Lorsque je retrouve Tristan après des années, plus rien ne compte pour moi, je veux passer la nuit avec lui. J'oublie mon mari et ma famille et me donne totalement à lui. Depuis, je ne peux plus oublier la nuit que nous avons passé.
Proposée le 5/07/2021 par Carolina
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je n’arrête pas de penser à lui. Je ne peux pas me concentrer, mes pensées me ramènent invariablement à la nuit dernière, à sa bouche, sa langue, à son sexe. Je le vois me fixer dans les yeux quand je suis en train de jouir, j’entends encore mes cris de jouissance, je sens encore sa bite en moi. Je pense à sa bite, qu’il a mise dans tous mes orifices, il m’a fait crier comme rarement dans ma vie.
Avant-hier en rentrant chez moi après une soirée avec mes copines, je suis tombée sur lui par hasard. On travaillait ensemble il y a quelques années, j’ai toujours été charmée par lui, son côté « bad boy » et son charisme m’ont toujours attirée. Aujourd’hui, il n’a pas changé, grand, brun au regard sombre, l’air assuré. Il porte un jean et un t-shirt noir, un peu large, qui laisse apparaitre sa poitrine et ses épaules musclées.
Quand mes yeux se posent sur lui dans la rue, je suis si surprise que je m’arrête. Ses yeux s’éclairent en me voyant, il sourit, mon cœur manque un battement. Il se dirige vers moi, pose sa main au creux de mes reins, m’attirant contre lui et m’embrasse sur la joue, je fais durer ce moment aussi longtemps que possible. Après avoir échangé les banalités d’usage, il me propose de prendre un verre. Bien sûr, c’est à ce moment que j’aurais dû refuser, rentrer chez moi, auprès de mon partenaire et de nos enfants. Mais je m’entends accepter avec enthousiasme. Nous parlons de notre vie d’avant, quand nous nous voyions régulièrement, il me dit qu’il m’a toujours trouvé sexy, me ressert à boire, pose sa main sur ma cuisse. Il sait que je ne pas célibataire, je ne lui demande pas sa situation, ça ne m’intéresse pas. Je veux que cet homme me désire, je veux continuer à flirter avec lui, je veux me sentir vivante sous son regard.
L’heure de rentrer arrive, il attend le taxi avec moi, je voudrais prolonger ces moments pour toujours, ne pas retrouver la réalité, nous ne parlons plus, l’énergie qui s’est installée entre nous est intense, un échange de regards et mon souffle s’accélère, il le sent, me prend la main que je retire instantanément, je suis déjà prise ! Mon partenaire me fait confiance, « j’ai tout pour être heureuse » d’après mes amies et la société. Malgré cela je m’ennuie de ma vie conventionnelle.
Il passe derrière moi, passe son bras autour de mes épaules, enfouit son visage dans mes cheveux, descend dans mon cou. Je sens son souffle, ses lèvres effleurent mon cou, ma joue, c’est si doux, je fonds dans ses bras, sa main tourne mon menton vers lui et mes lèvres cherchent les siennes, nous nous embrassons, dans la rue comme des adolescents, il sent bon, je suis aimantée à lui et je voudrais qu’il ne me relâche jamais.
Le taxi arrive et rassemblant toutes mes forces, je quitte ses bras et entre dans la voiture, il me regarde dans l’ouverte de la porte, je ne peux quitter ses yeux. Il saute dans le taxi avec moi, donne son adresse au chauffeur et m’embrasse passionnément, pose sa main à l’intérieur de ma cuisse et remonte doucement entre mes jambes.
Il faut dire que je ne sors plus très souvent, la vie est faite ainsi, métro-boulot-enfants-dodo, il y a moins de place pour les amis et les sorties, alors ce soir j’ai sorti le grand jeu pour notre soirée entre filles. Je porte une petite robe noire sexy et courte, les bretelles sont fines et je n’ai pas de soutien-gorge. Tout ce qui sépare les doigts de Tristan de mon intimité est un petit string noir en dentelle, avec lequel je pensais réveiller mon partenaire en rentrant. J’ai envie de le sentir en moi, et je ne sais pas ce qui me retient de le faire, là, tout de suite dans le taxi. Je suis hors d’haleine quand nous arrivons enfin chez lui. Une femme d’un certain âge entre dans l’ascenseur en même temps que nous mais cela m’est égal, je colle Tristan contre la paroi et l’embrasse avec toute la fougue contenue depuis des années de maman-modèle, sa main est entre mes jambes, je sais la femme inconfortable au plus haut point, elle ne sait où poser les yeux, mais je ne peux pas m’arrêter.
Pourtant en entrant dans son appartement, j’ai un doute, que suis-je en train de faire ? Cela me parait plus réel soudainement et une partie de moi voudrait avoir le courage de repartir, de penser aux conséquences de mes actions. Comment reprendre ma vie normale demain après cette nuit ? Malgré cela, à cet instant, je ne me sens pas coupable, mes sens ont pris le dessus de ma raison et quand Tristan baisse mes bretelles pour découvrir mes seins je le laisse faire. Il les prend dans ses mains, mes tétons sont durs comme sa queue que je sens contre mon ventre. Je l’embrasse passe les mains dans ces cheveux, ses mains descendent le long de mon corps, entrainant ma robe, je suis en string devant lui. Il s’écarte pour mieux me regarder, il me scrute, « tu es belle » murmure-t-il en me retournant. Je colle mes fesses contre lui, ses doigts courent de mon épaule à mon téton, qu’il pince, continuent sur mon ventre, passent sous son string, se fraient un chemin vers mon clitoris, j’ai un frisson lorsqu’ils l’effleurent. Ainsi, debout dans le couloir, ma robe à terre, je me sens revivre, j’ai envie de lui, je suis impatiente de le sentir en moi. Il baisse mon string et s’agenouille, il embrasse le sillon de mes fesses, les attrape, les malaxe, les écarte, je me cambre pour lui donner meilleur accès, mes longs cheveux bruns tombent dans mon dos et je me sens sexy. Ce gout d’interdit décuple mes sensations.
Je le suis dans la chambre, ses yeux me brulent. Il retire son t-shirt et je déboutonne son pantalon, passe la main sur son boxer, il est prêt à exploser, le bout de sa queue dépasse légèrement et je la libère en faisant descendre jeans et boxer. Elle est énorme, je me demande comment la prendre dans ma bouche et surtout si elle rentrera dans ma chatte. Je commence à le branler, prends son gland dans ma bouche. Je le regarde, il me sourit et pose sa main sur ma tête. J’ouvre la bouche aussi grand que je peux pour pouvoir l’avaler au mieux. Il appuie sur ma tête mais le sentir au fond de ma gorge me soulève le cœur et je le repousse. Je le branle en me caressant les seins, gardant son gland dans ma bouche. Il me repousse sur le lit, il est au-dessus de moi, et murmure « je vais m’occuper de toi ». Très vite, sa tête est entre mes jambes, sa langue suit ma fente, il écarte mes lèvres de ses doigts et je sens sa langue sur mon clitoris, haaaaa c’est si bon. Il le suce, le titille, je sens son doigt parcourir ma fente jusqu’à l’entrée de mon vagin, « tu es si mouillée ». Je sais, j’ai rarement été aussi excitée que ce soir. Son doigt fait maintenant des va-et-vient en moi, il en insère un deuxième, il relève mes jambes et descend ses doigts vers mon anus puis sa langue, j’ai un moment de doute quant à ses intentions mais décide de me laisser aller, j’attrape un de mes tétons et me caresse le clitoris de l’autre main. Je sens l’orgasme arriver, sa puissance monte en moi de mon ventre à ma poitrine et finalement un cri sort de ma bouche, mes jambes tremblent, ma poitrine se soulève au rythme de mon souffle, je suis hors d’haleine.
Maintenant mes jambes relevées, Tristan enfile un préservatif en fixant ma petite chatte trempée, il place son sexe à l’entrée de mon vagin et s’allonge lentement sur moi, il m’embrasse, je le sens entrer en moi, doucement, forçant pour avancer, centimètre par centimètre, nous nous regardons dans les yeux, il continue sa progression, il me fait mal, sa bite est beaucoup plus grosse que celle de mon mari, il me remplit totalement. Il s’arrête un instant et ressort légèrement, tout doucement il s’enfonce de plus en plus en moi. Ses mouvements sont lents et puissants, c’est délicieux. Il se retire et s’allonge « chevauche moi » je regarde son corps musclé, sa queue dressée, comment vais-je pouvoir m’assoir dessus ? Je l’enjambe et l’introduit en moi, mes tétons me font mal lorsqu’il les pince, je le sens en moi, buter au fond de mon vagin, mais je n’arrête pas je continue à m’empaler sur son dard, de plus en plus fort, il se lève et m’embrasse, assis sur le lit, il est au plus profond de moi, je crie de plaisir. Il se met debout, il me porte, ne délogeant pas son sexe, toujours niché en moi. Il attrape mes fesses, les écarte et pousse un doigt dans mon anus. Je suis surprise mais continue mes va-et-vient, à mon rythme. Il mouille son doigt et le remet dans mon cul, je crois que je m’habitue à cette sensation.
Il me repose sur le lit, me retourne et me prend en levrette. Il me fait perdre la tête. Les sensations sont si fortes, que j’oublie tout ce qui n’est pas dans cette chambre, sur ce lit. Il n’y a plus que lui et moi, pour toujours, la jouissance est ma raison de vivre maintenant.
Sa tête est entre mes fesses, je suis toujours à quatre pattes, sa langue sur ma rondelle, il me lèche, je suis surprise d’aimer ça, son doigt entre dans mon anus, il se relève et remet sa queue dans ma chatte, d’un coup sec, sans enlever son doigt de mon cul, je hurle, c’est bon. Il me demande d’ouvrir le tiroir de la table de chevet et de lui passer le lubrifiant. Je m’exécute, il m’enduit les fesses, je suis terrifiée mais je ne dis rien. Il vient placer son énorme sexe contre mon anus, je sais qu’il ne pourra pas rentrer, il est trop gros. Mon mari m’a souvent demandé de me laisser sodomiser, ce que j’ai toujours refusé. Mais je ne refuse rien à Tristan, il pousse et pousse encore contre ma rondelle, je hurle, littéralement, c’est si intense, si brut, si douloureux. Je passe ma main entre mes jambes pour me caresser, me détendre. Je sens que je m’ouvre, il fait des petits mouvements de va-et-vient, j’ai envie de l’accueillir en moi. Il rajoute du lubrifiant, petit à petit, il progresse en moi. Je ne me suis jamais sentie si ouverte, totalement à sa merci. Les vitres de sa chambre vont du sol au plafond et je regarde un groupe passer sur le trottoir en bas, je me demande s’ils peuvent me voir aussi. Malgré mes cris, il continue son avancé et bientôt je le sens totalement, profondément en moi, il avance et il recule entre mes fesses, ses couilles rebondissent sur ma chatte trempée. Il me retourne, allongée sur son lit, les jambes totalement relevées, il se réinsère, difficilement, en moi, ma chatte est béante, je me sens exposée, il me fait mal, mais je ne veux pas qu’il arrête. Il attrape le tube de lubrifiant et le fourre dans ma chatte. Je jouis. Il continue encore quelques instants, puis se retire, enlève le préservatif et enfourne sa bite dans ma bouche, je le suce et il jouit dans ma bouche.
Je ne suis pas rentrée chez moi cette nuit-là. Je me suis réveillé à l’aube et l’ai quitté sans le réveiller. Toute la maison était réveillée quand je suis finalement arrivée. Mon mari était inquiet bien sûr, j’ai menti en disant avoir dormi chez une copine et je n’avais plus de batterie.
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Commentaires de l'histoire :
GKaplan
Très beau texte qui ressemble à une de mes aventures personnelles. C’est très bien écrit bravo ! George Kaplan
Posté le 4/12/2022
Juju43
Très belle histoire vécue de relation extra-conjugale
Posté le 7/12/2021
Anonyme
J'aime bien aussi. Est-ce que l'éducation d'Emma reprendra ? J'adore cette série là
Posté le 7/07/2021
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