Après une longue attente, voici le récit de mes ébats avec la superbe rouquine qui hantait mes rêves. Une nuit de débauche comme je n'en ai plus connu et la conclusion d'une longue, très longue histoire. Avant, peut-être, de nouvelles aventures !
Proposée le 3/06/2021 par Korn
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
En préambule, je tiens à vous présenter mes excuses pour ma longue absence du site. Comme vous le savez si vous suivez mes histoires, je suis kinésithérapeute. A l’instar de beaucoup de professionnels de santé et de gens, j’ai été durement touché par la pandémie, professionnellement autant que personnellement. Il m’a été difficile d’écrire durant l’année écoulée, mais cette histoire a finalement trouvé sa conclusion. Sa suite viendra, je ne sais pas encore quand.
Un grand merci à tous ceux qui ont aimé mes récits et me l’ont fait savoir, vos commentaires ont été d’un grand soutien.
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Après le départ de Virginie, il me fallut prendre une décision. Devais-je maintenir mes plans avec la sulfureuse Sabrina ou décaler d'un jour pour « refaire le plein » ?
En milieu d'après-midi, je me décidai à lui envoyer un sms.
Moi : Re. Ça te dérange si on décale d'une journée le plan tringlage ?
Sabrina : Noooooooooon !!! Tu peux pas me faire ça !!! J'espère que t'as une bonne excuse.
M : Une jolie blonde qui voulait se faire prendre le cul et à qui j'ai pas pu dire non, ça compte ?
S : T'abuses...
M : On peut maintenir, mais je voudrais pas faillir à ma promesse ;)
S : Tu imagines même pas à quel point t'as intérêt à ce que ça vaille le coup...
M : C'est une menace ?
S : Non, sauf pour ta réputation.
Je ris intérieurement. Je m'apprêtais de toute façon à quitter ce groupe, peu m'importait une quelconque réputation. M'envoyer en l'air avec Sabrina en revanche...
M : Je note. Et je te présente mes excuses.
S : J'espère que ce petit cul en valait la peine au moins.
M : Probablement pas autant que le tien ;)
S: C'est ça, essaye de te faire pardonner...
M : Je dis juste la vérité.
S : Eh ben tu devras attendre un jour de plus pour en profiter de mon cul, tant pis pour toi.
M : Mais ça n'en sera que meilleur !
S : J'espère. Si tu m'as autant chauffée pour rien, je vais mal le vivre.
M : Au pire, j'ai une langue ;)
S : Mais arrête ! Tu vas m'exciter si ça continue.
M : C'est le but ^^
S : Ben c'est gagné, je suis toute mouillée...
M : C'est l'idée de la sodomie ou du cunni qui te fait mouiller comme ça ?
S : Les deux... T'as Skype ? Ça sera plus facile que par SMS si on doit continuer à se chauffer comme ça.
Quelques manipulations plus tard, nous reprenions la discussion par ordinateur interposé.
S : N'empêche, tu te rends compte qu'on est passé de deux coups de langues et deux coups de queue à un programme complet ?
M : C'est à dire ?
S : Bah maintenant on parle de cunni, de baise, de sodomie...
M : T'as oublié l'espagnole.
S : Et que je compte bien te sucer aussi.
M : Vraiment ?
S : Oh oui. Si t'es un gentil garçon, je te finirai même si mon visage.
M : Maintenant c'est toi qui m'excite.
S : Ha ha !
M : T'es une vraie coquine :)
S : Si je te disais tout ce que j'ai en tête, c'est pas de coquine que tu parlerais.
M : Fais-moi rêver.
S : Ok, alors j'ai envie de me faire démonter comme une chienne. J'ai envie de me faire éclater le cul et de plus pouvoir marcher. J'ai envie de te lécher les couilles en te branlant sur mon visage. J'ai envie de te faire jouir entre mes seins. J'ai envie que tu finisses sur moi à chaque fois et d'être toute collante de sperme.
M : Effectivement, tu es une SACRÉE coquine :D Et je dois être un sacré coquin parce que le programme me va très bien, et j'ajouterai que je crève d'envie de te bouffer la chatte et de te sentir jouir sur ma langue.
S : Hum, ça aussi ça me fait envie.
M : Je pourrais même t'en faire plusieurs :P
S : Je signe où ?
M : En bas de ta fesse gauche.
S : Lol.
S : Bon par contre, je te laisse.
M : Tu vas te toucher ? ^^
S : En vrai ? Oui.
M : Et tu te touches comment ?
S : Pourquoi ça t'intéresse ?
M : Pour te faire du bien après-demain :D
S : Vu comme ça... Si c'est pour faire vite, c'est clito et doigts dans la chatte. Si c'est pour un maximum de plaisir, c'est clito et seins.
M : T'es sensible des seins ?
S : Très.
S : Si tu veux savoir, j'ai déjà joui rien qu'en me faisant lécher les seins.
M : Défi accepté.
S : Si tu réussis, je te suce sur demande jusqu'à la fin de tes jours.
M : Vendu !
M : Et du coup, tu vas opter pour rapide ou plaisir ?
S : Atta, je te montre.
Je reçus une invitation à démarrer la webcam. Elle était sérieuse ?
Sur l'image de qualité moyenne, la sublime rousse m'apparut. Elle recula un peu, elle ne portait qu'une culotte et un débardeur noir très décolleté, sur lequel elle tira. Ses seins, si gros et ronds qu'ils faisaient perdre la tête à tout le monde, jaillirent. D'une main, elle pinça un téton, tandis que l'autre plongeait dans sa culotte. Puis elle enleva son haut en un mouvement atrocement sexy et le lança.
L'image disparut aussitôt, elle avait volontairement visé la webcam... Ne me restaient que ses gémissements exagérés et mon imagination qui tentait vainement de s'approcher de la divine réalité.
Ce concert dura quelques minutes, puis l'image revint et Sabrina remit son débardeur. Elle envoya un baiser vers la caméra et la coupa.
S : Alors, tu as aimé mon petit show ?
M : Super :)
S : Si tu m'avais pas posé un lapin, t'aurais eu l'image en plus.
M : :'(
On continua à se chauffer et à discuter une bonne partie de la soirée. Et rebelote le lendemain. J'étais tellement excité par la sublime créature qu'il me fallait des efforts inhumains pour ne pas me masturber.
Finalement, à 14h le mercredi après-midi, Sabrina m'envoya un message :
S : Bon, j'en peux plus, j'arrive.
M : Tu voulais pas te faire tringler de 9h à 21h ?
S : Si je reste dormir chez toi, ça sera même plus finalement.
M : Ca me va !
S : Je prends une douche et du rechange, je suis là dans 2h.
M : Je ne bouge pas.
Un peu plus de deux heures plus tard, Sabrina pénétrait dans mon appartement. Elle était magnifique, dans une robe noire courte et décolletée qui épousait parfaitement ses formes de pin-up. Elle déposa un bref baiser sur mes lèvres, et attaqua directement :
- Bon, tu veux faire ça comment ?
- C'est à dire ?
- On se lance dans l'action immédiatement ou on papote ?
- Comme tu veux. Si tu restes dormir on a tout le temps.
- Alors feu.
Elle se mit immédiatement à genoux sur le carrelage de l'entrée, tira sur mon bermuda et sortit mon sexe encore pendouillant. Elle le prit en main et le goba, tout en se cambrant à mort pour que j'aie la plus belle des vues sur son derrière rebondi.
- Tu perds pas de temps, fis-je.
En un rien de temps, j'avais fini de durcir dans la bouche de Sabrina qui me faisait une pipe d'enfer. Elle tira sur sa robe pour découvrir ses fesses dans lesquelles plongeait un string noir. Ma main caressait ses cheveux ou sa joue, les siennes étreignaient mes doigts et malaxaient mes bourses.
Rapidement, mes jambes devinrent flageolantes, je sentis l'orgasme arriver.
- Je vais pas tenir.
- C'était pas le but.
Les lèvres de Sabrina se refermèrent sur mes bourses, avec lesquelles sa langue joua. Sa main prit possession de mon mat, qu'elle branla vigoureusement. C'était exactement comme elle me l'avait écrit sur Skype. Puis comprenant l'imminence de la libération, elle prit position pour recevoir ma semence, yeux fermés et sourire amusé aux lèvres.
Le premier jet fusa net et éclata dans ses cheveux et sur le côté de son visage. Le second lui stria la face du coin de la bouche au sommet du crâne. Le troisième prit le même point de départ et termina dans son œil. Le quatrième et le cinquième explosèrent sur sa joue. Puis elle me goba de nouveau, finit de boire ma jouissance et ne me relâcha que lorsqu'elle fut certaine d'avoir avalé jusqu'à la dernière goutte.
- Je sais pas comment t'as fait, mais j'en ai sur les fesses, rigola-t-elle en s'essuyant les yeux.
- Je crois que tu m'as tellement excité pendant deux jours que ça a été... explosif.
Elle se redressa, m'embrassa langoureusement.
- A ton tour, fis-je.
Je lui retirai sa robe, elle termina d’ôter son string et moi tous mes vêtements. Elle était d'une beauté à couper le souffle, chaque centimètre carré de sa peau semblait absolument parfait. Son visage, sa crinière flamboyante, pleins de sperme, étaient superbes.
Main dans la main, nus comme des vers, nous nous dirigeâmes vers ma chambre. Sabrina se jeta littéralement sur le lit, je la rejoignis. Nous passâmes quelques temps à nous embrasser, nous cajoler. Puis de ses lèvres, ma bouche passa à sa gorge, resta un long moment sur ses tétons, descendit à son ventre, ses cuisses, remonta à son pubis glabre, termina sur son bourgeon.
Je pris tout mon temps, après tout rien ne pressait et j'avais besoin de récupérer un peu. Chaque fois que Sabrina montait trop en pression, je délaissais son clitoris pour plonger ma langue dans sa grotte. Parfois, je rajoutais deux doigts, parfois je pelotais ses gros seins. Je caressais son ventre et ses cuisses, flattais ses hanches, je m'enivrais du goût et de l'odeur musqués de sa chatte.
Je donnais tout pour lui faire un cunni à la hauteur de la fellation que j'avais reçue et j'en fus récompensé par un orgasme énorme qui fit trembler ses cuisses et son ventre pendant une bonne vingtaine de secondes durant lesquelles elle me maintint des deux mains contre son intimité.
Une fois la déferlante passée, Sabrina m'attira à elle pour m'embrasser avec une passion renouvelée, mélangeant nos jus sur nos joues, nos salives dans nos bouches. Mon sexe frottait contre le sien et elle ondulait tant des hanches que la pénétration se fit toute seule. J'avais beau être sur elle, l'écraser de mon poids, elle bougeait tellement que c'était elle qui donnait le rythme tout en me gémissant dans la bouche.
Je me redressai, me cramponnai à sa taille pour la pilonner. Quel merveille que ce fourreau ! Chaud et glissant, serré par l'orgasme tout récent... Un régal ! Sabrina aussi se régalait, elle m'accompagnait en ondulant frénétiquement le bassin, en gémissant fort, en poussant des « hou » de plaisir qui ne me galvanisaient que davantage.
- Ça va venir si on continue comme ça, fis-je au bout d'un long moment.
- Pas question ! Attends, on change de position.
Elle me tendit les mains, je l'aidai à se hisser sur moi. Je l'attrapai par les fesses, elle s'accrocha à ma tête et à mon dos, me donna ses seins à téter. Je sentais son jus ruisseler sur mes bourses à chaque coup de reins.
- Je tiens plus, l'informai-je finalement.
- Tu veux finir entre mes seins ?
- Oh ouiiii !!
Elle rit et s'installa sur le dos. Une vingtaine d'allers-retours plus tard, j'aspergeai son menton et sa gorge de sperme chaud.
Je m'allongeai à ses côtés, elle posa la tête au creux de mon épaule.
- Pour l'instant, tu tiens tes promesses, constata-t-elle en jouant avec les poils de mon torse.
- Et toi tu dépasses les tiennes.
Elle rit, m'embrassa tendrement.
- On récupère un peu et on remet le couvert ?
- Volontiers. Tu veux un truc à boire ?
- Si t'as de l'eau, ouais.
- De l'eau, de la bière, du vin... Tout ce que tu veux.
- De l'eau pour l'instant. Ça te dérange si je fume dedans ? Flemme de me rhabiller.
- En général je préfère qu'on fume sur le balcon. Mais si tu me laisses t'enculer...
- Mais qu'est-ce qu'ont tous les garçons à vouloir mettre leur machin dans mes fesses ?
- Faut dire qu'elles sont tellement belles qu'on a envie de les explorer...
- Haha, bien joué.
Sabrina frotta son sexe dégoulinant contre ma cuisse.
- Je te roule une clope pendant que tu vas me chercher un verre d'eau. Et après tu me la mets où tu veux.
On s'embrassa encore et je me levai pour aller chercher l'objet de ses désirs. Lorsque je revins avec deux verres pleins et un cendrier, Sabrina m'attendait assise en tailleur sur le lit, toujours nue et couverte de foutre, deux cigarettes à la main.
- Alors, dit-elle après avoir allumé la sienne et tiré une bouffée, t'as baisé qui du groupe ?
- Hum ?
- Bah j'imagine que Cécile a envoyé le même message à un peu tout le monde, non ?
- Tu imagines bien.
- Alors ? J'suis curieuse.
- Ben le petit cul, c'était celui de Virginie.
Elle écarquilla les yeux.
- Tu déconnes ? Elle peut pas te blairer.
- Ouais, mais apparemment elle peut blairer ma queue.
- Attends, mais tu l'as baisée ou enculée ?
- Les deux.
- J'en reviens pas.
- Et t'en reviens si je te dis qu'elle a joui par le cul ?
- Mais non ?
- Si si.
- P'tain, j'aurais jamais cru.
- Ouais... Et j'ai couché avec Marion aussi.
- Chanceux, elle est super bonne.
- Mais pas très cochonne.
- Ça, ça m'étonne pas trop.
- Et Jennifer m'a sucé et branlé avec ses seins.
- La pucelle ?
- Oui, ben crois-moi qu'elle est VRAIMENT pas pucelle de la bouche.
- Tu t'es bien amusé hein ?
- Plutôt oui.
Sabrina me regarda d'un air songeur.
- Tu sais à quoi je pense, là ? demanda-t-elle.
- Non, mais je parie que c'est sexuel.
- Ouais...
- Et c'est quoi ?
- Que j'ai envie de baiser Cécile.
- C'est à dire ?
- J'ai envie de mettre un gode ceinture et de l'éclater par tous les trous. Et quand elle aura bien joui par le cul, je lui filerai ma chatte à bouffer.
- Tu fantasmes sur Cécile ?
- Depuis longtemps. Elle est super jolie et elle a des gros seins, il m'en faut pas plus.
- Et moi dans ce fantasme ?
- Hum... Tu nous regarderais.
- C'est tout ?
- Ouais, et après tu me prendras le cul et tu te videras les couilles sur sa gueule d'ange.
- C'est très tentant. Mais en attendant qu'elle revienne du Portugal, je peux te prendre le cul et finir sur le tien de visage.
Sabrina sourit.
- Offre très alléchante.
La superbe rousse écrasa sa cigarette dans le cendrier et se pencha vers moi. Je lui tendis mes lèvres, mais c'est sur mon membre que se referma sa bouche. Ses bons soins me mirent rapidement au garde-à-vous. Tandis qu'elle s'en donnait à cœur joie, je profitai de sa position pour passer une main entre ses fesses, titiller sa rosette et finalement y insérer un doigt.
- T'es vraiment la reine des suceuses, commentai-je au bout d'un moment.
- Et toi le champion du doigtage.
Elle se redressa pour m'embrasser langoureusement et, dans la manœuvre, grimpa sur mes cuisses, guida ma queue vers sa fente et s'y laissa retomber. Bouches soudées, un doigt dans son anus, puis deux, enlacés, nous bougions à l'unisson.
- Et en plus, t'es pas mal du tout comme baiseur, fit-elle entre deux embrassades.
- Juste pas mal ?
- T'as réussi à me donner envie de me faire enculer, c'est correct, ajouta-t-elle dans un rire. Tu as une capote ?
- Dans le tiroir de la table de chevet.
- Va la mettre, j'ai trop envie là.
- Tu veux pas que je lubrifie ?
- Non, t'inquiète. Avec le lubrifiant du préservatif ça suffira.
- Ok alors.
Je m'exécutai et retournai vers ma partenaire de jeu qui m'attendait, allongée sur le côté, une main écartant ses larges fesses. Je m'installai contre elle, guidai mon membre encapuchonné vers son anus. Comme elle l'avait prédit, l'entrée fut incroyablement facile et j'entamai mes va-et-vient dans cet orifice encore plus accueillant que j'avais osé l'imaginer, accompagné par les légères ondulations de Sabrina dont je caressais les seins d'une main.
La rousse fit passer une main derrière elle pour me caresser tendrement les cheveux, j'embrassai son cou et sa joue salés par mon sperme.
- Huum, tu sais que tu sais sodomiser une fille, toi ?
- Merci du compliment.
- Han, non, c'est vrai. Ni trop mou, ni trop brutal, c'est parfait comme ça. Si tu t'occupes de mon clito en même temps, t'es bien parti pour gagner le titre de roi de la sodo.
Le message fut parfaitement reçu, je délaissai sa poitrine et glissai mes doigts entre ses cuisses.
- Han oui, vas-y un peu plus fort. Oui, oui, oui comme ça ! Oh putain, c'est bon.
- Attends, j'ai une idée qui devrait te plaire !
Je me retirai et allongeai Sabrina sur le dos. Je pris place entre ses jambes, guidai à nouveau mon sexe dans son anus, plaçai mon pouce sur son bourgeon. Et en guise de final, je me courbai sur elle pour goûter ses seins. Si je ne pouvais pas bouger beaucoup dans cette position, la magnifique rousse le compensa largement par ses ondulations du bassin et ne mit pas longtemps à jouir.
Puis elle me sauta dessus pour me couvrir la bouche, les joues et le torse de baisers.
- Mon dieu ! C'est bon, t'as gagné, meilleure sodomie de ma vie.
- Content que ça t'ait plu.
- Tu rigoles ? Ça m'a pas plu, j'ai adoré. C'est un des plus gros orgasmes de ma vie ! A toi maintenant !
On baisa pendant encore presque une heure, dans beaucoup de positions dont certaines très acrobatiques. Entre deux changements, elle me suçait ou me branlait entre ses seins et je léchais son minou ou tétais ses mamelles. Elle jouit encore une fois, à califourchon sur moi, ma langue sur son téton et deux doigts dans son anus, et me finit en me masturbant vigoureusement au-dessus de son visage.
Nous nous effondrâmes sur le lit. Du bout des doigts, je caressais sa joue où se mélangeaient sperme frais et sec.
- Tu es magnifique, soufflai-je.
- Merci.
Elle se colla à moi et m'embrassa avant de poser la tête au creux de mon épaule.
- Tu as réussi à me rassasier pour l'instant, ajouta-t-elle. Mais je veux bien des bisous et des câlins.
- Autant que tu voudras, répondis-je en refermant mes bras autour de son corps.
Nous étions couverts de transpiration et de sécrétions sexuelles et restâmes enlacés encore de très longues minutes à nous cajoler. Puis nous nous décidâmes à sortir du lit, sans nous rhabiller ni essuyer.
Toute la soirée, entre deux papotages, deux cigarettes ou pendant que je préparais manger, nous continuâmes notre jeu sexuel. Caresses, masturbation, fellation, cunnilingus, baise... A chaque fois c'était bref, juste une minute pour le plaisir. L'un comme l'autre nous savions que nous n'étions plus en état de jouir, mais nous avions assez d'énergie pour prendre et donner un peu de plaisir.
Exténués, nous allâmes finalement nous coucher tôt et nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre après quelques ultimes coups de rein.
Je me réveillais brusquement dans la nuit, collé au dos de Sabrina, une main sur son ventre. Mon sexe dur comme du bois s'était naturellement glissé dans la raie de ses fesses et bon sang que j'avais envie d'elle !
Mes doigts remontèrent, empaumèrent son sein, firent rouler un téton. Sabrina grogna, remua un peu les fesses, caressa ma cuisse.
- T'as encore envie ? dit-elle d'une voix empâtée.
- On dirait bien que oui.
- T'es infatigable...
- T'es la première à me faire cet effet.
« Si on excepte Florence » corrigeai-je dans ma tête.
- Vil flatteur.
- Je ne fais que dire ce qui est.
Elle eut un petit rire qui disparu dans un bâillement.
- J'suis claquée, mais je vais pas te laisser avec une trique comme ça. Tu peux me baiser vite fait si tu veux.
- Sûre ?
- Mais oui.
Sabrina se retourna et m'embrassa tandis que je guidais mon membre en elle. Au bout d'une minute, elle commença à soupirer de satisfaction, puis à gémir de plaisir. Bien vite, elle me fit basculer et me chevaucha au début doucement puis avec un enthousiasme grandissant.
- Je croyais que tu voulais que je te baise vite fait, rigolai-je en la pelotant des deux mains.
- C'était l'idée.
- Et pourquoi ce changement d'avis ?
- Tu m'as giclé trois fois dessus hier et t'arrives encore à être super gros.
Elle se pencha sur moi, souffla à mon oreille :
- Tu m'excites comme rarement un homme m'a excitée.
- Vile flatteuse, répondis-je en l'embrassant à pleine bouche.
Je passais une main derrière sa tête et une sur ses fesses, la pilonnai tout en plongeant ma langue entre ses lèvres. Après ce sprint, Sabrina se redressa, reprit le contrôle du rythme, alterna entre langueur et déchaînement.
Lorqu'elle commença à avoir mal aux cuisses, je la pris en missionnaire, à genoux entre ses jambes et cramponné à sa taille fine ou à ses gros seins. C'est dans cette position qu'elle finit par jouir bruyamment. Mais la belle n'était pas rassasiée pour autant, nous enchaînâmes sur une levrette endiablée, un retour à l'amazone puis de nouveau en levrette. Entre deux changements, je la lubrifiais abondamment avec ma salive, m'enivrant du goût musqué de sa chatte.
Finalement je me retirai, Sabrina alluma prestement la lampe de chevet et me branla au-dessus de ses seins, sous lesquels elle avait passé le bras pour les bomber encore plus. Dans un râle bestial, je déposai quelques grosses taches blanches sur la peau pâle de sa poitrine et de sa cuisse.
Je me remis à genoux pour l'embrasser tendrement. Je souris en constatant qu'elle avait du sperme sec sur tout le visage, dans les cheveux ainsi que sur la gorge et les seins.
- Bon, je confirme que ça valait la peine d'être réveillée pour ça, fit Sabrina en se rallongeant et en baillant.
- Content que ça t'ait plu, répondis-je en me blottissant contre son dos.
- Ouais, tu as tenu tes promesses. J'espère que tu auras encore un peu de réserve demain matin, je serais pas contre me faire prendre le cul.
J'eus un petit rire.
- Ça sera très volontiers.
Elle répondit quelque chose que je ne compris pas : j'étais déjà en train de m'endormir.
Cette nuit, je rêvais de Florence. Un rêve en accéléré, où en quelques secondes je la prenais contre une table, la sodomisais, me branlais avec ses seins, la baisais de nouveau et finissais dans sa gorge après une pipe de rêve.
Je me réveillais brusquement, le sexe dur et trempé, dégoûté d'avoir gâché une éjaculation alors que Sabrina se trouvait à côté... Puis au milieu des bruits de la circulation, je distinguais un autre son : celui d'une succion appuyée. J'ouvris les yeux.
Ma partenaire d'une journée était à quatre pattes à mes côtés et donnait de la bouche autant que de la main. En fait, je n'avais pas éjaculé : la sensation humide c'était Sabrina en train de me sucer !
Je tendis la main, caressai son épaule. Elle tourna la tête vers moi tout en me branlant.
- Je me demandais quand t'allais te réveiller. Ça fait cinq bonnes minutes que je te suce.
- Et ça t'a prise comme ça ?
- Non, c'est toi qui va me prendre. Mais sinon, t'avais une trique d'enfer, je me suis dit que ça serait dommage de gâcher ça.
- T'es motivée de bon matin.
- Pour me faire labourer ? Toujours.
Je ris, elle retourna à ses affaires.
- File moi ta chatte, y a pas de raisons que tu sois la seule à t'amuser.
Sabrina m'enjamba sans sortir mon membre de sa bouche, posa son bouton sur mes lèvres. Je la léchais tant et si bien qu'elle fut prompte à jouir. Elle me suça encore un moment, puis se redressa pour me chevaucher en amazone inversée. J'en profitais pour lui caresser le dos et admirer le spectacle de ses rondes fesses s'écrasant en rythme sur mon ventre.
Après de longues minutes, je me redressais pour la prendre en levrette. Je me rendis compte que mon sexe était énorme, gonflé comme rarement, Sabrina gémissait tout son saoul sous les assauts de cette masse turgescente. Mes doigts écartèrent un peu les fesses de la belle rousse, mon pouce titilla son anus. La sublime créature n’en feula que de plus belle.
Dans son supplice, elle me supplia brusquement :
- Encule-moi !
- Comme ça, à sec ? l’interrogeai-je.
- Oui, je veux te sentir dans mon cul.
Cette seule pensée, ce seul désir, la provoqua. Elle s’étrangla soudain, lâcha quatre ou cinq « ouii » à la suite, accompagnés de brutales contractions autour de ma queue, pulsations orgasmiques témoins de sa jouissance.
Elle s’effondra sur le lit, poings serrés et croupe toujours tendue, le souffle court et la respiration haletante.
- Ça va ? demandai-je en me retirant.
Sabrina bascula sur le dos, dressée sur les coudes. Elle arborait un sourire béat en milieu des croûtes de sperme sec.
- Oh oui, répondit-elle joyeusement. C’est juste qu’il était très gros et que je l’ai pas senti arriver.
Elle prit un air curieux qui me fit complètement fondre.
- Par contre j’ai une question mon chéri.
- Oui ?
- Pourquoi t’es toujours pas dans mon cul ?
Je ris et me penchai sur elle pour l’embrasser, baiser qu’elle me rendit tendrement. Je basculai sur elle, ma bouche glissa sur son cou, mon sabre dans son fourreau. Ma partenaire enserra mes cheveux de ses doigts, mon corps de ses jambes tout en soupirant d’aise.
- Finalement, c’est bien ça aussi, gémit-elle tandis que je reprenais mes assauts.
Je posai mes lèvres sur les siennes, sa langue s’infiltra dans ma bouche. Entre deux frottements linguaux, elle me mordait la bouche, déchaînée qu’elle était.
Nous fîmes sauvagement l’amour pendant un long moment, puis je me redressai, saisis ses seins des deux mains. Dans ma fureur, mon sexe quitta la douce étreinte du sien. Je donnai un coup de reins pour lui faire reprendre sa place naturelle, il dérapa dans le jus de ma nymphe et je le sentis s’infiltrer dans un tout autre orifice.
J’allais me retirer, mais la belle me retint d’un tonitruant :
- Oh ouiii, enfin !!
- T’avais si envie que ça d’une sodo ?
- Oui, oui, oui, oui et oui. Ça répond ?
Je ris en la pénétrant aussi loin que possible. Elle en profita pour passer ses belles jambes sur mes épaules et faire reposer ses fesses sur mes cuisses.
- Je pensais pas que c’était ton truc à ce point.
- Ça dépend des mecs.
Sabrina me fit un clin d’œil complice.
- Avec toi ça se passe pas trop mal.
On s’esclaffa, mes mains saisirent sa taille et j’entamais des vas-et-viens tout en lenteur et en profondeur qui firent pousser de longs soupirs satisfaits à ma partenaire.
- Et puis, dit-elle après une minute, vu que c’est probablement la dernière fois du jour j’ai envie de faire la totale. Bouche, chatte, cul.
- Pourquoi ça serait la dernière ?
Ce fut son tour de rire.
- Ça va être ton cinquième orgasme, je pense pas que tu pourras repartir pour un sixième.
- Et si je repars ? la taquinai-je tout en sachant qu’elle avait raison.
- Tu gagnes une autre totale, le titre de dieu du sexe et le droit de m’appeler chaque fois que tu as envie de baiser.
- Et si je repars pas ?
- Juste le droit de m’appeler pour baiser.
- C’est déjà pas mal.
- Ah ouais ?
- Ouais, t’es quand même pas moche et plutôt correcte au lit.
Elle me mit une tape sur l’avant-bras.
- Tu vas voir si je suis correcte ! Vire de là.
Je me retirai, Sabrina repassa à quatre pattes.
- Remets-la dans mon anus et ne bouge pas. Tu vas voir ce que sait faire la meuf pas moche.
Je ne me fis pas prier pour m’enfoncer de tout mon long dans sa rosette déjà bien ouverte. La belle rousse s’installa confortablement, la joue sur posée sur ses doigts croisés. Puis elle commença à bouger, simplement en ondulant les hanches.
Je n’en revenais pas : Sabrina me faisait aller et venir dans son derrière par les seuls remous de son bassin. C’était la première fois qu’une femme me faisait ça et c’était si bon ! Des gémissements incontrôlables montèrent bien vite de ma gorge.
- Alors, fit-elle satisfaite, elle gère la fille correcte ?
- Je retire ce que j’ai dit, t’es…
Elle accéléra le rythme, mes mots moururent dans un cri de plaisir.
- Je suis quoi ?
- C’est bon, t’as gagné, t’es trop bonne ! Oh mon dieu et ça aussi c’est trop bon !
- Alors tais-toi et profite, je pourrai pas tenir longtemps.
L’extase ne dura que deux ou trois minutes avant que Sabrina ne s’avoue vaincue. Mais quelles minutes ! Jamais une femme ne m’avait procuré un tel plaisir, jamais je n’avais autant pris mon pied !
- Ça te dérange si on finit rapidement ? demanda-t-elle. J’ai mal partout.
- On peut arrêter là si tu préfères. C’était déjà fantastique !
- Haha, aucun risque. Défonce mon petit trou de balle et finis-toi vite.
- Volontiers !
J’exauçai son vœu, pilonnai son derrière avec la subtilité d’un marteau-piqueur. Mais très vite, il devint évident que je m’étais lancé dans une guerre d’endurance avec moi-même : jouir avant que mes muscles ne me trahissent. Hélas, ces derniers eurent le dernier mot et je m’effondrai sur le lit après un bon quart d’heure d’efforts, en sueur et le souffle court.
- Désolé, haletai-je, j’ai plus de forces.
Sabrina s’assit devant moi et m’embrassa avec un mélange de douceur et de passion tout en saisissant mon membre pour le branler férocement.
- Laisse faire la pro, mets-toi debout.
J’obtempérai pour qu’elle continue de m’astiquer vigoureusement. Mais rien n’y fit, j’avais l’impression d’avoir énorme morceau de bois dénué de sensations entre mes jambes. Mais il en fallait plus que ça pour décourager la belle.
- Prends le relai, je vais te stimuler.
Sabrina se redressa sur les genoux, saisit un de ses seins d’une main, fit glisser l’autre sur son clitoris tout en plongeant son regard émeraude dans le mien. Nous nous masturbions comme des fous, l’un en face de l’autre, l’un pour l’autre. J’avais le bras en feu et donnai tout dans un sprint désespéré qui paya.
- Oh bon sang, je viens ! grognai-je.
- Jouis sur mon visage ! gémit-elle.
Mon chant du cygne s’écrasa sur les lèvres et le menton de la belle en un unique et puissant jet. La rouquine se jeta en arrière pour se finir, je m’approchai d’elle.
- Je peux t’aider ? proposai-je.
- Embrasse-moi.
Je me lovai contre elle, elle me prit la bouche avec une tendre fureur. Je fis courir mes doigts sur sa cuisse, remontai à son sexe dégoulinant, insérai majeur et index pour lui procurer toujours plus de plaisir. L’orgasme vint lentement et lorsqu’il la pris enfin il fut long et puissant.
Nous restâmes longtemps enlacés, à nous embrasser, nous cajoler. J’étais merveilleusement bien, nous n’avions même plus besoin d’échanger de mots tant nos corps avaient parlé pour nous. Ce fut un gargouillement sonore qui nous tira de cette transe que j’aurais voulue éternelle.
- Désolée, rigola Sabrina, je crois que j’ai la dalle en fait.
Je lui souris en caressant sa joue.
- Message reçu, je vais faire le petit-déjeuner. Café ou thé ?
- Café s’il te plaît.
Elle me rejoignit à la cuisine pendant que je faisais cuire un peu de pain perdu. Elle avait enfilé un string, laissant à nu son corps parfait et couvert de sperme. J’eus une bouffée de fierté et de peine en constatant qu’elle boitait un peu.
- Ça va ? m’enquis-je.
Elle eut un petit rire gêné.
- Tu m’as vraiment défoncé le cul, j’ai du mal à marcher.
- Désolé…
- T’excuse pas, ça valait le coup.
Elle s’approcha tout près de moi, me prit les mains, déposa un doux baiser sur mes lèvres. Je refermai mes bras autour d’elle, sa tête vint naturellement reposer au creux de mon épaule.
- T’es un sacré coup, commenta-t-elle. Et en plus, tu sais recevoir. Faudra vraiment qu’on recommence.
- Quand tu veux, même si je suis pas certain de pouvoir faire un marathon comme ça toutes les semaines.
- Alors disons tous les mois.
- Vendu ! Et euh…
- Oui ?
- Merci en fait. C’était assez incroyable.
Je me sentis soudain très con. Les désagréables souvenirs de mon étreinte avec Marion me revinrent brusquement en mémoire, je ne devais pas faire la même erreur.
Sabrina se dégagea de mon étreinte, m’appuya sur le nez.
- T’es mignon. Et t’as une grosse bite.
- Euh… Merci ?
- De rien. Je crois que ça crame.
Je jurai, retournai à ma cuisine.
Quelques minutes plus tard, attablée devant son assiette et un mug de café brûlant, Sabrina posa brutalement une question à laquelle je n’étais pas préparé :
- Du coup, tu la largues quand Cécile ?
- Pardon ?
Que voulait-elle dire ? Avait-elle compris que je n’avais plus de sentiment pour son amie ? Ou voulait-elle prendre sa place ?
Elle croqua dans un morceau de son petit-déjeuner, répondit tout en mastiquant.
- Me prend pas pour une conne, ça se voit que t’es plus amoureux et depuis un moment. Donc tu la largues quand ?
- T’es sûre que t’es son amie ?
- C’est parce que je suis son amie que je demande, ducon. Elle, elle t’aime toujours. Alors plus tôt tu mettras fin à ça, plus tôt elle s’en remettra.
Je grimaçai. Elle avait tellement raison…
- Je comptais le faire à la fin de la semaine, avouai-je.
- Le temps de te taper ses copines quoi.
- Ce qui fait de moi un vrai connard.
Elle prit une gorgée de café.
- Bof non, j’aurais fait pareil. Avec toutes ces bonnasses à tringler, je peux comprendre que t’aies fait passé ta queue avant.
- Je sais pas comment je dois le prendre.
- J’aurais bien dit par derrière, mais j’arrive déjà plus à marcher.
Nous rimes de bon cœur.
- Non, sérieusement Ludo. Moi je m’en fous que t’aies un peu reculé pour ça, surtout que c’est pas simple de terminer trois ans de couple. Mais va falloir que tu le fasses à un moment.
- Je sais, je t’ai dit que c’était prévu.
- Parfait alors.
Elle se leva brusquement.
- Je vais prendre une douche si tu veux bien.
- Pas de souci.
- Et t’as le droit de venir, t’es presque aussi sale que moi.
- Tu me le diras pas deux fois, souris-je en lui emboîtant le pas.
Je ne pus retenir un petit rire en me voyant dans le miroir : nos baisers et étreintes m’avaient moi aussi couvert de mon propre jus. On resta un long moment sous le jet d’eau chaude, à se laver mutuellement. Je passais tellement de temps à savonner ses seins qu’elle finit par me reprendre d’un : « je pense que mes nichons sont propres maintenant. » Et une fois rincé, il nous fallut encore une quinzaine de minutes pour cesser de nous embrasser et caresser, le temps de vider le chauffe-eau.
Une fois sortis et séchés, j’admirai une dernière fois ce corps parfait que les couches de tissu recouvraient. D’abord le string blanc. Puis le soutien-gorge assorti, du plus simple apparat. Enfin, la robe beige qui masqua définitivement ces formes si belles à mon regard.
Sabrina m’embrassa, je la serrai contre moi.
- Je vais devoir filer, fit-elle.
Sa main saisit brusquement mon entrejambe, le malaxa.
- Sauf si… T’es encore d’attaque, bien sûr.
- On peut essayer, mais j’pense pas pouvoir.
- Chiche !
Sabrina se mit à genoux devant moi, dégrafa mon jean et en sortit mon sexe mollasson. Elle le goba, donna de la bouche, de la main, de la langue.. Et finit par s’avouer vaincue car aucune réaction ne vint récompenser ses efforts.
- Désolé, conclus-je. Faudra attendre la prochaine fois.
Elle se releva, une moue déçue sur les lèvres.
- On dirait bien. Tant pis.
- Par contre si t’es motivée, je peux toujours te donner un dernier orgasme.
- A mon avis, je suis dans le même état que toi.
- Tant pis… On se revoit bientôt quand même ?
- Volontiers. Mais tu largues Cécile hein ?
- Oui, je t’ai dit que c’était prévu.
- Parfait alors.
Je laissai une expression agacée passer sur mon visage.
- T’es cheloue quand même. Pourquoi tu insistes autant pour que je la quitte ?
- Je te l’ai dit, je préfère que mon amie souffre le moins possible. Et elle souffrira moins si tu la quittes plus vite. C’est tout.
- Mais tu vas continuer à te taper son ex…
- Ça, c’est un autre sujet. J’ai pas besoin que tu sois célibataire pour baiser avec toi.
Elle me prit soudain les mains et m’embrassa.
- M’assurer que mon amie souffre pas trop et te niquer sont deux sujets totalement différents mon chou.
- T’es cheloue… répétai-je.
- Non, je suis libre comme l’air.
Elle releva sa robe, écarta son string pour me laisser voir son sexe.
- Ma chatte appartient qu’à moi et je décide qui peut la fourrer et quand. Et en ce moment, tu fais partie des deux-trois mecs qui peuvent me niquer, c’est tout et c’est à prendre ou laisser.
- Ma foi, te prendre est une option intéressante.
Elle rit, m’embrassa encore.
- Allez, ce coup-ci je file vraiment. On se revoit vite, ma chatte et mon cul ont déjà faim de ta bite.
Cette fois, c’est moi qui l’embrassait.
- A bientôt, conclus-je.
Sitôt Sabrina partie, je saisis mon téléphone portable. Je devais me débarrasser de cette corvée et la jolie rousse avait su me convaincre. J’ai un peu honte de le dire, mais je quittais Cécile par SMS. Évidemment, cela ne se passa pas très bien, et c’est un bel euphémisme. J’eus droit à des dizaines de messages d’insultes, de menaces de suicide, de promesses en l’air. Mais cette fois-ci, je tins bon.
Le surlendemain, je pris la voiture avec Florence, direction un camping dans le Verdon, à des centaines de kilomètres de mes tracas. La suite… Vous la lirez dans quelques temps.
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Commentaires de l'histoire :
Homme sexy 55
Juste une très belle histoire qui fait envie.????
Posté le 7/08/2022
Kari
Je pense que madame ne pouvez plus s'assoir sur son cul pendant deux semaines et monsieur doit se reposer une semaine merci a vous deux
Posté le 19/06/2021
Anonyme
Après vous avoir lu depuis si longtemps j'ai toujours un immense plaisir à vous lire :) vivement la suite que nous attendons tous impatiemment ^^
Posté le 14/06/2021
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