Annabelle est mon amie depuis de longues années. Je l'ai toujours trouvé très séduisante. Nos vies font que nous n'avons que très peu d'occasions de nous voir. Or, ce lundi, tout va basculer autour d'un café.
Proposée le 13/02/2017 par sorggulp
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
La porte était entrouverte quand j'arrivais au 1er étage de l'immeuble où habitait Annabelle. Elle m'avait invité à prendre un café ce lundi après-midi car c'était jour de congé pour nous deux et cela faisait un bail que nous ne nous étions pas vu.
Nous nous embrassions avant de prendre place dans le séjour. Annabelle vivait seule avec sa fille depuis de nombreuses années suite à un premier mariage complètement raté. Nous nous connaissions depuis plus de vingt ans et c'était toujours un plaisir de passer un moment ensemble d'autant plus que les occasions étaient rares.
Tandis qu'elle me préparait un café, je l'observais discrètement. Sous une fine robe de tissu aux couleurs estivales, je devinais un corps parfaitement proportionné. A chaque mouvement, le tissu ondulait autour de ses jambes élancées. La cambrure de ses reins était captivante. Je pouvais apercevoir sous le tissu les contours d'une poitrine généreuse parfaitement mise en valeur par un soutien-gorge en dentelle blanche.
Annabelle était épanouie et très séduisante.
Elle prenait place face à moi. Nous parlions à bâtons rompus. Tandis qu'elle me parlait, je détaillais son visage. Les cheveux courts dégageait sa nuque tandis qu'une grande frange blonde laissaient apparaître des yeux bleu clair. Mon regard se posait sur sa bouche. Les lèvres étaient pulpeuses découvrant de belles dents blanches.
Annabelle se penchait pour mélanger le sucre dans le café.. Malgré toute la discrétion que je prenais, Annabelle surprenait mon regard plongé dans son décolleté mais ne semblait pas s'en offusquer.
Au contraire, je devinais de la gourmandise dans ses yeux. Tandis qu'elle continuait de parler, mon regard parcourait ses jambes. Annabelle savait que je la scrutais et cela avait l'air de l'amuser. Je la trouvais de plus en plus attirante. Je connaissais bien cette sensation troublante du désir montant mais il fallait que j'arrête de me faire des films.
"Cela te dirait de voir quelques photos de nous? Cela nous rappellera le bon vieux temps" me demanda-t-elle en se dirigeant vers la table du salon. Tout en la regardant de dos, je me disais qu'elle était vraiment sexy dans cette robe....
"Vient t'asseoir, je reviens" dit-elle en m'indiquant une chaise et en disparaissant dans une pièce voisine.
Elle revenait quelques instants plus tard et posait un vieil album photos sur la table. Tandis que je commençais à le feuilleter, Annabelle restait debout à mes côtés. Insensiblement, sa robe effleurait mon bras gauche, me procurant des frissons dans tout le corps. Elle se penchait afin de poser le doigt sur une photo où j'apparaissais. Sa poitrine touchait à présent mon épaule. Je feignais de me concentrer sur la photo mais cela devenait de plus en plus difficile. Je sentais parfaitement la chaleur de son sein. J'imaginais son corps à mes côtés, sentant une érection poindre dans mon pantalon de sport. Je réalisais alors que ce dernier ne pourrait pas cacher longtemps mon état d'autant plus que je ne portais pas de sous-vêtement.
Il fallait absolument que je me concentre sur les photos. Les commentaires allaient bon train.
Annabelle rapprochait une chaise de la mienne et s'asseyait à mes côtés. Sa cuisse était collée à la mienne tandis que son bras chevauchait le mien pour tourner les pages. Nous étions épaule contre épaule comme de vieux amis heureux d'être ensemble. Cependant, je ne pouvais m'empêcher de penser à la femme qui était à mes côtés.
Tandis qu'elle commentait les photos, je me tournais vers elle et la regardais dans les yeux. L'espace entre nos deux visages était infime. Il suffisait que je me penche de quelques centimètres pour la toucher. Je regardais ses lèvres résistant à l'envie de les embrasser.
Annabelle effleurait ma main de ses doigts, frottant sa cuisse à la mienne en se replaçant sur sa chaise, m'observant avec un regard espiègle.
Ce n'est pas possible, pensais-je, elle joue avec moi !
Je feignais l'indifférence, mon corps étant en réalité en ébullition. Je ne pouvais m'empêcher d'imaginer une suite torride à notre après-midi.
"Tu m'écoutes ?" me demandait Annabelle en me pressant la main.
"Excuse-moi" lui répondais-je revenant brusquement à la réalité.
"Tu semblais si loin ! A quoi pensais-tu ?"
Comment lui avouer mes pensées ? Tout s'emmêlait dans ma tête, je perdais le sens de la réalité et pourtant je m'entendais répondre dans un souffle:
"A toi", réalisant aussitôt que je m'engageais dans une direction périlleuse.
"Ah ! Tu pourrais préciser ?" me dit-elle en me fixant de ses yeux rieurs.
Comment lui dire qu'elle m'excitait terriblement et qu'elle me donnait envie de faire l'amour avec elle ?
"Je ne peux pas car j'ai peur de te décevoir. De plus, nous nous connaissons depuis tant d'années que je n'ai pas envie de ternir notre relation."
"Ne crains rien pour notre relation, tu peux tout me dire. Cela n'aura aucune conséquence. Dis-moi à quoi tu pensais tout à l'heure, s'il te plait ! j'ai envie de savoir ! Ce sera notre secret" me dit-elle en rapprochant son visage du mien.
Mon souffle était court, je bandais comme un fou.
Tandis que je bredouillais la vérité, la main d'Annabelle se posait sur ma cuisse et remontait vers la bosse formée par mon sexe. J'étais tétanisé ne pouvant pas croire ce qui m'arrivait.
Je la fixais dans les yeux sans prononcer une parole.
"Je vois que je ne te laisse pas insensible !" me dit-elle dans un souffle tandis qu'elle m'attirait vers elle en plaquant ses lèvres contre les miennes.
Nous nous embrassions longuement, sentant le désir monter irrésistiblement.
Nous étions à présent soudés l'un contre l'autre, faisant tomber les chaises, nous dirigeant vers la banquette en titubant. Mon sexe donnait des coups contre le ventre d'Annabelle.
Nos corps se rapprochaient inexorablement, réclamant les caresses de l'autre, semblant vouloir se fondre ensemble.
Nous nous jetions sur la banquette. J'arrachais littéralement la robe d'Annabelle. Je prenais le temps de caresser la poitrine encore protégée par un rempart de fine dentelle. Ils pointaient à présent sous le tissus et je mordillais les tétons à travers celui-ci, arrachant des petits cris de plaisirs à Annabelle. Puis, je dégrafais délicatement le soutien-gorge, libérant une superbe poitrine. Je flattais longuement celle-ci avec ma langue, tournant autour du bout dressé puis glissant tout autour du galbe doux comme de la soie. Annabelle gémissait de plaisir, les yeux mi-clos tandis que ma bouche continuait à explorer la surface de son corps.
J'étais à présent agenouillé entre ses jambes . Un shorty de soie blanc se présentait sous mes doigts
Elle était encore plus belle que dans mes rêves les plus fous.
Le shorty mettait parfaitement en valeur son pubis et le relief des lèvres. Il dissimulait à peine la petite toison brune .
J'embrassais longuement le tissus, humant le parfum de son intimité.
Mes mains glissaient de chaque côté du shorty puis parcouraient délicatement le bas-ventre, suivant le galbe du sexe. Je suivais du regard mes doigts s'activer sous la soie. Le ventre était parcouru d'ondes de plaisir. Je comprenais qu'Annabelle voulait que j'aille plus loin mais je la faisais languir, sachant pertinemment que le plaisir n'en serait que meilleur.
Je faisais glisser mon pouce sur toute la longueur des lèvres gonflés de plaisir puis l'enfonçait légèrement. Il entra immédiatement sans difficulté. Annabelle mouillait abondamment. Je remontais le pouce vers le petit monticule de chair dressé puis jouait avec. Le bassin ondulait maintenant sous mes caresses. Son sexe semblait vouloir happer mon pouce afin de le faire entrer plus loin.
Je faisais maintenant des allers et retours entre son clito et son vagin. Mon doigt en ressortait trempé de cyprine. Je ne résistais pas à l'envie de le porter à la bouche afin de goûter Annabelle..
Je tirais le shorty délicatement vers les chevilles, Annabelle soulevant le bassin afin de me faciliter la tâche.
La vue offerte était sublime. Un fin duvet parfaitement entretenu dissimulait parfaitement les grosses lèvres. J'écartais délicatement celles-ci, découvrant une rose de chair nacrée. Le petit bout de chair dressé semblait surpris d'être ainsi offert à ma vue. Je maintenais les lèvres écartées puis approchait la bouche du puit de plaisir. Ma langue se posait alors doucement sur le sillon de soie, remontant vers le bouton d'amour frétillant de plaisir. Je l'emprisonnais entre mes lèvres, l'aspirant lentement. Annabelle poussait un râle de plaisir en me saisissant les cheveux des deux mains. Je parcourais à présent tout bas-ventre, fouillant lentement celui-ci.
Je saisissais les hanches d'Annabelle, plaquait ma bouche sur la grotte d'amour, utilisant ma langue comme un dard. Annabelle était totalement offerte à ma bouche et poussait de petits cris de plaisir.
Elle était maintenant dans un état d'excitation extrême et n'allait pas tarder à jouir sous mes assauts. Je sentais son ventre vibrer de plus en plus fort tandis qu'elle m'agrippait la tête de toutes ses forces. Elle avait enroulé ses jambes autour de mon cou et donnait de vigoureux coups de reins en avant sur mon visage enfoui dans sa vulve.
Soudain, elle s'immobilisa, le corps secoué de tremblements incontrôlés.
Elle poussa alors un long râle en repoussant la tête en arrière. Je sentais le goût de la jouissance inonder ma bouche. Annabelle semblait avoir perdu connaissance sous la violence de la jouissance.
J'en profitais pour savourer la beauté de l'instant. Ma joue était posée à l'intérieur de la cuisse d'Annabelle. Je posais de petits baisers sur les lèvres boursouflées de plaisir tout en caressant d'une main le ventre soyeux. Annabelle me caressait les cheveux tout en soupirant de bonheur. Je me redressais pour cueillir un baiser sur sa bouche. Elle entrouvrait les yeux ; je pouvais voir la plénitude dans son regard.
Elle me repoussait vers le sol. Je me retrouvais l'instant d'après dos au sol, chevauché par Annabelle qui se dressait au dessus de moi. Elle se penchait vers ma bouche pour voler un baiser puis descendait sur mon torse. je pouvais sentir le poids de son bassin sur mon sexe près à exploser de désir.
Je bandais comme un fou à l'idée que seul mon survêtement m'empêchait de la pénétrer immédiatement. J'imaginais son sexe ouvert au dessus de moi et cela me rendait fou de désir. Annabelle jouait avec mes sens, enlevant lentement mon T_shirt pour ensuite me mordiller les tétons.
Elle continuait son inspection, descendant lentement vers mon nombril qu'elle léchait longuement tout en se frottant sur mon bas-ventre. Tout en descendant, elle tirait mon survêtement vers le bas pour exhiber ma queue toute fière de se sentir enfin libérée de sa prison de tissu.
Annabelle se penchait encore un peu plus puis posait ses seins sur ma queue gonflée de désir. elle prit alors un sein dans chaque main pour emprisonner ma queue entre ceux-ci. Je sentais immédiatement la chaleur de ses seins envahir ma queue. Je fermais les yeux de bonheur. Lentement, elle faisait coulisser ma queue entre ses seins.
Annabelle se reculait légèrement en arrière. Tout en continuant à me caresser avec ses seins, sa langue jouait maintenant avec mon gland. Elle ne tardait pas à le prendre entièrement dans la bouche. Je gémissais de plaisir en sentant la chaleur de sa bouche sur ma queue.
J'avais l'impression de sentir mon sexe coulisser dans un doux fourreau chaud et humide. Sa langue tournait lentement autour de mon gland. Puis mon sexe disparaissait entièrement dans sa bouche pour réapparaître quelques instants plus tard vibrant de plaisir. Annabelle massait mes précieuses d'une main tandis que l'autre tenait la base de mon sexe pour le guider dans sa bouche.
Annabelle se plaçait juste au dessus de ma queue dressé puis s'accroupissait lentement. Je sentais le fourreau soyeux se refermer autour de ma queue.
Le bas-ventre d'Annabelle rencontra le mien. Annabelle posa ses mains de chaque coté de mes épaules faisant coulisser ma queue en elle. Ses seins remuaient au dessus de mon visage au rythme des va-et-vients. Les mouvements allaient en s'accélérant . Nous ne maîtrisions plus du tout nos sens et haletions bruyamment tandis que nos corps luisaient de bonheur. J'enlaçais Annabelle de mes bras afin de mieux la pénétrer, embrassant les seins à tour de rôle. Annabelle fermait les yeux, semblant vouloir encore mieux sentir mon sexe planté en elle. Elle faisait à présent de petits cercles concentriques autour de ma queue. L'intérieur de mes cuisses était trempé d'excitation. Elle accélérait la cadence, ses fesses claquant sur mes cuisses. Annabelle se redressait en arrière, saisissait mes testicules d'une main pour les masser tandis qu'elle continuait à s'activer de tout son corps sur mon sexe. Je caressais les seins des deux mains, les soupesant tandis qu'ils se balançaient au rythme de nos mouvements.
Une vague de tremblements arrivait du plus profond de mon corps. J'agrippais les hanches d'Annabelle et jouissait en poussant un long râle qu'Annabelle étouffait en m'embrassant à pleine bouche.
Je voyais alors des milliers d'étoiles me passer dans les yeux tandis que je perdais la notion du temps. "La petite mort" m'avait atteint de plein fouet.
Annabelle était complètement affalée sur moi, ma queue plantée en elle.
Nous restions ainsi de longues minutes, sans bouger. Le temps semblait s'être arrêté.
Je pouvais voir dans son regard une douceur infinie.
"Tu devrais passer un peu plus souvent. Ta visite m'a fait un bien fou !" me dit Annabelle en riant.
Je ne manquais pas de lui confirmer que nos rencontres seraient certainement plus fréquentes.
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