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La Femme de l'Adjudant

Alors qu'il a une corvée à faire dans une maison nouvellement construite, Nick rencontre la voisine, Anne. Il la trouve fort sexy et lui fait des avances qu'au début elle n'apprécie pas du tout. Son mari revient de son travail et les événements prennent un mauvais tour...

Proposée le 12/04/2021 par Bruno Pouperque

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Dans un lotissement à Chaudfontaine, juste à l'extérieur de l’agglomération de Liège, j’ai rencontré Anne, la femme d’un militaire. Un développeur de projets y avait construit un nouveau quartier. C'étaient de petites fermettes qui se ressemblaient toutes, mais elles étaient quand même jolies.

La Femme de l'Adjudant
Un client régulier de mon père Jac en avait acheté une comme investissement. Il voulait que la maison soit entièrement peinte avant de l’annoncer sur le marché locatif.


Mon père l’avait inspectée. Il n'était pas du tout satisfait du travail que les plafonneurs avaient fait dans la maison. La couche de plâtre était très inégale. Selon Jac, ses peintres ne pouvaient tout simplement pas s'y mettre tout de suite. Il m'a donc demandé d'aller à Chaudfontaine et, si nécessaire, de poncer les murs des chambres ou de les plamurer pour les égaliser.


Ce qui s'est passé s'est produit quand j'avais vingt-quatre ans. Un matin, alors qu'il faisait encore noir, avec une camionnette de mon père je suis arrivé très tôt à la fermette à Chaudfontaine. Jac m'avait prévenu: ce serait un travail d'au moins deux jours, peut-être même trois, celui du ponçage et du replâtrage. Je n'en étais pas content. Je suis électricien de formation, mais je ne pouvais pas refuser à mon père de faire ce qu'il m'avait demandé. D'un autre côté, comme toujours, je savais qu’il allait plus tard m'indemniser royalement pour le travail accompli.


Jusqu'en fin de la matinée, j'ai poncé le plâtre ce premier jour. Je n'étais pas habitué à ce travail. Au bout de quelques heures, j'ai eu une vilaine douleur à l'épaule. C'est pourquoi j'ai décidé d'arrêter.


J'ai d'abord mangé dans la camionnette ce que ma mère Jo avait mis dans ma boîte pour le déjeuner. Puis j'ai fait une petite sieste, pas longtemps, au plus quinze minutes. Il était une heure moins le quart quand je me suis réveillé. Je me suis ramassé et j'ai recommencé à poncer. Cela n'a pas duré une demi-heure. Dans mon épaule, j’ai ressenti à nouveau cette douleur poignante et agaçante. C'est pourquoi j'ai décidé de commencer de replâtrer et de plamurer où il le fallait.


Dommage, mais je n'ai pas eu de chance. J'avais besoin d'eau pour faire ma pâte. L'eau du robinet ne coulait pas.
Il ne me restait alors qu'à aller demander de l'eau chez les voisins... Une Fiat 500 était garée devant la fermette d'à côté. Il y avait donc probablement quelqu'un à l’intérieur. J'ai sonné avec un seau en plastique à la main. Une femme que j’estimais avoir une trentaine d'années est venue ouvrir la porte. Elle avait la peau basanée, plutôt foncée, elle était à première vue bien roulée, pas maigre du tout, un peu plus grande que moi et très attirante.
Quand je lui avais expliqué pourquoi j'avais sonné à la porte, elle m'a emmené dans le garage. À côté de sa machine à laver, il y avait un grand évier avec deux robinets, un pour l'eau chaude et l’autre pour l'eau froide. Pendant que je remplissais mon seau, elle a demandé avec un peu de suspicion dans ses yeux noirs qui j'étais vraiment. Je lui ai dit mon nom et pourquoi j'étais dans le quartier. Apparemment, cela l’a rassurée et elle s’est décongelée. Je voulais partir avec mon seau d'eau, mais soudain elle m'a demandé:


"Tu n'as pas envie d'une tasse de café chaud?"


J'en avais certainement envie, et d’elle aussi. Elle m'a emmené à la cuisine. Là, elle a préparé un café pour nous deux avec une machine à expresso Illy. Ce café avait une odeur délicieuse.


Nous nous sommes assis face à face à la table de la cuisine et avons bavardé. Elle s'appelait Anne, m’a-t-elle dit, et elle était originaire des Philippines. Elle avait rencontré son mari lorsque celui-ci y était en vacances pour pratiquer son hobby, la plongée sous-marine. Elle n'aimait pas vraiment vivre en Belgique, mais dans la vie, vous n’aviez pas toujours les choses comme vous les vouliez. Elle avait bien dû suivre son mari. Celui-ci était militaire de carrière, adjudant, affecté comme instructeur à la caserne Fonck à Liège.


Je lui ai dit une fois de plus pourquoi j'étais dans le lotissement et que le travail dans la fermette voisine n'était pas facile. Elle pouvait le confirmer. Le plâtrage dans leur maison était également nul. Son mari lui-même avait peint les murs de la maison avec un collègue-militaire. Les deux hommes avaient juré et hurlé pendant qu'ils ponçaient et crépissaient.


Anne avait un charmant accent étranger. Elle a en plus parlé avec tant de légèreté et de charme que ma bite s'est redressée dans mon slip. J’ai soudain eu une telle envie d’elle.... Je lui ai demandé avec le sourire:


"Dis-moi, Anne, si on baisait?"


C'était comme si je l'avais frappée avec un marteau sur la tête. Elle est devenue blême malgré sa peau basanée et s’est immédiatement levée de sa chaise.


"Espèce d’impudent," a-t-elle hissé. "Tu te rends compte de ce que tu me demandes?"


"Oui, je m'en rends compte," ai-je répondu. "Tu es une belle femme très sexy et c'est pourquoi..."


Elle m'a interrompu:


“Veuille garder tout commentaire supplémentaire pour toi. Bois ton café immédiatement, puis barre-toi. Disparais de de mes yeux et de cette maison."


Je n’ai pas hésité à faire ça. J'ai réalisé que j'étais tombé sur un bec de gaz cette fois. Anne s'est avérée appartenir au tiers des femmes qui me trouvaient insolent et qui refusaient d'avoir de coucher avec moi...
Ce fut un peu frustrant pour moi d'être rejeté, je l'avoue. Mais cette frustration n’était rien par rapport à ce qui allait suivre.


À quatre heures et demie, j'ai commencé à plier bagages au lotissement de Chaudfontaine. Entre-temps, il avait commencé à pleuvoir dru. Parce que je sentais que j'en avais fait assez pour ce premier jour, j'ai décidé de ne plus continuer. Le travail était déjà assez avancé et j'estimais que je n'aurais besoin que d'un jour et demi de plus pour m'en débarrasser.


Pendant que je chargeais mon matériel dans la camionnette, une VW Golf gris foncé d'un modèle plus ancien s'est arrêtée dans l'allée à côté de la Fiat 500. Quelqu'un est sorti qui portait un uniforme militaire. Je n'avais pas à deviner qui c'était: le mari d'Anne était de retour à la maison, c'était clair.
Le même homme s'est précipité vers moi dans son uniforme cinq minutes après. Il n'était pas de bonne humeur, c'est le moins qu'on puisse dire.
Son visage presque pressé contre le mien, il m'a demandé en grondant:


"Hé, petit peintre, as-tu eu le courage de demander à ma femme si tu pouvais la baiser?"


Anne n'avait pas gardé la bouche fermée sur ce qui s'était passé en début d'après-midi. Tant pis... c'était ma faute. C'est pourquoi je ne pensais pas que cela en vaille la peine de mentir à son mari:


“Oui, monsieur, je lui ai demandé ça. Mais elle ne voulait pas. Je suis désolé.”


Peut-être que je n'avais pas bien formulé ce que je voulais dire. Que je veuille dire “je suis désolé qu'elle n’ait pas voulu baiser” ou “je suis désolé de le lui avoir demandé”, ce n'était pas très clair dans ma réponse. Je soupçonne que le militaire a pensé que la première explication était la bonne. Il est devenu furieux et m'a asséné un coup de poing sur la mâchoire gauche. Je suis tombé par terre. Heureusement, je portais toujours une combinaison de peintre blanc sur mes vêtements. Elle n'est pas restée blanche, car je me suis retrouvé dans la boue. Aucun jardin n'était encore vraiment aménagé autour des fermettes nouvellement construites et à cause de la pluie, le terrain était devenu fort boueux.


Je voulais me redresser, mais avec sa lourde bottine militaire, ce gars en colère m'a repoussé dans la boue. Inutile de dire que j'étais couvert de boue de la tête aux pieds. Je n'ai pas essayé de remettre les choses au clair. Je me suis juste assis sur le cul dans la boue et j’ai attendu ce qui allait se passer ensuite.


Pendant ce temps, Anne était également sortie. Elle se tenait dos au mur latéral de leur maison. Son mari l'avait également vue. Cela semblait le calmer. Il s'est penché sur moi. Je n'ai pris aucun risque. Parce que je pensais qu'il allait encore me donner un coup de botte, j'ai levé les bras au-dessus de ma tête pour me protéger. Mais j'avais tort: ??l'homme voulait juste m'aider à me relever. Il m’a tendu la main et m’a tiré de la boue. Dans ses yeux, je pouvais voir qu'il était désolé d'avoir été si dur avec moi. Cela s’est également montré dans ce qu'il m’a dit:


“Désolé, mon pote, je suis allé un peu trop loin. Peut-être que tu ne le pensais pas de cette façon... Ce que tu as demandé à Anne, tu le pensais vraiment? "


"Oui, je le pensais vraiment," ai-je répondu en toute honnêteté. "C'était dans une impulsion, cependant."


"Impulsion, impulsion, tu lui as en effet demandé de la baiser!" a-t-il crié. Encore une fois, il était plutôt énervé. "Tu fais ça plus souvent, demander à des femmes que tu ne connais pas si tu peux les baiser?"


"Oui, Monsieur" ai-je répondu. "Si ça vaut le coup de toute façon, comme avec votre femme Anne."


Le mari était debout devant moi, abasourdi. Sa bouche s'est ouverte de surprise. Au bout de quelques secondes, il a surmonté sa perplexité et a dit:


“Si c'est vrai, alors tu vas encore avoir beaucoup de coups, je peux te l'assurer. Peut-être pas de moi, car ici, tu as appris ta leçon. D'autres hommes dont tu auras dérangé les femmes vont te taper dessus!”


Je me suis dit: "Bien sûr, j’aurai peut-être encore beaucoup de coups, mais je suis sûr que je pourrai aussi baiser beaucoup de femmes si je le leur demande tout gentiment..."


Le mari d’Anne a regagné leur fermette. Il est retourné à l'intérieur avec Anne. Juste avant de franchir la porte d'entrée après lui, elle s'est retournée et m'a regardé. Je n'ai pas su interpréter l'expression sur son visage. Peut-être que c'était de la compassion parce que je ruisselais de boue?
J'étais déjà content de m'être débarrassé de ce mari jaloux et violent. J'ai soigneusement enlevé ma salopette sale, je l'ai mise dans un seau à peinture vide à l'arrière de la camionnette et je suis retourné chez moi.


Le lendemain, je suis arrivé dans le lotissement de Chaudfontaine quand il faisait encore presque noir. La Volkswagen Golf n'était plus dans l'allée de la fermette où habitait Anne. Son mari était probablement parti tôt pour son travail à la caserne Fonck. La Fiat d’Anne était toujours là.


Après que j’avais travaillé environ deux heures au ponçage des murs, je suis sorti pour prendre une pause. Là, j’ai eu une surprise. J'ai soudain vu Anne. Elle se tenait contre le mur latéral de sa maison et elle portait un imperméable de couleur bleu foncé. Franchement, elle avait l'air un peu effrayante, je dirais même menaçante. Elle m'a fait penser à un zombie pour une raison quelconque.
Je me suis détourné d’elle et je voulais aller à l'arrière de la camionnette pour prendre mon thermos et boire une tasse de mon café. Cette fois, j'avais également apporté un bidon en plastique avec 20 litres d'eau de chez moi par précaution.


Je n'ai pas atteint l'arrière de la camionnette. Anne m'a appelé et fait un signe de la main. Quand elle a remarqué que je la regardais, elle a ouvert son imperméable. En dessous, elle était complètement nue, et elle m’a fait baver, tellement j’ai trouvé son corps beau et désirable. Pourquoi voulait-elle me montrer son corps nu? C'était assez clair quand elle m'a fait de nouveau signe et m'a dit de la suivre dans le garage.


Cette fois, elle ne m'a pas traité d’impudent. Elle a jeté son imper sur la machine à laver et a ouvert la braguette de ma salopette. Elle se tenait dos au mur et voulait que je la baise debout. C'était un peu difficile. Sa chatte était assez serrée à l'intérieur et elle n'avait pas vraiment mouillé. Pourtant, j'ai réussi à faire bouger ma bite dans sa foufoune et à lui donner ce qu'elle voulait. Il ne fallut pas longtemps avant que j'injecte mon sperme dans sa fente. Elle n'avait pas grand plaisir à se faire sauter, j’ai pu le voir à son visage.


"Pourquoi?" ai-je demandé. "Pourquoi m'as-tu lpermis de te baiser?"


"Tu ne devrais pas me poser cette question," a répondu Anne. "Tu as passé un bon moment avec moi, j'espère. C’est comme une sorte de compensation de ma part. Tu sais, pour les coups que tu as reçus de mon mari hier. Je me sentais tellement désolée pour toi. Tu t'es laissé faire et tu semblais si innocent, tellement sans défense... "


Je n'ai pas répondu à cela. Je suis retourné à la fermette voisine et j'ai continué mon travail. Vers onze heures, Anne est venue m'appeler pour un café. Elle s'était habillée, avec un chemisier rose décolleté et une courte jupe rouge sang. Elle avait l'air vraiment sexy, plus attrayante encore que quelques heures avant.


Nous avons bu un café, mais après, Anne s'est allongée sur le dos sur la table de cuisine. Elle m’a souri et a écarté les jambes. Elles balançaient de chaque côté de la table. Anne ne portait pas de culotte, donc je n'ai pas eu la peine de l'enlever. J'ai ouvert la braguette de ma salopette et je l'ai encore baisée, moi debout, elle couchée, en me tenant devant cette table de cuisine. Cette fois, j'ai persévéré assez longtemps en bougeant ma bite dans sa chatte, et elle est venue plus tôt que moi. Elle s’est laissée aller, elle tremblait, frissonnait et pleurait de plaisir. Cela a également eu un effet stimulant sur moi. Il m'a fallu un peu plus de temps avant de tirer mon foutre dans sa chatte pour la deuxième fois ce matin-là.


La deuxième fois... Mon travail dans la fermette d’à côté était terminé. Vers trois heures de l'après-midi, j'ai pu charger mon matériel dans la camionnette. Avant de rentrer chez moi et avant que son mari ne rentre à la maison, Anne et moi l'avons fait une troisième fois. J'aurais aimé m'allonger sur elle pour jouer avec ses belles tettes aux tétons qui pointaient en haut et la baiser dans la position du missionnaire. Elle n’a pas voulu ça, même pas que je joue avec ses nichons. Cette fois, notre baise devait se passer d'une manière spéciale. Elle voulait que je prenne ses cuisses sous mes bras au garage et que je soulève ses jambes du sol. Elle s'est accrochée à moi pendant que je montais et descendais avec ma queue dans sa chatte dans cette position plutôt difficile. Elle est venue à nouveau en gémissant, à peu près en même temps que moi, mais elle n’a plus pleuré ou hurlé cette fois.


A Chaudfontaine j'avais d'abord essuyé un refus, puis eu des coups, puis un bain de boue, mais au final tout cela m'a permis de baiser Anne, pour notre plaisir mutuel...


Je n'ai jamais revu la femme du militaire par la suite. Je n'en avais pas besoin non plus. D’autres femmes sont arrivées dans ma vie qui aimaient que je les saute…
Bien sûr, à chaque fois que je passais à Chaudfontaine, j'ai repensé à Anne. Je n'oublie aucune fille ou femme qui a été gentille avec moi, même si j'en ai baisé tant...

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