Cette histoire parle du rituel qui est réalisé dans une tribu en Amazonie. Lorsque les filles deviennent des femmes. Le guerrier se charge de leur première éducation .
Proposée le 26/02/2022 par Cococharlotte5
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
Cette histoire est une pure fiction et tous les personnages sont majeurs, consentants et prennent du plaisir. Ils participent à un jeu de rôles volontairement.
Nous sommes dans une tribu située dans une forêt reculée en Amazonie. Ce peuple est composé d’une cinquantaine de personnes.
C’est un peuple libre, à l’aise dans leur milieu et dans leurs corps.
Lorsque les filles sortent de l’adolescence, considérée là-bas aux alentours des 22 ans. Elles doivent passer un rituel pour devenir femmes.
Le guerrier le plus fort de la tribu a pour charge de les faire accéder à ce nouveau statut.
Ce rituel est très important et marque le passage dans le monde des adultes pour une jeune femme.
Il existe également un rituel pour les jeunes hommes.
Les femmes en parlent entre elles, mais évitent la présence des plus jeunes afin de ne pas les effrayer.
Les adolescentes ont l’interdiction la plus totale de pratiquer la masturbation.
Bien que celle-ci soit en partie réalisée lors de moments de toilette ou de sieste.
Lorsque la jeune est sortie de l’adolescence et devient entièrement femme aux alentours des 22 ans, elle se trouve un mari.
Avant cet âge, elles sont complètement laissées tranquilles.
Lorsque les différentes familles sont d’accord, une date d’union est déterminée.
La date du rituel également.
La jeune femme est préparée par les autres femmes de la communauté.
Elle s’allonge dans un bain chaud, rempli de fleurs sur la surface, de parfum de jasmin et citron. On lui masse le corps, la frotte avec un linge.
Elle se lève, un petit tabouret est mis dans l’eau, elle s’allonge dessus à plat ventre. Elle a les fesses qui sortent de l’eau. Le massage continue.
On lui écarte les fesses et on lui glisse un petit tuyau dans l’anus.
Elle subit un lavement.
Une femme lui frotte le ventre tout doucement pour l’aider à se détendre.
Elle sort pour se vider une première fois, puis elle prend un second lavement plus profondément et sort une seconde fois pour se vider entièrement.
Les autres femmes terminent de la laver et là sortent du bain.
Elle se fait essuyer puis habiller. Elle porte des bijoux et une jolie coiffure.
Elle se peindre des lignes sur le corps, pour lui donner courage et force.
En général lors de cette étape, la jeune femme commence à ressentir un mélange d’appréhension et d’excitation.
Elle sait qu’elle va découvrir quelque chose d’inconnu et en a envie, mais redoute le fait que ce soit le guerrier qui s’en charge, il ne parle pas beaucoup et a un air méchant. Il est observateur et se faire remarquer par lui n’est pas recommandé.
Les autres femmes terminent de la laver et là sortent du bain.
Elle se fait essuyer puis habiller. Elle porte des bijoux et une jolie coiffure.
Elle se peindre des lignes sur le corps, pour lui donner courage et force.
En général lors de cette étape, la jeune femme commence à ressentir un mélange d’appréhension et d’excitation.
Elle sait qu’elle va découvrir quelque chose d’inconnu et en a envie, mais redoute le fait que ce soit le guerrier qui s’en charge, il ne parle pas beaucoup et a un air méchant. Il est observateur et se faire remarquer par lui n’est pas recommandé. Elles sont impressionnées et vivent ce moment avec passion.
Lorsque la jeune femme est prête, elle est embrassée par ses sœurs et va rejoindre sa chambre dans sa case. Elle s’allonge et l’attente commence.
Lorsque le dernier rayon du soleil se couche, le guerrier se rend dans la chambre de la jeune vierge.
La jeune femme doit se tenir tranquille tout au long du rituel et ne doit pas trop gémir.
Il arrive que la jeune fille soit très excitée et le montre clairement au guerrier, qui sera un peu plus ferme pour calmer cette jeune femme. Il en va de la tranquillité de la tribu.
Lors du rituel de passage, le guerrier se charge de la prendre pour la première fois.
Il lui explique son futur statut de femelle au sein de la communauté et les conditions de sa sexualité future. Être toujours disponible.
Dans un premier temps, il lui caresse le corps, lui fait ressentir le plaisir de sa poitrine et de sa vulve extérieure.
C’est la première fois qu’elle découvre ses zones érogènes.
Il la masse et lui détend le corps et l’esprit.
La jeune femme est ensuite retournée.
Le guerrier se couche entièrement sur elle, puis il présente son sexe dur contre le petit trou de la jeune femme.
À ce moment, beaucoup de jeunes vierges ne comprennent pas ce qu’il va se passer et restent dociles.
Pour celles qui comprennent, en général, il se produit un petit moment d’agitation, ou la jeune panique, le guerrier ressert ses mains sur le corps de la victime afin de la maintenir.
Puis la jeune femme est sodomisée lentement, mais fermement pour que le guerrier puisse asseoir son autorité d’homme et de mâle dominateur dans la tribu.
Le gland pousse sur l’anus et ne lui laisse pas d’autre choix que de s’ouvrir. Une fois la totalité du gland passé, le guerrier marque une pause, il aime sentir les contractions de l’anus sur son gland. Il adore entendre les gémissements de celle qui gesticule sous son corps.
Parfois, la jeune femme,instinctivement, va se frotter pour soulager la douleur. Dans ce cas, il se recule légèrement afin de profiter du spectacle et d’observer son gland inséré dans l’anus encore tout serré. Voir ce cul se frotter l’excite énormément.
Il va à nouveau bloquer la jeune femme si elle bouge trop. Il lui signifie à présent qu’elle va devenir une femme et qu’elle ne doit pas bouger.
Il commence à la pénétrer un peu plus, il passe le deuxième sphincter et souvent, les jeunes femmes qui résistent lâchent à ce moment-là et subissent la défloraison de leur cul dans un état second.
Le guerrier avance centimètre par centimètre afin de bien sentir le cul s’ouvrir.
Une fois pénétrée jusqu’à la garde, le guerrier toujours allongé sur la jeune femme, lui prononce des paroles à l’oreille. Il lui dit qu’elle est devenue une femme et que son membre fait d’elle une femelle de leur clan.
Que le membre bien dur qu’elle sent tout au fond de ses fesses, qui lui brûle l’anus la rend femme.
Il garde la pénétration pour soumettre la jeune femme et lui montrer que c’est lui qui décide de quand et de combien de temps.
Si une jeune femme pleure à ce moment là, le guerrier va maintenir sa pénétration tout en caressant le ventre de la jeune femme, il va harmoniser sa respiration à la sienne pour l’aider à se détendre.
Ensuite
Il saisit un de ses seins et passe l’anneau au bout de l’aiguille toujours plantée.
La douleur des fesses en général vient s’estomper face à l’aiguille plantée dans le téton.
Le guerrier s’appuie plus fermement sur la jeune femme pour l’empêcher de bouger face à ce qu’il va suivre.
Il recule légèrement son sexe et, au moment où il passe l’anneau à la place de l’aiguille, il la pénètre encore plus loin que la première fois.
Il répète l’opération avec le second sein.
La jeune femme toujours pénétrée par le gros membre est touchée au niveau de son clitoris. Le guerrier la branle et commence ses vas et vient douloureux.
La brûlure de la sodomie diminue progressivement pour laisser place à un plaisir inconnu jusqu’à présent.
Le guerrier l’encule une dernière fois profondément pour se décharger dans son ventre.
Le fait d’être ainsi remplie par le guerrier marque son entière appartenance au guerrier du clan. Elle n’a pas le droit de se laver durant trois jours.
Le guerrier lui demande de le remercier et se retire d’elle.
La défloraison du vagin est réalisée ensuite par le mari de cette jeune fille lorsqu’elle est mariée.
Le guerrier ne pouvant pas prendre le risque de féconder toutes les femmes de sa tribu.
Bien que souvent les hommes mariés choisissent également la sodomie comme premier rapport pour démontrer à la femme que désormais elle devra en tant qu’épouse laisser à disposition son fessier afin que son mari la possède. Elle prend l’habitude tout de suite.
La jeune femme n’aura pas le choix entre les bras du guerrier que de se laisser faire et laisser le gros sexe durci par l’érection la rendre femme. Le guerrier montre à la jeune femme comment se comporter femelle mais elle n’a pas le temps d’apprendre.
Le rituel comporte donc des étapes, à quoi s’ajoute que le guerrier perce les deux tétons à l’aide de deux minuscules aiguilles, afin de faire passer un anneau au bout des seins de la jeune femme qui montrera à tous qu’elle est devenue femme. Il laisse les aiguilles en place dans un premier temps.
Ce moment est très redouté à cause de la douleur, mais attendu à la fois, car si la jeune femme franchit cette étape, elle rendra heureux le guerrier et il sera plus doux avec elle. Elle rendra fière sa famille en sortant le lendemain matin en portant ces deux anneaux dorés.
Lorsqu elle sera retournée, si elle bouge trop, le guerrier pourra s’amuser avec ses tétons percés pour l’obliger à ne plus bouger.
Si le guerrier observe une adolescente affranchie et peu timide, lorsqu’elle sera devenue une femme, il peut la sodomiser pour la première fois avec un objet dans le vagin ou un doigt en plus de son penis dans l’anus. Ce qui accentue la douleur et calme la jeune excitée.
Le guerrier a un rôle d’initiateur, mais également de correcteur.
À n’importe quel moment s’il observe une femme avec un comportement frivole, il peut décider de la corriger en la faisant venir dans sa tente du moment que c’est lui qui l’a prise pour la première fois. Le mari n’aura rien le droit de dire.
Lorsqu’une femme est convoquée dans la tente du guerrier.
C’est le soigneur du village qui va se charger de le dire à la femme choisie ainsi que de sa préparation.
Elle se déshabille et s’allonge au centre de la tente, elle est maintenue par des liens et subit plusieurs petits lavements.
Une fois propre, elle est détachée puis elle se rhabille.
Le soir venu, elle se rend dans la tente du guerrier.
Dans le cas où elle ne vient pas, le guerrier attend une heure.
Une fois ce temps écoulé, il se rend lui-même dans la tente de la femme et la punit sévèrement.
Si la femme se rend comme indiqué dans la tente du guerrier au moment voulu, elle doit s’allonger sur le ventre sur la couche du guerrier et attendre.
Une fessée est administrée, pour faire taire les gémissements des doigts insérés.
Puis le sexe durci du guerrier entouré par deux moitiés de bambou coupé en deux.
Les deux petits morceaux de bois fins et polis entouraient exactement la forme et la taille du sexe du guerrier. Ils étaient attachés par de petites lianes très fines. Entre le bois et le sexe du guerrier des plantes très douces.
Le sexe du guerrier était plus volumineux et très dur.
Il choisit l’épaisseur des bouts de bois en fonction de la faute de la femme.
Il verse un liquide extrait de plante sur l’anus de la femme.
Il s’allonge de tout son poids sur elle. Il place ses jambes entre les jambes de la femme. Puis lui écarte l’une après l’autre.
Il sait l’effet qu’il procure sur les femmes et aime faire durer ce moment de peur avant là punition.
Il place son sexe sur la raie de la femme puis se frotte.
Il respire dans son cou. Il aime respirer l’odeur des femmes en chaleur.
Il sait que même certaine le font exprès et aiment se retrouver entre ses bras musclés et virils.
Il aime respirer le parfum de l’excitation et de la peur.
Puis quand il juge le bon moment, il pénètre la femme qui souvent se raidit sous cette intrusion de leur fondement.
Il les oblige à lâcher prise et lorsqu’il les sent se relâcher et ne plus résister, il les encule jusqu’à la garde.
Il aime rester un moment, sentir leur petit anneau se relâcher progressivement.
Plus la femme lui demande d’arrêter, plus ça le fait enfler.
Il commence son va-et-vient.
Il parle à l’oreille de la femme fautive et lui demande si elle a bien compris et il lui demande de s’excuser.
Une fois la punition méritée encaissée, le guerrier se retire, se libère des morceaux de bois, puis vient sodomiser avec sa bite peau nue.
Il se décharge dans le ventre de la femme punie.
Elle doit le lécher pour le laver, le remercier puis retourner chez elle.
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