Un amour de tante

Chaque année, c'est la fête au village. Pierre et sa femme Laure emmènent leur nièce à la fête. La piste improvisée est entourée de tables ou presque tout le village, c'est installé. Après une brève allocution du maire, L'orchestre commence à jouer, c'est le signal de la fête.

Proposée le 17/06/2021 par michelle2

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Chaque année à date fixe, c'est la fête au village. Sur la place, éclairée par de nombreux lampions, une piste de danse est dressée. Pierre et sa femme Laure, y emmènent leur nièce Cloé. La jeune adulte est venue passer quelques jours à la campagne. Installé aux tables qui entourent la piste improvisée, presque tout le village est présent. Le trio trouve une table libre et prend place.

Chaque année, le maire fait une petite allocution, puis invite l'orchestre à animer la soirée. Comme par tradition, presque tous les hommes, se retrouvent au bar. Les femmes n'ont pas d'autre choix, que de danser entre elles. Les couples se formes, petit à petit la piste est envahie. Cloé regarde sa tante, elle hausse les épaules en souriant, lui prend la main et l'entraine sur la piste. Elles s'enlacent et évoluent au son de la musique. Bien souvent, les deux coquines entre chaque danse, avalent un verre. Rapidement elles sont euphoriques, elles rient de tout et de rien.

L'alcool fait, que les danses deviennent plus langoureuses. Les hommes, eux, trinquent au bar pendant que les femmes évoluent sur la piste et profitent du court moment de célibat. Laure et Cloé, s'enlace étroitement, les deux corps se frottent en ondulants, au rythme lent de la musique. Cloé pose sa tête sur l'épaule de sa tante, ses lèvres sont proches de son cou et l'effleure. Laure sent le souffle chaud de sa nièce, cela la trouble. Elle pousse un gros soupir lorsque les lèvres brûlantes de Cloé se posent sur sa peau.


La chaleur est étouffante, les peaux sont moites. De temps en temps quelques perles luisent sur les fronts des danseuses, elles sont vite épongés par un rapide coup mouchoir. Plusieurs femmes ronronnent dans les bras de leurs partenaires, elles se blottissent en ondulant du bassin.
Les lèvres de Cloé montent lentement sur le cou de sa tante Laure, qui frissonne en soupirant. La pointe de la langue de la nièce, glisse doucement sur la peau moite de Laure, qui ravale sa salive. Sa respiration s'accélère. Cloé sent l'émoi de sa tante, elle cesse son petit jeu d'amoureuse et la regarde tendrement. Leurs lèvres se frôlent dangereusement. Laure est fébrile, elle ne sait que faire. Elle reprend ses esprits et dit avec des trémolos dans la voix :

- Allons boire un verre, il fait si chaud que cela devient insupportable !

Cloé lui sourit, toutes deux retrouvent leur table et se désaltèrent. Laure, ressent encore sur sa peau les lèvres de sa nièce. Malgré la faible lumière des lampions, les deux femmes se dévisagent, Cloé, est souriante et ne cesse de regarder sa tante. Quelque chose se passe, le cœur de Laure s'emballe, elle a du mal à trouver ses mots. Elle saisit la main de Cloé et dit :

-Je suis fatiguée rentrons !

Cloé l'approuve et se lève. Avant de quitter le bal, Laure prévient son mari Pierre qu'elle retourne avec Cloé. Il lui fait un signe de la tête qui veut dire oui. Les deux femmes, bras dessus bras dessous se dirigent vers la maison. Le chemin n'est pas trop long. Enfin elles arrivent, une fois à l'intérieur, Laure s'affale sur le canapé, Cloé s'assied à côté d'elle. Laure dégrafe un à un les boutons de son chemisier pour s'aérer. Elle écarte les pans et se ventile en les secouants rapidement. Il est vrai que la chaleur est étouffante.

Cloé approche sa tête ferme les yeux et profite du ventilateur improvisé. Les deux femmes transpirent, Cloé retire son top et se retrouve en soutien-gorge à côté de sa tante. Les deux femmes se regardent et éclatent de rire. Laure fait tomber son chemisier et dit :

- Mon Dieu quelle chaleur, je vais prendre une douche froide !

Cloé réplique en souriant :

-Oh oui génial, je viens avec toi !

Les deux se déshabillent très rapidement et se dirige vers la salle de bain. Laure entre la première et ouvre le robinet. Elle se place juste sous la pomme, ferme les yeux et fait couler sur son visage l'eau rafraichissante. Cloé observe sa tante, qui se frictionne doucement le corps. Elle entre à son tour et profite aussi du jet d'eau. Elle prend le gel douche et commence à frotter délicatement le dos de sa tante. La coquine ronronne sous les doigts agiles de sa nièce. Elle se cambre et dit :

-Hum, comme c'est bon, continues !

Cloé, fait glisser ses mains enduites de gel sur le bas des reins de sa tante. Elle ne frotte plus, mais caresse, les lobes fessiers, ses doigts s'enfoncent dans le sillon profond puis, montent et descendent dans la raie. Au passage, elles passent sur l'œillet brun en prenant soin d'appuyer dessus. Cela fait frissonner Laure qui soupire. Maintenant sa main glissent entre les cuisses et s'enfoncent dans la toison soyeuse. Deux doigts s'insèrent entre les grandes lèvres et taquinent le bouton d'amour. Laure grogne, puis brusquement fait volte face à Cloé.

Les deux femmes se regardent longuement, Laure ferme le robinet d'eau et dit :
-Tu me rends dingue Cloé !

Elle l'enlace et se plaque contre elle. Ses lèvres se posent sur celles de Cloé, la coquine entrouvre la bouche. Les langues se nouent, les salives se mêlent. Les soupirs sont bruyants, les mains glissent sur les fesses, les deux femmes se caressent mutuellement. Laure prend l'initiative, elle dit :

- Allons au salon ma chérie, nous y serons mieux !

Elle lui prend la main et l'entraine dans la pièce indiquée. Laure Prend à bras le corps sa nièce et la place doucement sur la table basse. Elle s'agenouille à côté et commence à lui caresser les lobes mammaires. Elle s'attarde sur les mamelons, rapidement les bouts se dressent fièrement au centre des aréoles brunes. Plus la palpation est longue plus les bouts durcissent. Laure pose sa bouche sur un mamelon et le tète de plus en plus sauvagement, Cloé geint de plaisir. La tante lui mordille le téton, l'étire puis le suce avidement. Le bout devient énorme, Laure s'acharne dessus, elle veut que sa nièce profite à fond de ce moment d'amour.

Elle passe à l'autre mamelon et lui fait subir le même traitement efficace. Les râles de Cloé sont rauques, elle se mord le poignet pour ne par hurler son plaisir. Laure délaisse les seins, sa bouche embrasse chaque parcelle de peau de Cloé. Une main part en éclaireur glisse sur le ventre plat et passe le compas que forme les jambes. Elle descend sur la fente qui est déjà trempée, Cloé couine comme un animal. La langue de Laure lui fouille le nombril, pendant que deux doigts cherchent son clitoris.

Elle se cabre, lorsque les doigts lui pressent la boule de chair et la frottent délicatement. S'en est trop pour Cloé, elle se raidit et jouit en grognant comme un animal. Laure s'empare de la boule sensible et la branle énergiquement, Cloé envoie plusieurs jets de cyprine et jouit encore plus fort. Laure s'agenouille face à sa nièce, qui mécaniquement écarte les jambes. Laure écarte les grandes lèvres vaginales et sort de son écrin la perle du plaisir. Elle la regarde un moment et constate qu'elle a doublée de volume. Elle s'avance entre les cuisses de Cloé et gobe la boule d'amour. Cloé se cabre sous la forte succion, Laure lui aspire le clitoris avec force et le suce comme jamais. Cloé défaille, elle agite son bassin, se contracte et jouit à nouveau.

Tante et amante, Laure dévore la chatte de sa nièce, sa langue s'enfonce dans la gaine brûlante et en fouille chaque recoin. Cloé se vide de son jus. Pour sa tante, c'est une aubaine, la coquine avale tout ce qui s'échappe du cratère en éruption. Gavée Laure s'écarte du puits intarissable et invite sa nièce à lui faire les mêmes gâteries. Les deux femmes échangent leur place. C'est maintenant Cloé qui s'acharne sur sa tante comme une forcenée. La coquine Laure, jouit comme une malade de nombreuses fois. Leurs petits jeux d'amour doit s'interrompre, la porte d'entrée vient de s'ouvrir. C'est Pierre qui vient de rentrer de la fête.

À suivre.

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