Métro.

C’est une aventure d’un matin, dans le métro, c’est un voyage chaotique, mais tellement érotique, que les deux compères finissent par abdiquer d’une amicale convention sexuelle.

Proposée le 21/03/2022 par maximilien7

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme

La rame avance par à-coups et Sabine se tient devant moi en s’accrochant d’une main au siège devant elle. Le métro ce matin en raison des grèves est totalement bondé, et je me retrouve collé contre son petit cul, évidemment sa fine tenue n’est qu’un piètre rempart à la décence. J’avoue que je ne fais rien non plus qui puisse m’empêcher de coller mon sexe dans la raie de ses fesses. Dans cette attitude elle m’offre une vision torride sur sa nuque et ses magnifiques épaules, puis, en me penchant un peu en avant, un aperçu à peine tronqué de sa poitrine.

Elle dispose d’une superbe paire de seins qui se tiennent parfaitement droit sans aucun soutient. Deux mamelles rigides qui fleurent bon le jasmin, ce matin, cette fille porte avec elle une fragrance de tous les diables, non… ! Je dirais plutôt une odeur outrageusement féminine, que je respire avec un plaisir fou. Il y a des parfums qui devraient être proscris, pour incitations à la débauche. Sabine ce matin fleure bon l’herbe fraîche et la paille dans laquelle je la coucherais bien pour lui faire l’amour et l’entendre crier de plaisir.

Dans cette position privilégiée, je reçois cette suavité, comme un bonheur rarement obtenu, car entre elle et moi il y a une amitié qu’on dit vouloir garder à tout prix, un principe idiot et régressif dans une époque où il vaudrait mieux baiser sous les étoiles plutôt que de se chamailler pour d’indicibles raisons. C’est donc, ‘’je t’aime, moi non-plus’’ et d’un commun accord, il n’y aura pas de sexe entre nous, du moins c’est ce qui régit notre relation depuis des lustres. Alors je tente mon coup de temps en temps, en lui reprochant de mettre ma santé mentale en danger, la cause étant sa légèreté d’expressions concernant le sexe et pardessus tout, sa beauté naturelle que le diable lui-même ne saurait ignorer.

Sur le siège d’en face une petite coquine brune a remarqué le manège, il faut dire que je ne fais rien pour m’en cacher, elle me fait un charmant clin d’œil, passe sa langue sur ses lèvres, puis elle écarte ses belles cuisses ambrées, mmm…, petite culotte translucide, plus sombre en son milieu. Je hoche la tête en signe d’approbation, elle sourit, et je bande. Un à coup de plus me projette encore en avant, on me pousse dans le dos, merci mon dieu ! Sabine reçoit aussitôt un hommage percutant, elle tourne la tête et ses yeux verts pétillent d’une multitude d’étincelles. La brune sourit encore et se mord les lèvres, j’imagine facilement l’histoire qu’elle doit construire dans sa tête de poupée de porcelaine.

- Pardon Sabine, je suis désolé !
- M’ouai…, tu es désolé ! tu es désolé et tu bande, cesse de te masturber contre mon cul, merde….tu crois que je n’ai pas remarquée la petite d’en face et ses clins d’œil ?
- Oui, mais pour une fois que j’ai l’occasion d’être dans cette position avec toi, tu vois, eh bien mets-toi à ma place quoi !! et elle ne sait pas qu’on se connaît ça doit être excitant pour elle non ?

- Oui..., belle excuse, pour l’instant de suis à la mienne de place, et là…, je te sens bien oui... il faut donc que je comprenne que tu n’y peux rien et évidemment c’est de ma faute si je suis coincée entre ce siège et ta bite…! continue comme ça, et tu finiras par éjaculer, si Jeff te voyait, t’imagine ce que tu prendrais ?

- Tu sais ma belle, je m’en fou un peu, depuis le temps que j’ai envie de te baiser !
- Ah ! oui, ça…, je le sais…, mais l’endroit est mal choisit et, mon très cher ami, moi…, on ne me baise pas, on me fait l’amour ! Mais putain arrête de me pousser contre le siège je vais finir par mouiller !
- Tu quoi ? cela voudrait- il dire que tu en aurais envie ? mmm, je t’imagine déjà, basculer sur un siège, et là, tu en prendrais pour ton grade, oui, ça serait torride.

- Mais oui, c’est ça…, tu vois, vous nous ramenez toujours vos habituelles blagues les garçons, je te ferais ceci ou cela, je te baiserais ici ou là, et puis on se fait entuber dans un lit, au milieu de la nuit, une sexualité à la papa maman et en plus vous en êtes fier !

- Putain Sabine arrête de me chauffer… !
- C’est de ta faute, maintenant je mouille, mmm, arrête de te frotter comme ça, ça y est je suis bonne pour retirer ma culotte, merde, et je n’en ai pas d’autre !
- Tant pis, tu resteras à poil pour la journée, mais alors ma petite chérie prends garde à toi, maintenant que je sais que tu es nue sous ta jupe, tu pourrais regretter de m’avoir lancée des invitations aussi impudiques. Et… ! je crois que tu n’es pas la seule à mouiller, regarde la petite brune qui resserre ses cuisses, elle a des joues bien roses !

- Oui, elle est jolie, bien jeune, mais très sensuelle, pas de soutient gorges de petits seins très fiers, un peu courte la robe, mais des cuisses du tonnerre, j’imagine une foufoune libidineuse, elle doit aimer faire l’amour, peut-être de façon conventionnelle, non… ! ce n’est pas le genre, elle se garde un air de petite fille, je la verrai plutôt se faire un vieux sur la table d’une cuisine, ou se faire lécher par une femme mûre en manque de sexe. M’oui... elle serait bonne pour un casse-croute à trois….
- Mais…, Sabine ?, qu’est-ce qui te prends ? tu divague je ne t’ai jamais entendu dire des choses aussi brutes, purée tu es en chaleur ?
- Oui… ta faute, uniquement ta faute, à force de pousser ton nœud entre mes jambes ! et cette barre qui astique mon clito, putain…, je vais avoir un orgasme, serre moi plus fort, ohhh ! mon dieu…mmm ! merde, je… !
- Quoi… ! tu quoi ?, mais c’est vrai…, tu as un orgasme, mais c’est magnifique, inespéré, ici au milieu de cette foule ! quand je raconterai ça à Jeff !
- Tu fermeras surtout ta gueule oui, et n’en parle surtout pas à Maggie, elle ne sait pas se taire, ça ferait le tour de la boîte en moins de temps qu’il ne faudrait pour le dire.

- Tient, je n’y avais pas pensé, mais maintenant que tu le dit !!, peut-être bien que je le lui dirais, rien que pour voir sa tête !
- Arrête tes conneries il est encore bien tôt ce matin pour ces bêtises, entretemps j’ai des fuites, purée comment je vais faire ?

La fille du siège d’en face viens de replier ses jambes en s’appuyant des talons sur la banquette qui vient d’être libérée, son regard soudain plonge vers le plancher du wagon. Je me demande quel pouvais bien être l’objet de son intérêt ? Je recule autant qu’il est possible, pour constater de visu les gouttes blanchâtres qui se dessinent entres les espadrilles de Sabine ! Elle se tient toujours cramponnée au siège devant elle, silencieuse, le regard fixe et vitreux, alors je comprends !

- Ça va Sabine ?
- Tais-toi Jeff, tais-toi, mmm, laisse-moi tranquille et je t’en supplie arrête de te plaquer sur mes fesses !
- Tu jouie ma parole !!, et moi je bande sans arrêt, et…, si on prenait une chambre ?, Sabine, nous devrions peut-être céder à nos envies, allez viens quittons le métro et faisons ce qui nous tiens en haleine depuis des lustres, ne soyons pas totalement idiots !

- Purée Jeff, cette fille est magnifique, superbe et tellement sexy, viens on y va, tu me feras l’amour, j’en ai besoin ! et puis, on a la journée pour rattraper le temps perdu…



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