La femme de mon meilleur ami

Je n'aurais jamais osé songer à faire le premier pas : la femme de ton meilleur ami, c'est interdit. Et pourtant elle est là, à coté de moi, elle me sourie, nue, heureuse et un peu gênée de nos audaces, sa joue encore couverte de mon sperme. Je repense à ce qui m'a amené là, dans ce lit, à cette histoire tabou avec la femme de mon meilleur

Proposée le 22/05/2021 par eyeof

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

L'histoire que je vais vous raconter est vraie. J'y pense encore souvent lorsque je me réveille la nuit avec des idées grivoises.


J'ai toujours été extrêmement timide avec les femmes. Enfant, c'était presque maladif, je n'arrivais pas à parler aux filles sans rougir et bafouiller immédiatement.
Je les trouvais belles, attractives, mystérieuses ....et surtout inaccessibles. Arrivé au lycée, toujours aussi timide, je prenais cet air doctoral qu'elles détestent tant.


Je me trouvais moche avec mon long nez, mes yeux bleus un peu cernés et mes bras trop grands qui m'encombraient. Pour ne rien arranger, je portais des pulls difformes que j'affectionnais particulièrement. Bref, j'étais convaincus que je ne pourrais jamais plaire aux filles et je m'étais fait une raison.


Élève moyen et solitaire, je réussis néanmoins une année en faculté puis une entrée dans une école d'informatique. L'informatique, c'est génial lorsque l'on est timide. C'est un monde dans lequel l'imagination est reine et ou les interactions sociales ne sont pas nécessaires, j'y trouvais je crois un grand réconfort et un vrai plaisir intellectuel.

C'est en première année de faculté que je rencontrais Stan qui allait rester mon meilleur ami. Stan, c'est un bon gars : j'avais plaisir à discuter avec lui et nous partageons de bons moments.

Nous décidâmes lors de la dernière année de prendre une semaine de vacances au club-med et c'est à ce moment que Stan a rencontré Pauline qui allait devenir sa femme.

Pauline est entrée dans sa vie comme boulet de canon : une petite blonde pétillante aux formes généreuses, très drôle de surcroîts. Elle ne faisait rien pour plaire ou aguicher les hommes. Mais son petit nez retroussé, ses rires qui ponctuaient la fin de ses phrases et sa façon de tourner son corps totalement vers Stan, de le regarder par-dessous, comme si elle se donnait entièrement me plaisait énormément.

Ils ne se sont plus jamais quitté, ce couple était une évidence pour tout le monde et leur bonheur éclaboussait le grincheux que j'étais devenu.

Il faut dire qu'à l'époque j'avais 23 ans et je n'avais toujours pas eu de copine ni de relations sexuelles, et cela commençait sérieusement à me courir sur le champignon. Oui, à 23 ans ...

Ma confiance en moi en pâtissait et cela n'arrangeait pas les choses avec les femmes : convaincu que je ne plaisais pas, les femmes me le rendaient bien.

Comme je n'en pouvais plus et que je ne comptais pas rester dans ma situation toute ma vie, j'optais alors pour le sexe tarifé.

C'était alors la belle époque des salons de massages chinois à Bordeaux . J'attendais le weekend avec impatience : je passais des heures le vendredi soir à sélectionner fiévreusement le salon sur lequel je jetterais mon dévolu : il devrait être aussi discret que possible et les masseuses bien sûr devaient être aguicheuses sur les photos, idéalement en nuisette courtes assises sur leurs clients . J'essayais de deviner entre les lignes des descriptions les voluptés prodiguées. Il m'arrivait parfois de masturber juste en pensant à l'idée du moment que j'allais passer dans ce salon.

Bref, c'était mieux que rien et me permettait de survivre à la douleur de ne pas pouvoir caresser le corps d'une femme et d'être touché. Ceux d'entre vous qui ont connu de longues périodes d'abstinence le savent, il y a une forme de douleur physique à ne pas être touchés ou caressé depuis trop longtemps.


A l'âge de 32 ans, toujours dans la même situation, je décidais donc de me prendre en main : j'allais voir un psychologue et je me mis à faire du théâtre.


Et ce fut une révélation, le théâtre me permit tout simplement de prendre confiance en moi. Je garde encore de cette époque un souvenir émerveillé. Je ne saurais pas vraiment vous expliquer ce qui s'est passé à ce moment là, mais je pense qu'ayant moins peur de ma timidité, j'étais plus ouvert aux autres et particulièrement aux femmes . Mais sans en attendre rien, ce qui devait donc les rassurer.

Je prenais donc les choses comme elles venaient. Je crois qu'à ce moment j'ai dragué, involontairement, toute les filles du cours de théâtre : mariées, non mariées, jolie, jeunes et mures.

Elles étaient toutes la, à croquer, je pouvais les regarder depuis le banc des spectateurs sans gêne : je voyais leurs fesses bouger dans leurs jeans serrés et je pouvais même jouer avec elles sur scène.

Et chose curieuse que je n'explique pas encore totalement, je crois que commençais à plaire. Oui, je plaisais, ou au moins je ne suscitais plus le dégout.


Le théâtre m'avait donc changé, j'étais plus sûr de moi.


J'étais donc prêt pour les sites de rencontre : j'y ai trouvé ma femme. six mois plus tard , j’emménageais chez elle et deux ans plus tard nous avions notre premier enfant.

Je me plaisais énormément dans cette relation et dans le rôle de chef de famille, je n'avais jamais été aussi épanoui. Par ailleurs, après une demie vie d'abstinence, le sexe une à deux fois par semaine avec ma femme - qui a des énormes seins - , c'est quand même le pied.

J'avais lu une VDM qui disait à peu prés cela : "aujourd'hui je fais du 95D et je passe pour la première fois aux choses sérieuses avec mon nouveau petit ami, je dégrafe mon soutiens gorge et la , il baiguaille gggg.. gggrrr.rooos ..seins... VDM"

Cela m'avait fait beaucoup rire et bien je peux vous dire que j'ai quasiment eu la même réaction en découvrant pour la première fois les énormes obus de ma femmes. Lorsqu'elle les écrase sur mon torse, que je les pétris de mes mains, que je les lèches ou je les prends dans ma bouche, je suis au nirvana.


Nous nous sommes retrouvé par un hasard de la vie à 2 kilomètres de Stan et Pauline et nos enfants fréquentaient la même école . Ma femme et Pauline sont devenue très amies et nous nous retrouvions assez fréquemment autour d'un barbecue.


De leur coté, Stan et Pauline semblaient passer une période plus difficile, on sentait parfois de l'électricité dans l'air. Et je crois que c'est à ce moment que l'attitude de Pauline a subtilement changé à mon égard.


De mon coté, j'avais toujours été très réservé avec Pauline, on rigolait bien ensemble mais toujours avec des gens autour de nous, j'évitais de rester seul avec avec elle .
La peur sans doute de devenir couleur pivoine lorsqu'elle plantait ses grand yeux noisette dans les miens.


Un vendredi matin, je suis en télétravail. Ma femme me demande de porter à Pauline les cours de la classe d'hier car la fille de Pauline a manqué l'école et nos enfants sont dans la même classe.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email