Histoire Erotique

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Mélodie, douce Mélodie

L'initiation d'une soumise. Une découverte du sexe bestial par une jeune femme sachant ce qu'elle cherche mais n'ayant aucune idée de ce qu'elle va trouver....

Proposée le 21/03/2022 par DomiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Elle a 19 ans. Un corps fin et sportif. Sculpté sans être musclé. De jolis petits seins posés sur des hanches étroites. Le tout accompagné d'un très joli visage et d'une longue chevelure brune. De quoi satisfaire les désirs et les envies de n'importe quel mec. D'ailleurs, elle n'avait aucun problème à se trouver un mec si elle en ressentait le besoin. Oui mais....

Mais ce n'est pas un mec qu'elle veut. C'est un homme. Un homme qui la fera se sentir femelle, qui libérera cette envie de cul, cette envie de baise qui lui tenaille le ventre depuis longtemps maintenant. Depuis aussi longtemps qu'elle s'en souvienne en fait.

Un homme qui la traitera comme un jouet de plaisir. De leurs plaisirs à eux deux. Et qui oubliera son joli visage et son allure de princesse pour voir la chienne qui couve en elle. Un homme qui s'occupera d'elle et lui permettra enfin d'être elle même.

Tout les mecs qu'elle a connu l'ont bien traité. Trop bien même. Aucun ne lui a proposé de choses sortant de l'ordinaire. Une levrette, une missionnaire, une ou deux variantes et basta ! Même pas une proposition de sodomie ou un qui se lâche « par inadvertance » dans sa bouche.

Frustrant. Elle a besoin de se sentir femelle, femme ! De sentir qu'un mec perds tout contrôle devant le désir de son corps et qu'elle va servir à assouvir cette envie !

Voilà pourquoi, en ce beau jour de printemps, elle se rend à un rendez vous avec un quasi inconnu. Quasi car ils parlent depuis un certains temps ensemble. Inconnu car ils ne se sont jamais vus.

Elle sait à quoi il ressemble. Elle connaît aussi son age. Plus du double du sien. Mais ça, elle s'en moque. Après tout c'est ce qu'elle cherche. Un homme expérimenté qui saura enfin s'occuper d'elle comme elle le souhaite.

Elle était là en train de marcher sous le soleil, dans cette rue un peu fraîche encore. Vêtue d'un chemisier blanc et d'une petite jupe noire. Pas trop courte mais au dessus du genou quand même. Elle avait été surprise de voir son allure dans cette tenue. Elle faisait femme et non plus jeune femme. Et elle avait été heureuse de l'image qu'elle renvoyait ainsi.

Elle avait juste rajouté un peu de rouge à lèvre, mais léger, des talons, des bas et un string. Ses seins n'avaient pas besoin d'un soutien gorge pour être mis en valeur, alors autant s'en passer s'était elle dit.

Elle en était à ce stade dans ses pensées quand elle arriva devant chez lui, presque sans s'en rendre compte. D'un seul coup, une bouffée de chaleur, une montée de stress.

Que faisait elle ? Qu'allait elle faire ! « Je suis folle ! » se dit elle. En plus, elle savait ce qui l'attendait. Elle allait se faire baiser, être ramenée à l'état animal d'objet sexuel ! « Franchement je suis folle ! » se répétât elle.

Mais sans même y penser, presque sans s'en apercevoir, son doigt appuya sur l'interphone.

« Les dés sont jetés.... » se dit elle. Il se passa quelques secondes sans aucune réponse. Sans rien. S'était elle trompée d'adresse ? S'agissait il d'un fake ? Elle ne pouvait pas savoir qu'il faisait exprès d'attendre pour faire monter légèrement son stress. Il l'avait vu arriver depuis sa fenêtre. Et il était heureux de ce qu'il avait vu.

Le bruissement électrique de la porte qui se déverrouille finit par se faire entendre. Elle tira la porte puis entra dans le hall. Elle savait à quel étage elle devait se rendre. En tentant de calmer sa respiration, elle monta les marches.

Elle arriva rapidement devant la porte de son appartement. Un nouveau coup de stress. Quel envoya rapidement balader d'un « eh merde.... ». Elle toqua à la porte. Doucement. Tellement doucement qu'elle eut peur qu'il ne l'entende pas. Alors elle retapa un peu plus fort tout de suite. « T'es une cruche ! S'il ne sait pas que tu es nerveuse maintenant.... » ne put elle s’empêcher de penser.

Là encore, après quelques secondes, la porte s'ouvrit. Elle le découvrit pour la première fois de ses propres yeux. Conforme aux photos qu'il avait envoyé. C'est un bon point. Moins beau gosse que les mecs de 20 ans dont elle avait l'habitude. Mais il en avait plus du double. Mais il était aussi moins lisse. On voyait qu'il avait du vécu et ça lui plaisait.

Grand, brun. Sportif. Bon, là encore pas comme un sportif de 20ans. Mais on voyait qu'il s'entretenait et c'était le principal. Mais elle oublia rapidement ça pour remarquer son sourire. Un sourire bienveillant. Chaleureux. Rassurant quoi. Elle ne put s'empêcher de sourire en sentant chauffer ses joues.

Puis elle remarqua son regard. Et là elle y lut de l'assurance. Il était sur de lui. Et elle y lut aussi une pointe de bestialité. Rien de méchant, rien de violent. Mais son regard lui donnait l'impression d'être une petite fille qui allait se faire manger par le croque mitaine.

« Bonjour Mélodie. Entre »
« Bonjour »
Sans réfléchir elle pénétra chez lui et elle l'entendit fermer la porte dans son dos.
« Tu es très jolie. Cette tenue te vas très bien »
« Merci ».
Elle ne savait pas quoi dire d'autre. Il la guida dans le salon et l'invita à s'asseoir dans le canapé puis il s'installa à côté d'elle.

« Tu veux boire quelque chose ? »
« Oui »
« Que veux tu ? »
« Ce que tu auras »
Elle était incapable de réfléchir, incapable de prendre une décision à ce stade. Elle était submergée par le stress. Mais absolument pas par la peur. En fait, sa seule peur était de faire un faux pas, de briser tout ça, que lui dise stop.

Il se leva, la laissant seule. Autant pour servir le verre que pour la laisser tranquille pour reprendre ses esprits. Il prit tout son temps et revint avec deux verres de vin. Rouge et fruité. Rien de trop fort. Elle prit son verre en le remerciant et trempa ses lèvres dans le vin pour se donner une contenance. Le liquide coulant dans sa gorge eut un effet calmant.

Elle le regarda alors de nouveau. Dans les yeux. Et elle y lut toujours cette assurance. Mais teintée d'une pointe de bienveillance cette fois. Un regard qui dit « calme toi, ça va bien se passer ». Et lui sourit alors, signe qu'elle était prête à discuter.

Il la regardait droit dans les yeux. Puis sa main s'approcha d'elle. Sans un mot. Elle n'osa pas bouger. Et d'un geste sur il fit sauter les deux plus hauts boutons de son chemisier.

Il était alors ouvert juste en dessous de ses seins. Et il ne fit pas semblant. Il ouvrit pleinement le chemisier, dévoilant ainsi ses seins nus. Il avait une vue directe et il ne fit pas semblant de ne pas regarder.

Sa main glissa alors dans le chemisier et s'empara d'un ses seins. Pas une caresse. Une véritable prise en main. Il sentit tout de suite son téton dur et tendu sous ses doigts. Et il entendit sa respiration accélérer.
« Tu as de jolis seins »
Moins de 5 minutes qu'elle était là et il lui touchait déjà les seins. « Ça promet » se dit elle.

« Merci. Ils ne sont pas énormes mais je les aimes bien »
« Tu peux. Et c'est joli. Trop gros ce n'est pas intéressant je trouve »
Elle tourna la tête et remarqua enfin ce qui était sur la table. Un collier. En cuir noir. Et une laisse. Comment avait elle fait pour ne pas le voir avant ?! Il vit son regard.
« Tu ne l'avais pas vu ? »
« Non »
« Tu en penses quoi ? »

Sa main changea de seins. Une caresse forte, appuyée. Qui ne demandait pas l'accord ou qui n'était pas là pour inviter à la suite. Cette main prenait possession sans demander d'avis. Et c'était tant mieux se dit elle. Sinon elle pourrait refuser.

« C'est.... intrigant.... »
« Tu as envie de le porter ? »
Elle s'apprêtait à répondre « Oui » quand il la coupa.

« Attention. Si tu dis « Oui », tu acceptes d'être mienne, tu acceptes de fait tout ce qui se passera ensuite. Tu acceptes que je ne te demande pas si tu es d'accord. Je respecterai les limites dont nous avons parlé. Mais en dehors de ça, tu seras mon esclave sexuelle. Et je vais te baiser sans me retenir. Tu seras mienne. MA chienne. Alors maintenant que tu sais ça, donne moi ta réponse »
Elle le regarda droit dans les yeux, sentant sa main sur ses seins. Puis sans hésiter, elle dit « Oui ».

Immédiatement, il sourit, retira sa main et lui dit :
« Lève toi. En face de moi »

Elle obéit. Son ton avait changé. Moins charmeur. Plus autoritaire. Et cela la ramena à la raison de sa présence. Une fois face à lui elle attendit ses ordres. Car elle savait que c'était ce qui l'attendait.
« Nue. Entièrement »

Elle ne prit pas le temps de réfléchir de peur de reculer et commença par finir d'ouvrir son chemisier. Dans le même temps, elle le vit déboutonner son pantalon. Son chemisier finit sur une chaise et elle attaquait sa jupe quand il sortit son sexe. Pas comme un pervers. Plus comme une promesse. Elle ne put s'empêcher de le regarder, déjà bien dur. Elle finit de se déshabiller comme un robot et s'offrit nue à son regard.

Heureux de ce qu'il voyait, il se leva et vint se placer dans son dos.
« A genoux »
Là encore, sans réfléchir, elle obéit. Elle le vit du coin de l’œil attraper le collier. Puis il vint se placer face à elle. Son sexe presque à hauteur de son visage.

« Relève la tête et relève tes cheveux. »
Elle obéit en le regardant dans les yeux. Et sans un mot, il plaça le collier sur son cou et le ferma. Voilà, elle était une chienne. Une soumise. C'était un fait, plus un fantasme. Elle posa alors sa main sur sa queue bien raide. Mais tout de suite il l'arrêta.

Il prit alors la laisse et l'attacha. Et en tirant sur la laisse, il la releva. Comme un animal. Puis, en souriant, il la retourna et la poussa vers le canapé. Elle tomba à genoux, sur l'assise du canapé, lui tournant le dos. Lui offrant sa croupe.
« Je ne veux pas commencer par ta bouche »
Il l'attrapa par les hanches et elle sentit son sexe à l'entrée de sa chatte. Il allait la baiser, là comme ça, directement sans presque aucun préliminaire. Presque seulement car elle était suffisamment excitée pour être humide. Ça allait être bestial. Elle ne put s'empêcher de sourire même s'il ne pouvait le voir.

Et lentement mais sûrement, il poussa et entra dans sa chatte. Une prise de conquérant, d'homme sur de lui. Son gland glissa sans problème et ouvrit bien son sexe. Puis sa hampe s'enfonça en elle. Elle échappa un gémissement, presque une feulement de plaisir et à l'instant où il atteignait le fond de son ventre, il l'attrapa par les cheveux, lui tirant la tête en arrière violemment.
« Maintenant je vais te baiser Melodie. Et tu vas adorer ça ».

Il ponctua sa phrase d'un bon coup de rein qui lui arracha un cri. Sa tête tirée en arrière par les cheveux, sa chatte prise bestialement, elle ne pouvait plus nier ce qu'elle était.

Il la baisa alors sans aucune retenue, la traitant de salope, de chienne. Et ses réponses tenaient dans des gémissements de plaisirs et des cris sous la violence des pires coups de reins. Elle était parfaitement cambrée sous ses yeux et il se donna pour mission de la faire crier. Qu'elle se souvienne de cette première baise.

Elle était presque à s'aplatir tellement il y allait fort. La puissance de ses coups de reins n'avait rien à voir avec ce qu'elle avait déjà connu. Il la baisait. Point. Elle était un morceaux de viande, tout juste bonne à encaisser sa bite.

Et cette pensée la fit jouir sans qu'elle le sente venir. Elle hurla son plaisir, bouche grande ouverte, tête tirée en arrière. Il ne ralentit pas. Bien au contraire. Elle tomba à plat ventre, agrippant les sièges du canapé pendant qu'il la défonçait. Elle était sans défense et elle aimait ça.

A sa plus grande surprise, il sortit d'elle. Puis en la tenant par les cheveux, il la fit se relever et l'emmena dans la chambre. Il la jeta sur un grand lit et elle tomba sur le dos. Cuisses ouvertes.

Dans une lueur de folie, elle le défia du regard. Elle le défia d'aller plus loin. D'oser. Ce regard le fit tilter. Il ne perdit pas une seconde, s'agenouilla entre ses jambes et la prit d'un violent coup de reins.

Elle échappa un cri de douleur et de soulagement devant la puissance de cette bite. Et sans attendre, il reprit son pilonnage de son entrejambe.
Il se pencha sur elle et elle s'attendait à un baiser quand sa main passa derrière sa nuque et l'agrippa.
« Tu aimes ça alors petite chienne ? »
« Ou...ii »
« Alors dis le »
Une nouvelle envie de défi la prit. Son visage était à moins de 20 centimètres du sien, elle sourit et lui dit :
« Fais le moi avouer »

Sans un mot, il sourit et lui lâcha les pires coups de reins possibles. Elle était presque à sortir du lit tellement il y alla fort. Elle ferma les yeux à la fois pour profiter pleinement de cette baise et lui cacher qu'il avait gagné.

« Alors, tu aimes ça petite chienne ! »
« Ouiiii »
« Dis le »
« J'aime ça.... »
« Dis que tu es une chienne et que tu aimes ça ! »
Elle ouvrit les yeux et ne lut que de la bestialité dans son regard. Rien d'autre. Elle ne pourrait pas lui échapper si elle le voulait. Mais elle n'avait aucune envie de lui échapper. Elle voulait le faire jouir.
« Je suis une.... chienne.....et j'aime ça »

Pour ponctuer sa phrase, il éjacula, vidant une bonne quantité de sperme chaud au fond de son ventre. Elle vit son corps se tendre et son corps à elle réagit par une vague de plaisir devant cette chaleur emplissant sa chatte. Il finit de se vider à grands coups de reins. Puis il sortit d'elle et s'allongea à son côté.

Alors qu'elle pensait que ce round était fini, sa main tenant sa nuque refit parler d'elle. Il la tira. Vers sa queue.
« Suce et nettoie bien ma bite »

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