Histoire Erotique
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Leur antre d'amour les accueille avec beauté et élégance. Mais ils n'ont d'yeux que pour eux. Commence alors un ballet érotique... Inspiré d'une histoire vraie, pénétrez l'intimité de ce couple d'amants comme vous ne pourriez que l'imaginer.
Proposée le 18/03/2021 par pfdd
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Un nouveau baiser, plus profond encore, car dénué de tout jeu, de toute tentative de dissimulation de sentiments. Il était éperdument amoureux d'elle en cet instant, et voulait le vivre comme s'il était unique.
Leurs langues jouaient sans aucune retenue, se croisaient, se chassaient et se retrouvaient comme deux enfants dans un jardin d'été. Leurs lèvres se posaient, s'éloignaient, se rejoignaient. Leur souffle brûlant se mêlaient l'un à l'autre, faisant augmenter ce désir déjà presque à son apogée.
Les mains s'éloignaient, se serraient, leurs doigts s'entrecroisaient, touchaient le moindre morceau de peau qui pouvait se présenter...
Un ballet de chair en ébullition naissait dans cette entrée, et les deux acteurs eux-mêmes étaient comme détachés de tout mouvement, tellement intimement liés qu'ils ne semblaient plus bouger du tout.
Sa chemise rejoignit la robe au sol, puis son pantalon...
Il plia les jambes et son visage descendit doucement le long de son buste. Il laissa glisser son nez au gré des courbes naturelles et une fois au niveau du nombril, il la serra vivement contre lui et se releva d'un seul mouvement, l'emportant dans les airs. Et elle poussa un cri de surprise.
Tout semblait tourner autour d'elle, les murs, le sol, les meubles, les fenêtre par lesquelles les rayons de soleil dessinaient sur le parquet de merveilleuses ombres chinoises. De toutes manières, tout aurait été merveilleux à cet instant.
Son preux chevalier l'emportait vers un endroit bien caché des regards, et elle allait vivre avec lui de délicieux instants de la plus belle connivence qu'il soit donné de vivre...
Il la déposa avec mille égards sur le lit dont les draps étaient entr’ouverts. Elle s'y engouffra et s'y cacha avec candeur, lui lançant un regard des plus équivoques.
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Pas même un instant déstabilisé, il souleva la couverture par le fond et y glissa ses mains, puis ses bras, et enfin sa tête et tout le reste de son corps.
Et loin de toute lumière, de tout jugement, il se lança dans la plus belle des conquêtes.
Ses doigts rencontrèrent en tout premier, à tâtons, ses pieds qu'il serra délicatement par pressions successives.
Embrassant tendrement le moindre recoin de peau, il remonta avec une infinie lenteur ses mains le long de ses mollets.
Il s'arrêta aux genoux, et ses mains continuèrent seules dans leur ascension vers le sommet.
Elle couvrit son propre visage avec le drap pour partager cette pénombre avec son amant. Ainsi, elle était totalement concentrée sur les innombrables sensations qui traversaient son corps tout entier. Elle se cabra de plaisir, tentant avec ses mains de rejoindre les siennes, mais elles étaient encore inaccessibles...
Elle sentit les caresses remonter le long de ses cuisses, d'abord par l'extérieur, puis revenir vers l'intérieur et redescendre lentement. Un merveilleux va-et-vient érotique qui éveillait en elle une sensualité tellement nouvelle.
Chacun de son côté ressentait les plus fortes sensations jamais vécues.
Elle savait que depuis qu'il avait touché ses jambes de ses lèvres, un liquide annonciateur d'une intense sensation de plaisir avait commencé à couler d'entre ses cuisses, mouillant dans un premier temps sa culotte de soie, puis certainement très prochainement le drap qui risquerait de garder des traces de leur rencontre.
Quant à lui, il ne saurait cacher plus longtemps cette forme particulièrement dure et tendue qui frottait pour le moment contre le drap à travers son caleçon de coton gris.
Il continua cependant à déplacer avec une volontaire lenteur ses mains le long de ses cuisses, restant attentif au moindre tressaillement de sa part, pour s'éloigner ou se rapprocher du Graal qui l'attendait quelques centimètres plus haut.
Sa respiration était calquée sur la sienne. Ils vivaient à l'unisson de ces contacts charnels, en rythme avec les battements de leurs cœurs.
Puis, au détour d'une courbe de sa cuisse, leurs doigts se touchèrent et se lièrent instantanément.
Elle le guida plus haut vers ses hanches et ne desserra son étreinte qu'une fois qu'elle eut sentit la douceur de la soie.
(...)
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