Monsieur Colin me rend visite à l'université - 2

Monsieur Colin aime m'exposer, il aime me restreindre et faire ce qu'il veut avec moi. J'aime le laisser faire! Ce soir, il me passe un collier et une laisse et finalement attache mes cuisses grandes ouvertes. Pour notre plus grand plaisir à tous les 2.

Proposée le 25/03/2022 par Valentina

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Monsieur Colin aime m’exposer. Une fois, alors que je le chevauchais dans un parking souterrain, il avait laissé le gardien nous regarder et même insérer son doigt dans mon cul. Il y a eu le donjon aussi, où il m’a fait tatouer la chatte. Il adore me voir soumise à ses désirs et décider de qui me voit nue, ou qui peut me toucher. Et j’aime me laisser faire.

Alors qu’il me rend visite à Paris, où je fais maintenant mes études, il me demande de porter une mini-jupe noire avec des bas et porte-jarretelles et sans culotte. Il ne me donne pas d’instruction concernant le haut. Je passe donc un petit débardeur décolleté, sans soutien-gorge. Lorsqu’il me voit, il m’embrasse, me complimente sur ma tenue et passe un collier en cuir autour de mon coup, il y a une grosse boucle en métal sur le devant.
- Valentina, tu es ma petite chienne n’est-ce pas ?
- Oui, monsieur Colin.
- Et qu’est-ce qu’on fait aux petites chiennes ?

Je ne suis pas sûre de la réponse à donner. Je suis déjà tatouée de ses initiales, je ne vois pas ce qu’il pourrait me faire de plus.
- Une petite chienne comme toi, il faut lui mettre une laisse pour qu’elle soit bien sage. Alors tu vas être une petite chienne obéissante ?
- Oui, monsieur Colin.

Sur ces mots, monsieur Colin attache une laisse à l’anneau de métal du collier. Il tire sur ma laisse, je me penche en avant sur mon bureau, il écarte mes fesses et je sens sa langue sur mon anus. Il me lèche, fait couler du lubrifiant puis pousse soudainement un petit dildo dans mon cul. Il me relève :
- Tu es prête maintenant.

Nous sortons de ma chambre et traversons la cité universitaire jusqu’à la voiture que monsieur Colin a loué. Heureusement, les quelques étudiants que nous croisons ne font pas attention à nous. Il nous conduit dans un hôtel, il ôte tout de même la laisse mais je garde le collier autour du cou. Nous récupérons les clés de la chambre et dès que nous sommes dans l’ascenseur monsieur Colin attache de nouveau la laisse, il m’embrasse, vérifie qu’une culotte ne s’est pas matérialisé sur mes fesses, que le dildo est toujours en place. Il murmure :
- J’adore quand tu es à moi.

Et j’adore être à lui, je peux m’abandonner totalement, je m’en balance des conventions. Et malgré le fait de porter un collier et de déclarer lui appartenir cela apporte au contraire une liberté qui est grisante.

Nous ne perdons pas de temps dans le couloir et entrons dans la chambre et Monsieur Colin me déshabille, je suis en bas et porte-jarretelles, je garde le collier bien sûr. Je suis excitée, mes tétons sont dressés, monsieur Colin les embrasse, les mordille, il attrape mes fesses et effleure le dildo. Je le serre contre moi et il me soulève et me pose sur le lit.
- Ne bouge pas.

Il revient avec une sorte de sangle qu’il passe autour de ma cuisse, puis derrière ma tête et enfin autour de mon autre cuisse., me contraignant à garder les jambes très écartées et relevées. Je frémis quand ses doigts caressent l’intérieur de mes cuisses, puis remontent lentement vers mon entrejambe. Je frissonne, je me tends, je me raidis, j’anticipe le moment où il va atteindre ma chatte. Il remonte vers mon visage, m’embrasse, me demande si cette position est confortable, si ma petite chatte est prête pour sa langue. J’acquiesce, plus que prête ! Je sens sa langue descendre dans mon cou, passer par mes seins, continuer sur mon ventre pour enfin atteindre ma chatte, il fouille ses recoins et tous mes muscles se contractent quand il trouve mon clitoris.
- J’adore ta petite chatte. Tu sais que j’adore ta petite chatte ?

Je ne réponds pas.
- Valentina ! Tu sais que j’adore ta petite chatte ?
- Oui, monsieur Colin.

Il caresse mon clitoris, ses doigts et sa langue se relaient et je sens une boule de chaleur se former dans mon ventre, mon rythme cardiaque s’emballe quand il fait bouger le jouet entre mes fesses. Sa douceur sur clitoris et la légère douleur dans mon petit trou envoient des impulsions électriques dans tout mon corps. Ses gestes sont doux, je tressaute, je me cambre en gémissant, un susurrement sort de ma bouche :
- Je vais jouir monsieur Colin.

Il ralentit, c’est bien trop tôt ! Il continue plus lentement, plus délicatement, puis se lève et se déshabille. Enfin, je vois son pénis dressé fièrement vers moi, j’ai envie de le prendre dans ma bouche. Je tends le bras vers lui, il s’approche et je referme mes doigts sur lui, je le branle et il s’approche de ma bouche. J’adore sucer monsieur Colin, j’adore voir le plaisir dans ses yeux, je sais qu’il aime sentir le fond de ma gorge alors je l’avale de mon mieux. Ses doigts retournent titiller mon clitoris, toujours en passant par mes seins.
- Monsieur Colin je suis prête, j’ai envie de vous sentir en moi.
- Valentina… J’ai envie de te faire plaisir.

Il m’embrasse, lèche ma chatte rapidement, prend appuie sur mes cuisses toujours attachées, il caresse mon clitoris avec son gland, il sait que j’adore ça. Il me pénètre lentement, je suis toute mouillée, mon vagin s’ouvre comme il avance en moi. C’est trop bon, je suis essoufflée, j’adore le sentir bouger en moi comme ça. Il défait le lien sur une de mes cuisses, se relève et me demande de me retourner. Je m’empresse de le faire et il est en moi de nouveau. Il tient mes fesses écartées et demande si je suis prête, je souffle « oui ». Il retire lentement le dildo, mon petit trou s’écarte pour le laisser passer, puis il le repousse et finalement le ressort totalement. Mon souffle s’affole, mon corps est en feu et cette fois je me laisse aller, la vague de l’orgasme me submerge et des cris s’échappent de ma bouche. J’entends monsieur Colin haleter dans mon dos et je sais qu’il a joui aussi. Il s’écroule sur le lit et je me hâte vers lui. Je l’embrasse sur la bouche, enlève son préservatif et je le branle. Je prends son gland dans ma bouche, continue mes mouvements avec ma main.
- J’ai besoin d’un peu de repos, annonce monsieur Colin.

Mais je n’ai pas envie d’attendre. Agenouillée sur le lit, je me caresse les seins, mes tétons se dressent immédiatement, je glisse mon doigt dans sa bouche et le pose sur mon clitoris. Je m’assois sur son visage et le reprends dans ma bouche, je veux réveiller sa verge qui vient de m’envoyer au 7ème ciel ! Sa langue fouille mon intimité de nouveau, son pénis reprend de la vigueur dans ma bouche et j’ai envie de le faire jouir dans ma bouche. Il effleure mon clitoris avec le bout de sa langue avant de pousser un doigt dans mon vagin. Il accélère et je fais de même. Je ne peux pas m’en empêcher, je le veux en moi encore. Je me relève et m’empale sur sa queue, je le fais entrer aussi doucement que possible puis je me soulève et me laisse retomber sur lui aussi lourdement que je peux. Je sais qu’il aime voir mes petits seins rebondir quand je le chevauche et je fais de mon mieux pour les faire bouger. Je décide de l’appeler par son prénom :
- Richard, j’ai envie que tu éjacules dans ma bouche.

Il me regarde, attrape mes fesses et me fais rebondir lui-même sur lui, il me fait mal, je ne veux pas qu’il arrête. Puis il nous retourne et je me retrouve sous lui, il va-et-vient de plus en plus vite, je vais jouir. Je me laisse finalement aller, mon vagin se contracte sur lui. Il me caresse les cheveux et quand j’ai repris mon souffle, il se retire et vient directement faire quelques va-et-vient dans ma bouche où je recueille sa jouissance.

Il s’allonge près de moi, je sens son souffle sur mon épaule, il pose son bras sur ma poitrine. Je le laisse se reposer un peu...


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