Mes premiers émois sexuels dans un lieu public, avec ma petite amie du moment, on se touche, on se découvre, ce sont les fruits d’un amour adolescent. La masturbation a vraiment une place prépondérante dans la sexualité à cet âge ou les hormones nous font chavirer.
Proposée le 13/03/2022 par Titlover37
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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Cinéma
Type: Histoire vraie
Nous sommes en 1992, c’est mon année de troisième et je sort pour la première fois au cinéma avec Julie, elle est accompagnée de Gaëlle, sa meilleure amie et pour ma part j’ai David qui est là lui aussi, nous allons voir “ Le dernier des Mohican “, nous sommes dans un village de Touraine, il y a un seul film par semaine et uniquement le Samedi soir. Nous retrouvons évidemment de nombreux camarades de classe issues des communes environnantes.
Nous payons nos entrées et allons nous placer dans la salle, dans les derniers rangs, Julie est assise à ma gauche avec son amie à ses côtés et mon pote est sur ma droite, il n’y a personne derrière nous. Nous discutons de futilités adolescentes en attendant l'extinction de la lumière et le lancement de la séance.
Cela fait une quinzaine de minutes que le film est commencé, je pose ma main gauche sur le genoux de ma chérie et j’ai soudain une forte envie de l’embrasser, je lui fait tourner le visage de la main droite et l’embrasse langoureusement, nos langues de mélanges, c’est doux et sucré, c’est très agréable.
Le pose ma main droite sur l’intérieur de sa cuisse, la caresse et remonte jusqu’à son sexe qui, à ma grande surprise, est très chaud. Nous continuons à nous rouler des pelles, je fais glisser ma main sous son pull-over, lui caresse le ventre et remonte à son soutien gorge, j’ai un de ses petits seins fermes dans la main, mon souffle s’accélère, ma bite est déjà bien dure et a bien du mal à trouver sa place dans mon jean, Julie me repousse et refroidi mes ardeurs.
Je suis tout émoustillé, je n’ai aucune concentration sur le film, David propose aux filles ainsi qu’à moi même quelques sucreries, j’accepte volontiers et j’essaye de reprendre mes esprits et de reprendre le fil de cette séance cinématographique.
Mes émotions sont retombées, je chuchote avec mon pote au sujet des scènes d'action du moment quand je sens la main de ma compagne se poser sur ma cuisse. Je la prend par le coup et insère ma langue dans la bouche, je pose ma main droite à l’intérieur de ses cuisses et vais rapidement lui caresser sa vulve.
Je déboutonnent maladroitement son Levis et fais glisser ma main dans sa culotte, elle a une toison naissante, je ne m’y connais pas du tout en anatomie féminine et me contente de reproduire ce que j’ai vu dans des film pour adultes, ce qui à l’aire de porter ses fruits, elle a le souffle haletant, je stimule son clitoris et commence à faire pénétrer un doigt entre ses lèvres, c’est humide et chaud, la promiscuité des places de cinéma fait que je ne peux aller plus loin je continue donc à la masturber ainsi.
Elle pose sa tête dans mon coup, défait ma ceinture discrètement, déboutonne mon jean, essaie d'ouvrir ma braguette tant bien que mal et sort mon membre turgescent, elle a les doigts fins et froids, le contraste avec nom anatomie brûlante de désire me stimule d’autant plus.
Elle commence à faire des va et vient de haut en bas, nous essayons d’être le plus discrets possible, le plaisir monte rapidement en moi, je n’arrive pas à me maîtriser et j'éjacule rapidement, une première giclée de dépose sur mon sweat et le reste dégouline le long de sa main, elle est surprise et un peu dégoutée, je lui chuchote à l’oreille : “ ne t’arrête pas, je t'en pris continue ! “ Elle s'exécute.
La main est visqueuse et dégoulinante de sperme chaud, mes doigts pour ma part sont trempés de mouille nubile, je n’aurais pas imaginé tant de fluide dans sa petite chatte certainement encore bien serrée et étroite.
Nous nettoyons ma semence avec un mouchoir en papier qu’elle avait dans sa poche, mon caleçon est trempé, le bas de mon pull aussi, en refermant mon pantalon je m’aperçois que j’en ai aussi sur ce dernier.
Une fois dehors, ses parents viennent la chercher, on s’embrasse tendrement et je rentre à pied chez moi avec mon camarade qui est aussi un voisin, là il m’explique qu’il m’envie beaucoup et qu’il n’en a pas raté une miette, il nous a mater tout en se caressant, il a même réussi à se faire jouir à travers son jean, pour preuve il a une grosse auréole encore toute humide qui va de sa braguette à sa poche droite.
L’idée de la savoir en train de se donner du plaisir en nous regardant ne me dérange pas, au contraire. Puis c’est quand même le pote qui à chaque retour de vacances en bord de mer me ramène des photos de sa sœur aînée en bikini pour que je puisse me branler avec ! Je lui dois bien ça.
Nos vêtements sont souillés et on commence à se demander comment nous allons faire pour dissimuler ça à nos mères respectives !
C’est la seule et unique fois que j’ai eu une pratique sexuelle de ce genre dans un lieu public, j’en garde un souvenir indélébile. Quelques mois après nous avons rompu, je ne me sentais plus amoureux, j’avais une autre fille en vue…
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