Irène doit récupérer, car la séance de ce soir va être terrible. Après une bonne douche, elle passe un long moment dans la salle de bain, pour se pouponner. Je lui dis de ne pas trop se couvrir, car elle risque de vite se retrouver sans vêtements.
Proposée le 3/07/2021 par michelle2
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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme
Irène est nerveuse, je viens de lui apprendre ou nous allons ce soir, elle qui aime la bite, je lui suggère de ne pas mettre de culotte ni de soutien-gorge, car il faut qu'elle soit directement opérationnelle. La journée lui semble longue, je lui recommande, pour passer le temps de se goder. Elle me sourit, je lui tends une carotte de bon diamètre. La chaude du cul s'en empare, s'assied sur le canapé, retrousse sa jupe et se l'enfonce sans ménagement le plus loin possible dans la chatte.
Elle me fixe du regard en se ramonant la chatte énergiquement, rapidement elle geint de plaisir, son corps est secoué de tremblement. Vicieusement je lui offre une carotte supplémentaire, directement elle la saisit et la place contre celle qui est déjà en elle. Elle appuie dessus, lentement la carotte s'enfonce dans l'orifice déjà occupé. De temps en temps, elle me regarde, son souffle et bruyant ses yeux brillent. Elle commence un ramonage, les légumes agissent en elle comme deux pistons dans leurs cylindres. C'est en alternant le ramonage que la salope inassouvie se gode. Le pilonnage augmente en vitesse, les râles d'Irène sont rauques. Je m'approche pour mieux voir, les deux carottes voyagent aisément dans la gaine vaginale, D'une main, elle manœuvre les engins, de l'autre elle se triture l'anus.
Il me vient une idée, mais je n'ai plus de carottes. Je regarde ma femme, son visage est déformé par un rictus, la coquine savoure ce moment de délice en gémissant de plaisir. Je me décide de prendre une canette de bière en verre. Je la passe sous le nez de ma femme. J'agite la bouteille énergiquement. Je la présente à son anus, je l'ouvre rapidement et lui enfonce dans le rectum, la bière gicle dans ses entrailles, je secoue encore la bouteille pour qu'elle se vide bien. La sensation est phénoménale, ma femme jouit dès la deuxième giclée de bière en elle. Elle grogne de plaisir, elle se ramone de plus en plus fort. Ses cuisses sont trempées de son jus visqueux. Comme un sadique, j'enfonce la bouteille le plus loin possible. Irène se cabre, elle hurle :
-Oui, oui oh pousse plus fort mon chéri ouah, c'est trop bon !
Encouragé, je me mets à faire un va-et-vient brutal, elle se tend comme un arc. La bouteille est presque toute dans son rectum. Elle pousse un hurlement inhumain, elle jouit atrocement, les carottes sont expulsées de sa chatte par la giclée puissante de cyprine. La coquine vient de jouir du cul, elle est parcourue de frissons. Je retire l'engin de verre, ma femme haletante, se dirige vers la salle de bain pour un nettoyage de ses orifices.
Il est vingt-deux heures, il est temps de partir. Avant le m'assure que ma femme n'a pas mise de sous vêtements, je constate même, qu'elle c'est rasée la chatte. Je la félicite de son exploit précédent, je lui assure que ce n'est que le début.
Nous sommes devant l'établissement des plaisirs, je regarde ma femme, je lui fais un large sourire. Nous entrons, une hôtesse aux seins nus, nous dirige à une table. Le champagne est de rigueur, il n'y a pas d'autre choix. La salle est faiblement éclairée. Au centre, une piste de danse ou des couples évoluent en se frottant l'un contre l'autre. Nous pouvons voir les mains baladeuses glisser sur les corps de certains danseurs.
Irène, ne quitte pas des yeux un couple de femme qui danse ensemble. La main d'une des femmes est sous la jupette de l'autre et glisse sur son entrejambe. En voyageant sous la jupette, on peut voir que la femme ne porte pas de culotte. Elle glousse en tortillant son bassin, elle pose ses lèvres sur celle de sa compagne et l'embrasse sauvagement. Irène est dans tous ses états, un grand type s'approche et lentement remonte la jupe de ma femme. Elle le regarde en soupirant, l'homme constate que ma femme mouille, il passe sa main sur sa chatte et la tapote doucement. Ma femme s'avance un peu plus sur le bord de la chaise et écarte les jambes. L'homme me regarde en souriant, j'acquiesce d'un signe de tête. Il fait glisser ses doigts sur la fente trempée plusieurs fois, puis s'empare du clitoris. Il faut dire que ma femme à son bouton bien développé.
Doucement, il le presse. Ma femme souffle comme un bœuf, lorsque l'inconnu lui branle son bouton de chair. Il la fixe dans les yeux, il veut voir toutes ses réactions. Irène est sur le point d'exploser, elle ferme les yeux, l'homme accélère. La masturbation devient féroce, ma femme couine comme une truie en chaleur. Soudain, elle se cabre et jouit sur les doigts du branleur. L'homme lui donne une gifle :
-Tu n'as pas à jouir sans mon autorisation salope.
L'homme lui écrase le clito, ma femme jouit davantage, il donne une nouvelle taloche et dit :
- Mais tu comprends rien, j'ai dit que tu dois attendre mon autorisation pour jouir, je crois qu'il faut te corriger toi !
L'homme me regarde, je lui fais un clin d'œil. Il prend ma femme par la main et l'emmène dans une alcôve, il y a déjà trois hommes qui attendent. L'homme la jette sur le grand matelas, il s'agenouille à côté d'elle lui remonte sa jupe et caresse les fesses. Ses doigts glissent dans la raie à chaque passage sur son anus le bougre appuie dessus. Irène ronronne, la main se lève et s'abat sur le fessier charnu, ma femme se cabre, une deuxième tape plus forte la fait grogner. Une pluie de coup s'abat sur ses fesses à chaque coup ma femme sursaute, mais subit la punition sans rechigner. Un homme passe sa main sous le ventre de ma femme il s'esclaffe :
- Elle est à point la salope, elle mouille de plus en plus, il faut croire qu'elle adore la fessée, vas-y fais la jouir?!
Les coups redoublent, les fesses sont rouges écarlates l'homme lui dit en frappant plus fort :
- jouis salope jouit !
Irène se cambre et pousse un hurlement :
- Oui, oui, c'est trop bon mon Dieu mon Dieu ouah je jouis !
Ma femme jouit sous la fessée, j'en crois pas mes yeux ni mes oreilles. Un homme la retourne sur le dos et lui relève les jambes, il les maintient écartées, pendant qu'un autre lui glisse sous les reins un épais coussin, offrant ainsi les orifices de la soumise à ses comparses.
- Surtout ma salope, ne te retiens pas jouis, jouis donnes toi à fond ! Lui demande l'un des hommes. L'un deux s'agenouille et frotte son gland contre la vulve en ébullition. Un petit coup de reins, suffit pour s'enfoncer dans les entrailles d'Irène. À chaque enfoncement les couilles velues frappent les fesses de ma femme qui geint à chaque coup de boutoir. Un autre lui caresse les seins, il roule entre ses doigts noueux les mamelons, qui ne tardent pas à doubler de volume, le bougre les gobe à tour de rôle, ses aspirations sur les bouts sont terribles, ma femme rugit comme un fauve. La queue puissante la défonce avec rage, ma femme s'agite comme une forcenée, elle se cabre en poussant un cri sa jouissance est forte. L'homme ne faiblit pas il s'acharne sur sa proie, il se bloque et lui remplit la chatte de sa semence gluante.
Rapidement, il cède sa place au suivant. Le ramonage intense que subit ma femme, la fait jouir comme jamais, la queue entre et ressort de son corps à vive allure. Ses râles bruyants ne désarment pas ses assaillants, elle jouit encore l'homme lui remplit le ventre de son sperme en grognant comme un animal. La place est vite prise, la queue de l'assaillant s'enfonce dans la gaine débordante de jus gluant. Ma femme ne cesse de jouir, elle a orgasme sur orgasme. Son corps fébrile est secoué de frissons. L'homme s'accroche à ses hanches et la démonte comme un sauvage. Il jouit en même temps que ma femme.
Irène halète terriblement, son souffle est court sa respiration rapide, ses yeux sont révulsés. L'homme qui semble commander, frotte son mandrin contre l'anus de la soumise et dit en riant :
- Je vais te prendre par le cul et tu vas jouir comme une chienne salope !
Tous vont t'enculer tu seras engluée de sperme, mais tes jouissances seront phénoménales !
Le bougre ne mentait pas, ma femme prend un pied terrible à chaque enculage qu'elle subit. Ses orifices débordent de sperme gluant, les hommes n'en ont pas fini avec elle. Un des type s'allonge sur matelas, sa queue et dressée. On apporte ma femme jusqu'à lui et on l'empale sur le mat dressé. Il plaque ma femme sur son torse et la maintient. Un mâle place sa queue contre l'anus débordant de jus et l'enfonce jusqu'aux couilles, prise par les deux trous, la fête continue. Petit à petit, ma femme n'envoie presque plus de jus elle se vide lentement à chacune de ses jouissances. Ses jouissances commencent à être douloureuses. L'homme qui lui empale la chatte place sa queue contre l'anus déjà occupé? il pousse, le membre s'enfonce dans son anus à côté de l'autre.
L'enculage et violent, les deux la défoncent comme des sauvages. Ma femme parvient à jouir encore, les deux hommes se vident en elle en râlant de plaisir. Enfin les hommes se retirent d'elle. De ses trous béants s'écoulent un filet continu de semence visqueuse Elle reste étendue les bras en croix, jambes largement écartées. Un des hommes, lui caresse la chatte et enfonce un à un ses doigts dans la gaine gluante. Les cinq doigts sont bloqués à la dernière phalange. L'homme, regarde ma femme en lui souriant. Il pousse fortement la main disparait totalement dans la chatte. Le bougre ferme la main et commence un ramonage violent, ma femme se cabre, ses râles sont ceux d'un animal prit dans un piège. Elle s'agite sur la main qui lui défonce la chatte, même dilatée avec violence, elle arrive quand même à jouir. Le type retire sa main et sans ménagement lui enfonce dans le cul. Irène pousse un cri de douleur, mais le mec s'en moque. Il lui ramone le cul aussi sauvagement que la chatte.
Ma femme a les yeux hagards, à la commissure de ses lèvres s'échappe un filet de salive. Un autre type vient prêter main forte à son collège. Il enfonce sa main dans la chatte encore ouverte. Les deux mains la défoncent, le pilonnage se fait en alternance. Le traitement dure un bon moment ma femme a apeine la force de geindre. Dilatée à l'extrême, les orifices sont méconnaissables. La vitesse augmente ma femme pousse un râle de soulagement elle vient de jouir pour la énième fois. Elle demande aux hommes de cesser de la démonter. Moi fier je suis enfin arrivé à mes fins, la chaude du cul demande grâce. Mais avant je lui offre ma queue à sucer, c'est presque sans force qu'elle suce ma verge tendue, pour accélérer le processus, je me triture les couilles. Je me cabre me bloque et remplis la bouche de ma femme. Difficilement elle avale mon nectar.
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Commentaires de l'histoire :
Louloute
Ohhh wtf.. J'aimerai tellement ce genre d'experience, en plus que mon homme m'y amène!! Waouh c'est ouff
Posté le 15/07/2021
Sizaxe
Ici, nous ne sommes plus dans l'érotique, mais dans le porno trash... Dommage, à mon avis.
Posté le 6/07/2021
Jacques du Canada
Tout ce passe comme si rien n’était. L’homme accepte les mensonges de sa femme sans explications! Je ne pense pas qu’une telle situation soit possible. Plutôt un fantasme de candauliste refoulé. Aucune personne n’aurait accepté une trahison sans en débattre avec sa conjointe.
Posté le 4/07/2021
Pelodka666
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Posté le 4/07/2021
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