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Il était un foie...

Les dernières analyses de sang ont révélé un inquiétude pour mon foie. il faut avouer que le confinement a été une période difficile pour ce dernier. Me voici donc contraint d'effectuer des recherches plus poussées chez un spécialiste du foie. Le professeur a une drôle de façon d'examiner ses patients...

Proposée le 29/09/2021 par sorggulp

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Deux heures que je poireautais dans la salle d’attente ! Deux heures alors que mon rendez-vous était fixé à 15.40 et que l’on m’avait fortement conseillé d’arriver trente minutes avant pour effectuer les démarches administratives !
Je n’en pouvais plus, je me dirigeais vers la secrétaire qui m’avait accueilli pour lui faire part de mon impatience. Celle-ci ne pouvait que constater les faits, me répondant d’un air gêné que c’était un très bon professeur mais qu’il prenait beaucoup de temps pour étudier le dossier de chaque patient.
Je me rasseyais en maugréant. Purée, il avait intérêt à être bon ce professeur !
Les dernières analyses sanguines avaient révélé un taux anormalement élevés d’un truc qui s’apparentait à du chinois pour moi. Mon médecin traitant m’avait conseillé de demander l’avis d’un spécialiste.
Rendez-vous était pris avec ce fameux professeur.
La secrétaire m’indiquait (enfin) un bureau vers lequel je me dirigeais d’un air maussade. J’espérais surtout en finir le plus vite possible.
Les minutes passaient sans que quiconque ne fasse son apparition. J’en profitais pour détailler l’intérieur du cabinet. Le bureau se trouvait face à moi. Une baie vitrée me permettait d’apercevoir une cour intérieur sans grand intérêt. Une table d’examen se trouvait dans un angle du bureau, recouverte du traditionnel papier blanc jetable. Quelques plantes vertes donnaient un peu de vie à l’endroit. Je soupirais en regardant l’aiguille des secondes trotter sur l’horloge fixée au mur.
Une porte s’ouvrait enfin laissant apparaitre le fameux professeur.
Je restais circonspect en repensant aux commentaires de la secrétaire le concernant.
Il devait être âgé d’une cinquantaine d’année, plutôt grand, très longiligne, vêtu d’une classique blouse blanche. Celle-ci laissait une chemise bleue et un pantalon de toile noire. Son visage était encadré par une longue chevelure poivre et sel ainsi qu’une barbe de la même couleur. Des lunettes cerclées lui donnait un air de professeur tournesol.
Il se mit à étudier les résultats de mes dernières analyses faisant tout un tas de commentaires sur notre société, critiquant le système qui mettait à mal nos corps. Je l’observais gesticuler, m’attardant sur l’extrême finesse de ses doigts.
Il me posait tout un tas de questions au sujet de ma profession, de mes activités sportives, de ma consommation d’alcool, etc. Sa voix me paressait légèrement efféminée.
Peu importe, je ne souhaitais qu’une chose : Que cela se termine rapidement !
Toutefois, je m’étonnais de certains commentaires.
« Vous semblez en pleine forme mon cher monsieur, vous n’êtes pas en surpoids, votre teint de peau est clair signe que vous ne fumez pas, je dirais même que vous êtes bel homme ». me disait-il en me regardant par-dessus ses lunettes rondes. Son regard dissimulait mal un certain intérêt sur ma personne.
« Et voilà que je me fais des films maintenant » pensais-je en observant le professeur écrire.
« Nous allons maintenant vérifier tout cela si vous le voulez bien. Mettez-vous en sous-vêtements et allez-vous allonger sur cette table » me dit-il en se levant du bureau et m’indiquant l’angle du bureau où se trouvait la fameuse table d’examen.
Je m’exécutais sous le regard discret mais bien attentif du professeur
Je ressentais un mélange d’excitation et de gêne en retirant mes vêtements du fait que je portais un slip tanga noir très échancré ne dissimulant que le strict minimum de mon intimité.
Je prenais place sur la table.
Le professeur prenait place à ma droite. Ses doigts se posèrent sur mon ventre. Je sursautais au contact de ceux-ci.
« Désolé, j’ai les mains froides mais elles vont se réchauffer très rapidement » dit le professeur tandis que je sentais celles-ci inspecter mon foie sous tous les angles. Il commentait l’examen en direct, me rassurant sur l’état de mon foie.
Ses doigts parcouraient mon ventre touchant régulièrement le rebord de mon slip. Evidemment, la réaction ne se fit pas attendre, mon sexe prenait de plus en plus de volume malgré ma volonté de maitriser mes émotions.
Je feignais l’indifférence, restant parfaitement immobile, les bras posés le long du corps, m’agrippant même des deux mains aux rebords de la table d’examen. Je priais intérieurement pour que ma queue ne sorte pas du slip.
Le professeur me racontait tout un tas d’anecdotes sur le foie et notre vie de citadins tout en laissant (volontairement ?) ses doigts aller de plus en plus près de la bosse que formait à présent ma queue étouffant dans mon slip. Tandis qu’il palpait mon ventre d’une main, il posa délicatement l’autre sur la bosse pour la masser au travers de mon slip. Je sursautais au contact de sa main sur mon sexe tout en restant silencieux. C’était ma façon de lui dire qu’il pouvait continuer.
Il continuait à me parler comme si rien n’était. J’étais tétanisé par la tournure des évènements, retenant ma respiration. Ma queue se dressa hors de sa cachette, laissant apparaitre le gland encore dissimulé sous le prépuce. Les doigts du professeur s’enroulèrent autour, triturant le prépuce pour décalotter le gland tout heureux de sortir de sa cachette. Le professeur continuait étrangement de me parler de mon foie comme s’il ne se rendait pas compte de ce qu’il faisait. Je n’écoutais rien, uniquement concentré sur ce que je ressentais.
Il soulevait l’élastique de mon slip. Mon sexe se redressait immédiatement, tout heureux d’être libéré de sa prison de tissu. Je respirais plus fort sous la sensation de bien-être.
« Dites-moi, vous semblez en pleine forme ! » soufflait-il en enroulant ses doigts autour de mon sexe dressé.
« Vous serez plus à l’aise ainsi » murmura-t-il en faisant glisser mon slip à mes chevilles. Ce dernier terminait sa course au sol. J’étais entièrement nu, livré aux mains de mon professeur.
Mon souffle accélérait tandis que ses doigts caressaient délicatement ma queue, flattant au passage mes testicules entièrement épilées. Il semblait apprécier la douceur de celles-ci, s’attardant un long moment dessus, les cajolant chacune à tour de rôle. Il revint sur ma queue douloureuse d’excitation.
Sa main s’activa tout d’abord lentement sur celle-ci, décalottant délicatement le gland brillant de liquide séminal. Je poussais des gémissements de plaisir, l’invitant à continuer en donnant de petits coups de reins évocateurs.
Le silence était total seulement perturbé par nos respirations haletantes.
« Je ne peux décemment pas vous laisser dans cet état » dit-il en léchant délicatement le liquide qui s’écoulait de ma queue enserrée dans sa main.
Tenant celle-ci à la base, il la fit coulisser progressivement tout au fond de sa bouche. Je voyais ma queue disparaitre entièrement alors que sa barbe me chatouillait le bas-ventre.
Mon rythme cardiaque montait en flèche. Ma queue ressortait entièrement pour disparaitre à nouveau entièrement dans la gorge du professeur. Quel pied ! J’osais alors me redresser sur un coude pour mieux offrir ma queue à cette bouche si accueillante. J’accélérais la cadence.
N’y résistant plus, je plaquais ma main sur sa tête pour mieux pilonner sa bouche.
Le professeur savait s’y prendre ! A ce rythme , je n’allais pas tenir bien longtemps !
De temps à autre, il libérait ma queue pour lécher longuement les boules, les gobant délicatement tout en me caressant la tige d’une main. C’était divin.
Je sentais les premiers signes avant-coureurs de la jouissance arriver.
« Attention, je vais venir ! » murmurais-je en lui m’agrippant à ses cheveux longs. Le professeur feignait ne pas entendre ma remarque, me suçant de plus belle.
Tandis que les premiers spasmes parcouraient mon corps, le professeur plaça sa main sur mon ventre.
Je poussais un cri étouffé lorsqu’une décharge électrique parcouru tout mon corps tandis que le professeur faisait coulisser ma queue au fond de sa bouche.
« Ahhhhhhhhhhh !!!! ». Je déchargeais dans sa bouche en poussant de longs râles.
« Tout va bien ? » demandait alors la secrétaire derrière la porte du cabinet. Le professeur relâcha son étreinte buccale, la bouche encore pleine de sperme.
« Oui, c’est bientôt terminé ! » dit-il en léchant la dernière goutte perlant au bout de ma queue.
Il me branlait délicatement, observant mon sexe ramollir progressivement
Il flattais ensuite mes couilles semblant les remercier de l’offrande.
Il prit ensuite une lingette pour me toiletter tandis que je reprenais lentement mes esprits.
« Mon cher Monsieur, vous êtes en pleine forme mais je pense que nous devrions nous revoir dans un mois afin de faire un nouveau point sur votre foie. Je vous envoie un mail avec le compte-rendu ainsi que la date du prochain rendez-vous » me dit-il en se dirigeant vers son bureau. Il semblait m’avoir oublié.
Malgré l’attente interminable, ce professeur savait comment s’y prendre pour fidéliser ses patients.
A la sortie du cabinet, je retrouvais la secrétaire qui semblait m’attendre.
« Alors, que pensez-vous du professeur ? « me demanda-t-elle d’un air inquiet.
« « Un vrai spécialiste comme on en trouve rarement ! » répondais-je en filant vers la sortie.
A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

FrancoisBxl
Un beau récit, autobiographique ?
Posté le 3/02/2022

Anonyme
Très belle histoire qui me rappelle une anecdote qui m'est arrivé il y a bien des années . J'étais dans un centre de repos suite à une tuberculose pulmonaire , j'avais 35 ans . Un jour un jeune médecin me fait appeler pour me faire passer des examens , tous comme toi en slip sur la table d'auscultation . Il m'a surtout contrôlé les ganglions d'abord au coup , puis m'a fait baisser mon slip pour tâter mes ganglions autour du pénis auquel il a insisté un bon moment jusqu'à ce que je bande de plus en plus fort . Lors ce qu'il me dit que j'ai un beau pénis et que je dois avoir du succès chez les femmes , je lui répond que je préfère les hommes . Sur il ce il commence à me décalotter et son BiB se met à sonner et il a du partir pour une urgence . Il me dit nous allons remettre cela plus tard , malheureusement j'ai été libéré le lendemain sans avoir pu revoir mon beau médecin .
Posté le 30/09/2021


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