Avec ma meilleure amie on se raconte tout, elle se délecte de mes histoires de culs. Jusqu'au jour où, elle a commencé à devenir une de ces histoires.
Proposée le 14/02/2022 par Locas
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie
Ça aura duré plusieurs années.
Maxime, nous sommes en 2018 à ce moment et j’ai tout juste 20 ans. Si j’ai toujours eu du mal avec mon physique étant plus jeune, j’ai avec les années réussi à gagner confiance en moi. Plus de sport et un peu de musculation m’ont aidés à me relever les épaules et apparaître plus sûr de moi. J’avais de moins en moins peur à prendre la parole ou bien à aller vers les filles qui m’attiraient. Du haut de mon mètre soixante quinze, je ne suis pas le plus grand. Tout simplement moyen. Une corpulence de français moyen et pourtant je réussissait maintenant à enchaîner les rendez-vous… plus ou moins intéressants. Petites, grandes, minces, rondes, blonde, brunes, rousses… peut importe tant que l’on passe un bon moment, que ça se termine par un feu d’artifice ou non. Des histoires que je partage allègrement avec ma meilleure amie, Sabrina, pour laquelle je n’ai absolument aucun secret. Au point où ça en est devenu un rituel.
Après chaque rendez-vous, souvent le lendemain, on passe de longues minutes à en parler en face à face. Elle se délecte de chaque parole, de chaque situation que je lui décris dans le moindre détails. Et j’y prend un malin plaisir. Elle me pose des questions et je sens qu’elle aime que je lui raconte toutes ces histoires. Un véritable jeu, qui est devenu au fil du temps presque même plus excitant et divertissant que les rendez-vous en eux-même. La voir se délecter de mes histoires m’excite. Elle s’en mord les lèvres, me regarde avec passion. Tellement emporté que j’en ajoute à certains moments, lorsque je souhaite faire monter la pression et que je la sent de plus en plus excitée.
Avant que ce jeu ne commence entre nous, elle ne m’attirait pas tant que ça. Une forte amitié, dénuée d’attirance sexuelle, me réjouissant des conquêtes qu’elle pouvait avoir et sans avoir la moindre arrière pensée envers elle. Que je vous la décrive. Sabrina, 20 ans également. Cheveux longs bouclés qui lui arrivent au niveau des épaules, rousse de naissance et à la corpulence vraiment jolie. Si elle a un cul assez plat, sans l’être totalement, elle sait mettre en valeur une belle poitrine. Un 90C très généreux qui fait des envieux lorsqu’elle ose le débardeur ou la robe ouverte.
Je lui partage tout, mais elle se garde une petite gène, notamment lorsqu’il est question de sa vie sexuelle. En couple depuis plusieurs mois avec un ami commun avec lequel je fais du basket, elle ne me dit rien sur leur relation. Elle doit être épanouie, puisque toujours avec lui, pourtant, j’ai l’impression qu’elle a besoin de pimenter sa vie sexuelle.
Mardi soir, il est 00h45, je rentre tout juste dans ma chambre d’étudiant. J’enlève mes vêtements prêt à prendre ma douche, mais avant je sors mon téléphone.
- « T’es pas prête pour l’histoire de demain », écris-je à Sabrina par sms
À peine posé sur le lavabo, mon téléphone vibre, elle m’a répondu :
- « J’ai hâte ! »
Dans un élan et passé une soirée aussi excitante que forte en alcool je lui répond :
- « Ne baise pas ou te caresse pas trop ce soir, garde de l’énergie pour demain, tu vas en avoir besoin ! »
Je repose mon téléphone et me glisse sous la douche. Je me repasse ce passage dans ma tête et me demande bien ce que j’ai écris là… Je doute de ce que je viens de lui envoyer, trop peur de l’effrayer avec de tels propos. Sorti de la douche, je regarde l’écran de téléphone et voit qu’elle m’a répondu. Avec un peu d’appréhension je regarde :
- « Trop tard… »
Surpris et étonné de sa réponse, je me pose pas de question et en profite pour réponse à nouveau.
- « CAD ? Baise ou caresse ? :0 »
Quelques secondes passent, je me demande bien ce qu’elle va me répondre… si elle va me répondre. Les questions fusent dans ma tête quand je reçois une photo. Je ne vois que ses jambes dénudées, allongée sur son canapé, elle montre un vibro qu’elle tient à la main. Décidément elle se lâche se soir. Ça semble encore frais, le vibro paraît bien luisant.
- « Je sors tout juste de la douche, on dirait moi encore tremp ! :) », je lui répond
Maintenant sec et fatigué de ma journée, je m’allonge, le sexe à moitié dressé, excité par cette conversation. Cette situation m’excite, je ferme les yeux et m’imagine Sabrina s’enfoncer son vibro, allongée sur ce canap que je connais si bien.
C’est en me réveillant que je remarque qu’elle m’a envoyé un dernier message hier.
- « Mmm »
Texte simple, mais très évocateur, accompagné d’une photo de son visage, les yeux fermés qui se mord la lèvre du bas. Il ne m’en faut pas plus pour avoir la queue qui durcie à vue d’oeil de bon matin.
M’a t-elle réellement fait sous-entendre qu’elle était également excitée hier soir par notre conversation ? La nuit aura été courte, mais ce réveil des plus intrigants pour la journée à venir. Je m’habille en express, le premier café enfilé, je me met en direction de l’université.
En retard pour un cours en amphi qui allait nous garder captif toute la matinée, je regarde rapidement et ne vois qu’une place tout devant. Je m’installe et regarde rapidement dans l’assemblée. Je vois rapidement Sabrina, installée au fond et qui parle avec Mathilde, sa meilleure pote. Je m’assois et fais abstraction de tout ça pour penser au cours et me vider l’esprit. Un esprit tourné vers la conversation à venir avec Sabrina. Que j’ai hâte.
Aujourd’hui on termine les cours à 15h, on se met d’accord par message qu’on se retrouve à 15h au café habituel afin de parler de ce fameux rendez-vous. Déjà installée depuis une heure pour travailler, je l’y retrouve. Nous sommes au mois d’avril, avec la température de 20 degrés, il fait plutôt beau et chaud pour la saison. Assise le long de la fenêtre sur une banquette, je la vois depuis l’extérieur. Un tee-shirt manche longue blanc qui épouse parfaitement la forme de ses seins avec un col qui remonte le long de son cou. Les jambes croisées, elle porte en bas un jean bleu foncé très classique. Elle regarde par la fenêtre et me vois. Elle me fais signe, je vais pour la rejoindre.
- « Encore dans la lune ? » Me dit-elle en riant
- « J’admirais ton beau haut blanc, on ne voit que ça de l’extérieur. »
- « T’es con, mais c’est vrai je l’aime beaucoup », dit-elle en tirant un peu sur les manches de son haut.
- « Bon, maintenant c’est toi le héros du moment, raconte moi tout. » me lance t-elle
Ok, visiblement elle évite notre conversation d’hier et passe directement aux choses sérieuses.
- « Alors bon, tu sais déjà que c’est une meuf de la fac. »
- « Oui, celle qui est en art plastique ? »
- « Oui Clara. Vraiment belle et tout. On est aller prendre un verre, pour vrai elle est vraiment cool. On a bien rigolé, on a bu… beaucoup bu et on parlé de toi tiens ! »
- « Comment ça ? »
- « On c’est demandé qui on trouvait les plus beaux à la fac, gars ou fille, peut importe. »
- « Ok… elle me répond genre très interrogé et je vois qu’elle se demande si c’est moi qui l’ai choisi ou Clara. »
- « Et pour vrai j’ai été surpris, elle m’a parlé de toi. Elle ne connaissait pas ton nom, mais m’a bien fait comprendre qu’il s’agissait de toi. S’il te prend de vouloir essayé de quoi avec une femme, fonce t’as une touche ! »
On se met à rire mutuellement, je la vois rougir, je dois dire que ça me fait de l’effet.
- « Bon et sinon, c’est bien beau tout ça, mais le croustillant ? »
Elle change encore et veut aller à l’essentiel. Décidément, soit elle n’a pas le temps, soit elle est chaude. »
- « Calme toi, j’y viens. » lui dis-je en lui souriant.
« On est resté au bar toute la soirée. À un moment, un peu chaud, la conversation a dérapé sur ce qu’on aimait sexuellement, ce qui nous excite. Genre elle m’a demandé cache ce que j’aime. »
- « Ok, intéressante votre soirée. »
- « Après 2h de conversation je ne voyais pas de futur avec elle, donc je me suis dis qu’une soirée chaude serait cool donc je lui ai répondu que j’aimais commencer avec du teasing en extérieur et public. Elle semblait pas mal intéressée à ce que je disais. Je lui dit, ouai j’aime ça quand on me caresse la jambe sous la table, puis que la femme avec qui je suis me caresse par dessus mon pantalon avec son pied… »
- « Ah ouai t’aime ça toi ? » Me répond Sabrina aussi surprise qu’intéressée.
- « Ouai ça me met bien en forme on va dire ! »
Sabrina commence à être à fond. Elle ne me quitte pas du regard, elle se mord la lèvre du bas de temps en temps, ce qui a tendance à m’exciter de plus en plus. Les coudes sur la table, ça fait bien ressortir ses seins, pris en étau entre ses bras. Rien de plus beau.
- « Donc je lui raconte tout ça, quand évidemment, je sens un pied qui commence à caresser ma jambe. Je fais mine de rien puis continu de lui raconter une anecdote par rapport à ça, une meuf qui m’avait fait ça au bar déjà. Je sens son pied qui monte et descend sur ma jambe, frotte doucement pour monte entre mes jambes et commence à frotter ma queue par dessus mon jean. Elle devait sentir que j’étais de plus en plus tendu. Elle appuie de plus en plus son pied sur ma queue, de plus en plus dure alors qu’on continu de parler comme si de rien était. Je termine mon anecdote et lui lui demande à mon tour ce qu’elle aime. »
Sabrina ne perd pas un mot. Elle se mord la lèvre de plus en plus, ce qui m’excite toujours autant. Je vois qu’elle ne porte pas de soutien gorge, ses tétons pointent au travers de son haut.
- « Elle me raconte qu’elle adore ça, qu’elle a même une préférence pour les gars qui n’ont pas peur d’être vu. À ce moment elle se lève et me dit qu’elle a besoin d’aller aux toilettes. »
- « Mais non ! »
- « Mais si évidemment, j’ai laissé de l’argent sur la table pour payer et je l’ai suivi aux toilettes. Quand j’ai ouvert la porte des toilettes pour femmes, elle m’attendait, assise sur le lavabo les cuisses écartées. Elle avait pris soin d’enlever son string déposé à côté d’elle. J’ai fermé la porte et… tu imagine bien se qui c’est passé après ! »
- « Oh, tu vas pas me laisser comme ça, raconte tout. »
Bien excité par la situation, j’avais décidé de pousser tout ça plus loin et d’aborder notre conversation d’hier.
- « Ok, mais je croyais que tu t’étais satisfaite hier, tu tiendra pas le coup je pense. »
Elle me regarde de travers, elle semble interloquée et hésitante à répondre. Mais ça ne dure pas.
- « Tu sais que je n’avais pas encore utilisée le vibro hier quand on a parlé. Je ne l’ai fait qu’après… » dit-elle en me souriant
Ça y est, elle ose me provoquer. Je ne la reconnaît plus et pourtant j’ai vraiment l’impression d’aimer où on s’en va.
- « Raconte moi tout, tu semble en mourir d’envie. »
Pendant qu’elle dit ça, je sens une pression, je regarde sous la table. Je regarde et je vois son pied, nu. Elle se frotte sur ma queue, doucement.
- « T’apprend vite à ce que je vois. Ok t’as gagnée. » je lui répond
- « Ah merci », dit-elle en retirant son pied.
- « Non non, t’as pas compris. Je te raconte tout, mais tu continue évidemment. »
Un sourire en coin de la bouche, elle se redresse sur la banquette et regarde sur le côté droit. La table vient de se libérer, plus éloignée de la vitre qui donne sur la rue et contre un mur donc plus intime.
- « Viens on change de table. »
Elle prend son ordinateur, son sac et son café, se déplace au niveau de la seconde table. Je la regarde, admire son décolleté quand elle se lève puis son cul quand elle me tourne le dos. Définitivement, elle me fait de plus en plus d’effet. Sourire aux lèvres, elle revient vers l’ancienne table et récupère sa chaussure, restée sous la table. On en rigole, je me lève à mon tour pendant qu’elle s’assoit. Pendant que je prend mon sac à mon tour et mon café, je la vois regarder en direction de mon pantalon. Le sexe dur comme du béton forme une bosse difficile à dissimuler dans mon jean.
Je reste debout à la regarder, elle ne lâche pas la bosse dans mon jean, se mord à nouveau la lèvre puis lève les yeux et regarde dans ma direction. Elle voit que je la regarde et se replace, bois une gorgée de café. Je m’assois face à elle à nouveau.
- « Peur d’être vue de l’extérieur ? » lui dis-je en souriant
- « On ne sait jamais qui peut passer… »
- « Bon on en était où… ah oui, j’avais ma tête entre ses jambes. Elle assise sur le lavabo, je me met à genoux et commence à la lécher. Un doigt, des doigts, je la doigte de plus en plus fort pendant que j’aspire son clito. Ses mains sur ma tête, je sens sa pression de plus en plus forte. Je me dis que je devais pas être si mauvais. »
- « Faut croire… j’ai bien envie de te croire, avec tout ce que tu me raconte ! » dit-elle le sourire aux lèvres
Sa réaction me fait rire. Un peu joueur et surtout très excité, je décide de pousser le vice et de jouer avec elle en lui proposant un marché.
- « Je vois que l’histoire t’excite plus que d’habitude. Si t’en veux plus, il va m’en falloir plus aussi. »
- « Tu te lâche, première fois que tu me fais du chantage ! »
- « Je te sens joueuse, ça va te plaire après notre conversation d’hier soir. »
- « Donc, tu vas dans la toilette. Prend une photo d’une partie de ton corps sans vêtements, ce que tu veux et après tu me l’envoie. Ce que tu veux, mais après je vais être déçu si je vois une main ou tes pieds hein »
Elle semble interloquée, se redresse sur la banquette et croise les bras.
- « Ok »
Je suis le premier surpris, elle le remarque je pense.
Elle se lève. Je me retourne la suis du regard jusque’à la porte des toilettes. Qu,est-ce qu’elle va m’envoyer. Plein d’espoirs, mais je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre.
Aucun message, mais je la vois revenir. Elle s’assoit face à moi.
- « Alors ? »
- « Je te l’envoie, j’espère que ça va te plaire. »
J’en reviens pas, elle voulait voir ma réaction lorsque j’ouvrirais la photo. Message reçu, j’ouvre le message.
- « T’es sérieuse là ? »
Un simple selfie, d’elle qui fait une grimace dans le miroir des toilettes.
Elle me répond pas, mais se met à sourire, mon téléphone vibre. Un second message, je l’ouvre et je bloque dessus. Elle est debout, face au miroir dans les toilettes, son haut blanc dans les mains, les seins apparents. Je ne les avais encore jamais vu, de magnifiques seins bien droit, des tétons très large qui donnent juste envie de les sucer. Pendant que je regarde la photo elle glisse à nouveau son pied sur mon jean.
- « Ça a l’air de te plaire. » dit-elle en souriant
J'avais complètement oublié quelle avait un copain, on en oubliait complètement les quelques personnes du café, on était dans le moment. Très excités par ce qui se passait.
...
À suivre
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