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Telle est prise, qui croyait prendre

Laurence est professeur d’Éducation Manuelle et Technique au collège. Elle se grise en s’exhibant devant ses élèves. Elle offre aux garçons, de sa classe, une vue spectaculaire sur son décolleté alors qu'elle corrige leurs travaux. Ce jeux est tout à fait innocent pense-t-elle, jusqu'à...

Proposée le 22/05/2021 par Mekron

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Laurence avait un petit péché mignon. Elle adorait le regard de ses élèves, lorsqu’elle leur dévoilait, tout à fait involontairement, ses charmes. Si les pans de ses larges chemisiers restaient sagement plaqués contre sa peau lorsqu’elle se tenait droite, ils s’évasaient largement lorsqu’elle se penchait en avant pour corriger un dessin, un tracé ou même un ouvrage. Avec toute son application professionnelle, Laurence se ployait et s’employait à la tâche. Elle souriait intérieurement lorsqu’elle entendait les soupirs quasi silencieux des collégiens, dont les regards plongeaient dans la large échancrure offerte par son chemisier, pour se délecter de la vision féerique de sa poitrine menue, certes, mais magnifiquement galbée dans son soutien-gorge à balconnet. Elle les laissait, avec un plaisir toujours tenace, s’émerveiller devant ces deux petits monts charmants et à peine retenus par la fine étoffe brodée. Savoir qu’elle offrait gratuitement à ces jeunes garçons, en pleine puberté, leurs premiers émois sexuels l’excitait. Les garçons se disputaient même le droit de la corvée de nettoyage de la salle, en fin de cours, car ils savaient qu’elle les aiderait et, qu’au détour d’une position accroupie, ils pourraient la reluquer sans vergogne. Elle avait jubilé au moment où elle avait entendu les murmures parcourir la classe, entre les garçons, lorsque le premier d’entre eux avait découvert le trésor interdit. L’assurance qu’aucun d’entre eux ne voudrait casser ce rituel lui permettait de profiter sans crainte de ces moments volés et cédés en même temps. Elle n’en revenait pas elle-même de l’intensité de son excitation simplement en sachant qu’ils la dévoraient des yeux dès qu’elle leur présentait son décolleté plongeant. Elle en mouillait et finissait ses journées dans un état !

Telle est prise, qui croyait prendre
En ce dernier cours de vendredi, alors que le soleil couchant inondait la classe, Laurence aidait Marc-Antoine à ranger la salle. Il avait fait chaud toute la journée et des perles de transpiration coulaient entre ses seins et leur donnaient un scintillement très accrocheur. Marc-Antoine était un enfant rebelle de bonne famille. Il était difficile de le garder concentré pendant les cours et avait déjà redoublé deux fois. Ce n’était pas qu’il n’était pas brillant comme garçon, l’école n’était pas pour lui, il s’y ennuyait. Comme tous les autres garçons de sa classe, la seule corvée qu’il acceptait de bon cœur était celle de nettoyer la classe d’EMT avec mademoiselle Laurence. Cette dernière était transpirante et légèrement saoulée par les odeurs de colle qui avaient baigné sa salle de classe depuis le matin. Elle était bien consciente des regards appuyés de Marc-Antoine sur son buste découvert comme à l’accoutumée. Sa chatte était complètement détrempée et son excitation avait rarement atteint un tel niveau.


Laurence s’était accroupie sur ses talons hauts, sa jupe fourreau avait glissé sur le haut de ses cuisses et son chemisier offrait comme d’habitude sa poitrine à l’appréciation enfiévrée de Marc-Antoine. Se souriant à elle-même, elle ramassait nonchalamment les chutes de tissus qu’ils avaient utilisés. Même seuls dans la classe, elle savait qu’il n’oserait rien dire et surtout ne rien faire, elle en jubilait presque. C’est alors qu’elle se figea sur place, une boule d’angoisse et d’excitation mêlées naquit au plus profond de son intimité. Elle eut un doute sur ce qu’elle avait entendu. Elle écouta attentivement, son sourire ayant disparu et ses yeux étant grand ouverts de surprise. Elle l’entendit à nouveau et son sexe se contracta par réflexe, la boule explosant littéralement dans son ventre et sa chatte, qui se mit à mouiller abondement. Son esprit se mit à bouillir. Laurence releva lentement les yeux et croisa le regard de Marc-Antoine, accroupi juste en face d’elle. Ce dernier la regardait avec une telle intensité qu’elle resta complètement coite. Il ronronnait tel un fauve. Pas un petit ronron de petit minou, non un ronronnement grave et vibrant.
‘Mais qu’est-ce qui ce passe ?’
Laurence se sentait complètement tétanisée, comme une biche aveuglée par des phares. Ses ronronnements résonnaient jusque dans son propre corps. Ce dernier commençait à entrer en résonance et Laurence n’avait jamais ressenti une chose pareille de toute sa vie.
‘Mon dieu, comment fait-il ça ! Putain quel effet ça me fait ! C’est complètement fou !’
Marc-Antoine se rapprochait tout doucement tout en continuant à ronronner. Laurence ne parvenait plus à détacher son regard du sien, son corps complètement figé. Elle ne pouvait rien faire que de l’observer, impuissante, dans son approche. Son visage n’était plus qu’à quelques centimètres du sien. Son souffle chaud venait lui caresser les lèvres. Ces dernières s’entrouvrirent et laissèrent échapper une brève et sensuelle expiration. Marc-Antoine commençait à associer des gémissements au début de ses roucoulements.
« HummmmmmPurrrrrrrrrrrrr ! »
Une partie de l’esprit de Laurence rua dans les brancards, pour qu’elle reprît le contrôle de soi mais en vain. Elle était à sa portée, elle l’avait laissé pénétrer son espace intime, elle était à sa merci. Marc-Antoine s’approcha encore et vint se placer juste à côté de son oreille. Lorsque ses mots lui parvinrent, ils étaient chuchotés, mélodieux, suaves, caressants, séraphiques. Tout son corps commençait à trembler. Sa gorge laissait échapper de charmants et discrets petits soupirs.
« Vous aimez tant être désirée, mademoiselle Laurence ! Vous adorez vous exhiber devant vos élèves ! Vous kiffez qu’ils vous reluquent sans vergogne ! Qu’ils s’imaginent vous sentir ! Vous caresser ! Vous lécher ! Vous embrasser !»
Marc-Antoine la huma et ronronna de nouveau. Laurence hoqueta lorsqu’elle sentit sa langue venir lui lécher habilement le lobe de l’oreille. Il se recula légèrement et, tout en la regardant droit dans les yeux, il lui ordonna :
« Ouvrez-moi vos cuisses mademoiselle Laurence ! Montrez-moi au combien votre petite culotte est détrempée. »
Ses genoux ne lui obéirent plus et, malgré ses derniers efforts pour regagner le contrôle d’elle-même, ils s’écartèrent lentement, la pointe de ses talons crissant sur le sol pour ponctuer ce geste hautement déplacé.
« HummmmPurrrrrrrrrrrrrr ! »
Son geste suivant fut d’une lenteur infernale et Laurence hurla intérieurement de s’arrêter.
‘NOOOOONN, JE NE PEUX PAS LE LAISSER FAIRE !
Et pourtant sa main plongeait inexorablement dans la large échancrure de son chemisier et s’approchait insidieusement de sa poitrine, si impatiente d’être prise. Elle ne le quittait pas des yeux et essayait de l’implorer de s’arrêter et de continuer en même temps. Ce combat interne l’empêchait d’agir et, restant passive, elle scellait son sort.


Tout se passa en une fraction de seconde. A l’instant où sa main se glissa habilement dans son balconnet et se referma vigoureusement sur son sein, gonflé d’excitation, Laurence ouvrit la bouche et laissa échapper une profonde et bruyante expiration soupirante. Marc-Antoine en profita pour assaillir ses lèvres et envahir sa bouche avec sa langue, pour y commencer une danse effrénée. Il lui passa son autre main derrière la nuque, la releva d’un bond et la poussa en arrière. Paniquée, elle gémit plaintivement, leurs lèvres toujours soudées, et fit de petits pas précipités pour garder son équilibre. Lorsque son dos percuta le tableau, Laurence expira bruyamment, sous le choc, mais son gémissement de surprise et de douleur fut étouffé par leur baiser sulfureux. Sulfureux car elle participait sans retenue, elle lui dévorait les lèvres avec gourmandise et lui suçait avidement la langue, les deux mains glissées dans ses cheveux mi- longs. Toutes ses barrières avaient volé en éclat, elle se laissait sombrer dans le désir et la volupté de l’instant, ne s’arrêtant plus de gémir et soupirer. Laurence avait tant imaginé les mains de ses jeunes élèves sur elle que de sentir son sein se faire palper et malaxer par Marc-Antoine lui fit un effet dantesque. Lorsqu’il retira sa main de derrière sa nuque pour lui remonter sa jupe, elle tremblait de pure anticipation.
‘Oh putain ! C’est pas vrai ! Oh Putain ! C’est pas possible ! Oh OUI ! OUI ! OUI !’
Son esprit était en ébullition.
‘Il ne va quand même pas le faire ! Quand même ! Oh punaise si ! Il va le faire ! OH MON DIEU ! OH MON DIEU !’
Ne cessant de l’embrasser goulûment et de lui presser le sein entre la paume de sa main et ses doigts, Marc-Antoine avait prestement sorti sa queue complètement enflée et se pressait contre sa vulve en chaleur. Laurence, autant par réflexe que par envie, écarta les jambes, monta sur la pointe des pieds et s’agrippa de toutes ses forces à lui lorsqu’il la pénétra d’un coup de rein magistral. Elle étouffa son cri de jouissance dans leur baiser. Bien que sa queue n’ait pas encore atteint son gabarit adulte, son effet, en envahissant sa matrice en fusion, fut remarquable et délicieusement remarqué. Laurence ne pouvait retenir ses soupirs, gémissements, exclamations, cris à chacun de ses coups de rein pleins de zèle. Il porta son attention sur son second sein, qui commençait à être particulièrement frustré et Laurence fondit davantage sous ses caresses énergiques.
‘Putain je suis en train de me faire prendre dans ma salle de classe par Marc-Antoine ! MAIS QUEL PIED ! OH ! OUI ! OUI ! OUIIII !’
Son orgasme la secoua, tout à coup, des pieds à la tête. Elle réfugia son visage dans son cou et y étouffa ses hurlements de jouissance. Il continua à la pénétrer encore quelques secondes puis se retira, fit un pas en arrière et s’astiqua comme un forcené juste devant sa chatte. Elle retint sa jupe et, tout en essayant de reprendre son souffle, s’extasia de le voir se décharger sur elle avec des grognements sourds et gutturaux. La vue de ses cordelettes de foutre lui éclaboussant la fine toison de son pubis la ravit. Laurence était abasourdie par tout ce qui venait de se passer. Son esprit essayait d’intégrer tous les éléments sans parvenir à y trouver un sens. Lorsqu’elle reprit le contrôle de ses actes, elle était seule dans la classe. Marc-Antoine s’était éclipsé rapidement et discrètement. Elle remit sa jupe lentement en place et referma, le regard hagard, un des boutons de son chemisier qui s’était ouvert pendant la tempête. Elle vit les traces laissées par ses doigts sur la chair tendre de ses petits seins. Elle regarda autour d’elle. La seule preuve de ce qui venait de se passer était indélébilement inscrite sur et dans son corps et son esprit.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Mekron
Merci Donatien pour ton commentaire. Moi je dirais que la vrai Laurence (exhibitionniste) a contribué à notre éveil sexuel d'un manière bien élégante et candide. Pour la version fantasmée, par contre, c'est plutôt l'auteur qui a blâmer. ;-)
Posté le 28/05/2021

Donatien
Il faut bien le dire, cette Laurence est une vraie salope. Hélas je n'en ai jamais eu de cette sorte quand j'étais collégien !
Posté le 28/05/2021

Mekron
Yes ! Merci pour ce commentaire L'éminent !
Posté le 24/05/2021

L'éminent
Juste Excitant
Posté le 23/05/2021

Mekron
Merci beaucoup pour vos commentaires. Oui bien évidement la partie réelle s'arrête à l'exhibition et au "reluquage". Pour un instant j'ai pris possession du corps d'un élève. :-)
Posté le 22/05/2021

Sizaxe
Ah oui, aussi ! J'adore l'idée du ronronnement...
Posté le 22/05/2021

Sizaxe
Aventure bien peu réaliste, mais ô combien bandante ! Combien de proffes, et combien d'élèves en ont rêvé...
Posté le 22/05/2021


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