Le père de ma meilleure amie m'emmène dans un donjon où il m'attache, me fouette et fait de moi tout ce qu'il veut, même un tatouage.
Proposée le 28/10/2021 par Valentina
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: SM, bondage
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie
Pendant que nous reprenons notre souffle, Annie ne perd pas de temps, elle commence à rassembler ses vêtements. Nous essayons de la retenir car ni Christophe, ni moi n’avons envie de nous rhabiller. Mais Annie en a assez pour ce soir et elle a envie de rentrer chez elle. Je vais prendre une douche et Christophe la raccompagne à la porte en lui faisant promettre que nous recommencerons cette expérience tous ensemble.
J’ai encore les images de ses seins tombants et sa chatte grisonnante dans la tête lorsque Christophe me rejoint dans la douche. Il me savonne les seins.
- T’as aimé être avec Annie ?
- Ah ouais. J’ai adoré, j’ai encore envie de la faire jouir, c’était trop bon. Tu crois que c’est vrai, elle n’avait jamais eu d’orgasme ?
- Elle a du temps à rattraper ! En tous cas toi, tu n’as pas ce problème hein ?
Il se baisse et ses lèvres rencontre ma chatte, puis je sens sa langue sur mon clitoris, je m’appuis contre le mur, il me lèche jusqu’à ce que j’explose dans un orgasme qui me fait trembler les jambes.
Je me sèche et je rentre chez moi.
Lundi matin, monsieur Colin m’envoie un message. Je me demande ce que Marie pense de ses parents.
- Tu crois que tes parents font encore l’amour ?
- Pourquoi tu me demandes ça ? Ça va pas !!!
- Quoi ?! T’aimerais pas savoir ?
- Non merci, j’ai pas du tout envie de penser à ça… de toute façon, ils sont trop vieux non ?
- Je ne crois pas, il a quel âge ton père ?
- 45 ans.
- Et tu crois qu’il a déjà trompé ta mère ?
- Mais arrête avec mes parents !
Je n’ai pas été très subtile… je n’en apprendrais pas plus.
Le soir, monsieur Colin nous attend à la sortie de lycée, il prétexte devoir repasser au travail pour déposer Marie chez eux d’abord, car j’habite soi-disant plus près de son bureau. En partant Marie me demande si cela ne me dérange pas de rester seule avec son père, je la sers dans mes bras et la rassure, non ça ne me dérange pas ! Je prends place du côté passager et pose la main sur sa jambe. Enfin seul !
Monsieur Colin m’emmène dans une boutique de lingerie. Il a envie de me voir dans des dessous sexy. Nous arrivons dans une boutique plutôt classe, nous vagabondons dans les rayons quand une vendeuse nous demande si nous avons besoin d’aide et j’entends monsieur Colin expliquer qu’il voudrait me voir dans de la dentelle noire, classe, avec des liens, des lanières, des balconnets. Je suis déjà excitée ! La vendeuse nous propose d’attendre dans les cabines d’essayage et elle nous rejoint rapidement avec une sélection. J’essaie un premier soutien-gorge à balconnet noir, avec un tanga tout en dentelle qui rentre dans les fesses. Mes seins n’ont jamais paru aussi gros et aussi pigeonnants. J’ouvre la porte sur la vendeuse et monsieur Colin. Ils sont tous les deux d’accord pour dire que cela me va bien. Mais monsieur Colin veut quelque chose de plus, plus sexy, plus excitant… j’essaie un body, très révélant, c’est fendu à l’entre-jambes et cela laisse sortir la pointe de mes seins, qui est très dure car me voir dans cette tenue m’excite beaucoup. Monsieur Colin hoche la tête, oui c’est comme ça qu’il veut me voir. Je passe tenue après tenue, du noir, du rouge, du blanc, des lanières, des strings… nous restons plus d’une heure dans le magasin. La vendeuse m’aide en cabine quand elle me demande mon âge. Je fais semblant de faire tomber un soutien-gorge, je n’ai pas envie de répondre. Nous repartons avec un sac plein de lingerie très sexy, mais aucun sous-vêtement sur moi. Il propose de me ramener chez moi.
- Vous savez, mes parents vont rentrer très tard ce soir, ils sont partis à Paris pour la journée, vous pouvez monter.
- Non, je ne peux pas Valentina et s’ils rentrent plus tôt ?
Je fais tout pour le convaincre, mais il hésite encore. Du coup, j’écarte les jambes, passe le doigt le long de ma fente, je suis trempée, il me regarde du coin de l’œil en conduisant. Je me caresse carrément maintenant.
- Oh monsieur Colin, j’ai tellement envie de vous sentir en moi.
Il se gare devant chez moi mais ne fait pas un geste pour descendre de voiture, je lui fais gouter mon doigt, qu’il suce goulument, et je sais que j’ai gagné.
Quand la porte de l’ascenseur se referme sur nous, monsieur Colin me soulève et me colle contre la paroi violement, toute la cabine bouge, il m’embrasse, je sens son sexe contre ma chatte à travers le tissu de son pantalon. Il me repose, j’ouvre la porte de chez moi, vérifie que personne n’est là.
- Où est ta chambre ?
Il me suit, je ferme la porte et me jette sur lui. Nous nous déshabillons mutuellement, son sexe fièrement dressé n’attend que ma bouche pour l’entourer. Il me mordille les seins, me soulève et me jette sur mon lit.
- Je vais te baiser comme la petite cochonne que tu es. Retourne-toi.
Je me mets à quatre pattes au bord du lit, je l’entends qui enfile un préservatif, il me tient les hanches, son gland cherche à entrer en moi et il me pénètre d’un coup, très violement, je hurle, il continue très vite, très fort, je ne peux pas retenir mes cris, il me met plusieurs fessées.
- Monsieur Colin arrêtez, vous me faites mal.
Il se retire, enlève la ceinture de son pantalon, il la tient bien en main et l’approche de mes fesses, puis il demande :
- Tu es prête ?
Je n’hésite même pas, c’est comme si une autre répondait à ma place, j’entends ma voix dire :
- Oui.
Et le premier coup de ceinture claque. Ça pique. Il recommence et je sens la brulure en travers de mes fesses.
- Encore ?
- Oui.
- Oui, qui ?
- Oui, monsieur Colin.
Et ça claque encore une fois. Puis il me reprend, plus doucement cette fois, je sens sa longue tige coulisser en moi et la morsure de la ceinture sur mes fesses qu’il tient fermement, je suis proche de la jouissance. Je le regarde aller et venir en moi dans le miroir de mon placard et je jouis violemment en même temps que lui.
Il regarde mes fesses rougies, les caresse, puis prend mes seins dans sa bouche.
- Tu es très belle, je pourrais te baiser toute la journée.
Bien sûr, j’ai envie de recommencer, je me colle contre lui quand j’entends du bruit dans la maison, je m’habille et sort voir qui est là. Je suis horrifiée de constater que ma sœur est déjà rentrée, elle est dans sa chambre et monsieur Colin s’éclipse rapidement. Je vais tout de suite confronter ma sœur.
- Bonjour.
Elle a un grand sourire.
- Tu étais en train de te taper qui ?
Je bafouille :
- Quelqu’un du lycée, tu ne le connais pas.
- Et c’est ‘quelqu’un du lycée’ qui t’as fait jouir comme ça ?
- T’as entendu ?
- Tout l’immeuble a entendu !
Elle trouve cette situation très drôle.
- Alors c’est qui ? C’est un bon coup apparemment.
- Laisse tomber.
Je retourne dans ma chambre, soulagée, avant de m’assoir à mon bureau pour faire mes devoirs, je regarde mes fesses dans le miroir. Elles sont barrées de 3 marques rouges, souvenir de la ceinture de monsieur Colin. Pourquoi est-ce que j’ai dit oui pour qu’il me fouette ? Je n’ose pas l’avouer mais j’ai aimé ça.
Le soir, il m’envoie un message :
- Tout va bien ? Tu n’as pas eu de problème ?
- Non, c’était ma sœur, mais elle ne vous a pas vu.
- Il y a des marques sur tes fesses ?
- Oui.
- Envoie-moi une photo.
Je passe un string et envoie une photo. En retour, je reçois une photo de la bosse déformant son pyjama.
Deux jours sans nouvelle, les traces sur mes fesses ont disparu, quand il m’appelle enfin.
- Tu es libre demain ?
- Oui !
En fait, j’avais déjà des projets avec des copines, mais j’annule tout pour passer la soirée avec monsieur Colin.
Le lendemain, il vient me chercher au bout de ma rue, mais je ne sais toujours pas où il m’emmène. Je porte le body, fendu à l’entrejambe et tout en dentelle que nous avons acheté ensemble, sous une robe noire moulante et courte. Nous roulons hors de la ville maintenant et arrivons finalement sur le parking d’une grande bâtisse. Il y a des voitures garées mais aucun panneau. Avant de sortir, monsieur Colin m’embrasse et demande :
- Tu me fais confiance ?
J’hésite quelques instants, j’essaie de deviner où nous sommes.
- Valentina, tu me fais confiance ? Vraiment confiance ?
- Oui.
- Tu vas être obéissante ?
- Oui.
- Ok, alors laisse-moi t’expliquer quelque chose. À partir de maintenant, tu es à moi. Tu fais ce que je te dis et tu parles quand je te pose une question. C’est compris ?
- Oui, monsieur Colin.
- Si quelqu’un d’autre te parle tu ne réponds pas, c’est moi qui décide. Si on sort de cette voiture, tu m’appartiens. Alors réfléchis bien.
J’ai peur. Mais j’ai envie de savoir ce qui se cache dans cette grande maison.
- D’accord.
Il sort de la voiture, je n’ai pas bougé, il vient ouvrir ma porte et me prend la main quand nous arrivons à l’entrée. La porte s’ouvre toute seule sur un long couloir, au bout duquel une femme masquée et habillée tout en latex nous attend.
- Bienvenu au donjon.
Au donjon ? J’ai une boule au ventre, dans quoi me suis-je aventurée ?
- Nous vous attendions.
Elle nous fait pénétrer dans une grande salle où une bonne cinquantaine de personnes boivent et dansent. Il y a une grande diversité, des jeunes, des vieux, certains habillés en tenue de ville, d’autre en cuir ou en latex. Une femme promène un homme en laisse. Je ne sais où poser mon regard, je sers fort la main de monsieur Colin. Nous buvons un whisky et je me détends un peu. Je demande :
- C’est quoi cet endroit ?
- Ça te plait ?
- Je ne sais pas encore.
- C’est là où sont punies les petites chiennes comme toi.
La femme de l’entrée ne rejoint :
- Votre salle est prête.
Et elle nous invite à la suivre. Nous marchons dans un couloir et débouchons sur une salle remplie d’instruments que je n’avais jamais vu avant : une grande croix en bois, des chaines, des menottes, des fouets, des masques… La femme s’approche de moi et pose ses mains sur mes épaules. Je fais un pas en arrière, mais monsieur Colin me rappelle à l’ordre :
- Valentina, laisse-toi faire.
La femme fait glisser les bretelles de ma robe, puis me déshabille. Elle tourne autour de moi, puis entreprend de me retirer mon body. Je suis totalement nue, elle rejoint monsieur Colin et ils ont une conversation à voix basse, puis elle passe une large ceinture en cuir autour de ma taille, à laquelle elle attache mes poignets, dans mon dos. Elle prend un bâillon avec une boule qu’elle ajuste sur mon visage :
- Agenouille-toi et attends tes instructions.
Elle dit quelques mots, me fait un clin d’œil et quitte la pièce. Nous sommes tous les 2 et monsieur Colin demande :
- Alors tu regrettes de m’avoir séduit maintenant ?
Je ne peux pas répondre, je ne sais pas quoi répondre de toute façon, je regarde de partout, je me demande ce qui va se passer, mais je ne regrette pas du tout.
Il tourne autour de moi, va se servir à boire, il s’assoit sur le canapé et savoure son whisky sans me quitter des yeux. J’attends de connaitre la suite, agenouillée, attachée et bâillonnée comme je le suis, je ressens une peur au creux du ventre, mais à aucun moment je ne voudrais partir d’ici. Puis il m’aide à me relever, me fait pencher sur une table, je l’entends remuer d’autres objets, je ne bouge pas. Puis, j’entends un bref claquement dans l’air et une lanière de cuire s’abat sur mes fesses. 3 fois.
- Tu regrettes de m’avoir séduit Valentina ?
Il me caresse les fesses, puis embrasse les traces rouges et bouillantes.
- Tu vas être sage et obéissante à partir de maintenant ?
Je hoche la tête.
- Tu veux d’autres coups de fouet ?
Je hoche la tête de nouveau et son fouet claque sur mes fesses. La douleur est cuisante. Il alterne comme ça, les coups et les baisers sur mes fesses, puis me refait agenouiller au milieu de la pièce, toujours les mains dans le dos. Il se déshabille, il est en caleçon et je vois que cette situation l’excite. Et moi aussi, car les pointes de mes seins sont dressées.
- Valentina, tu veux me faire plaisir ?
Il s’approche de moi, me relève et défait mes liens pour m’attacher les mains à une poutre au-dessus de ma tête.
- Valentina, tu n’as pas été sage. Je pense à ta chatte et à tes petites fesses toute la journée, je ne peux plus me concentrer. Comment je vais pouvoir te punir pour ça ?
Il tourne autour de moi en me caressant, gobe mes seins dans sa bouche, me mord légèrement. Puis il me soulève, cale mon bassin sur le sien, il m’embrasse le cou, les épaules, les seins.
- Tu es ma petite chienne maintenant.
Il pousse son doigt dans mon anus.
- Je ne veux plus que tu baises avec personne. C’est compris. Juste avec moi, parce que tu es ma propriété maintenant. D’accord ?
J’acquiesce.
- Ta chatte est à moi, ta bouche, ton cul, tu es à moi.
Il fait aller et venir son doigt dans mon cul.
Il me repose, s’éloigne pour prendre un dildo, le met en marche et le pose sur ma chatte, il appuie sur mon clitoris et les vibrations envoient une décharge électrique dans tout mon corps. Je sens que l’orgasme est proche, je suis essoufflée, il retire le gode. Puis le rapproche de mon clitoris, encore et encore. Ma chatte est trempée. Ne pas pouvoir bouger comme ça, m’excite terriblement, les fessées de monsieur Colin aussi, je ressens des picotements dans tout le bas ventre, je suis prête à jouir.
Mais on frappe à la porte et monsieur Colin fait un entrer un homme. Il est tatoué sur toutes les parties visibles de son corps, même le visage. Ils échangent quelques mots, puis monsieur Colin me détache et m’installe sur ce qui ressemble à la table examination du docteur, les jambes relevées. L’homme, qui s’appelle Bone, approche une chaise et s’assoit juste entre mes jambes. Il s’exclame :
- Mais elle est trempée !
- Elle n’était pas loin de jouir, répond monsieur Colin.
- C’est vrai qu’elle a une belle petite chatte. Ça vous dérange si je goute ?
Il ne pose pas la question à moi, c’est monsieur Colin qui répond :
- Non, allez-y.
L’homme lèche toute ma fente, puis s’attarde sur mon clitoris. Monsieur Colin ne me quitte pas des yeux. Je sers les rebords de la table, je respire bruyamment. Bone attrape des lanières qui pendaient sous la table, les passe autour de mes cuisses et attache mes jambes, très relevées, exposant tous mes orifices. Puis sa langue titille mon anus. Monsieur Colin n’y tient plus, il s’approche de moi et retire mon bâillon. Il sort son sexe, tient ma tête et pousse autant qu’il peut sa bite dans ma bouche. De plus en plus profond, j’ai des hauts le cœur, des larmes coulent sur mes joues, il continue quelques instants, puis s’éloigne. Bone annonce qu’il est prêt, si monsieur Colin est toujours d’accord.
- Oui, oui allez-y.
Il sort du matériel, enfile des gants en latex, désinfecte ‘la zone à tatouer’ et demande une dernière confirmation à monsieur Colin, qui affirme que tout est ok. 15 minutes plus tard, il admire son travail. Remercie monsieur Colin de l’avoir laissé bouffer ‘ma petite chatte’ et repart. ‘Ma petite chatte’ comme il l’appelle, est maintenant tatouée : ‘propriété de RC’, pour Richard Colin et je n’ai même pas protesté. Monsieur Colin regarde pendant de longues minutes le tatouage.
- Comme ça tu n’oublieras pas à qui tu appartiens. Tu es à moi, répète que tu es à moi.
- Je suis à vous monsieur Colin.
Il se branle en contemplant ses initiales gravées sur ma peau, puis me pénètre lentement. Je suis toujours attachée sur la table, il pince mes tétons, ressort totalement et se renfonce en moi, de plus en plus fort. Sa grosse queue m’écarte totalement la chatte et je le sens butter au fond de mon vagin. J’ai mal et pourtant je sens que je vais jouir.
- Dis-moi quand tu es prête à jouir.
- Maintenant, monsieur Colin.
Il se retire brusquement.
- Non, non, je décide quand tu as un orgasme.
Je reste pantelante, j’ai presque le réflexe de me caresser pour me faire jouir moi-même. Il me détache et je m’agenouille pour le sucer. J’adore gouter ma cyprine sur lui. Je m’applique à bien le nettoyer. Puis, à sa demande, je me mets à quatre pattes par terre et il me pénètre. J’adore ça.
- Christophe m’a dit que vous vous étiez bien amusé ensemble. C’est vrai.
- Oui.
- Tu as aimé être prise en double ?
- Oui, monsieur Colin.
C’est vrai, sentir deux hommes glisser et coulisser en moi a provoqué l’orgasme le plus puissant de ma vie. Et ce soir, je suis excitée comme je ne l’ai jamais été. Être restreinte et totalement soumise à monsieur Colin, ça me trouble et exacerbe mes sensations, je découvre qu’un peu de douleur attise encore plus le plaisir que je ressens et je dois réfréner mon corps, sinon j’aurais déjà joui plusieurs fois. Maintenant que j’ai ses initiales sur moi, il n’y a plus de doute, je lui appartiens. Une fessée me tire de mes rêveries.
- Ne jouit pas sans mon accord.
- Oui, monsieur Colin.
On frappe et la porte s’ouvre, sans attendre la femme qui m’avait attachée entre.
- Ne vous arrêtez pas pour moi. Tout se passe bien ?
C’est totalement étrange, d’avoir cette inconnue qui vient nous faire la conversation pendant que monsieur Colin est en moi. Il continue ses va-et-vient et répond que oui.
- Vous devriez essayer la barre d’écartement.
Elle sort une longue barre avec 4 boucles, qu’elle pose près de nous. Puis demande s’il va me prendre le cul. Évidemment, il répond que oui.
- Dites-moi, si je peux faire quelque chose, parce que j’adore préparer les petits culs pour la sodomie.
Son ton anodin et presque maternel, tranche avec les mots obscènes qu’elle prononce. Monsieur Colin se retire, je m’allonge sur le dos, et tous les deux, ils m’attachent les chevilles écartées et les poignets entre les chevilles sur cette barre. Je ne peux pas bouger du tout cette fois. La femme nous laisse en précisant que Bone, le tatoueur, repassera plus tard. Monsieur Colin approche un vibrateur de mon clitoris et chaque fois que je suis proche de la jouissance, il le retire, il enfonce ses doigts dans ma chatte trempée et dans mon cul lubrifié. Il m’enjambe, tient ma tête et fourre sa bite dans ma bouche, il me baise littéralement ma bouche, je suis à sa merci. Puis il retourne entre mes jambes et me pénètre. Il ne me faut pas longtemps, j’essaye de reprendre ma respiration pour le prévenir :
- Monsieur Colin, je vais jouir.
Il se retire, colle sa bouche sur mon clitoris et j’ai un orgasme lorsque son doigt entre dans mon cul. Il continue à me doigter le vagin et l’anus, ajoute du lubrifiant, puis pousse un dildo fin dans mon petit trou. Il se relève et contemple cette scène, puis va chercher son téléphone.
- Je vais envoyer une photo à Christophe.
Il juge finalement que mes fesses ne sont pas assez rouges, il fait claquer le fouet 3 fois en travers de mes fesses, puis, satisfait prend une photo qu’il envoie à son ami.
- Ce tatouage te va très bien. Ça te plait ?
- J’adore, c’est tout ce que je veux être à vous monsieur Colin.
- Tu ne dois le montrer à personne sans ma permission. Promis ?
- Promis.
Son téléphone sonne, Christophe sera là dans 15 minutes. Il joue avec le plug dans mon cul, me pénètre, le vagin puis la bouche, excite mon clitoris avec un vibro ou sa langue. Puis finalement retire le plug et le remplace par un doigt, rapidement suivi d’un deuxième.
- Il faut que tu sois bien ouverte pour moi.
Il me pénètre et enfonce des boules de geisha dans mon cul. Chaque boule ouvre mon anus et c’est bon de le sentir pousser en cadence sa bite et les boules en moi. Il se retire quand Christophe arrive. Ils discutent ensemble et monsieur Colin demande :
- Tu veux jouer avec ma petite chienne ?
- Mmm oui. J’adore cette position.
Christophe ne perd pas de temps et se déshabille, il se penche entre mes jambes et sa langue joue avec mon clitoris comme il sait si bien le faire. Je voudrais pouvoir bouger, le toucher, c’est frustrant. Puis monsieur Colin s’approche de ma bouche pour que je le suce, suivit de Christophe, chacun leur tour, ils me baisent la bouche sans que je puisse bouger. Christophe demande ce qu’il est arrivé à mes fesses toutes rouges.
- Elle n’a pas été sage, répond monsieur Colin, mais elle aime un peu trop sa punition.
Christophe enfile un préservatif et me pénètre sans ménagement, il commence à retirer les boules de mon cul. Je halète :
- Je vais jouir, je vais jouir.
Christophe accélère dans mon vagin, il me démonte scrupuleusement, monsieur Colin nous regarde en se branlant puis il appuie sur ma tête pour bien me caler et me rebaise violement la bouche. Plusieurs fois, je pense que je vais vomir, tellement il s’enfonce profondément dans ma gorge. Quand la dernière boule sort de mon anus, Christophe les remplace par son gland. J’essaye de crier mais la bite de monsieur Colin dans ma bouche m’en empêche. Je ne peux pas bouger, il me fait mal à forcer sur mon petit trou, il écarte trop mes fesses. Je sens les larmes rouler sur mes joues. Monsieur Colin les essuie.
- Tu voulais jouer à l’adulte, il faut assumer maintenant.
Il ajoute du lubrifiant et Christophe peut maintenant s’enfoncer plus confortablement entre mes fesses. Il me sodomise pendant un moment, puis monsieur Colin demande :
- Tu me veux dans ton cul maintenant ?
Sa queue est tellement grosse, il me fait mal quand il me sodomise. Avant que je puisse répondre, j’entends la porte s’ouvrir, je jette un coup d’œil et vois Bone, le tatoueur.
- Je venais voir si tout va bien.
- Réponds Valentina, dis monsieur Colin.
Sentant toujours aller et venir Christophe dans mon petit trou, je réponds difficilement :
- Oui, ça va.
- Je voulais savoir si vous aviez besoin d’un 3ème bouche trou ?
Monsieur Colin hoche la tête, Christophe se retire, tient mes fesses écartées, il commente :
- Je lui ai bien détendu le cul, si tu veux y aller.
Le tatoueur se déshabille, enfile un préservatif, approche sa bite, il entre dans mon vagin, il n’est pas trop gros et il me pénètre sans mal, il remarque :
- C’qu’elle est serrée la petite salope. Ah j’adore sa petite chatte.
Puis, à l’intention de monsieur Colin :
- Je comprends mieux pourquoi tu voulais marquer ton territoire.
Quand Bone se retire, ils me regardent tous les 3, leurs sexes tendus, je n’entends que quelques des bribes de leur conversation, mais je pense deviner à quelle sauce je vais être manger. Bone est entièrement tatoué, même sur la verge. Ils s’approchent pour que je les suce, à tour de rôle, je les prends dans la bouche, puis monsieur Colin me retourne. Je suis toujours attachée à cette barre entre mes chevilles, les genoux pliés et les mains entre les chevilles, la tête contre le sol, il s’introduit en moi. Bone enfourne son sexe entier dans ma bouche, et les coups de monsieur Colin poussent de plus en plus le sexe de Bone, sa bite entière entre et sort de ma bouche. Je ne peux pas me retenir, je me laisse aller à leurs à-coups, à leur rythme, la bouche et la chatte grandes ouvertes.
Quand monsieur Colin termine, c’est Bone qui le remplace, puis Christophe, qui me détache enfin. Il m’entraine vers le canapé, où monsieur Colin est assis, je l’enjambe, il tient son sexe et je descends doucement m’empaler sur lui. Je le chevauche pendant qu’il pince et mordille mes tétons. Les deux autres hommes nous regardent, monsieur Colin écarte mes fesses et Christophe se rapproche, applique du lubrifiant et sans attendre, il pousse son sexe dans mon petit trou et je sens immédiatement mon anus s’ouvrir. Leurs deux queues me remplissent complètement, c’est comme si je ne m’appartenais plus, je me sens totalement dominée et comblée. J’entends leurs respirations, la mienne s’accélère aussi, Bone approche à son tour, sans réfléchir j’ouvre la bouche et cette fois je suis vraiment prise par tous les trous.
Je ne sais pas pendant combien de temps ça dure, mais après un certain temps, Christophe s’écarte et monsieur Colin me demande de me retourner et de faire moi-même entrer sa bite dans mon cul. Je rajoute du lubrifiant, il est toujours assis sur le canapé, je me place dos à lui, son gland sur mon anus, je m’assois sur lui, aussi lentement que possible. Il me laisse faire. Je me demande jusqu’où je peux le faire rentrer. Il me fait mal, mais je ne m’arrête pas, je continue ma progression puis me relève légèrement, je le fais moi-même aller et venir. Il murmure dans mon oreille :
- Tu me sens dans ton cul ? Tu aimes ça ? C’est bon d’être serré en toi comme ça, tu aimes me sentir glisser entre tes fesses ?
J’ai les deux pieds posés sur ses jambes, Christophe se penche pour titiller mon clitoris avec sa langue et sans prévenir je jouis, les cris sortent de ma bouche sans mon consentement, je ne me maitrise plus, monsieur Colin en profite pour s’enfoncer profondément en moi en me tenant par la taille, je hurle de plus belle. Cette fois il s’est enfoncé en entier.
- Vous me faites mal, vous êtes trop gros pour mon petit trou.
- Tu as joui sans ma permission Valentina.
Sans sortir de mon cul, monsieur Colin se lève, il me porte, les jambes écartées, il me monte et me redescend sur sa bite, il se positionne devant un miroir et je peux voir mon cul déformé par son sexe et ma chatte béante. Bone me pénètre puis Christophe, je m’accroche à son cou, je ne suis qu’une poupée entre leurs bras, totalement offerte et ouverte. Je nous regarde dans le miroir et cette vision digne d’un film des plus hard m’excite, je sens que je vais jouir de nouveau. Je me laisse aller, mon souffle s’accélère encore, monsieur Colin demande :
- Tu vas jouir ma petite salope ? Hein ? Vas-y, jouis pour nous.
Ils continuent de plus bel, ils coulissent sans mal maintenant et j’ai un nouvel orgasme. Ils me reposent, monsieur Colin enlève son préservatif et il jouit dans ma bouche. Christophe veut jouir dans mon cul, il me penche en avant et me pénètre quelques secondes à peine avant d’annoncer qu’il est en train de jouir. Bone tient mes fesses écartées et cette vision suffit à le faire jouir.
Bone nettoie ma chatte et pose un pansement sur mon nouveau tatouage en me donnant des instructions pour les prochains jours. Puis nous nous rhabillons, je suis épuisée, je m’endors dans la voiture sur le chemin du retour.
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Commentaires de l'histoire :
Butterfly
J'envie cette lycéenne, je voudrais me faire défoncer comme elle
Posté le 2/08/2024
Louise
Hummm j’adore
Posté le 14/08/2023
kado
histoire trés jouissive je me suis branlée la chatte en lisant
Posté le 8/12/2022
Anonyme
Encore s'il vous plait.
Posté le 14/11/2021
Anonyme
C'est toujours un plaisir de vous lire. En espérant que l'éducation de la belle ira toujours plus loin dans le vice. Ce qui est intéressant c'est que Mr Colin est plus ennuyé d'être surpris par sa fille que sa femme... complicité ou accord dans la débauche ? N'empêche, j'attends avec impatience le moment où Mr Colin la prendra sans préservatif pour enfin la faire sienne totalement. Un commentaire suggérait des piercings, j'ajouterai qu'il lui faudrait également un collier et une laisse. J'espère que vous continuerez encore un long moment avec des histoires de cette qualité.
Posté le 30/10/2021
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