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J'emmène ma femme coincée dans un club

Ma femme est une coincée du cul, je réussis à l'emmener dans un club d'échangistes. Petit à petit, la coquine s'échauffé est par miracle se fait prendre par des inconnus

Proposée le 9/06/2021 par michelle2

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Thème: extra-conjugal
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Ma femme Manon est très prude, elle trouve toujours une excuse pour éviter le rapport sexuel. Les rares fois où elle cède, c'est à condition que cela se fasse dans l'obscurité.
Pour la décoincer, je lui propose de l'emmener dans un club libertin. Elle se braque, me fusille du regard et me dit avec un ton de femme outragée :

- Mais, tu me prends pour une pute, tu es un monstre, comment peux-tu peux me proposer une horreur pareille ?

Sur le moment je suis un peu sans voix, mais j'arrive à répliquer sans la brusquer :

- Tu sais, les personnes sont toutes masquées l'anonymat est assuré, si le spectacle ne te convient pas eh bien nous sortirons !

Manon, secoue la tête négativement en me traitant salaud pervers. Le laisse l'orage se passer. Quelques jours suivants, repars à la charge, les palabres sont longs et laborieux. Mais Manon est plus réceptive, petit à petit, elle pose des questions sur le club.

-Tu es sûr que c'est anonyme ton club de dépravés ?

Je reprends confiance, en insistant sur les masques et surtout qu'elle n'est pas obligée de participer aux ébats !

Elle fronce les sourcils fait une moue. Je la sens dubitative, elle me regarde droit dans les yeux et dit avec des trémolos dans la voix :

- Bon, si c'est comme une voyeuse anonyme, je veux bien faire un effort !

Mon cœur fait un saut dans ma poitrine, je ne montre pas ma joie, mais je savoure cet instant. Je lui propose de nous rendre sur les lieux de d'ébauche le samedi prochain. Le soir dans notre lit, je la sens nerveuse. Elle se retourne sans cesse, elle est s'agitée. Elle soupire et me pose pleins de questions sur les participants. Je lui explique que des femmes, se donnent volontairement à plusieurs hommes en même temps. D'autres se broutent le minou et se doigtent jusqu'à l'explosion finale. Il y a aussi des hommes gays, qui ne rechignent sur rien. Pendant un bon moment, elle ne dit plus un mot.

Je sens son corps se contacter, sa respiration s'accélérer, Manon devient fébrile. J'ai ma main immobile sur sa cuisse, je n'ose faire un geste, je ne veux pas gâcher ce moment. Je suis attentif à toutes réactions de sa part. Doucement, elle écarte discrètement les jambes, sa main descend doucement sur son entre-jambe. Involontairement, elle touche ma main. Elle cesse la progression, tourne discrètement sa tête vers moi. Je fais celui qui c'est endormit, cela l'encourage. Elle reprend ce qu'elle avait commencée, sa main monte et descend de plus en plus vite sur son bas-ventre. Elle serre les dents sa culotte est trempée. Soudain elle se cabre et tente d'étouffer avec sa main libre, le cri de sa jouissance. Son corps est secoué de tremblement incontrôlable. Doucement la coquine s'apaise.

Le lendemain matin, pour une fois, je me suis levé avant elle. Je prépare le petit déjeuner. Elle descend l'escalier en s'étirant, je la trouve radieuse. C'est en souriant, qu'elle me salue en posant sur mes lèvres un petit bécot. Pendant le petit déjeuner, elle ne cesse de me regarder. Je lui pose la question :

Il y a sur moi quelque chose qui ne va pas, ma chérie ?

Elle plonge son regard dans le mien et dit en rougissant un peu :


- Mon chéri hier soir j'ai fait quelque chose d'incroyable, je me suis masturbée !

J'éclate de rire et réplique :

- Ouah tu te dévergondes, mais tu ne serais pas en-train de devenir une grosse salope !

Manon baisse les yeux en rougissant légèrement. Rapidement elle change de conversation. Elle avale son petit déjeuner ses yeux sont illuminés, elle se lève et se dirige vers l'évier, elle me tourne le dos, je me colle à elle et lui donne une multitude de baisers dans le cou. Elle ne me repousse pas, je trouve cela étrange. Elle pousse un gros soupir, lorsque mes mains se posent sur ses seins. Elle me fait volte face et me dit en souriant :

- C'est pas le moment mon chéri, je dois faire quelques emplettes pour samedi soir, j'espère que tu comprends !

- Hum je t'imagine ma chérie, bas résille, jupe à ras la moule, avec un string, de très hauts talons et avec un corsage très échancré !

Elle me répond :

-Fringuée comme une vraie pute quoi !

Je réplique en haussant les épaules :

- c'est le genre d'endroit ou nous allons samedi ma chérie, il faut être raccord avec le décor !

Elle dodeline de la tête et s'apprête à sortir. Le jour approche, la tension monte dans le corps de ma bien aimée. Tout l'après-midi, elle le passe dans la salle de bain. Enfin 22 heures, il est temps de partir, Manon sort de sa cachette. Elle porte un tailleur gris qui lui va à la perfection, de hauts talons galbes ses jambes sublimes. Ses longs cheveux bien brossés, sont légèrement couverts de paillettes brillantes. Cela lui donne un charme fou.


Moi, je porte un pantalon noir, avec une chemise de même couleur, du classique quoi. Manon est tendue, pendant tout le voyage elle n'a pas dit un mot. Sur le parking de l'établissement, nous enfilons notre loup. L'entrée est filtrée par un colosse, les mineurs sont refoulés, ne sont autorisées à entrer, que les personnes qui ont réservées. La salle est éclairée par une lumière tamisée. Au centre se dresse une pole dance. Tout au tour de la piste des tables, qui sont d'ailleurs toutes prises. Des alcôves profondes avec matelas, sont à la disposition des clients.

L'hôtesse seins nus, nous place. Le champagne est de rigueur. Soudain la piste s'éclaire, une femme vêtue d'un string et d'un soutien-gorge qui ne cache pratiquement rien, s'accroche à la barre et commence à évoluer. Elle ondule, ses acrobaties érotiques ne laisse pas les spectateurs indifférents. Enfin elle salue puis disparait. La lumière baisse, des couples s'avancent sur la piste est se frottent au son de la douce musique. Les yeux de ma femme sont scotchés sur un couple, l'homme à relevé la robe de sa compagne et sans honte lui doigte la chatte. La femme se cabre, les doigts s'enfoncent profondément en elle et la ramonent énergiquement. Pratiquement plus personne ne danse. Les gens venus spécialement pour cela, s'adonnent à des attouchements de plus en plus osés. La piste s'éclaire à nouveau, maintenant la vision est meilleure.

Une femme jette son masque sur sa table et en pleine piste, dégrafe le pantalon de son partenaire, elle lui extirpe la queue la branle un instant puis, se penche et gobe le manche, la fellation est terrible on entend l'homme grogner de plaisir. Manon, a les yeux grands ouverts. Soudain un cri se fait entendre, nos regards sont attirés par un couple, la femme jupe relevée jusqu'à la taille se fait démonter sauvagement pas son homme. À chaque coup de reins la femme pousse un cri. Petit à petit les alcôves se remplissent, sur la piste, il ne reste que deux couples. La suceuse s'en donne à cœur joie, elle s'acharne sur la bite de son compagnon qui couine de bonheur.

Manon, ravale sa salive, le couple en pleine action délire totalement. L'homme insulte fortement la femme qu'il baise, la salope à l'air d'adorer ça, car elle crie :

-Oui, oui je suis ta pute défonce-moi !

Manon ne peut détacher son regard du duo, elle serre les cuisses, un liquide s'échappe de sa chatte, heureusement pour elle, qu'il n'y a que la piste éclairée, elle peut ainsi poser sa main sur son entre-jambe discrètement et appuie sur sa chatte pour retenir sa mouille. Moi, j'ose poser ma main sur la cuisse, comme par enchantement, elle écarte légèrement les jambes. Cela m'étonne mais, je m'enhardis et la glisse entre ses jambes jusqu'à sa chatte.
Au contact de mes mains sur sa culotte humidifie davantage, elle se cabre et resserre les cuisses. J'appuie sur sa vulve, elle desserre l'étau, je peux ainsi faire glisser mes doigts sur sa fente. Je pousse un peu, sa culotte s'enfonce légèrement dans son temple. Je ne sais pas ce qu'il lui prend elle tente d'écarter les jambes, mais sa jupe l'en empêche. Sans réfléchir, elle la remonte rapidement et s'avance sur le bord de sa chaise, elle ouvre le compas que forme ses jambes.


Je pousse plus fortement sur le tissu, la culotte s'enfonce encore un peu dans son vagin, la coquine mouille de plus en plus. Elle regard toujours le couple en action. La femme pousse un hurlement de jouissance, la suceuse cesse de téter la verge de son compagnon et s'approche de la jouisseuse. Elle lui saisit le clitoris et appuie fortement dessus, la femme pousse un grognement de fauve et jouit une nouvelle fois. Les deux hommes délaissés, entrent dans une alcôve. Les deux femmes, en choisissent une autre. Je propose à Manon de faire le tour des endroits à plaisir.

C'est en marmonnant qu'elle se lève, je lui prends la main et l'entraine dans l'endroit plus discret. Une femme a quatre pattes tête posée sur le matelas, subit les assauts de son mâle. Il lui défonce la chatte comme un sauvage, la femme geint de plaisir à chaque coup de boutoir de son compagnon. L'homme regarde ma femme, il ressort son braquemart et le place sur l'anus de la femme. Ma femme écarquille les yeux et place sa main sur sa bouche. L'homme donne un violent coup de reins, la queue s'enfonce jusqu'aux couilles, la femme pousse un rugissement en relevant sa croupe. Ma femme elle, pousse un cri qu'elle étouffe en se mordant la main, son vagin expulse un jet de cyprine qui lui inonde encore plus la culotte. Toujours en regardant ma femme le bougre s'acharne dans le fondement de sa soumise.


Manon me serre tellement la main que je grimace de douleur, elle regarde la queue pilonner le fondement de la femme, elle n'avait jamais imaginée, qu'une personne puisse subir un membre dans son anus . Sa bouche est entrouverte, elle est fébrile. Je la tire doucement par la main, elle me suit comme une femme ivre. Dans la deuxième alcôve, deux hommes tête bêche, se sucent la queue en grognant de bonheur. Ils sentent notre présente, nous regardent puis, se séparent, l'un d'eux, s'avance vers nous il est a genoux face à ma femme, sa main monte le long de ses cuisses. Ma femme ne réagit même pas, l'homme lui frotte l'entre-jambe et tâte la culotte trempée. Il dodeline de la tête et dit en ironisant un peu :

- Je vois que la petite dames est déjà en condition, nous allons bien nous occuper d'elle !

Il fait glisser le zip de la jupe et la fait descendre. Il attrape au passage la culotte et l'entraine avec. Manon encore sous le choc de ses émotions, machinalement dégage de ses chevilles la culotte et la jupe. l'homme regarde, la chatte de ma femme et donne un baiser bruyant sur la fente. Pendant se temps, l'autre homme lui retire la veste du tailleur et le chemisier. C'est moi qui lui dégrafe le soutien gorge.

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Commentaires de l'histoire :

humeuriste
Je vais cesser "mes bonsoirs et mes bonjours" pour ne pas déranger par mes formules de politesse et vous dire directement tout le bien que je ressens en lisant vos récits puisque je suis moi-même candauliste (je vous l'ai déjà écrit par ailleurs). Didier
Posté le 11/11/2021

Franck34480
Très joliment raconté et qui ne laisse pas indifférent ????????
Posté le 3/10/2021

Anonyme
Très excitant,dommage trop court, la dame ne participe pas hélas!!
Posté le 12/06/2021


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