Une femme très coincée, son mari qui se satisfait avec des aventures sans lendemain. Il n’en fallait pas plus pour qu’il contacte Salomé et lui demande son aide.
Proposée le 9/08/2015 par Marc Paul
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Thème: Femme dominée
Personnages: FFH
Lieu: Hôtel
Type: Roman
Salomé posa son livre et saisit son téléphone portable qui vibrait. C’était un homme, il se présenta en lui précisant qu’ils s’étaient croisés à une soirée quelques semaines auparavant.
Elle s’en souvenait de cette soirée, un moment assez désagréable d’ailleurs.
Elle y accompagnait un homme plutôt jeune. Après l’avoir gardé près de lui pendant les quelques minutes nécessaires à faire le tour des invités, il l’avait ensuite abandonnée pour se lancer dans des discussions animées. Elle avait passé toute la soirée seule, près du buffet ou bien assise sur une chaise. A la fin de la soirée, son client ne l’avait même pas amené dans un hôtel. Il avait arrêté sa voiture sur les quais, dans un endroit désert, et l’avait fait se mettre à quatre pattes sur la banquette arrière. Là, il avait relevé sa robe sur son dos et l’avait enfilée sans aucune autre forme de préliminaire. Elle avait juste eu le temps de lui tendre un préservatif. Elle avait eu un peu mal malgré le lubrifiant de la capote tant son con était sec. Il l’avait ensuite déposée près d’une station de taxi. Malgré la goujaterie de son client, Salomé avait simulé le plaisir. Bien sûr, moins bien qu’avec des hommes maladroit mais de bonne volonté, mais ces gémissements avaient été suffisamment convaincants pour justifier la poignée de billets qu’elle venait de ranger dans son sac.
Si elle se souvenait de l’homme qui l’appelait aujourd’hui, c’est parce qu’il avait été un des rares invités à lui adresser la parole alors qu’elle s’ennuyait ferme à côté du buffet. Un homme d’une cinquantaine, une crinière blanche, de grosses lunettes, un visage rond, un peu rougeau, une petite bedaine. Au bout de quelques minutes, l’homme lui avait demandé sa carte. Elle avait également remarqué la femme qui l’accompagnait, la cinquantaine également, grande, maigre, sèche, plate, le visage dur, les cheveux gris en brosse, austère. Salomé avait supposé qu’elle était son épouse et elle avait conclu, amusée, qu’il ne devait pas rigoler tous les jours avec une nana pareille.
Après lui avoir demandé si elle acceptait d’avoir des rapports avec une femme, l’homme lui proposa un rendez-vous dans une résidence hôtelière au sud-ouest de la ville.
Le taxi la déposa devant l’hôtel. Salomé attendit quelques minutes avant d’entrer car en fin d’après-midi, son client lui avait envoyé par SMS le numéro de chambre et lui demandait d’arriver à 20 heures précises.
Elle frappa à la porte à l’heure indiquée. Un homme lui ouvrit la porte et l’invita à entrer. C’était bien celui qui lui avait demandé sa carte quelques semaines auparavant.
Il la fit entrer dans le salon et la pria de s’assoir. Il semblait vouloir discuter avant…
Effectivement Victor entama un long monologue après s’être présenté.
« Il y a quelques temps, je faisais un peu de rangement dans mes papiers personnels et j’ai trouvé un carnet au milieu d’eux. Ce carnet que je ne connaissais pas, n’avait rien à faire ici. Je l’ai ouvert et j’ai reconnu l’écriture de Chantal, mon épouse. J’ai commencé de lire ce qu’elle avait écrit. C’était une sorte de journal intime. J’ai failli le lui rendre mais poussé par la curiosité, je l’ai lu complètement. Elle y parlait de son éducation, très stricte, dans une école privée de religieuses qui pratiquaient encore les punitions corporelles. Elle expliquait les conséquences de cette éducation, en particulier sur sa vie sexuelle. Son peu d’entrain envers le sexe venait de cela, selon elle. Elle se souvenait d’une fois où, par jeu, je lui avais fait l’amour en lui emprisonnant les bras dans son pull que je n’avais pris la peine de lui ôter complètement. Elle disait que, ce jour-là, elle avait eu un plaisir intense. C’était il y a trente ans et je ne me souvenais plus de cet épisode. Elle exprimait le désir de retrouver cette forme de plaisir trouble que lui avait donné l’emprisonnement de ses bras. C’était comme si elle me demandait de l’attacher pour la baiser. »
Victor fit une pause. Salomé était un peu intriguée et se demandait ou Victor voulait en venir. Il continua :
«J’ai remis le carnet à l’endroit où je l’avais trouvé et quelques jours après cette découverte, j’ai attachée Chantal pour lui faire l’amour. Elle a eu plusieurs orgasmes très intenses ce jour-là, ce qui ne lui était jamais arrivé. Tous les jours, je regardais son carnet, qu’elle laissait à la même place. Elle ajoutait de nouvelles pages, chaque fois que nous baisions. Elle y décrivait nos relations et le plaisir qu’elle en retirait dans des termes assez crus que je n’aurais jamais imaginé pouvoir venir d’elle. Depuis quelques semaines, elle a commencé à s’épancher sur ses propres fantasmes, en particulier après le jour où je l’avais baisée liée sur la table du salon alors que la baie vitrée était grande ouverte, elle exprimait le désir d’avoir des relations avec moi en présence d’une autre personne. Puis une autre fois, alors qu’elle supposait que j’avais des maitresses, elle disait envisager de me regarder baiser une autre femme et d’avoir elle aussi des relations avec une fille. Tout cela en étant soumise, attachée, sans possibilité de se dérober… »
Salomé commençait à comprendre. Elle l’interrompit :
--SI je comprends bien, cher Victor, tu voudrais que, toi et moi, accomplissions les fantasmes de Chantal ?
--C’est exactement cela ! Est-ce que tu es d’accord pour nous aider ?
--Pourquoi pas ! Mais où est-elle ?
--Juste à côté. Viens !
Victor fit entrer son invitée dans la chambre. Chantal était assise sur le milieu du canapé, très droite, l’air sévère. Elle lança un drôle de regard en direction de la jeune femme qui accompagnait son mari. Salomé fut incapable de déterminer si ce regard était un signe de fureur ou de désir. La seule chose qu’elle y vit c’est que Chantal était sous le coup d’une émotion forte.
Salomé remarqua la paire de menottes qui liait ses chevilles, et d’après la position très droite de la femme qui avait les mains cachées dans son dos, elle supposa que ses poignets étaient eux aussi entravés.
Victor l’aida à poser son manteau et enlaça sa taille en restant dans son dos. Il caressa ses hanches, son ventre, ses flancs et sa poitrine. Il releva sa robe, dévoilant à sa femme le pubis épilé de Salomé. Chantal ne bougea pas, ne dit rien. Puis Victor fit glisser le zip de la robe, écarta l’ouverture pour que la robe tombe sur les pieds de Salomé. Elle ne portait en dessous qu’un serre taille qui maintenait ses bas. Salomé se débarrassa totalement de sa robe en la repoussant du pied.
Victor conduisit Salomé vers le canapé et l’invita à s’assoir à côté de sa femme. En suivant ses indications, Salomé commença à déboutonner le chemisier blanc de Chantal. Lentement, bouton après bouton, elle dévoilait le torse maigre de Chantal, un soutien-gorge blanc qui soutenait sa minuscule poitrine. Quand l’ouverture atteignit la ceinture du pantalon gris, Salomé sortit le bas du chemisier du pantalon et l’ouvrit en grand dégageant ses épaules osseuses. Elle rabattit ensuite les bretelles du soutien-gorge et dégagea les petits seins de leurs bonnets.
Chantal restait toujours impassible, contrairement à son mari qui avait ouvert son pantalon et se masturbait lentement en regardant sa femme entre les mains de Salomé. Celle-ci entreprenait de poser le pantalon de Chantal. Elle l’ouvrit et commença à la faire glisser. Heureuse surprise, malgré son impassibilité, sa passivité, Chantal décolla ses fesses de son siège pour faciliter l’œuvre de Salomé. Le pantalon se retrouva sur ses chevilles bloqué par les menottes.
Quand Salomé posa sa main sur le ventre de Chantal, elle la sentit frémir, quand ses doigts glissèrent sous la ceinture élastique de sa culotte blanche, Chantal ouvrit ses cuisses. Elle glissa sa main entre la peau et la culotte. Ses doigts rencontrèrent une toison abondante, douce. Elle continua l’exploration du pubis de Chantal, qui ouvrit encore plus ses cuisses, autant que ses chevilles entravées le lui permettaient. Salomé retira sa main, laissant Chantal toujours aussi impassible pour aller s’occuper de Victor, qui branlait sa queue maintenant rigide. Elle s’assit sur le lit et se penchant vers lui pour sucer son gland qu’il maintenait décalotté. Puis elle lui demanda la clé des menottes qui entravait son épouse.
Salomé libéra une main de Chantal, lui enleva totalement chemisier et soutien-gorge avant de l’entraver de nouveau. Elle fit de même avec son pantalon et sa culotte après avoir libérée une de ses chevilles. Chantal se laissa faire, inerte, comme absente. Elle n’esquissa aucun mouvement quand elle eut ses mains ou ses pieds libérés pendant quelques courts instants. Salomé l’aida à se mettre debout, face à Victor qui s’était dénudé lui aussi et avait repris sa branlette.
Pendant quelques minutes, Salomé explora le corps de Chantal du bout de ses doigts. Aucune parcelle de peau n’échappa à son examen. Malgré ses chevilles attachées, l’espace entre les cuisses de Chantal était suffisant pour laisser passer la main de la jeune femme. Salomé fit glisser son doigt sur les petites lèvres de Chantal qui s’ouvrirent. Sa chatte était gonflée, sa fente humide, son clitoris érigé. Elle plongea deux doigts dans le con de Chantal et les ressortit luisants de mouille. Devant les yeux de Chantal, elle fit glisser ses doigts sur son pouce comme pour en apprécier la lubrification avant de les poser sur ses lèvres. Chantal ouvrit la bouche et les suça avec soin.
Salomé s’allongea sur le lit et attira Victor.
Chantal resta debout. Sous son impassibilité apparente, elle bouillonnait intérieurement. Un mélange de sentiments intenses et contradictoires.
De la fureur d’abord, contre cette jeune putain qui se donnait à son mari sans aucune retenue. Cette belle salope qui lui ouvrait ses cuisses. Cette petite trainée qui lui offrait son sexe à sucer. Cette garce qui gémissait et se trémoussait de plaisir. Elle regardait hallucinée, la langue de Victor lécher la chatte imberbe de Salomé, fouiller sa fente, tenter de pénétrer son antre. Elle voyait les contours de sa bouche luisant de mouille. Elle entendait les grognements de Victor, les râles de plaisir de Salomé.
De la fureur aussi contre Victor, qui n’avait pas su la conduire au plaisir dès qu’ils s’étaient rencontrés. Victor, qui n’avait pas su faire sauter les verrous de son éducation et de sa pudeur, et qui avait préféré aller se satisfaire dans les bras de femmes volages ou entre les cuisses accueillantes des putains de luxe.
De la fureur contre elle-même surtout, car elle se rendait bien compte qu’elle était la cause de tout cela, qu’elle n’avait pas su surmonter le poids de son éducation, briser ses tabous. Si elle avait pu, voulu se comporter avec son mari comme la dernière des gourgandines, comme cette belle Salomé, elle ne serait peut-être pas là, attachée, à regarder son mari faire jouir une jeune femme de l’âge de leur fille. Ecrire son petit carnet, faire en sorte que Victor le trouve, en redoutant qu’il le lise, avait été un effort terrible mais aussi presque une jouissance. Il l’avait lu, l’avait attachée pour la baiser et elle avait jouit comme jamais. Elle avait continué de communiquer avec lui de cette façon et elle était ici à le regarder couvrir son dard d’un préservatif.
Maintenant elle était à la merci de cette putain qui la faisait s’allonger sur le lit tête-bêche avec Victor. Son ventre se contracta de désir, elle avait envie à cet instant que Victor mette son dard dans sa bouche. Mais non, ce n’est pas ce que cette salope avait prévu pour la torturer encore, elle voulait juste que Chantal soit au plus près de ce qui allait se passer.
De la fureur, mais aussi du désir. Le désir d’être à la place de Salomé, couchée sur le flanc, tenant sa jambe à la verticale et Victor derrière elle qui la fourrait. Elle voyait, à quelques centimètres de ses yeux hallucinés, son gros manche s’enfoncer dans le ventre de Salomé, ressortir doucement, luisant, pour mieux retourner d’où il venait. Elle voyait le visage de Salomé, tordu de plaisir, rouge d’extase. Sa jolie bouche entrouverte qui laissait passer de petits cris. Elle jouissait encore la salope…Chantal voulait jouir aussi…comme elle. Pour la première fois, les menottes qui liaient ses membres l’entravaient réellement. Jusqu’à ce jour, elle les avait toujours considérées comme des amies, comme le moyen de faire disparaitre ses tabous. Elle se faisait baiser attachée, elle en jouissait mais elle ne pouvait pas se dérober, pas refuser puisque elle était attachée. Elle se cachait derrière son impuissance et elle jouissait comme une garce mais elle n’était pas une garce puisque elle était entravée. Maintenant ses bracelets l’empêchaient de bouger ses bras, de les ramener devant elle, de se toucher. Elle découvrit le besoin de se masturber, pour la première fois elle avait envie de jouir de ses propres œuvres. Si elle avait été libre de ses mouvements, elle aurait jeté Salomé hors de ce lit pour prendre sa place, pour se faire défoncer par Victor. Non ! Si elle avait été libre de ses mouvements, elle aurait poussé Salomé, aurait pris sa place, se serait fait défoncer pas Victor et lui aurait donné du plaisir avec sa bouche. Chantal avait découvert juste avant un plaisir trouble quand Salomé l’avait dévêtue, quand elle l’avait caressée du bout de ses doigts, quand ses doigts s’étaient égarés dans sa fente, avaient à peine effleurés son clitoris avant de s’enfoncer dans son intimité. Ses courts instants lui avait fait entrevoir des moments de douceur perverse. Elle désirait une fille, cette jeune fille de l’âge de sa propre fille.
Quand Salomé effleura son ventre, Chantal replia ses jambes et put ainsi les ouvrir, offrir sa chatte à la caresse de la belle Salomé. A part avoir confié ses fantasmes à son petit carnet, c’est la première fois qu’elle prenait une telle initiative. Depuis toujours quand Victor la baisait, il remontait sa chemise de nuit sur son ventre, s’imposait entre ses cuisses qu’il forçait à s’écarter et il la pénétrait après avoir mouillé son sexe avec de la salive. Il la besognait ainsi pendant qu’elle subissait passive, inerte, les coups de bélier de son membre au plus profond de son intimité. Quand, après s’être vidé en elle en grognant, il la libérait de son poids, Chantal allait se doucher et revenait se coucher à coté de Victor qui dormait déjà.
Victor besognait lentement Salomé en regardant Chantal se laisser caresser par Salomé. Elle avait ouvert grand ses jambes entravées, offert son pubis à la main de la jeune femme. Les doigts de Salomé glissait sur l’ourlet de ses petites lèvres, les laissait s’ouvrir toutes seules sous l’effet du désir. Elle introduisit ensuite son doigt dans la fente détrempée de mouille. Chantal se cambra quand Salomé toucha son petit bourgeon de chair. Elle laissa s’échapper un petit cri de plaisir. Victor lui sourit. Chantal s’abandonna au plaisir qui dormait dans son ventre. Elle se cambra encore, se cabra comme une jument rétive, ouvrit grand sa bouche comme si elle manquait d’air quand l’orgasme l’envahit, quand des ondes de plaisir partirent de son clitoris, envahirent son ventre avant de prendre possession de tout son corps. Elle trembla de tous ses membres contraints, sentit la morsure des menottes sur ses poignets et ses chevilles, la reçu comme une douce caresse. Chantal ferma les yeux et jouit en criant. Un cri rauque, grave, un profond soupir avant de succomber à l’orgasme qui la fit tressauter sur le lit, se tordre de plaisir.
Victor se retira du ventre de Salomé. Il donna son membre à sucer à son épouse. Il n’avait même pas enlevé la capote qui le protégeait et Chantal découvrir dans sa bouche le gout de la mouille de la jeune femme. C’est Salomé qui, ayant repris ses esprits, arracha le préservatif.
Chantal avait le membre de Victor dans sa bouche. Elle s’appliquait à sucer ce gros bâton palpitant et chaud. Elle enroulait sa langue autour du gland violacé qui prenait possession de sa bouche. De nouveau elle ressentit la morsure des menottes. Elle aurait voulu pouvoir disposer de ses mains, enrouler son poing autour de la grosse tige qu’elle avalait, malaxer les boules poilues de Victor. Salomé appuyait sur sa tête pour que la sucette s’enfonce profondément dans sa gorge. Chantal lui lança un regard suppliant qui voulait dire « Libère-moi ».
Salomé reçu le message et libéra ses mains.
Chantal les utilisa comme son désir lui commandait. Elle sourit à Salomé, la remercia du regard, ressentit cette complicité entre filles qui baisent ensemble avec un homme.
Victor ne pouvait plus se retenir, il avait fourré Salomé et maintenant Chantal le suçait comme une putain lubrique, comme ces femmes adultères qu’il rencontrait parfois, comme ces escorts qu’il payait une fortune.
Jamais Chantal ne lui avait fait une pipe, même depuis qu’il l’attachait pour la baiser, il n’avait osé fourrer sa queue dans la bouche de sa femme. Il avait volontairement gardé le préservatif car il était conscient qu’il allait se vider dans sa bouche. Il éjacula, incapable de retenir plus longtemps la lave brulante de son sperme. Sa semence jaillit de sa queue, des jets puissants. Chantal recevant la crème grasse et salée dans sa bouche ne se déroba pas, au contraire, elle accéléra sa fellation, la poursuivit jusqu’à ce que la source de sperme se tarisse. Victor roula sur le dos, vidé de sperme, vidé d’énergie.
Salomé avait également libéré les jambes de Chantal. Et elle s’allongea sur elle, l’embrassa profondément, lui nettoya de sa langue ses lèvres maculées des dernières gouttes de sperme qu’elle n’avait pas encore avalé. Chantal se sentait comme libérée, ses tabous s’étaient envolés d’un seul coup, comme soufflés par la tornade sensuelle qui s’était abattue sur elle. Elle rendit son baiser à Salomé. Elle la caressa, lui pelota les seins, les fesses, la chatte. Elle fourra ses doigts dans le con inondé de Salomé, les agita dans le fourreau gluant. Les deux femmes roulèrent sur le lit.
Victor leur avait laissé toute la place.
Elles s’embrassèrent, se touchèrent, se retrouvèrent en 69, Salomé dessous, Chantal dessus. Basculèrent, Salomé dessus, Chantal dessous. L’une léchant la chatte de l’autre, Chantal répondait aux caresses de Salomé en reproduisant les caresses que la jeune femme lui appliquait. Elles gémissaient toutes les deux, s’arrêtaient parfois comme à bout de souffle, laissant leur plaisir retomber un peu, profitaient de ses instants de calme pour se câliner, s’embrasser avant de mieux reprendre leur pugilat sensuel.
Incrédule, Victor regardait le spectacle qui se déroulait sur le lit. Même dans ses rêves les plus fous, même dans ses fantasmes masturbatoires les plus torrides, il n’aurait jamais imaginé sa femme, la prude et austère Chantal, se livrer sous ses yeux à une telle débauche, sombrer dans une telle luxure. Son dard reprenait de la vigueur, se remettait au garde-à-vous, près à retourner au labeur.
Les deux filles crièrent en même temps, complices dans l’orgasme. Victor se rua alors sur le lit, démêla les corps enlacés, coucha Chantal sur le dos et l’enfila brutalement. Elle cria de plaisir.
Salomé encore dans les brumes de son orgasme, s’allongea à leur côté. Elle appuyait sur les fesses de Victor, lui imprimait le rythme de ses coups de reins. Elle embrassait Chantal, caressait ses petits seins, tordait violemment les tétons. Chantal ouvrit la bouche, murmura :
--Regardes comme il me baise. Il me défonce comme une brute. J’aime me faire baiser comme une chienne.
Salomé prit les jambes de Chantal, les releva et les noua sur les reins de Victor qui défonçait sa femme. Elle glissa sa main entre leurs ventres, titilla le clitoris de Chantal, branla Victor qui s’était retiré, guida sa queue quand il voulut reprendre possession du con de Chantal.
Chantal eut un nouvel orgasme, encore plus fort, plus violent que le précédent. Victor, cramoisi, suant à grosses gouttes, grognant comme un ours, défonçait sa femme comme un sauvage. Insensible à ses cris de plaisir, il faisait coulisser son dard dans son con palpitant, toujours plus vite, toujours plus profond, toujours plus fort. Chantal accueillait chacun de ses coups de boutoir par un petit cri. Il se vida de nouveaux au plus profond de son con en gueulant.
La chambre retrouva son calme. On n’entendait plus que le bruit des respirations, que le chuintement des soupirs qui s’apaisaient. Ils restèrent longtemps tous les trois étendus, Victor encore sur Chantal, sa queue qui se racornissait toujours enfoncée dans son con. Elle dénoua ses jambes, les étendit. Victor la libéra et roula sur le côté.
Chantal se retourna vers lui, s’allongea sur lui et l’embrassa tendrement. Puis elle se retourna vers Salomé et fit de même. Elle se recoucha sur le dos et murmura à son mari :
--Merci, mon chéri. Je crois que je suis maintenant libérée de tous mes tabous. Nous avons perdu de trop longues années, toi et moi. Il faut que ça change. Je sais parfaitement que tu couches avec d’autres femmes. Je ne t’en veux pas, j’ai bien compris que tout cela venait de moi, de mes tabous, de mon éducation. C’est fini maintenant. Mais je ne te demande pas d’être fidèle. Je veux simplement que tu continues de me baiser comme tu m’as baisée aujourd’hui, et sans menottes et sans l’intermédiaire du petit carnet noir, je n’en ai plus besoin. Si tu veux continuer de baiser avec d’autres, ça ne me dérange pas. Moi aussi je veux rattraper le temps perdu et je veux avoir des amants et des amantes comme cette merveilleuse Salomé. Qu’en penses-tu ?
--Je suis d’accord, mon amour. Je suis comblé que tu deviennes enfin une…une véritable…
--Salope ?
--Non, je ne trouve pas le terme….ah voilà ! Je veux que tu deviennes une vraie coquine. Tu veux baiser avec d’autres, vas-y fait toi plaisir.
--Le terme de salope ne me déplait pas, en fait. Mais nous pourrions peut-être libérer Salomé. Et il faudrait penser à…comment dit-on ?
--Mon petit cadeau. Précisa Salomé.
--C’est ça, son petit cadeau. Au fait, ma belle, tu serais d’accord pour qu’on se revoit toi et moi, un de ses jours.
--Pas de problème. Victor a mon numéro de téléphone, tu peux m’appeler quand tu veux.
--Très bien. Si tu veux bien nous laisser car j’ai encore envie de baiser avec mon homme, seule, tu comprends ?
--Tout à fait. A bientôt.
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