« Oui Maitre »
« Tu es prêtes à voir jusqu'où tu pourras aller ? »
« Oui Maitre »
« Très bien. Vient t'asseoir sur mes cuisses »

Elle failli ne pas comprendre mais elle vint rapidement sur ses jambes. Face au miroir. Elle réalisa à quoi servait ce miroir. Et elle remarqua la caméra qui était posé juste à côté. Il allait tout filmer. Mais elle s'en moquait. Son désir avait pris le dessus et fait monter la température de plusieurs degrés entre ses cuisses.

De ses deux mains il fit remonter la robe bien au dessus de ses cuisses, dévoilant son entrejambe grand ouvert et son sexe tout juste recouvert par la dentelle. Elle ne loupa pas cette image dans le miroir. Elle ressemblait à une vierge indécente. Avec un sourire de salope en chaleur en prime.

Sa main à lui vint se glisser entre ses jambes et délicatement il écarta le string. Et sans attendre il joua avec son clito. De manière très experte remarqua t'elle. Elle se laissa faire, se regardant dans le miroir, oubliant la caméra. Elle ne fit rien pour retenir ses gémissements. Elle voulait qu'il sache le bien qu'il lui procurait.

Elle fut trempée en quelques minutes à peine. Ses doigts étaient magiques se dit elle. Elle sentit son plaisir venir. Autant par l'action de sa main que par l'image qu'elle voyait dans le miroir. Le meilleur des films pornos ne lui aurait pas renvoyé une image aussi chaude et excitante. Elle voyait les contractions involontaires de ses cuisses, ses mouvements désordonnés du bassin.

« Tu veux jouir ? » lui susurra t'il à l'oreille
« Ouiiii » souffla t'elle
« Alors vas y, ne te retiens pas. Aujourd'hui jouis autant que tu veux. »

Elle se regarda droit dans les yeux dans le miroir et ne vit qu'une chienne, assoiffée de sexe. Et elle délivra son premier orgasme. Dans un grand cri son ventre se contracta violemment. Il ne relâcha pas ses mouvements frénétiques sur son clitoris et fit durer son plaisir près d'une minute. Avant de ralentir simplement, la laissant reprendre difficilement son souffle.

Mais ce répit ne dura quelques instants, car elle était à peine revenue sur terre qu'il plongea deux doigts en elle. Trouvant immédiatement cette zone si particulière, cette zone un peu plus rugueuse à l'intérieur de son sexe. Cette zone qui allait lui donner un second orgasme, à la fois différent du premier et plus puissant.

Se rappelant qu'il lui avait dit de se lâcher, elle laissa monter son plaisir de nouveau et en moins de deux minutes elle eut un nouvelle orgasme. Ses deux cuisses se fermèrent sur sa main, lui faisant presque mal. Mais il était assez fort pour pouvoir continuer à la doigter et à bouger ses doigts en elle tandis qu'elle hurlait de plaisir comme jamais. Il fit encore durer son plaisir un certain temps puis ralentit de nouveau.

« Tu en veux encore ? »
« Je..... Oui.... non...... » Elle hésitait. C'était tellement bon. Trop bon même. Jamais elle n'avait été mise dans un tel état.
« Je vais décider pour toi alors »

Et tout en laissant deux doigts de sa main droite dans sa fente trempée, sa main gauche vint jouer sur son clito. Il la stimulait de manière vaginale et clitoridienne à la fois. Avec de tels doigts, elle risquait de devenir folle se dit elle. Elle se regarda dans le miroir. Décoiffée, la bouche ouverte pour tenter de reprendre son souffle, les joues rouges, les seins à l'air car les bretelles avaient glissées sur ses épaules. Exposée de manière plus qu'indécente, les cuisses ouvertes. Elle était un jouet entre ses mains et à cet instant, elle se promit de ne plus douter, quoi qui lui arrive.

En moins de 5 minutes, ses doigts sur son clitoris et dans sa fente arrivèrent de nouveau à leurs fins. Elle hurla à s'en claquer les cordes vocales, son corps se tendit tellement fort qu'elle faillit tomber de ses genoux. Cet orgasme était presque douloureux tellement il était puissant. Et il fit le nécessaire pour le prolonger. Jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter....

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