Monsieur Colin me rend visite à l'université

Monsieur Colin me rend visite dans ma cité universitaire pour un weekend de plaisir. Dès le premier jour, il est déterminé à me pousser vers une double pénétration...

Proposée le 24/02/2022 par Valentina

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Maintenant que j’ai eu mon bac, je suis partie de chez moi pour aller à l’université. Je ne vois donc plus monsieur Colin très souvent. Mais je pense beaucoup à lui. Il y a bien quelques garçons qui essaient de me draguer à la fac et j’aime parfois me laisser séduire. Mais monsieur Colin est le seul à m’avoir fait jouir et je ne pense pas atteindre l’extase avec un de ces étudiants, tout juste sorti de l’adolescence.

J’habite dans une cité universitaire et j’entends souvent mon voisin faire l’amour. La première fois j’étais gênée mais maintenant je trouve ça excitant. Ce n’est jamais la même fille que je vois sortir de chez lui le matin, j’aimerais en accoster une pour lui demander comment était sa nuit. En gros, savoir si le voisin est un bon coup.
Prétextant un voyage d’affaires, monsieur Colin propose de venir passer quelques jours avec moi à Paris. Bien sûr, je suis enchantée de le retrouver.
Je l’attends sur le quai de la gare et je me demande comment l’accueillir. Je l’embrasse ? Je lui serre la main ? Probablement quelque chose entre les deux. Je l’aperçois enfin, il me sourit à travers la foule de passagers et arrivé à ma hauteur, il me prend dans ses bras et plante un baiser sur ma bouche. Je suis surprise et je ne suis pas la seule. Les voyageurs autour de nous, nous lancent des regards interloqués.

Il m’emmène manger au restaurant. C’est relaxant de ne pas craindre d’être vus en public ensemble. Monsieur Colin va rester 2 jours et 2 nuits avec moi et je suis déjà tout excitée à cette idée de l’avoir pour moi pendant tout ce temps. Nous marchons pour rentrer chez moi et il me tient sous son bras. Je crois que toutes les personnes qui nous avons croisé, ont été choquées de voir une telle différence d’âge entre nous. Et je suis encore plus excitée par cette situation.

À peine entrés dans ma chambre étudiante, il me retourne face au mur, fait passer mon t-shirt par-dessus ma tête et il place mes bras en l’air contre le mur.
- Tu n’es pas autorisé à bouger, tu fais ce que je te dis, tu parles quand je te pose une question uniquement, c’est compris ?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui, monsieur Colin.
Il me déshabille, je suis nue face au mur les mains au-dessus de la tête, sa main claque de sur mes fesses.
- Ça sera de plus en plus fort, tu es à moi, tu es ma chose. D’accord ?
- Oui, monsieur Colin.
- Appelle moi Richard. Tu m’appartiens, je fais ce que je veux de toi, tu es ma chienne. Dis-le.
- Je suis ta chienne, Richard.
-
Il me laisse dans le couloir et tout ce que je peux penser, c’est que monsieur Colin veut que je l’appelle Richard. C’est tellement étrange. Je l’appelle monsieur Colin depuis que j’ai 6 ans… J’entends qu’il se déshabille, il revient m’attache les mains dans le dos. Il me retourne, mes tétons sont dressés, comme son sexe. Je suis excitée, il me prend par le bras et m’entraine au milieu de la chambre, me force à m’agenouiller et approche son pénis de ma bouche, me fait lécher son gland par à-coup, puis fourre brutalement sa bite au plus profond de ma gorge, il me tient la tête et me baise la bouche en répétant, que je suis à lui, que je serais toujours à lui, qu’il décide de qui me voit nue, qui me pénètre…
Il s’éloigne et s’assoit sur le lit. Je ne bouge pas, cette position et voir le désir dans ses yeux, font que je me sens très sexy. Mes longs cheveux bruns me caressent le dos, je me cambre pour faire ressortir mes fesses et écarte légèrement les jambes. Nous nous regardons dans les yeux. « Approche. »
Je me lève et m’approche de lui, il me penche en travers de ses jambes, mes mains toujours attachées dans mon dos, je suis sans défense. Une dizaine de fessées rougissent mes fesses.
- Je suis ton maitre maintenant, tu dois être sage et m’obéir. Dis-moi que tu es ma cochonne.
- Je suis ta cochonne.
Une autre fessée.
- Je suis ta cochonne, Richard.
Il prend visiblement beaucoup de plaisir à me traiter ainsi.
- Penche-toi sur le lit et ne bouge pas.
Je m’exécute, il écarte légèrement mes jambes, passe son doigt le long de ma fente, écarte mes lèvres, effleure mon clitoris, remonte, prend mes fesses à 2 mains, les écarte et me lèche l’anus. Un long soupire m’échappe, c’est bon. Il dirige sa langue entre mes lèvres, dépose un léger baiser sur mon clitoris et commence à le lécher. Aaaah oui…
- Non ! Tu n’as pas le droit de jouir. Je te dirai quand tu seras autorisée à avoir un orgasme.
Il arrête ses caresses et enfonce brusquement 2 doigts dans mon vagin.
- Valentina, tu es toute mouillée. Pourquoi es-tu si mouillée ?
- Je suis excitée monsieur Colin.
- Appelle-moi Richard ! me sermonne-t-il en me donnant une nouvelle fessée.
-
Il me met à 4 pattes, les fesses bien en l’air, la poitrine touchant le lit. Je sens sa bite le long de ma fente, il la place à l’entrée de mon vagin et je ne peux me retenir, je recule pour le faire entrer en moi. Sa main claque de nouveau sur mes fesses. C’est si bon. Il entre et sort et entre et sort, je suis au bord de la jouissance :
- Aaah oui c’est trop bon, je ne peux plus me retenir, je vais jouir.
Et monsieur Colin continue de plus belle, mes jambes tremblent, mon vagin se contracte sur lui, je crie littéralement de plaisir, j’ai l’impression que mon orgasme dure des heures. Il ne peut se retenir non plus et jouit en moi.
- Tu n’as pas été sage Valentina, je t’avais demandé de ne pas jouir. Refais moi bander, tu vas être punie. Comment te faire retenir la leçon ?

Il me détache les mains. Son sexe est trempé. Je le branle doucement, toujours à 4 pattes quand j’entends la poigné de la porte se baisser. Mon voisin entre rapidement chez moi et il referme la porte derrière lui. Il n’a pas l’air gêné le moins du monde.
- Ça fait une heure que je vous entends baiser. J’en peux plus. J’ai trop envie de me joindre à vous.
-
Il remarque alors monsieur Colin et a l’air très surpris, tellement qu’il rebrousse chemin en s’excusant.
- Euh pardon, je savais pas que, euh non rien…

Je regarde monsieur Colin qui m’appuie sur la tête pour que je continue à le sucer. Il explique en quelques mots au voisin, que je suis sa propriété, et qu’il peut se joindre à nous mais que c’est lui qui tire les ficelles puisque je suis sa marionnette.
- Valentina fait ce que je lui dis, c’est ma petite chienne. Si tu veux rester, tu ne seras pas déçu.

Le voisin, Olivier, me regarde et demande :
- Tu es sure ?

Je souris et hoche la tête. Il enlève immédiatement son t-shirt, défait son pantalon et le laisse tomber sur ses chevilles. Je devine son pénis en érection dans son boxer. Monsieur Colin me penche en avant sur le lit.
Olivier s’approche, je sens ses mains dans mon dos, il me caresse les fesses, il me retourne et plonge sa tête entre mes jambes, il goute ma chatte, me regarde, s’active sur mon clitoris. Monsieur Colin prévient :
- Ne la fais pas jouir, elle doit apprendre à être obéissante.

Olivier se relève donc et enlève son boxer, son pénis sort, il est de belle taille, le gland gonflé, je tends la main pour l’attraper. Il se caresse en fixant ma chatte, enfile un préservatif, soulève mes fesses et s’enfonce en moi, lentement. Je me contracte pour l’emprisonner en moi, il ferme les yeux, et entame des va-et-vient lents. Il s’allonge sur moi et m’embrasse, il accélère la cadence et nos respirations s’accélèrent en rythme. Après quelques instants, il s’allonge pour que je le chevauche, ce que je m’empresse de faire. Monsieur Colin s’approche et je le suce. Puis il demande :
- Demande-lui si elle aime se faire sodomiser.
Olivier hésite un peu, puis demande :
- Tu aimes te faire sodomiser ?
Je n’ose pas répondre. Monsieur Colin me tire les cheveux :
- On t’a posé une question il me semble.
Je murmure un petit « oui » insuffisant, monsieur Colin me relève et me claque les fesses très fort.
- Tu aimes te faire enculer ?

Je ne réponds toujours pas et reçois une autre fessée monumentale.
- Tu aimes te faire enculer ?
- Oui.
- Oui quoi ?
- Oui, j’aime me faire enculer.
- Bon c’est bien. Alors tu vas être servie.

Je suis de nouveau à 4 pattes, par terre, les fesses relevées, monsieur Colin me crache sur les fesses, il lubrifie mon anus avec ma cyprine, Olivier regarde en se branlant. Monsieur Colin enfonce lentement un doigt dans mon cul, aaaahh, il continue, 1 puis 2 doigts entrent facilement maintenant, et il annonce :
- Tu vas voir ce que tu vas prendre ma petite salope.

Je sens son gland contre mon petit trou. Il force l’entrée, pousse, pousse encore, mais il me fait mal. Il va chercher le lubrifiant et en applique généreusement. Il se repositionne, écarte mes fesses et mon anus cède, il entre en moi doucement mais fermement.
- Aaahh tu me fais mal.

Je reçois une fessée immédiatement.
- Tu n’as pas demandé la permission de parler, tu as quelque chose à dire ?
- Tu me fais mal.
- Tu veux que j’arrête ?
- Non.

Il continue donc, il avance de mieux en mieux entre mes fesses. Olivier est fasciné. Monsieur Colin s’assoit sur le rebord du lit et me demande de venir m’assoir sur lui, dos a lui, face à Olivier. J’ai un peu de mal à faire entrer son sexe en moi, j’y vais doucement, et une fois au bout, totalement assise sur lui, je me soulève lentement et découvre que je prends un plaisir intense à planter moi-même sa queue dans mon cul. Monsieur Colin relève mes jambes et me bascule légèrement en arrière, exposant ma chatte béante.
- Viens la prendre, et ne la ménage pas.

Olivier s’introduit difficilement dans ma chatte, les 2 hommes s’activent en moi et je me sens totalement ouverte, offerte. C’est délicieux d’avoir 2 hommes en moi. Monsieur Colin, qui tient toujours mes jambes, murmure dans mon oreille qu’il adore être dans mon cul, c’est si étroit. Je ne suis pas loin de l’orgasme, mais voulant éviter une nouvelle punition, j’essaie de le refouler. Olivier se retire et s’allonge sur le lit. Je vais m’empaler sur lui. Je vois monsieur Colin qui enfile un préservatif. Il se tient derrière moi et je pense qu’il va me sodomiser de nouveau. Mais je sens sa queue à l’entrée de mon vagin. Olivier a arrêté de bouger, monsieur Colin cherche à entrer dans mon vagin, il pousse fort mais il n’y a pas assez de place, je ne peux pas accueillir 2 bites dans un seul trou. Monsieur Colin enfonce ses doigts en moi, me demande de me détendre, applique du lubrifiant, mais il n’y a rien à faire. Il ne peut pas entrer. Il me reprend le cul et pendant un moment je crois que je vais jouir. Mais avant d’atteindre l’orgasme, Olivier dit :
- Si les 2 ne rentrent pas dans ta chatte, peut-être que ça rentrera mieux dans ton cul.

Je ne veux même pas avoir la réponse à cette question ! Une double anale ? Ils sont dingues. Olivier sort sa queue de mon vagin, espérant pouvoir me pénétrer le cul aussi. Je hurle, mon petit trou ne peut pas se détendre plus, ils vont me faire mal.

Monsieur Colin déclare qu’il est en train jouir dans mon cul, Olivier demande s’il peut me prendre par derrière lui aussi et monsieur Colin donne son accord. À genoux sur le lit, il se place derrière moi et entre sans peine, avec sa main il me caresse, et je sais que je ne vais pas pouvoir me retenir de jouir bien longtemps. Je regarde monsieur Colin, je soupire que je vais jouir. Il mordille mes tétons, entre ses doigts dans ma chatte. Il m’embrasse :
- Jouis ma petite chienne.

Je tremble de tout mon corps, je cri, je sens ma chatte et mon cul se contracter. Et je m’écroule sur le lit. Les 2 hommes m’embrassent tour à tour. Monsieur Colin a déjà un doigt dans mon cul, il est sûr que je peux prendre 2 queues dans le cul, que je vais aimer.
- Ta chatte est trop serrée, mais ton cul s’ouvre tellement bien pour moi.

Olivier est aussi très intéressé par cette question et propose cannabis et autres solutions pour me détendre. Le weekend n’est pas fini !

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