Après avoir converser par le net, Patrick et Sandrine se rencontrent et passent à l'acte
Proposée le 25/08/2015 par mlkjhg39
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
RENCONTRE PAR INTERNET
Comment une histoire peut commencer ?
Patrick est un homme d’une quarantaine d’années qui aime bien le sexe sous toutes ses formes.
Il aime bien sûr par dessus tout la pratique avec une ou plusieurs partenaires.
Mais il aime bien aussi en faire profiter les autres et se serre de la « toile » pour le plaisir des yeux des internautes et les faire fantasmer. Il écrit des histoires sous le patronyme de MLKJHG 39, il a aussi envoyé des photos et des vidéos très explicites.
Il a parfois dans sa boite mail des messages de filles qui veulent dialoguer avec lui, elles lui envoient souvent leurs photos pour montrer leurs corps dénudés.
Certaines lui proposent même de se rencontrer et si tout ce passe bien, ça finit par une partie de jambes en l’air.
Patrick n’est pas un Apollon mais ses vidéos montrent deux choses qui fascinent les filles.
Il a une queue de bonne taille et sait très bien s’en servir, pour la baise que demander de mieux ?
Depuis quelques temps, il échange avec une fille du centre de la France, elle a l’air intéressée et lui a envoyé des photos et de petites vidéos explicites.
Elle aime le sexe et plus particulièrement la bite de ses partenaires.
Elle a des mœurs assez libres et d’après ses dires ne porte jamais de petite culotte.
Ils se plaisent tout de suite !
Cette rencontre, ils l’attendent depuis longtemps, huit mois plus exactement, mais ils n’habitent pas dans le même coin. Ils ont commencé à se rapprocher.
Au départ il ne s'agissait que d’une discussion d'une fille charmante puis de fils en aiguille, c’est devenu une amie très proche qui partage ses fantasmes.
Ils ont enfin décidé de se rencontrer, Patrick profite de ses vacances pour quitter son Jura natal et prendre la route.
Quelques heures plus tard, il sonne à la porte de Sandrine.
-Bonjour Sand, on se voit enfin sans écran interposé, on se fait la bise ?
-Bien sûr Patrick.
Elle le fait rentrer et à peine la porte fermée, elle l’embrasse sur les deux joues avant de le prendre à pleine bouche.
Il lui rend son fougueux baiser et leurs langues découvrent l’intimité buccale de l’autre.
Sandrine est une belle femme plantureuse, avec une belle poitrine généreuse.
Il la détaille, elle mesure dans les 1m65, 1m70, elle a les cheveux mi-longs assez foncés, un joli visage avec des lèvres qui sont faites pour embrasser.
Patrick est plus grand, dans les 1m75, 1m80 avec une petite moustache avec un corps bien charpenté.
Pendant plusieurs heures ils discutent faisant encore mieux connaissances puis vont se faire un bon resto.
Après une petite ballade en ville, ils rentrent enfin chez Sandrine, elle lui demande.
-J’espère que tu n’as pas réservé d’hôtel car je t’ai préparé un lit, le mien !
Patrick lui répond.
-J’avais fait une réservation au cas où mais j’espérais bien que je logerais chez toi.
Ils se sont assis naturellement dans son canapé pour discuter : encore !
La conversation dérive très vite vers le sexe. C’est quand même la raison qui a permit qu’ils se connaissent.
Récit de Patrick.
On rigole et l'ambiance devient de plus en plus chaude.
Je commence à la caresser. Elle sourit et me laisse faire, elle aussi me caresse le bras remontant vers mon épaule et mon torse.
Elle s'arrête un peu avant de glisser sa main vers mon ventre puis de caresser ma cuisse mais elle s’amuse à éviter ma bite qui voudrait bien sortir, continuant son petit jeu. Tout y passe sauf mon bas-ventre
Je le lui fais remarquer et lui sourit.
Je lui touche ses cheveux, l’embrasse sur le front puis le cou pour finir par sa bouche, mais cette fois d'une façon plus exigeante, lui mordillant la lèvre.
Elle me rend mon baiser passionnément et nos lèvres se touchent. Quel baiser !
Ma main découvre son corps, sa peau est douce et j’épouse ses formes épanouies terminant sur ses fesses fermes et rebondies.
Elle me laisse l'initiative et je commence à lui caresser la poitrine à travers ses vêtements, son regard en demande plus alors je glisse ma main sous son bustier et caresse ses seins.
J'ai envie de lui caresser le sexe mais je prends mon temps.
Je pense à nos soirées par écran interposés jusqu’à ce que le premier cède et se fasse plaisir tout seul. Mais cette fois se sera moi qui la ferai jouir.
Je lui enlève son haut dénudant son corps pour la première fois en 3 D et découvre ses tétons au centre d’aréoles marron. Elle me retire aussi mon tee-shirt.
Mes lèvres entourent l'un de ces tétons durcit d'excitation que je suce et aspire le mordillant avec tendresse.
Elle se tortille sous mes caresses et se saisit de ma main pour la poser sur son sexe qui réclame mes doigts à travers le rempart de tissu, je passe la main sous sa jupe et je me rends compte qu’effectivement elle ne porte rien en dessous.
Je la veux nue. Je lui retire sa jupe et découvre son abricot couvert d’un triangle de poils noirs et gris…
Je glisse mes doigts dans sa chatte à la cherche de son clitoris et me rend compte qu'elle est déjà trempée. Je pince entre deux doigts l'objet de mes désirs. Elle me sourit et commence à pousser son bassin au devant de ma main qu’elle tient dans la sienne.
Ma bouche ne reste pas inactive et je lui mordille les seins un à un longuement pour la sentir frémir quand soudain elle me dit de me lever pour prendre l’initiative ! Chacun son tour...
Récit de Sandrine.
J’avance mon ventre vers cette main mais en veut beaucoup plus. Je lui prends la main et lui fait mettre plusieurs doigts dans mon vagin.
Je gémis de plus en plus fort mais je veux moi aussi découvrir le reste de son corps.
Alors, comme prise d’une frénésie érotique, je le fait se lever et m’attaque à la ceinture du pantalon et m’empresse de le faire glisser sur ses cuisses.
Comme je lui avais dit que je ne porte jamais de sous-vêtements, il s’en est souvenu et a fait pareil, il n’a pas mis de slip et sa queue bandée est entraînée par son jean.
Il est si bien monté qu’il faut pratiquement que j’arrive à la hauteur de ses genoux pour voir jaillir une verge de bonne taille.
L’imposant gourdin se dresse à l’horizontal et je me rends compte de sa grosseur.
Je savais par ses vidéos qu’il était bien foutu mais quand je l’ai en gros plan sous les yeux, je me rends compte qu’il a vraiment une grosse bite.
Je m’exclame admirative, la gorge nouée en fixant incrédule cette manifestation du désir. :
— Oh !… Comme tu es fort !… Quel morceau !…
Devant mes yeux se dresse une verge impressionnante d’une vingtaine de centimètres.
Le gourdin qui oscille doucement devant mon visage est de bonne taille sans être excessive. Le chibre rêvé des femmes, grand mais pas trop ce qui n’est pas ce que nous recherchons le plus, nous sommes beaucoup plus attirées par son diamètre.
J’imagine le plaisir que je vais ressentir à être pénétrée par un soc d’une telle grosseur.
Je lui murmure d’une voix douce.
- Mon Dieu, mais tu es monté comme un âne, J’espère pouvoir accepter tout ça en moi !
- Ne t’inquiètes pas, je n’ai jamais connu de chatte qui ne puisse m’accueillir.
Les yeux plein de désir fixés sur la barre de chair turgide à quelques centimètres de mon visage, je tombe à genoux et referme mes doigts autour de ce pal impressionnant.
- Mon dieu, comme elle est grosse, ta queue!
Patrick ne peut retenir un tremblement voluptueux quand il sent ma main envelopper sa verge,
-On dirait que ça te plais de se faire tripoter la pine ?
- J’ai tellement fantasmé sur ce moment, que tu me branles enfin, m’imaginant que c’était toi!… Que tu me fasses jouir entre tes gros seins…
Je lui demande toute émue.
- C’est vrai, petit vicieux, entre mes seins ?
Il lance son bas-ventre en une invite muette, aussitôt je referme ma main, la faisant coulisser le long du membre majestueusement dressé.
Je pousse délicatement le prépuce pour dégager complètement le gland de cette virilité orgueilleuse, activant mes doigts qui n’arrivent pas à en faire le tour le long de la puissante tête chercheuse, j’avance mon autre main pour enserrer le membre gonflé entre mes doigts.
Pressant tendrement la colonne de chair gonflée, je la fait rouler sensuellement tout en continuant à la branler vivement. Au bout de quelques minutes, il se cambre en laissant échapper un petit gémissement, au bord de l’explosion
- C’est bon ? Tu aimes ?
- C’est merveilleux, grimace-t-il… Tu es très douée !…
Ravie, je presse plus fortement le gland cramoisi d’une main pendant que l’autre branle avec vigueur la hampe.
Je le regarde dans les yeux et devine, à ses traits figés, qu’il fait d’intenses efforts pour retarder l’explosion finale.
-Je vais te faire cracher, je vais te vider les couilles !
Il sert les dents et grimace. Comprenant alors que la fin est proche, je m’empresse d’engloutir l’extrémité violacée de l’épée tendue.
J’aspire goulûment le gland congestionné au fond de ma gorge attendant sa laitance, tâchant d’absorber entièrement l’impressionnante colonne de chair extrêmement congestionnée dans ma bouche.
L’extrémité de l’énorme pal de chair frappe ma glotte, me forçant à déglutir en me provoquant des larmes de plaisirs, je referme mes doigts et presse sans ménagement les couilles velues et gonflées comme des citrons.
Il fait des efforts désespérés pour retarder l’éjaculation sur le point de jaillir, mais il ne peut résister plus longtemps à mes attouchements. Il me prévient.
-Tu es prêtes ? Tu sais ce qui t’attends ?
Il m’immobilise la tête m’obligeant à garder la totalité de sa verge dans ma bouche, avant de décharger avec force d’interminables jets de sperme au fond de ma gorge.
Fermement maintenue, je ne peux qu’avaler précipitamment l’abondant nectar qui m’inonde littéralement le gosier, j’arrive à déglutir avec peine m’étouffant plusieurs fois sous les geysers de sperme épais et gluant jaillissant sans discontinuer du gland qui écrase ma glotte avant de s’écouler directement dans mon estomac en un flot ininterrompu.
Je n’ai jamais connu ça, j’ai plusieurs fois essayé d’éjecter cette véritable lance d’incendie de ma bouche mais il a fallu que j’attende résignée que la source soit à sec et que j’ai réussis à tout avaler sans m’étouffer.
J’expulse enfin son sceptre enfin ramolli afin de déglutir pour désobstruer enfin mes voies respiratoires.
- Hé bien mon salaud, je savais de quoi tu étais capable par tes vidéos mais c’est autre chose quand c’est vécu en vrai, putain ce que tu m’a mis, c’est pas croyable de cracher comme ça !!!
-Attends la suite, me rétorque-t-il, maintenant c’est à moi de te faire monter au rideau !
Tu as bien goûté à mon sperme ?… C’est à mon tour te donner du plaisir et à goûter à ta liqueur, viens, laisse-moi faire, je suis sûr que tu en as envie !
Tout à ses désirs pervers, il me fait m’asseoir dans le divan et me force à écarter mes cuisse au maximum et son regard se fixe sur mon bas-ventre replet à la chair laiteuse et sur ma toison en triangle dont la pointe disparaît entre mes cuisses charnues.
Il contemple mon buisson ardent d’ou émerge les deux grandes lèvres cramoisies et gonflées, ces deux babines sexuelles qui délimitent l’entrée intime de ma grotte.
Il se met à genoux devant mon autel comme priant une divinité païenne.
Il écarte de ses pouces ma vulve congestionnée et insinue son visage entre mes cuisses, découvrant les chairs luisantes de ma chatte déjà largement dilatée.
Soudain Patrick colle sa bouche contre la fente offerte qu’il s’empresse de lécher enfonçant sa langue dans la cavité humide, léchant avec une gourmandise évidente les parois trempées de mon suc vaginal.
Il lape avec avidité le nectar qui suinte de mon sexe inondé de cyprine, son nez frotte sur mon bouton d’amour dressé dans son nid douillet.
Prise d’une frénésie sexuelle, je projette ma chatte en feu au-devant de cette langue douée d’une vie propre qui me fouille les entrailles.
Je me cambre convulsivement incapable de contenir plus longtemps mes cris, laissant échapper un long gémissement d’encouragement.
- Oh ouii !… Bouffe-moi la chatte !…Que c’est bon !… Ouuiii !… Encore !… Continue bien à fond !… Ohhh oouuii !…
Sa langue râpeuse remonte lentement le long de ma fente s’arrêtant sur mon clitoris fièrement dressé, m’arrachant un gémissement de plaisir.
Sa langue s’insinue entre mes grandes lèvres, le plus loin possible à l’intérieur de ma vulve brûlante pour boire ma liqueur abondante directement à la source.
Il pose mes jambes sur ses épaules pour mieux m’offrir à sa bouche avide, saisit mes fesses pour s’ouvrir un chemin vers l’œillet plissé et y glisse sa langue quittant la longue fente ruisselante, copieusement humidifié par mes sécrétions vaginales, alternant les prospections vaginales et anales qui décuplent mon plaisir.
Je ne peux plus me retenir et m’offre sans retenue à sa langue agile, le corps secoué de spasmes voluptueux sous l’extraordinaire cunnilingus, sentant irrémédiablement monter du fond de mes entrailles un orgasme qui va m’emporter sur ses ailes magiques.
Des élancements érotiques gonflent mes seins douloureux que je presse passionnément afin d’adoucir les tiraillements que le plaisir fait naître durcissant mes pointes.
Mes entrailles sont l’épicentre d’un brasier, j’ai le bas-ventre en feu et je sens au creux de mes reins une violente jouissance qui me fait me cambrer fiévreusement sur le divan.
Mes mains quittent mes seins de plus en plus douloureux pour attirer fébrilement sa tête encore plus près de ma chatte béante d’où une onde dévastatrice déferle du plus profond de mon sexe en feu, se propageant dans mon bas-ventre et tout mon corps, me submergeant tel un tsunami sauvage.
Une longue plainte de volupté s’échappe de ma bouche quand une cascade en furie jaillit en un flot impétueux de ma vulve ravagée.
Le visage plaqué contre mes grandes lèvres, Patrick se trouve soudain prit sous ce flux bouillonnant surgit des profondeurs de mes entrailles, qui lui emplit la bouche de mon miel.
Je me contorsionne prise de frénésie, en poussant une longue plainte libérant la pression qui m’oppresse.
- Oohhhh…. Oui-ouiiii…Nonn… Hhaaa…
Patrick boit avec gourmandise, jusqu’à ce que la source soit tarit, il se relève prêt à m’embrocher, à me labourer avec son soc dressé.
Mon bas-ventre est encore agité de frémissements, ma chatte trempée est toujours béante.
Je pose ma main sur le volumineux membre viril en pleine érection, un frisson de désir et d’appréhension me parcourt, je suis prête à le recevoir.
Il empaume ma volumineuse poitrine qu’il malaxe fiévreusement faisant monter encore d’un cran mon désir. Son regard s’attarde sur mes hanches épanouies et le ventre légèrement arrondi.
Il me force à relever mes jambes écartelées sur ma poitrine.
Je suis heureuse de sentir sa verge massive, dure comme du bois mais douce comme de la soie glisser sur mon ventre, découvrir mon entrejambe et ma vulve toujours trempée de mes sécrétions.
Il abaisse de sa main sa verge fièrement dressée pour l’aider à trouver sa cible. Je la sens s’insinuer entre mes grandes lèvres.
Il me regarde attendant mon consentement.
-Oui. Vas-y. Prends-moi comme une salope que je suis !!
Il pousse son corps tout en douceur faisant pénétrer son sceptre en entier dans mon vagin.
Je découvre le plaisir de prendre en moi cette hampe d’un diamètre inhabituel pour moi.
Je passe mes jambes autour de sa taille pour l’attirer encore plus en moi. Il accélère le rythme de ses pénétrations qui deviennent de véritables coups de boutoir.
Je me tortille comme un vers sous ses assauts lui en demandant toujours plus espérant que ça dure le plus longtemps possible avant qu’il n’explose.
Tous mes muscles se tendent, c’est moi qui explose la première, l’orgasme que j’attendais explose en moi, me délivrant de la tension accumulée sous ses coups de bite puissants.
Je jouis, encore et encore et j’aime ça.
Il me lime encore quelques minutes avant de crier à son tour.
Je sens son sexe gonfler et se raidir dans le mien. Il commence à se vider en moi de son sperme mais retire son nœud et pose le gland de son sexe sur mon anneau.
Je le sens pousser un peu et son gland pénètre en partie dans mon cul et le lubrifie de sa semence qui continue à sourdre de sa queue.
C’est trop bon, je me sens tellement bien et je veux répondre à sa demande muette.
Je lui dis de s’asseoir à son tour sur le divan et me place à califourchon sur ses cuisses, et comme une folle, je m’empale lentement sur le glaive toujours dressé.
Le gland force sur mon anus et pénètre à grande peine. J’en ressens toute la puissance quand il force le barrage de mon sphincter et glisse à l’intérieur !
Quel pied ! Je stoppe un instant pour m’habituer à son diamètre toute excitée de cette pénétration hors-norme.
Patrick, tremblant d’impatience reste dans l’attente que je fasse pénétrer son manche plus profondément.
Ses mains sur mes hanches il essaye de les tirer vers le bas pour me sodomiser plus profondément.
Je résiste un moment jouant avec sa patience, puis brusquement abaisse mon bassin m’empalant d’un seul coup sur son gourdin.
Je sens son sabre entrer en force dans mon fourreau anal, allant loin, très loin dans mes boyaux.
Gémissant doucement il a fermé les yeux appréciant le plaisir de sentir son gros membre parfaitement moulé par mes intestins.
J’ai la sensation d’avoir un bout de bois dans mon cul mais je n’ai pas mal.
Je me mets à faire du rodéo à mon rythme jouant avec son plaisir et le mien, ralentissant quand je sens qu’il approche du point de non-retour prêt à jouir.
La houle calmée je recommence le mouvement montant et descendant sur cet axe formidable, tirant de lui des gémissements de plus en plus rapprochés.
Michel se redresse brusquement et s’enfonce encore en moi, sa bite est de plus en plus dure et il se met à me ramoner de plus en plus vite.
Je sens bien qu’il arrive au bout, il s’escrime comme un fou et soudain éjacule dans un cri de bête, lâchant une troisième fois sa semence pour mon plus grand plaisir.
Fatigués, nous restons encastrés l’un dans l’autre, jusqu’à ce que sa bite ramollisse.
Je me retire avec regret de ce gode merveilleux et nettoie sa queue à coups de langue.
Nous nous embrassons tendrement avant d’aller nous coucher, repus de fatigue
Pendant les 3 jours qui suivirent, nous avons épuisé toutes les positions que nous connaissions dans un délire sexuel jamais calmé.
Il est repartit dans ses montagnes et je me languis en attendant notre prochaine rencontre.
On va rester en contact avec le net mais maintenant que j’ai goûté à son bâton magique, ça va être dur de patienter.
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