Famille recomposée. 3

Stéphanie et ses jumelles et Léo et ses jumeaux continuent la "formation". Les enfants profitent de cette aubaine sous leur propre toit. Mais Stéphanie veut aller plus loon dans leur éducation sexuelle et invite un véritable étalon pour la suite des cours.

Proposée le 13/05/2021 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Noé regarde Stéphanie qui l’encourage d’un signe de la tête. Il présente son engin à l’entrée de la vulve trempée et passe son gland le long de la fente. Il le guide enfonçant quelques centimètres de son pieu de chair qui bute sur l’hymen. Béa le regarde dans les yeux, la bouche ouverte puis ferme les paupières pendant que la jeune queue avance et écarte ses chairs intimes.

-Doucement Noé ! L’encourage Stéphanie. Puis va bien au fond !
De ses mains, Noé lui pétrit les seins. Elle gémit profondément.
-OOOOOH ! Comme c’est bon ! Mais je te veux, remplis-moi, s’il te plaît !
Il est ravi mais les choses ne vont pas assez vite pour Béa. Elle le repousse pour monter sur lui et s’empale sur son membre, devenant femme quand la verge de Noé déchire son hymen.
Noé donne des coups de reins, accélérant le rythme de Béa, elle l’embrasse quand elle sent la verge grossir dans son ventre, qu’il va jouir. Il grogne et souffle. Il se crispe et décharge tout au fond de sa chatte. Elle est remplie de son sperme, elle se blottie dans ses bras.
Sur le lit d’à côté, Célia et Anthony ont eux aussi, pour la première fois, échangé leur fluides corporelles.
Léo, le père des jumeaux, s’est retenu mais sa queue lui fait mal tellement le spectacle des enfants lui a fait de l’effet.
Stéphanie voit que ses filles lorgnent sur sa bite. Elles veulent expérimenter maintenant un calibre plus gros. Léo s’avance vers Béa qui place ses mains devant son pubis comme pour le protéger.

-N’ais pas peur ! La réconforte sa mère. Une chatte peut s’adapter à tout, (ou presque).
-Il est beaucoup plus gros que celui des jumeaux ! S’exclame Béa.
-Non ! La rassure sa mère. Un peu plus que la moyenne. Il faudrait que je vous montre celle d’un ami pour que vous réalisiez ce que c’est qu’une « grosse bite » ! Je te rassure, il entrera sans difficulté !
Béa fixe la verge de Léo, son regard change devant le symbole de la virilité, ne considérant plus son beau-père que comme un objet de désir. Gourmande, Béa avance timidement la main, n’ayant d’yeux que pour la tige dressée, hésite. La verge a perdu un peu de sa raideur mais la retrouve immédiatement dès que les doigts la saisissent.
- Serre-là bien ! Baisse la main pour décalotter le gland ! Là… C’est bien ma fille !
Célia ne veut pas rester en reste et vient la seconder. Alternativement, suivant les conseils de leur mère à la lettre, elles masturbent Léo qui n’en demandait pas tant.
- Pas si vite ! Prenez votre temps où il ne va pas résister ! S’inquiète leur mère.
Célia s’applique à faire coulisser la peau sur le gland. Sa main enserrant la hampe sans trop de difficulté.
- Si vous continuez comme ça, il va jouir ! Lâchez-le pour qu’il reprenne ses esprits ! Bien ! A toi maintenant Léo !
Il gamahuche à tour de rôle les jeunes chattes, en éprouvant le satiné de la peau des jumelles.

-Mettez-vous sur le dos, les filles ! Ordonne Stéphanie. Vas-y quand même avec douceur, Léo !
Elles se couchent sur le dos cote-à cote, jambes relevées. Elles sont minces avec de petits seins bien formés pointant vers le plafond, de longues jambes fuselées et un sexe imberbe.
Léo se baisse et prend son sexe tendu. Il cherche l’entrée du premier vagin et progresse doucement en lui, en tenant les cuisses de Béa ouvertes.
Il entre sans difficulté jusqu’aux couilles sans qu’elle s’en rende compte. Il reste immobile quelques secondes et commence à bouger lentement ses hanches d’avant en arrière.
Béa crie de plaisir et même l’encourage :

-Vas-y « papa » ! Ooouuuiii !
Il va et vient en elle, change de rythme, sort pratiquement sa verge avant de replonger au fond de son corps.
-N’oublie-pas sa sœur ! Lui rappelle Stéphanie.
Il change plusieurs fois de position en passant d’une jumelle à l’autre mais ne peut pas tenir la distance bien longtemps. Il sort de l’une juste pour changer de trou. Mais il sent qu’il va jouir. Il se déplace pour que Célia recueille sa liqueur blanche. La bouche de la fille se remplit mais il n’est pas très prolixe. Sa sœur attend sa bouche. Célia lui donne le jus de son beau-père qu’elle déguste aussi.
-Bien ! Ça suffit pour aujourd’hui ! Je vous réserve une surprise pour la suite!
Elle se retire avec son mari dans leur propre chambre et ils finissent la soirée en effectuant le devoir conjugal.
-Qu’as-tu voulu dire tout à l’heure par une surprise ? Lui demande Léo.

-Tu te rappelles l’étonnant quinqua que Jules nous avait amené avec son amie pour un tournage privé ? Je lui avais demandé son numéro de portable. Je sais qu’il habite à moins d’une heure de chez nous. Je vais lui demander s’il peut venir pour donner une bonne leçon aux enfants. Il leurs montrera ce que c’est qu’un Etalon moitié Peter NORTH, moitié Lexington STEEL. (lire : Le gîte naturiste 13 et 14).
Stéphanie respire fort, Elle regarde la verge de son mari et imagine soudain qu’il soit remplacé par ce mandrin énorme labourant sa fente humide, s’enfonçant profondément dans sa chatte, allant et venant à l’intérieur. Elle en rêve depuis le jour où ils l’ont filmé en pleine action.
Elle a téléphoné et est contente qu’il ait accepté de venir le lendemain dimanche. Elle a longuement parlé avec lui et sait qu’il fera ce qu’elle lui demandera pour contribuer à l’éducation sexuelle des jeunes. C’est un homme de 55 ans qui a vécu de nombreuses aventures. Il a de beaux yeux bleus tirant sur le vert. Dans l’après midi du dimanche, elle réunit toute sa petite famille au salon.

- Les enfants, hier vous avez fait l’amour pour la première fois. J’ai invité un ami ce soir pour vous confronter à ce que vous pouvez un jour rencontrer ! Enfin… Surtout vous, les filles ! Avant, pour que vous ne soyez pas surpris, je vais vous passer le petit film que nous avons réalisé pour lui et une de ses amies il y a quelques temps !
Les filles sont tétanisées en voyant la projection.
-Mon Dieu ! Quel étalon ! Je comprends ce que tu voulais dire hier avec le sexe de Léo ! Quel calibre ! S’exclame Béa.
-Ouahhh ! La putain de bite ! Les garçons, il vous fout la honte ! Surenchérit Célia.
Les garçons voudraient bien rabaisser l’acteur masculin principal de ce court-métrage. Mais que dire en voyant ses prouesses ?
-Peuh ! C’est bien beau de se moquer de nous mais on verra bien si vous oserez vous frotter à un tel phénomène ! Réplique Noé.
-Oui, on verra bien ! Rajoute Anthony.
C’est l’heure. On sonne à la porte. Stéphanie va ouvrir.
-Bonjour Patrick ! Je te remercie d’avoir répondu à mon invitation. Rentre que je te présente à toute la famille !
-Bonjour Stéphanie ! Heureux de te rendre service !
Il l’embrasse puis lui passe devant et salue l’assemblée.

-Bonjour tout le monde ! J’espère que vous êtes en forme. Pour le moment, je me contenterai de vous regarder. Faîtes comme si je n’étais pas là !
Après un instant d’hésitation, les jumeaux prennent chacun une jumelle et quelques minutes après, les deux couples forniquent de leur coté.
Stéphanie s’est assise entre Patrick et Léo et devant le spectacle, finit par mettre une main entre les cuisses des deux hommes. Elle ne met pas bien longtemps avant de sortir les verges des pantalons et branler ses deux jouets.
Les jumeaux amènent doucement les jumelles à l’orgasme et Léo, excité manuellement et visuellement ne peut plus se retenir et graisse la main courageuse.
Stéphanie peut enfin ce concentrer sur son invité. Sa bouche vient en renfort et elle peut goûter à son gourdin massif.
Il lui faut toute sa science pour arriver à amener au plaisir ce vrai mâle. Il appuie sur sa nuque au moment fatidique et elle ne peut rien faire quand il gicle en longues salves de sperme chaud. Elle s’étouffe et dégage ses bronches comme elle peut, expulsant la semence par les narines avant qu’il ne la relâche, effrayé par son manque de maitrise.
Mais il se vide toujours et sa liqueur part en longs jets qui s’élèvent et retombent sur la robe de Stéphanie.

(À suivre)

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