Nick aime bien les filles. Comme il est assez petit pour son âge, et gros en plus, il n'a pas de succès avec elles. Elles se moquent même de lui quand il essaie de les draguer. Pourtant, il réussit à charmer une copine qui habite dans son quartier. Mais, malheureusement, il s'avère que Nick a un sérieux problème...
Proposée le 28/03/2021 par Bruno Pouperque
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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
J'ai dragué les filles comme adolescent, comme tous ceux de mon âge. Je n'ai pas réussi à en séduire une. J'étais trop petit et surtout trop gros. Les filles se moquaient de moi quand je leur disais des boniments et qu’elles sentaient que j'étais en train de les draguer.
Pourtant, il y avait une fille qui ne se riait pas de moi. Elle habitait dans notre quartier à Droixhe, à deux cents mètres de chez nous. Elle s’appelait Annique et elle avait un an et demi de plus que moi. Au début que je la connaissais, nous allions nous promener ensemble. Le plus souvent, nous allions sur les rives de la Meuse. Cette rivière passait très près de l'endroit où nous habitions.
Nous nous arrêtions presque toujours sous le pont qui menait dans l’Île Monsin. Là, Annique m'a appris à embrasser en utilisant ma langue. Plus tard, elle m'a également montré ses seins, et encore plus tard, j'ai pu jouer avec ses jolis nichons. J'aurais adoré voir sa chatte, ou la tâter de mes doigts, mais Annique n'a jamais voulu ça pendant nos promenades, même pas sous le pont ou dans les buissons en bord de Meuse. Ainsi, je suis resté sur ma faim et je me suis plié à la volonté d’Annique. Après tout, il n'y avait aucune autre fille à l'époque qui s'intéressait à moi.
Quand j'avais seize ans, et Annique presque dix-huit, elle avait déjà une certaine expérience du sexe, et je n'en avais pas du tout. Même à seize ans, je n'ai pas branlé ma bite comme la plupart de mes camarades le faisaient. Peut-être que ça paraît ridicule que j'aie cru cela, mais ma mère m'avait dit quand j'avais treize ans que certains garçons étaient devenus aveugles en se masturbant. De temps en temps, j'avais envie de me branler, mais je n'osais pas suite à ce que ma mère avait dit.
À un moment donné pendant les vacances d'été, Annique était seule à la maison. Nous avions prévu de faire une promenade au Trou Louette cet après-midi. Rien n'en est venu. Annique m'a appelé et m'a dit qu'elle s'était blessée au pied en heurtant sa garde-robe de son gros orteil. Elle aimerait que je vienne la voir chez elle. Elle n’a pas dû me demander ça deux fois.
Une fois chez elle, nous avons commencé à nous taquiner. Nous nous embrassions et nous nous touchions aussi. Je voulais, comme toujours, jouer avec les seins d’Annique, mais elle ne le voulait pas au début.
Elle m'a touché entre mes jambes pour la première fois. Je ne savais pas trop où elle voulait en venir. Soudain, elle a dit qu'elle était excitée, qu’elle mouillait, et que je pouvais la baiser si je voulais.
Je voulais bien, mais comment cela se passerait, je ne le savais pas cette première fois. Nous sommes allés dans la chambre de sa petite sœur et nous nous sommes couchés sur son lit. Annique a passé sa petite culotte sur ses chevilles et a ouvert ses jambes. Elle avait une très belle foune, avec des lèvres plutôt petites et elle avait la chatte rasée. Je dois dire que c'était la première fois que j’ai vu le sexe d'une femme. Donc, je ne savais pas comparer, mais le simple fait de voir la chatte sans poils d'Annique faisait que ma bite s’est redressée.
Annique portait un top rouge. Elle l'a baissé un peu pour que je puisse encore jouer avec ses jolis seins. J'ai aussi baissé mon pantalon et j'ai voulu enfoncer ma queue en érection dans la chatte d'Annique. Cela ne s'est pas fait. Même avant que ma bite ne touche ses lèvres, j'ai giclé mon sperme. Une partie s'est retrouvée sur la cuisse d'Annique, une partie sur le couvre-lit blanc de sa sœur.
Annique s’est redressée sur le lit. Je pouvais voir sur son visage qu'elle était profondément déçue. Non seulement cela, elle devait aussi laver le foutre que j'avais giclé sur sa cuisse en premier. Ensuite, elle a également dû nettoyer le couvre-lit et essayer d'effacer toutes les traces de notre baise ratée.
Annique m'aimait bien à l'époque. Elle ne m'a pas blâmé pour mon éjaculation précoce. Elle voulait même que nous continuions à baiser. Cela s'est fait dans les semaines suivantes. Malheureusement, j'ai encore éjaculé mon sperme prématurément sur ses cuisses, sur son ventre… Cela ne veut pas dire que je n'aie jamais réussi à mettre ma bite dans sa chatte mouillée. Deux fois sur trois, ma queue est effectivement entrée dans son trou de baise.
Malheureusement, une fois dedans, il me fallait rarement plus d'une minute pour venir. Inutile de dire qu'à chaque fois, Annique était déçue, car je n’ai jamais su la faire jouir. Notre partie de baise a duré trop peu pour ça.
Même si Annique m'aimait bien, cela n'a pas duré avec elle. Après moins de six mois, elle m'a laissé tomber. Elle a été honnête avec moi quand elle a rompu. Il y avait quelqu'un d'autre qui la baisait derrière mon dos depuis un moment. Le sexe avec ce type durait très longtemps, m’a-t-elle affirmé, et une fois sur deux, il réussissait à la faire venir.
Après Annique, j'ai encore connu un certain nombre d'autres filles, mais pas beaucoup. En intéresser une était déjà un problème sérieux pour moi. Je n'ai pas vraiment eu de réussite au jeu de séduction. Pourtant, de temps en temps, il y avait une fille qui acceptait mes avances. Mais garder une chérie pendant plus de quelques mois, c’était une autre histoire. Tout comme Annique, elles s'attendaient à ce que je leur donne un orgasme quand je les sautais. Je n'y suis jamais parvenu, pas une seule fois. Je ne l'ai pas chronométré, mais j'estime que quand je couchais avec une fille, il n'a jamais fallu plus d'une à deux minutes au maximum avant que je libère mon sperme dans sa chatte. Si du moins je ne le giclais pas déjà sur ses jambes, dans ses poils pubiens ou sur son ventre...
C'est donc tout à fait normal que je n’aie su garder aucune fille. Quelques-unes m'ont quitté après que nous n’avions baisé qu'une seule fois. Certaines d'entre elles m'ont donné une seconde chance après la déception essuyée la première fois. Elles ont rapidement compris que j'avais un problème majeur d'éjaculation précoce. Ainsi, je n'ai pas eu le droit de les niquer plus de deux ou trois fois. Puis elles partaient, à la recherche d'un autre partenaire qui sache leur donner ce dont leur corps avait besoin sexuellement.
Avec toute cette situation, je me sentais de moins en moins bien. En fait, je devrais dire que je me sentais vraiment mal après tout.
J'ai pris conscience que je devais demander de l'aide. La première personne à qui j'ai parlé timidement de mon problème était notre médecin de famille. Il a dit qu'il ne savait pas m'aider, car il n'avait aucune expérience en la matière. Il m'a référé à un urologue. Ce spécialiste m'a examiné à fond. Le test sanguin a montré que j'avais un taux de testostérone légèrement plus élevé qu'un autre homme de mon âge. Selon l'urologue, cela ne pouvait pas être la cause de mon problème. Il a également examiné de près mon pénis et mes testicules. Je n'avais pas de problème d'érection, donc cela ne pouvait en rien influencer mon éjaculation précoce. Ce qui l'a frappé, c'est que mon appareil génital était de longueur et de diamètre normaux, mais que mon gland était plus gros et avait une autre forme que celui de l’homme moyen, ressemblant au gland d’un étalon, et apparemment aussi plus sensible, peut-être hypersensible à la stimulation. Selon ce spécialiste, mon éjaculation prématurée trouvait peut-être sa cause là, mais il n'en était pas sûr. Si je voulais, il pourrait me prescrire un inhibiteur de la libido, peut-être que cela aiderait. Je ne voulais pas, parce qu'il m'a prévenu: des médicaments comme celui-là comportaient la somnolence, une perte de concentration et encore plus d’effets secondaires.
L’urologue ne savait pas vraiment m'aider. Ensuite, ce médecin m'a dit que je devais consulter un sexologue. Peut-être que cela pourrait résoudre mon problème d'éjaculation précoce. C'est comme ça que je me suis adressée à la sexologue Constance Protard.
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