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Sabrina, début d'excitation avec ma meilleure amie (2)

Le face à face avec Sabrina continu. L'excitation est à son comble, après m'avoir montré ses seins, j'espère qu'on va aller plus loin, elle m'excite et je sais maintenant aussi que je l'excite au point de me caresser pour sous la table.

Proposée le 2/03/2022 par Locas

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


« Je…. Je peux pas dire le contraire. T’as vraiment des seins magnifique, j’ai du mal à en détacher le regard. Quoique en vrai ça doit être encore plus beau » Pendant que je relève la tête, regardant vers sa poitrine, elle compresse ses seins avec ses bras, les faisant grossir comme rarement.

« Merci, ceux de ton plan cul d’hier on pas l’air mal non plus hein. »

« Ouai, après comme toi je ne les ai pas vu sans vêtements. Je t’avoue que je peux pas trop te dire. Pendant que ma langue explorait son sexe en profondeur, je l’agrippait par les hanches fermement. Et ça n’a pas tant duré. Après quelques minutes où j’alternait entre moments où j’enfonçait ma langue et les moments aspiration de son clito, elle n’est venue en pleine face. »

« Elle ne fait pas les choses à moitié ! » dit-elle en relâchant la pression sur ses seins via ses bras

« Non, une vraie surprise et une douche pour mon visage. Pas désagréable je dois avouer, mais je n’ai ensuite pas eu le temps de jouer plus avec elle. Quelqu’un a ouvert la porte derrière nous, elle c’est vite échappé. Ça aide d’être en jupe, pas besoin de se rhabiller. Le temps que je me rince le visage, dévisagé par le mec qui est venu pisser à côté de moi, elle était parti. »

« Tu l’as fait jouir, elle n’avait plus rien à faire avec toi. Je la comprend. »

« Merci, solidarité féminine à ce que je vois. »

« Non, mais là. Tu lui a fait du bien… ça évite les au revoir au moins » dit-elle en rigolant

« C’est ce qu’elle m’a répondue par texto. J’aime pas les au-revoir…. Ce genre de bla bla. Je t’avoue avoir quand même hâte de voir comment elle va réagir quand on va se croiser à la fac. »

« Ah oui, t’as encore envie d’elle ? » dit-elle avec un petit haussement de sourcils et un sourire qui ne laisse pas de marbre

Pourquoi ? T’aimerais ça que je te raconte comment je l’ai baisée ? Comment je l’ai prise en levrette, la tenant fermement par les cheveux, une claque sur une fesse qui laisse une trace bien rouge. Que je la pilonne à grand coup de rein, lui enfonçant intégralement ma queue dans sa chatte bien humide. T’aimerais ça ? » J’ai joué la carte de la provocation, dans le feu de l’action il me fallait voir jusque’où elle était capable d’aller via ses réponses afin de savoir ce qu’elle était prête à faire. Sa réaction a été pleinement dans son sens.

« Tu sais bien que oui. Et puis elle t’as laissée les couilles bien pleines, je le sens bien. »

Sabrina c’est adossé confortablement contre la banquette pendant que je lui parlait. Elle n’a pourtant pas arrêtée son mouvement, sa jambe presque allongée maintenant. Son pied nu sur ma queue par dessus mon jean. À cause de la table elle ne peut pas s’appuyer dessus, mais dans la position qu’elle est, elle peut appuyer avec son talon. Elle sait comment bien la malaxer à travers mon jean. C’est très agréable, même si la pression de mon jean me donne juste envie de m’en libérer.

« Et toi là, depuis hier tu me paraît très entreprenante, qu’est-ce qui t’arrive pour être dans cet état ? »

« Rien, ça va pour vrai. »

« Des années que je te raconte mes plans cul, que je te fais mouiller, mais tu ne me raconte jamais rien. Vas-y déballe les histoires qui pourraient me faire du bien à mon tour ! »

Pendant que je lui dit ça, je prend son mollet, tire un peu sur son pied et commence à lui masser le mollet en maintenant la pression entre mes cuisses. Elle se laisse aller, ferme légèrement les yeux sous la pression exercée par mes mains.

« J’ai vraiment rien à te raconter. »

« Donc c’est ça ton problème, il ne se passe rien et t’en voudrait plus ? »

« Non…oui… j’en sais rien. »

Je continu mon massage, de plus en plus sensuel, en ajoutant quelques mouvement du bassin pour encore mieux sentir son pied sur ma queue toujours raide comme une barre. Elle garde les yeux, semble aimer le moment.

« Ok, j’ai une idée. »

Elle rouvre les yeux, se relève légèrement et me fixe comme intriguée.

« Comment ça ? »

« Puisque tu me dis jamais rien, contrairement à moi, je vais te poser des questions. »

« Ouai, non. Je suis pas certaine, on est pas chez nous… »

« Ça a pas l’air de te déranger depuis tout à l’heure, tu te frotte sur moi. »

« C’est pas faux. »

« Bon, simple, quel est ton expérience sexuelle la plus mémorable, celle qui te fait mouiller rien que d’y repenser ? »

« Tu commence fort… »

« Là, ça fait 20 minutes qu’on a commencé et la pression ne diminue pas de mon bord. »

Elle m’appuie un peu plus fort sur l’entrejambe

« En effet, ça diminue pas. »

« En vrai je dirais, quand on a commencé à sortir ensemble avec Michael. On expérimentait pleins de choses, on avait tout le temps envie de baiser. On était au bar au coin de la rue après la fac, tard dans la semaine. On était à une table au fond, tu vois la petite salle loin de tout. »

« Ouai ouai, je vois bien. »

« Bon, on était plus que nous, les dernières personnes partent. J’étais pas mal excitée et j’ai toujours eu envie d’expérimenter. Je sais plus comment j’en suis arrivé là, mais je lui ai dit j’ai envie de te sucer. On était assis côte à côte, j’ai commencé à passer ma main sur son pantalon et sans rien me dire il a sorti sa queue, il a fait pression sur ma tête avec sa main et je me suis laissée faire. »

« Vas-y continue tu m’intéresse là ! »

Pendant que je dis ça, je malaxe de plus en plus fort son mollet, ma queue toujours aussi dure sous son pied, je visualise tellement bien la scène. J’appuie sur sa jambe et commence des mouvements sur ma queue. Pour avoir vu son mec sous la douche, il semble un peu moins bien monté que moi, j’imagine qu’elle pourrait bien prendre son pied avec moi. J’espère, j’en ai de plus en plus envie en tout cas.

« Bah je l’ai sucé. J’ai ouvert la bouche et il a tout fait. Il faisait pression sur ma tête, ma gorge de plus en plus remplie, il appuyait parfois sur ma tête de plus en plus pour que j’en prenne plus. C’était plus brutal que ce qu’on fait maintenant, j’avoue que ça me manque. »

« Il t’es venu dans la bouche ? »

« Non, un serveur c’est approché, il a juste eu le temps de cacher avec un vêtement ou je sais plus quoi. »

« Donc sucer en public comme ça, tu kiffe ça toi ? »

« Je sais pas, ça m’excite, mais ça n’est jamais arrivé à nouveau. Je sais pas pourquoi, mais l’envie ne manque pas. »

Ça me démange depuis quelques minutes, mais j’ai envie que ça m’arrive. Là, maintenant, mais j’hésite. On est dans un café, presque vide, et dans un renfoncement, personne ne nous verrait normalement… mais on sait jamais et puis c’est ma meilleure pote Sabrina… mais… son pied nu, sur ma queue, elle continu de le frotter activement.

« Ok, là on est en public. On est quasiment seul, ça va, il pourrait se passer quelque chose ? » En disant ça, je me retourne brièvement, balaye la salle en arrière et remarque personne, mis à part une femme devant son ordinateur café à la main. Je la fixe de nouveau, elle semble hésitante.

« Peur ? Tu t’active sur ma queue depuis 10 minutes, à mon avis ça va te plaire.

« Vas-y déballe.

« On va jouer à un jeu. Chacun notre tour on répond sincèrement à une question de l’autre. Je te connais, tu te défile pas, pas le droit de répondre en disant je sais pas. Hein. »

« Pas sûr de te suivre, mais ok. »

Vas-y je commence tu vas comprendre. Si je me mettais face à toi, là maintenant, la bite à l’air dressée devant toi, tu ferais quoi ? »

« Ok… » interloquée, elle semble chercher ses mots

« Réponse claire et rapide, pas de bafouille. »

« Ouai ouai, attend. Je… Genre debout, ici dans le café ? »

« Oui là, maintenant. »

« Sincèrement… je ne sais pas. Une voix en moi aurait surement envie d'être très entreprenante, si tu vois ce que je veux dire, mais pas certaine d’avoir le courage de le faire ici, comme ça. »

Elle se laisse aller, elle répond franchement, le sourire aux lèvre en me fixant du regard. Son haut blanc bien serré qui fait ressortir ses seins et les paraître plus gros que j'aime. J'ai jamais autant eu envie d'y goûter, de les malaxer pendant que mes lèvres se collent aux siennes et que ma langue explore sa bouche.

« Ok, pas mal, ça me plaît. À ton tour. »

Elle réfléchie, je la sent hésitante, elle a arrêtée son mouvement du pied, mais le pied toujours posé sur mon entrejambe. Elle sourit, me fixe dans les yeux.

« Comment tu réagirais si je te demandais de sortir ton sexe là ? »

« Je le ferais. » Une réponse franche, mais... qui la laisse pas de marbre, elle réagit en appuyant sur mon entrejambe avec son pied. Une réaction que j’aime, je prend son pied dans mes mains et appuie sur ma queue avec.

« Comment tu réagirais si je te demandais de me montrer un sein maintenant ? »

Elle me regarde avec un sourire en coin, elle semble excitée et de moins en moins timide face à la situation. Après quelques secondes, là où j’attendais une simple réponse, elle regarde sur sa droite pour voir s’il y avait du monde en terrasse dehors. Personne. Regarde de nouveau vers moi puis lève son haut, dévoilant ses seins. Tétons pointus, seins bien droit même sans soutien-gorge. Elle laisse son haut retomber, j’en revient toujours pas.

À mon tour j’ai décidé de jouer à son jeu. J’ai enlever une chaussure, à parfaite distance, je commence avec ma chambre droite à donner de léger coups entre ses cuisses par déçu son jean. Ça ne la laisse pas de marbre. Mon pied sur son entrejambe, elle fronce des sourcils comme si je l’avais pénétrée. J’appuie un peu plus fort, elle en fait de même sur ma queue.

« Comment tu réagirais si je te disais que je veux voir si tu as une grosse bite ? »

Je vois qu’elle a vite compris le but du jeu et qu’elle en veut de plus en plus. Toujours aussi excité et afin de répondre à son cadeau d’avant, je joint le geste à la parole. J’ouvre ma braguette, mais pendant mon mouvement... je la fixe du regard. Je vois qu'elle le veut, qu'elle veut voir, mais je vais faire patienter.

« Interdiction de regarder sous la table ! »

Je reprend mon mouvement, non sans mal je sors mon sexe. Bien droit, gorgé de sang. Je prend son pied et le frotte lentement contre mon sexe. Je prend mon sexe en mains et le tourne contre son pied afin qu'elle le sente bien. Elle ferme les yeux, se laisse aller quelques secondes, le sourire aux lèvres puis se mordant la lèvre du bas.

« Je pense t’avoir jamais vu avec un tel sourire. »

Elle se replace sur la banquette. Le dos contre le dossier. Je sens un second pied prendre place du côté droit de ma queue qui vient pousser ma main. Un pied de chaque côté de mon sexe, elle commence de lents vas et vient, un peu maladroit, mais très excitants. On se fixe dans les yeux pendant qu’elle continue ses mouvements. Je pense bien exploser très vite, trop vite.

« Tu sais que tu vas me faire éjaculer très rapidement comme ça, j’en peux plus. »

Elle ne cherche que ça, avec sa main droite elle malaxe son sein gauche par dessus son haut. Elle appuie dessus, le malaxe de plus en plus fort. Ma respiration de plus en plus forte également, je vais avoir du mal à me retenir, quand… ses pieds arrêtent.

« À mon tour. » me dit-elle

Sabrina devient plus entreprenante, d’un coup, c’est elle qui décide de prendre les choses en mains.

« Tout à l’heure c’est toi qui m’a demandé une photo. Maintenant c’est mon tour, va à la toilette et envoi moi une photo de toi. »

« Ok, tu m’intéresse là. Je lui répond le sourire aux lèvres. Je la fixe dans les yeux et elle doit sentir l’excitation qui est à son comble au niveau de mon entrejambe. »

« Allez vas-y. »

Avant de me lever, je me rhabille, replace ma queue et fais exprès de faire en sorte qu’une grosse bosse soit bien apparente sous mon jean. Je me lève, la fixe dans les yeux. Son regard ne fixe que mon entrejambe. Je reste immobile devant elle et m’approche d’elle rapidement, sans que son regard ne bouge. Je me baisse près d’elle, la bouche à côté de son oreille pour lui dire

« Finalement, toi qui me faisait croire que t’étais prude en ne me racontant rien. »

En lui parlant, je passe rapidement ma main entre ses cuisse. Son jean relâché, elle avait défait un bouton faut croire. Je me fais entreprenant et glisse la main directement sous sa culotte. Il y fait chaud, tellement humide que ma main glisse directement le long de sa fente. Elle est complètement trempée, la culotte détrempée. Une pilosité de quelques jours, assez agréable, mais je glisse directement entre ses lèvres où je pousse des doigts. En deux secondes je sens que ça me coule entre les doigts, je fais un rapide mouvement pou enfoncer mes doigts vers le haut quand elle agrippe ma main, sans me repousser.

Elle détourne son regard, me fixe, puis je relève ma main que je porte à ma bouche. Je suce mes doigts et me met en direction de la toilette. Je jette un regard en arrière, la voit qui se remue sur son siège, comme si elle essayait de faire comme si de rien était.

J’ouvre la porte des toilettes, personne. Je réfléchie à ce que je pourrais lui envoyer. J’en profite pour libérer ma queue, emprisonnée depuis de longues minutes. Je baisse mon jean, mon caleçon, mes 20cm bien dur libérés.

Quel plaisir, cette sensation folle de ne plus être emprisonné du jean. J’en profite pour serrer ma main droite sur ma queue, quelques allers-retours puis j’arrête, j’ai envie de tout garder pour plus tard.

Mon téléphone vibre, Sabrina.

« Qu’est-ce que tu fou ? »

C’est qu’elle semble impatiente.

« Calme toi, ça arrive. »

La queue libre comme l’air, bien droite, j’ai qu’une envie c’est de lui montrer. Pourtant quelque chose me dit que je ferais bien de durer le plaisir, de continuer à l’exciter. J’hésite quelques secondes puis je suis décidé. La porte est toujours fermée, je me met face au miroir, je remet ma queue dans mon boxer, mais ne remonte pas mon jeans. Le sexe encore dur, on en voit bien la forme et la longueur au travers du boxer. Je laisse dépasser mon gland, bien gonflé, qui sort du boxer. Je prend une photo dans le miroir. Je lui envoie.

Tant qu’à être ici, une envie d’uriner me prend. Autant en profiter. Je me demande bien ce qu’elle en a pensée, au moment où je reçois un nouveau message. Sabrina, une photo. Je l’ouvre. Un selfie, gros plan de sa bouche. Les lèvres pulpeuses, légèrement rougies par un rouge à lèvre très discret avec en bord de la photo quelques mèches de ses beaux cheveux de feu. Elle se mord la lèvre du bas en coin, laissant apparaître un bout de sa langue. Mmm j’ai tellement envie de sentir ses lèvres embrasser mon gland, sentir ma queue s’enfoncer dans cette bouche. Je me retiens de me branler.

Je me lève, me rhabille puis me lave les mains avant de sortir. Plus je m’avance de la table, plus j’ai envie de lui sauter dessus au moment où je vais arriver. L’embrasser, la caresser… mais je remarque. Elle n’est plus seule. Michael, son copain est à ses côtés. Je me fige un instant face à la table, ils détournent tous les deux la tête, tout sourire. Lui le sourire affiché, elle se fige quelque peu aussi. Je la sens déçue, tout comme moi.

« Hey mec, ça va ? J’ai vu Sab par la fenêtre, je me suis permis de me joindre à vous. »

« Beh ça va bien ! Pas de stress, c’est pas comme si on avait des choses à te cacher. »

On se met à rire, mais je vous assure, que mon rire n’était qu’en surface.

« Ça va tu t’es remis de l’entraînement d’hier ? Tu t’es salement ramassé quand même. »

« Ouai, un peu mal à la hanche, ça m’a à peine marqué la peau, ça va. »

Notre échange continu quelque peu, on parle de notre entraînement, du coach qui nous laisse suffisamment de place pour qu’on puisse expérimenter et prendre du plaisir… je vous épargne tout ça. Une conversation dont est complètement extraite Sabrina qui est dans sa bulle, regarde son téléphone. De temps à autre, on échange des regards, mais rien d’insistant. Jusqu’au moment où je sens à nouveau une pression sur mon entrejambe.

Toujours le pied nu, elle ose, elle me caresse par dessus mon jean pendant que je parle avec son mec. La nappe de la table tombe suffisamment pour cacher ce qu’elle fait de son côté. J’en lâche mon téléphone qui tombe au sol, je me penche pour le ramasser et en profite pour regarder vers elle sous la table.

La coquine, d’un pied elle me caresse, pendant que sa main droite s’active par dessus le jean, sur la queue de son copain. Elle fait un beau mouvement de va et vient comme si elle le branlait à travers son jean. Je la fixe dans les yeux en relevant ma tête, je vois qu’elle n’en peut plus non plus. On se fixe dans les yeux, je sais que je ne vais pas pouvoir me vider comme je l’aurais voulu pour le moment, mais j’en peux plus.

« Je m’excuse faut que j’aille aux toilettes. »

Je pars brusquement aux toilettes, la bosse de nouveau apparente sous mon jean. J’entre dans les toilettes et libère ma queue qui a repris toute sa vigueur. Je commence à me masturber regardant les photos qu’elle m’a envoyé juste avant. Je me branle de plus en plus vite, je suis au bord quand je reçois un message. C’est elle, encore. Que peut elle me vouloir à par me dire qu’ils sont partis ?

C’est une photo. Je relâche la pression sur ma queue, déverrouille mon téléphone et clique sur son message. Je suis choqué et très excité par ce que je vois. Pas une photo, mais une courte vidéo prise depuis sous la table. Je comprend tout de suite de quoi il s’agit.

Je reconnais ses lèvres. Un léger mouvement de va et vient. Des lèvres qui enrobent une bite. En gros plan, la bite, pas si dure, mais pleine de salive sur laquelle elle fait des mouvements de vas et bien avec sa bouche. Elle recule son téléphone et on la voit bien mieux. Elle regarde vers son téléphone pendant qu’elle fait complètement disparaître la queue dans sa gorge.

Elle la recrache puis recommence puis passe sa langue sur la longueur de la bite de son mec en regardant son téléphone. Il m’en fallait pas plus pour éjaculer. J’en fais tomber mon téléphone à terre, mes jambes vacillent. J’ai rarement eu une aussi forte sensation en éjaculant.

C’est certain qu’elle me veut et qu’elle aime sucer dans un lieu public. La prochaine fois, ce sera ma queue qu’elle aura dans la bouche.

(à suivre...)

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
J’adore j’adore j’adooore !!!!
Posté le 9/03/2022

Titlover37
Très stimulant ! Il me tarde de lire la suite :P
Posté le 7/03/2022

valeriane
J'ai adoré, bravo l'auteur.
Posté le 3/03/2022


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