Il était un foie... (Suite)

Lors de ma première consultation, le professeur m'avait étonné par sa méthode de travail. Les examens de mon foie n'avaient rien révélés d'anormal mais il fallait procéder à une seconde consultation pour en avoir le cœur net. Je n'allais pas être déçu !

Proposée le 10/11/2021 par sorggulp

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman

Un mois s’était écoulé. Au souvenir de mon premier examen chez ce spécialiste du foie, je frissonnais de plaisir. Il faut dire que ce professeur avait une drôle de façon d’ausculter le foie de ses patients !
Pour ma seconde visite, je m’étais méticuleusement préparé. Epilation intégrale, lavage annal et bien sur un slip très échancré espérant revivre les mêmes sensations que la première fois.
C’est avec une grosse sensation de trouble que j’entrais dans le cabinet du professeur.
Celui-ci était assis à son bureau, semblant absorbé par la lecture d’un dossier sur son ordinateur portable, ignorant ma présence.
« Comment allez-vous ? » me demanda-t-il lorsqu’il découvrit mon visage.
« Bien merci mais vous allez me confirmer tout ça » lui répondis-je en lui faisant un sourire évocateur.
« Déshabillez-vous, s’il vous plait, et prenez place sur la table d’examens, je regarde votre dossier et j’arrive » me dit-il. Je m’exécutais, sentant mon rythme cardiaque s’affoler.
« Comment va votre foie depuis notre première rencontre ? » me demanda-t-il en plaquant ses deux mains sur mon ventre.
Je tressaillait sous le contact de celles-ci.
« Tout cela me parait très bien, nous allons approfondir l’examen si vous le voulez bien mon cher monsieur ! dit-il en palpant mon ventre sous toutes les coutures.
Ses mains s’aventurèrent alors directement sous mon string. Evidemment, ma queue se retrouva très vite à l’étroit sous les gestes très suggestifs du professeur.
Sans prononcer une parole, il prit ma queue à pleine main. Je soupirais de plaisir, encourageant par la même occasion le professeur à aller plus loin.
« Parfait » murmura-t-il en glissant sa main entre mes fesses. J’écartais les cuisses afin de laisser plus de liberté à la main curieuse. Elle faisait de nombreux allers-retours dans ma raie, insistant de plus en plus sur ma rosette. Celle-ci ne résista pas bien longtemps, laissant un premier doigt se glisser à l’intérieur de mon rectum. Le professeur entreprit de masser ma rondelle lentement. Je la sentais s’assouplir très rapidement.
« Très bien » souffla le professeur qui semblait absorbé par son travail.
Il ouvrit sa blouse puis prit ma main pour la poser sur son entrejambe.
Je massais quelque instants la bosse que formait son sexe sous le pantalon de toile. Le professeur dégrafa sa ceinture puis ouvrit son pantalon de sa main libre sans cesser de me doigter.
Ma main se glissa dans l’ouverture pour se placer sur la bosse qui avait encore prit du volume. Les yeux fermés, j’essayais d’imaginer le sexe du professeur en parcourant celui-ci du bout des doigts.
Ouvrant légèrement les yeux sous l’effet de surprise, je restais interdit en réalisant ce qui se cachait sous le slip du professeur.
Celui-ci avait profité de ma surprise pour glisser un deuxième doigts dans mon cul, m’arrachant un petit cri de plaisir.
Ma main tira sur l’élastique du slip pour libérer le sexe emprisonné. Celui-ci se redressa violement. Je le saisis à la base pour ensuite remonter jusqu’au prépuce que je décalottais dans la foulée. Un énorme gland luisant de liquide séminal.
J’ouvrais les yeux pour m’assurer que je ne rêvais pas. J’observais quelques instants ma main coulisser sur l’énorme pieu de chair totalement imberbe. Je pouvais tout juste faire le tour de celui-ci avec mes doigts.
« Tout va bien ? » me demanda le professeur avec un large sourire tout en me doigtant de plus belle.
« Oui, oui » murmurais-je en fixant sa queue dressée juste à côté de moi.
Je branlais lentement l’énorme sexe , faisant soupirer mon professeur.
Je faisais glisser le pantalon et le slip du professeur au sol, libérant par la même occasion deux énormes testicules elles-aussi totalement lisses qui pendouillaient mollement sous l’énorme bite que je reprenais immédiatement en main. Elle était dressée vers le plafond, tendue comme un arc.
Délaissant quelques seconde le professeur, je retirais mon string.
Ouvrant largement les jambes, je l’encourageais à approfondir son examen rectal. Il sortit un tube de la poche de sa blouse et enduisit sa main. Un, deux puis un troisième entrèrent en moi, me faisant chavirer de bonheur.
Le professeur se plaqua contre la table, plaçant son sexe à portée de ma bouche .Je pris celui-ci pour l’attirer, léchant au passage ses valseuses entièrement lisses. Les gobant une à une, je les faisais ensuite rouler dans ma bouche. Le professeur poussait de petits grognement de plaisirs alors que ma main coulissait sur le pieu dressé. j’agaçais le gland ruisselant de liquide séminal. N’y tenant plus , je guidais son chibre entre mes lèvres. L’énorme gland entra difficilement tandis que je triturais ses couilles. Je suffoquais plusieurs fois à chaque poussée puis m’habituait progressivement à la taille démesurée de cette colonne de chair, la laissant aller de plus en plus loin dans ma gorge. Je sentais celle-ci céder petit à petit sous les coups de boutoir du gland. Le professeur me doigtait de plus belle en donnant de petits coups de reins de plus en plus appuyés. Soudain, je sentis ma gorge céder, laissant passer l’énorme gland au fond de celle-ci. Mon nez toucha le bas-ventre du professeur. Je m’étouffais sous l’effet de surprise.
« Un instant s’il vous plait » dit-il en se retirant de ma bouche.
Il se plaça au bout de la table ;
« Approchez-vous » me dit-il en tirant légèrement sur mes chevilles. Je me laissais glisser sur la table, ouvrant plus largement les jambes, offrant ainsi une vue parfaite sur mon anus parfaitement dilaté.
« Nous allons passer à l’examen final . détendez-vous au maximum » dit-il en saisissant ma queue. Il se pencha alors pour la faire glisser entre ses lèvres. Je soupirais de plaisir sous les assauts de sa langue experte. Tout mon sexe était passé en revue dans les moindres détails tandis que ses doigts fouillaient de plus belle ma rondelle bien ouverte.
Il avait sans doute senti que je me dirigeais vers le point de non-retour lorsqu’il libéra ma queue de son emprise. Il me prit par les chevilles pour les poser sur ses épaules. J’étais entièrement offert au professeur. Celui-ci posa son sexe sur ma rondelle lubrifiée. Je sentais l’énorme gland forcer l’entrée.
«Ca ne passera jamais ! » pensais-je en fermant les yeux tandis que le professeur poussait un peu plus fort.
Je sentais mon anus s’ouvrir lentement. Une douleur diffuse se faisait sentir tandis que le pieu forçait ma rondelle soudain devenue trop étroite.
La douleur se faisait de plus en plus intense, devenant presque insupportable. Je poussais de petits cris à chaque poussée, sentant ma rondelle s’écarteler comme jamais. Mon anus allait se déchirer sous l’énorme poussée. Le professeur donna alors un coup de rein légèrement plus prononcé. Je sentis une chaleur irradier tout mon bas-ventre. L’énorme gland avait franchi le passage étroit et se retrouvait libre dans mon rectum. Je sentis sa queue coulisser entièrement d’un seul coup. Sous l’effet de surprise, je poussais un cri qui ne manqua pas d’alerter une nouvelle fois la secrétaire qui se trouvait dans la pièce à côté.
« Tout va bien professeur ? » demanda-t-elle derrière la porte.
« Oui, oui, ne vous inquiétez-pas, mon patient s’est fait mal en s’allongeant sur la table» dit le professeur en restant planté dans mon cul. Il reprit mes chevilles des deux mains, écarta mes jambes au maximum puis reprit sa besogne.
Sa queue ressortit entièrement. L’énorme gland repassa l’étroit passage, l’écartelant une nouvelle fois. Je grimaçais de plaisir mêlé à de la douleur.
Le professeur me besognait lentement. Mon cul s’habituait progressivement à la taille de son sexe. Je sentais une énorme vague de plaisir se diffuser dans tout mon corps. Je n’avais encore jamais ressenti de telles sensations.
Je laissais aller l’énorme pieu coulisser de plus en plus facilement dans mon cul dilaté au maximum.
Le professeur accéléra la cadence.
Son ventre claquait à présent contre mes fesses tandis que je sentais ses couilles se balancer au rythme de ses coups de reins.
Le professeur soufflait de plus en plus fort. Il prit ma queue en main pour la branler tandis qu’il me pilonnait rageusement.
Le rythme accélérait encore. J’étais devenu un pantin aux mains du professeur qui haletait sous les efforts.
Sa bite coulissait comme un énorme piston dans mon cul.
Le professeur observait sa queue disparaitre jusqu’à la garde, semblant se délecter de la vue offerte.
Ayant calé mes chevilles sur ses épaules, il reprit ma queue des deux mains pour la caresser délicatement. Il la décalottait, jouait avec le gland, massait mes couilles tout en restant planté immobile au fond de mon séant.
Je perdais le contrôle. Il mit alors du gel sur ma queue pour la branler des deux mains. Le point de non-retour arrivait à grande vitesse. Soudain, je poussais un long râle étouffé. Mon anus se contractait sans cesse sur son énorme queue ce qui semblait encore plus exciter le professeur. Celui-ci se déchaina entre mes fesses en basculant la tête en arrière. Soudain, il poussa un long cri. Je sentais sa queue grossir encore plus tandis qu’une vague de chaleur inondait mon rectum. Le professeur me limait le cul comme un forçat, continuant à décharger de grandes giclées . Son ventre tapait fort sur le bas de mes cuisses tandis que son foutre débordait de mon cul rendu poisseux.
Je fermais les yeux pour me laissait bercer par les derniers coups de reins du professeur tel un pantin désarticulé.
Le calme revint quelques instants plus tard. Le sexe du professeur diminuait de taille laissant ma rondelle largement ouverte par laquelle s’écoulait un long filet de semence blanchâtre.
Le professeur se retira puis alla chercher des lingettes.
Tandis qu’il m’essuyait consciencieusement le bas-ventre maculé de foutre, je reprenais en main son sexe. L’attirant vers moi, je léchais la dernière goutte de foutre perlant sur l’énorme gland.
« Mon cher Monsieur, j’ai le plaisir de vous annoncer que vous êtes en pleine forme, votre foie est parfaitement souple ! » me dit-il en réajustant sa tenue.
« N’hésitez-pas à reprendre rendez-vous pour un contrôle de routine, ce sera un plaisir de vous recevoir »
Quel professeur !

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