Je baby sitte la grande soeur, ce n'était pas prévu dans mon contrat

Baby-sitter est parfois chiant, les gamins sont casses-pieds ou très sages, mais qu'en est-il de la grande soeur ? Tout compte fait, cette soirée là fut une très bonne idée !

Proposée le 9/03/2024 par goelan

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Moi je suis un baby sitter un peu spécial. Je suis étudiant et depuis quelques années je garde des enfants afin d'arrondir les fins de mois. Combien de parents sont trop heureux de pouvoir lâcher prise en laissant leur gosses à la maison sous bonne garde.
Je ne travaille que de bouche à oreille, souvent chez des connaissances ou des connaissances de connaissances, bref, je pars rarement à l'inconnu.

Sauf que cette fois-ci tout ne s'est pas réellement passé comme les parents qui m'ont engagé l'auraient imaginé. Bon ils ne sont pas au courant et c'est déjà ça, mais j'avoue que j'ai un peu merdé quand même. Ce n'est pas du tout dans mes habitudes de faire ça mais entre la fatigue et le petit verre que je me suis enfilé avant de venir, je me suis légèrement, voire beaucoup, écarté sur chemin.

Rassurons-nous, les deux marmots dont j'avais la garde sont bien au chaud dans leur lit depuis plus d'une heure. Sauf qu'ils avaient une grande soeur, et qu'à mon avis les parents auraient pu lui laisser la garde des petits frères. Sauf que celle-ci est plutôt du genre rebelle et jouer les baby-sitter, ce n'est pas trop son fort. Entre le poil dans la main et son aspect grande ado qui "vit sa vie comme elle l'entend", elle doit en faire voire souvent à ses parents.

Moi par contre, c'est autre chose que je vois, et autre chose qui est bien au chaud.

La jeune femme n'avait pas réellement envie de bosser, malgré des examens sous peu. Elle est venue voir ce qui se passait à plusieurs reprises et la garce ne portait visiblement qu'un t-shirt lâche sans rien dessous et une jupe à volant ni longue, ni courte. Comment je sais qu'elle ne portait rien en haut ? Parce qu'elle a dû me trouver à son goût, ses différentes œillades et ses questions sur quand ses parents reviendrez étaient déjà explicites, mais en plus, lorsqu'elle s'est penché en plein dans mon chant de vision, j'ai pu voir ses jolis seins pendouiller à l'échancrure de son col, et il était bien large ce col...
Je ne sais pas du tout si c'était un jeu pour elle, le fait de me narguer et de me chauffer. Si au début j'ai jouer les innocents, les baby-sitter pros qui ne pensant qu'à s'occuper des petits comme il se doit, une fois au lit, je me demande qui est devenu le chasseur et la proie dans le salon.

Elle est venue avec deux verres pour "discuter", j'ai d'abord refusé je ne savais pas ce qu'il y avait dedans, mais accepté de discuter. Je lui ai parlé de mes études et elle des siennes au lycée. Elle m'a appris qu'elle avait un examen bientôt et qu'étant étudiant, je pourrais l'aider.

Pour l'aider, je l'aide, je la travaille même au corps actuellement. Elle est devant moi, en levrette et complètement nue, la tête enfoncée dans son oreiller et ma queue frottant sur son sillon fessier.

Elle est superbe, des jolies seins bien plein, ni gros ni petits, mais qui tiennent bien en main, un corps de déesse et une paire de fesses rondes et musclées. La seule chose qu'elle m'a demandé une fois que nos habits furent sur le sol et nos mains à la découverte de l'un de l'autre, c'est de la prendre que par derrière. Comment refuser d'enculer une si jolie fille ? Je lui ai quand même demandé si elle était encore vierge, elle a avoué que oui, mais ce n'était pas la première fois qu'elle se faisait sodomiser. Par qui ? Quand ? Elle ne me l'a pas dit.

Pourquoi vouloir rester vierge alors ? Elle me répondit sérieusement que celui qui la dépucelerait serait son mari et pas un autre !

Bon avant d'en arriver là, j'ai pu goûter à sa bouche, ses seins, sa peau et même son intimité. Je l'ai embrassé, léché et titiller jusqu'à la faire gémir puis crier. Elle se mordait la main, puis les draps pour ne pas réveiller ses petits frères. Elle ne m'a pas laissé sans reste et j'ai bien vu que ce n'était pas la première fois qu'elle suçait un mec. Elle a fait de jolies yeux lorsqu'elle a vu mon chibre bien monté, je n'ai pas la taille d'un acteur porno africain, mais mon gabarit est quand même joli.

Alors j'en suis là, à frotter ma queue sur ses fesses luisant de salive et de gel. La petite salope c'est lubrifiée l'anus toute seule, les jambes écartées, devant moi, se mordant la lèvre pendant que d'une main elle se masturbait et de l'autre elle se mettait deux doigts dans l'anus en le pistonnant de manière experte.

Je lui ai quand même demandé depuis quand elle faisait ça, elle m'a répondu dans un râle satisfait que cela faisait des années toute seule, et depuis peu avec... Bref, j'ai bien compris la suite.

J'ai donc pris mon sexe tendu en main et son anus me l'a aspiré comme jamais j'ai pu le vivre. Punaise, elle avait le cul en feu et vraiment ouvert. Je ne pouvais que croire que son petit trou en avait vu d'autres, des bites comme des objets.

Elle a tout de suite gémit lorsque j'ai commencé à l'enculer, la caressant, frottant ses fesses de la paume de mes mains puis attrapant ses seins sous elle. Elle faisait tout pour éviter de faire du bruit, mais je ne la laissais pas du tout indifférente.

Alors que j'étais à mon affaire, mon téléphone sonna. La jeune fille râla mais je me retirais, glissais au sol, cherchais mon pantalon et trouvais mon téléphone. En effet, les parents des petits loulous devaient m'appeler pour prendre des nouvelles. Je ne pouvais pas faire sans répondre.

Assis sur le bord du lit, je tentais d'être le plus sérieux possible en répondant aux questions de mes employeurs sur le déroulement de la soirée. Tout s'étant bien passé, la maman fut rassurée, elle demanda tout de même si.. "la grande" ne posait pas de soucis, celle-ci, qui entendait tout, me souriait de toutes ses dents et malgré une tentative pour la repousser, passa par-dessus mes jambes pour attraper ma bite et la loger entre ses fesses.

Elle me poussa pour m'allonger sur le lit et frotta ses seins sur mon torse tout en remuant du cul sur ma queue bien droite. J'eu réellement du mal à discuter avec sa mère très prolifique en parole. Bien sur que tout se passait bien, non aucun problème, avais-je de quoi m'occuper ? Et bien oui je ne pourrais pas m'ennuyer. Ils auraient sûrement du retard et je ne devais pas m'inquiéter, je serai payer en heure de nuit après minuit.
Leur fille commença à sérieusement m'exciter en me léchant le cou, en sautant sur moi tout en mettant mes sens en exergues, je n'avais qu'une hâte que sa maman raccroche. Merde, je baisais sa fille alors qu'elle me pensait tout sagement dans leur salon en train de bosser ou un truc du genre. Finalement, elle raccrocha car son mari râlait de me laisser tranquille. A peine avais-je raccroché que la furie se jeta sur ma bouche et nous échangeâmes un long baiser tout en l'enculant.

Je la retournais sur le dos, mis ses jambes sur mes épaules et me remis en devoir de la faire gémir. Elle aimait vraiment se faire sodomiser celle-là, elle promettait. En plus elle était vraiment mignonne, tout pour plaire.

Comme elle commençait à redevenir bruyante, je lui mis un bout de draps entre les lèvres qu'elle mordit en me fixant lubriquement. Je tenais le drap de chaque côté de sa bouche et envoyais ma queue pilonner son cul. 

Dans le chaos de nos ébats je déculais, je repris ma bite en main et replongeais dans son anus bien ouvert. Elle n'en fut que plus heureuse et envoya autant son bassin vers moi que ma queue en elle.

Nos corps étaient en sueur, elle mordait le drap tout en s'agitant sous mes coups de butoir, mon petit nez me disait qu'elle ne devait pas avoir ce genre de relation tous les jours. Je me demande avec qui elle avait bien pu baiser avant et comment ? Sûrement un ado de son âge vite fait dans un coin. 

Ma bite glissa à nouveau hors du fourreau anal et je la remis en place d'un petit mouvement de bassin et hop nous reprîmes là où nous nous en étions resté.
Avez-vous déjà vu des vidéos pornos titrées "Wrong hole" ? Généralement lors d'un ébat passionné, le mec sort de la chatte de sa partenaire et vlan avec le coup suivant de bite, il l'enfonce d'un coup dans son cul, généralement pas du tout préparé à cela. Ensuite la nana crie, hurle, se dégage et se tient le cul en gémissant de douleur. 

Et bien, c'est un peu ce passa ici, mais dans l'autre sens. Elle m'avait dit quoi la gamine ? Qu'elle se gardait pour celui qui serait son mari ? Le jour de sa nuit de noces ? Ben désolé, là j'ai un peu dérapé !

Dans notre coït endiablé, ma queue est encore sortie de son petit trou et au lieu de la guider à la main, je la recalais d'un mouvement de bassin et puis, j'envoyais le tout d'un bon mouvement en avant.

La jeune fille cria mais le tissu entre ses dents m'empêcha de comprendre tout de suite ce que je venais de faire. Elle ouvrit de grands yeux ronds brillants de larmes naissantes et ses mains se plaquèrent sur mon torse pour me repousser. Mais le mal était fait. Le temps que je comprenne, je venais de la pourfendre et la baisais déjà à grands coups puissants. Sa chatte était tellement mouillée que je n'avais aucun mal à la baiser.
Il me fallut une poignées de secondes pour me rendre compte que un, je n'étais plus dans son cul, et que deux la jeune fille me faisait clairement comprendre son désappointement. 

Toujours fiché en elle bien profond, je relâchais le draps et laissais retomber ses jambes sur les côtés tout en me redressant, c'est là que je vis ma petite bourde.

Elle retira le tissu trempé de salive de sa bouche et émit un gargouillis étranglé, puis elle glissa sa main entre ses jambes pour confirmer ce qui venait de se passer, je l'avais dépucelé sans m'en rendre compte.

Je ne savais pas si je devais m'excuser, c'était un peu tard pour regretter, me retirer ou encore prendre cela à la légère, je ne bougeais tout simplement pas tout en la fixant dans les yeux.

Elle m'attrapa la tête et la tira vers elle. Ce qu'elle me sortit me laissa complètement béat de stupeur "j'espère que tu n'as pas de petite amie, car dorénavant tu seras mon futur mari ! Maintenant, baise moi !"

Et vous savez quoi ? Non seulement je l'ai baisé, et pas qu'une fois, mais en plus, quelques mois plus tard, le temps de faire comprendre à ses parents que nous avions des sentiments l'un pour l'autre, car en vrai, j'étais tombé sous son charme dès le début, nous avons officialisé notre relation, je sortais avec elle. Je n'avais que 4 ans de plus qu'elle, ce qui n'était pas non plus grave. D'autant plus que l'année suivante, elle serait majeure. Cerise sur le gâteau, ses parents approuvèrent cette relation car à mes côté la petite garce était devenue bien plus sociable et beaucoup plus sérieuse dans ses études. Il faut dire que je lui donnais des cours privés avant ou après une petite séance de baise.
Comme quoi, faire du baby-sitting fut la meilleure chose qui m'arriva. 

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