Salomé est devenue une escort-girl. Sa bisexualité lui permet, comme Mathilde, d’avoir aussi des clients de sexe féminin. Une de ses clientes va lui faire une demande un peu particulière…
Proposée le 9/08/2015 par Marc Paul
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Roman
Salomé était maintenant « escort » depuis quelques mois. Mathilde l’avait beaucoup aidée en refusant certains de ses clients sous des prétextes fallacieux et en leur indiquant la jeune femme comme pouvant les combler ou bien en leur proposant qu’elle l’accompagne si son client semblait chercher plusieurs filles. Et ses premiers clients semblaient satisfaits puisque nombre d’entre eux l’avait de nouveau sollicitée. Le bouche à oreille avait fait le reste et Salomé avait maintenant deux ou trois rendez-vous par semaine. Mathilde n’avait plus besoin de l’aider depuis quelques semaines. Les deux femmes vivaient encore ensemble. Elles avaient fait ce choix en commun et tentaient de se garder au moins trois soirées par semaine à passer ensemble.
Salomé était satisfaite de sa nouvelle vie. Elle sortait avec des hommes deux ou trois fois par semaine, elle était autonome financièrement. Les lieux qu’elle avait l’occasion de fréquenter avec ses clients étaient tous très luxueux. Comme le lui avait dit Mathilde, il lui était arrivé de ne pas être obligée de baiser. Mais parfois aussi, elle devait simuler le plaisir devant la maladresse ou la précipitation de certains.
Le téléphone de Mathilde se mit à sonner. Elle répondit. Salomé n’entendit pas la conversation mais il lui sembla que Mathilde déclinait une invitation. Elle en eut la confirmation quand Mathilde dicta son numéro à son interlocuteur. Quand Mathilde raccrocha, elle dit rapidement à Salomé :
--C’est une femme que je connais. Elle va t’appeler car elle a besoin de quelque chose d’un peu spécial…
Elle n’eut pas le temps dans dire plus que le téléphone de Salomé vibra sur la table du salon :
--Allo, ici Salomé.
--Bonsoir mademoiselle, j’ai eu vos coordonnées par Mathilde.
--Mathilde, oui bien sûr. Que puis-je pour vous ?
--J’aurai besoin de vos services pour vendredi dans une semaine. Etes-vous disponible ?
--Vendredi prochain…merci de patienter, je vérifie…Vendredi, c’est possible. Ce serait pour la soirée ou la nuit ?
--Disons, l’après-midi et la soirée…enfin j’espère…Mais c’est un peu spécial et j’aimerais vous rencontrer avant. Est-ce qu’il serait possible que l’on se rencontre demain en fin d’après-midi, disons pour la soirée.
--Demain ? Très bien…vers quelle heure et à quel endroit ?
La femme lui donna l’adresse de son hôtel et lui dit qu’elle l’attendrait vers dix-neuf heures. Salomé se retourna vers Mathilde après avoir raccroché :
--Ma chérie, tu connais bien cette femme ?
--Oui, je l’ai rencontrée plusieurs fois. Elle est belge, bisexuelle et divorcée. Une bonne cliente. Elle est à la tête d’une société d’informatique. Elle t’a dit ce qu’elle voulait ?
--Pas vraiment. Elle m’a dit que c’était un peu spécial…je me demande bien ce qu’elle veut.
--Moi, elle m’appelait pour me demander si je connaissais une fille jeune, pas plus de trente-cinq ans mais elle ne m’en a pas dit plus. Mais ne soit pas inquiète, c’est une femme bien. J’ai toujours eu beaucoup de plaisir avec elle. Je ne sais pas ce qu’elle veut mais je ne pense pas que tu ais du souci à te faire. Mais je n’ai pas bien compris, tu la vois quand demain ou vendredi prochain ?
--Demain ET vendredi. En fait elle m’a dit qu’elle m’expliquerait tout demain.
--Ça doit être vraiment spécial…Ecoutes, demain, je te passerais un petit coup de fil vers vingt-heures trente.
--Oui, merci. Ça me rassure. Je ferai comme si tu étais un client et si je te dis que je te rappellerais alors c’est que tout va bien. Sinon je te dirais que c’est une erreur.
Malgré cela Salomé restait un peu inquiète. Non seulement, la belge était sa première cliente mais en plus elle voulait quelque chose de spécial. Son inquiétude la poursuivit toute la journée du lendemain jusqu’à ce qu’elle franchisse la porte de l’entrée de l’hôtel ou elle devait rencontrer sa cliente.
Une femme vint à sa rencontre. Elle devait avoir la soixantaine, grande, mince, un visage un peu masculin, les cheveux argentés coupés très courts. Elle portait un tailleur pantalon noir et des escarpins qui la grandissaient encore. Elle se dirigea vers Salomé en souriant, elle l’aborda dans son français parfait à peine teinté d’une pointe d’accent :
--Bonjour mademoiselle, vous êtes Salomé, n’est-ce pas ?
--Oui, c’est cela. Bonjour madame.
--Appelle-moi Marika et adoptons le « tu » entre nous.
--Volontiers.
--J’ai commandé un diner pour deux. Nous dinerons dans ma suite, nous serons plus tranquille pour parler. Est-ce que cela te pose un problème ?
--Pas du tout. Allons-y.
Marika se dirigea vers l’ascenseur avec Salomé. Elle ne lui dit rien de ce qu’elle attendait d’elle. Une fois dans sa suite, elles s’installèrent dans le salon. Marika lui précisa que le diner allait être livré par le service d’étage dans quelques minutes. En attendant, elle se présenta à Salomé. Elle lui dit ce qu’elle savait déjà de la bouche de Mathilde, qu’elle était divorcée, qu’elle avait soixante-deux ans, qu’elle dirigeait une société d’informatique, qu’elle était à Paris pour quelques jours pour affaires et qu’elle rentrait à Anvers le lendemain. Elle questionna Salomé pour connaitre son âge, si elle connaissait Mathilde depuis longtemps. Elle eut juste le temps de lui demander combien Salomé demandait pour cette soirée et pour le vendredi suivant avant que le room service ne frappe à la porte. Salomé réfléchit et lui proposa 5000€. Marika sourit et lui dit que c’était convenable et que si cela se passait comme elle l’espérait elle doublerait cette somme.
Elles commencèrent de diner en silence, ou en parlant peu. Et exclusivement de choses sans rapport avec cette mystérieuse affaire « spéciale ». Au dessert, Salomé osa lui poser la question qui la taraudait :
--Est-ce que tu pourrais m’expliquer un peu ta demande ?
--Bien sûr, j’attendais que tu me poses la question. Mais j’apprécie que tu ne l’es pas fait plus tôt. Voilà, c’est extrêmement simple. J’ai un fils de seize ans. C’est un beau garçon mais qui est…comment dit-on en français ? Il n’a jamais connu de fille, enfin intimement, il n’a jamais eu de sexe avec une fille. Tu comprends, comment dit-on ?
--Puceau !
--C’est cela. Mon fils, Erik, est puceau. Et je voudrais qu’il fasse ça la première fois avec une fille qui a de l’expérience, qui soit belle et élégante, mais qui soit encore jeune, comme toi. J’ai d’abord pensé à Mathilde mais elle me semble un peu trop âgée. Ne lui répètes pas, elle serait fâchée. Je ne veux pas que Erik découvre le sexe avec une gamine sans expérience et encore moins avec une putain d’un bordel du port d’Anvers. Tu comprends ?
--Oui, je comprends parfaitement. Et tu voudrais…
La sonnerie de son téléphone interrompit Salomé. Il était vingt heures trente. Elle s’excusa auprès de Marika et répondit :
--Allo, ici Salomé.
--[…]
--Bonsoir cher ami.
--[…]
--Je vous prie de m’excuser mais je ne peux pas vous parler. Puis-je vous rappeler ?
--[…]
--Absolument. Je vous rappelle demain sans faute.
Et elle raccrocha en s’excusant de nouveau auprès de Marika de n’avoir pas coupé son téléphone. Elle reprit :
--Tu voudrais que je fasse découvrir le sexe à Erik. C’est bien cela ?
--Exactement, mais je ne veux pas qu’il sache que je suis à l’origine de tout. Je ne veux pas qu’il s’imagine que tu es une « escort ». Tu comprends ?
--D’accord. Mais comment vas-tu faire pour que l’on se rencontre « par hasard ».
--J’ai imaginé un plan. Vendredi prochain, Erik sera avec moi, je lui ai promis de lui faire visiter Paris. Nous déjeunerons quelque part en ville tous les trois. Tu seras avec nous car je dirais à Erik que j’ai un rendez-vous important dans l’après-midi et que je t’ai demandé de l’accompagner. J’espère qu’il tentera de te séduire et je te demande de tout faire pour qu’il essaie. Il faudra que tu sois aguicheuse sans être vulgaire, tu comprends.
--Et comment tu justifieras que je déjeune avec vous ?
--Ce n’est pas compliqué. Tu seras une des collaboratrices que j’ai ici à Paris, dans la communication par exemple. Tu te sens capable de faire ça ? Soit sans crainte, je ne te parlerai pas de travail…
--Oui, ce devrait être possible. Et si il me « séduit » ou irons-nous pour…
--A l’hôtel, j’ai déjà réservé une suite avec deux chambres dont l’une avec une porte qui donne sur le couloir.
--Très bien et si je n’arrive pas à le séduire ?
--Eh bien, ce sera dommage mais je suis certaine qu’Erik succombera à ton charme. Tu es si jolie…Mais cela ne remet pas en cause ce que je te donnerais. Seulement si vous couchez ensemble, je doublerai la somme que tu me demandes.
--Je vois que tu as tout prévu.
--Oui, enfin je crois. En attendant, j’aimerais beaucoup profiter de tes charmes, sauf si tu te réserves exclusivement aux hommes.
--Bien volontiers…je n’ai pas d’exclusive.
Marika se rapprocha alors de Salomé. Elle se pencha par-dessus son épaule pour l’embrasser et l’inviter à se lever. Elle l’entraina dans sa chambre et referma la porte derrière elles.
Marika déshabilla rapidement Salomé. Elle recula ensuite pour la regarder :
--Tu es vraiment très jolie. Tu as de beaux seins, pas trop gros, pas trop petits, bien ronds et fermes. Tes hanches sont justes comme il faut. Tes jambes sont superbes. Tu mettras une jupe, vendredi, un peu courte. Avec un chemisier et une veste ou un blouson. Il faut que tu ais l’air d’aller au travail. Pas trop de maquillage, ni de bijoux. Ta « pussy » est épilée, c’est bien. Il n’y a pas que les filles qui aiment les « pussy » sans poil, les hommes aussi. Mon Erik va surement adorer.
En faisant toutes ces observations, Marika tournait autour de Salomé et effleurait la peau claire de la jeune femme du bout de ses doigts manucurés. Puis elle s’interrompit pour lui demander de s’allonger sur le lit.
Elle se déshabilla elle-même sans cesser de regarder Salomé allongée, les jambes légèrement ouvertes, offerte. Elle s’allongea à son tour et entreprit de continuer ses effleurements qui excitaient Salomé.
Marika chevaucha Salomé, son sexe à portée de la bouche de la jeune femme. Elle lui demanda de la sucer. Salomé savait maintenant donner du plaisir à une femme. Toutes ses soirées torrides avec Mathilde, les quelques fois où elle avait couché avec Julie depuis qu’elles s’étaient rencontrées lui avait apporté une belle habileté. Mais avec une cliente, même aussi sympathique que Marika, Salomé n’avait qu’un seul but, la faire jouir certes du mieux qu’elle le pouvait mais aussi assez rapidement.
Elle fit donc glisser sa langue dans la fente ouverte de Marika, rapidement, sans s’embarrasser des petites agaceries qui font monter le plaisir crescendo. Le clitoris gonflé devint la proie de ses lèvres et de sa langue. Marika gémissait de plaisir, sa mouille coulait sur la bouche et le visage de Salomé.
Salomé remarqua l’œillet plissé qui palpitait au-dessus de son visage. Délaissant la fente ouverte, elle allongea sa langue pour l’effleurer. Marika gémit plus fort et arrondi son dos pour faciliter l’accès à sa rosette. Salomé força un peu de la pointe de sa langue l’orifice secret de Marika qui poussa un râle pour manifester son plaisir. Salomé sans cesser sa feuille de rose, enfonça son pouce dans son con chaud et humide et fit de son index des mouvements circulaires sur le clito de Marika.
Marika jouit instantanément en gémissant, le corps secoué par l’orgasme, la tête basculée en arrière. Elle s’écroula en soupirant sur Salomé puis roula sur le côté. Salomé ne bougea pas, attendit qu’elle revienne de son orgasme. Malika se retourna et, posant ses lèvres sur celles de Salomé, souillées de sa mouille, elle enfonça sa langue dans la bouche de la jeune femme. Elle la libéra après un long baiser et lui dit :
--Tu es vraiment très douée. J’espère que tu auras le même genre de talent avec mon fils. Mais tu n’as pas eu de plaisir et je dois réparer cela.
Elle se leva et disparu quelques minutes dans la salle de bains. Quand elle revint, un gode ceinture était accroché à ses hanches. Un gros cylindre couleur chair pendait à son pubis. Il reproduisait de façon très réaliste l’apparence d’un véritable chibre. Marika posa un genou sur le lit et demanda :
--Est-ce qu’il n’est pas trop gros pour toi ?
--Non, je ne crois pas.
--Car Erik est un bel homme et s’il est comme son père, il doit avoir été bien pourvu par la nature. Mets-toi en levrette.
Salomé s’exécuta et offrit ses fesses rebondies à Marika. Celle-ci, une main posée sur sa hanche guida la prothèse vers son abricot et enfonça doucement le gode. Salomé sentit son con se remplir, elle soupira d’aise. Le gode était gros, mais son petit con tonique en avait vu d’autres. Mais ce qui la ravissait, c’est que non seulement il avait l’aspect d’une vraie bite, mais il reproduisait à merveille le toucher, la souplesse rigide et même la température d’un vrai chibre. Marika la défonça pendant quelques minutes, gémissant du plaisir provoqué par l’appui du gode sur son propre pubis. Salomé bougeait d’avant en arrière, s’enfonçant elle-même sur le gode. Marika profitait d’avoir les mains libres pour caresser Salomé sur tout le corps, ses seins, ses hanches, son ventre. Salomé mêlait ses petits cris aux gémissements de Marika. Les caresses sur son clitoris, le coulissement du gode dans son ventre l’amenèrent vers un bel orgasme qu’elle accueillit en criant.
Marika se retira et disparut à nouveau dans sa salle de bain. Salomé, qui récupérait le front appuyé sur ses bras repliés. Elle sentit, à travers les brumes de son orgasme, que les doigts de Marika fouillaient sa raie culière. Elle se rendit compte que tout cela ressemblait aux préparatifs d’une sodomie et sentit immédiatement la poussée du gode sur sa rosette. Il pénétra sans effort malgré sa taille. Salomé était habituée à se faire enculer par des godes ou des bites aussi grosses. Comme, à chaque fois que cela lui arrivait, elle eut une pensée pour Mathilde qui lui avait imposé le port de plug dans son cul. Elle reprit ses mouvements pour s’empaler elle-même. Et Marika reprit ses caresses jusqu’à ce que les pressions alternées que le gode imprimait sur sa chatte la fissent jouir à nouveau. Tout en gémissant, en tremblant de tout son corps, elle défonça le cul de Salomé à grands coups de reins, les mains agrippées sur les hanches de la jeune femme, les ongles plantés dans sa chair. Salomé jouit elle aussi de se faire fourrer le cul avec une telle ardeur et les deux femmes s’écroulèrent l’une sur l’autre.
Mathilde ne dormait pas quand Salomé rentra. Poussée par la curiosité, elle ne résista pas à lui demander :
--Alors, ça c’est bien passé avec Marika ?
--Super ! Mais je suis crevée.
--Vous avez baisé ?
--Oui, d’ailleurs elle a un super gode ceinture, chauffant. C’est vraiment super. Elle m’a donné l’adresse pour en acheter un.
--Mais que voulait-elle exactement ? Baiser avec toi ? Tu m’as parlé de ce soir et de vendredi prochain…et d’un truc spécial…
--Pour être spécial, c’est assez spécial. Je ne sais pas si ça t’est déjà arrivé. En fait, elle cherchait quelqu’un pour dépuceler son fils de seize ans. Et ce soir c’était pour organiser cela entre nous…et pour me baiser aussi. Mais je crois que c’était pour me tester…
--Elle veut que tu dépucelles son fils ! Effectivement, si j’ai eu, une ou deux fois, affaire à un puceau, ça n’a jamais été à la demande de sa mère. Je comprends mieux pourquoi elle cherchait une fille plutôt jeune…
--Et tu vas faire comment pour le rencontrer ? Je n’imagine pas que Marika va te présenter à son fils en lui disant qu’elle a embauché une escort pour qu’il ait sa première fois avec elle. Remarque, c’est plutôt une bonne idée…
Salomé lui expliqua le plan imaginé par Marika. Mathilde approuva :
--Je suis sure que tu arriveras à séduire ce jeune homme. Je suppose que tu n’as plus envie de baiser ce soir. Je te laisse dormir, tu m’as dit que tu étais fatiguée…
--Oui, merci, je suis crevée. Marika m’a baisée avec son super gode ceinture, elle m’a foutue au con et au cul. J’ai eu beaucoup de plaisir et elle aussi…A demain, ma chérie.
Salomé avait réfléchi à la façon de s’habiller pour sa rencontre avec Erik. Pas question d’utiliser sa garde-robe habituelle, trop sexy, trop glamour. Elle repensa à sa façon de se vêtir quand elle était l’assistante d’un patron de PME, quand elle s’appelait Christelle. Avant de partir retrouver Marika, elle demanda l’avis de Mathilde sur son choix. Elle portait une jupe noire assez courte, un peu évasée, un chemisier blanc, une grosse ceinture marquait sa taille. Un chèche en soie bordeaux autour du cou, une veste courte en cuir fauve. Elle était chaussée de mocassins à talons de cinq centimètres. Mathilde confirma son choix :
--Eh, ma belle, tu corresponds parfaitement à ton personnage de parfaite employée modèle. Tu as mis une culotte au moins.
--Bien sûr, je ne pense pas qu’une employée modèle se balade la chatte à l’air. J’ai même mis des collants. Ça me gêne, je n’ai plus l’habitude…Tu me trouves dans le rôle.
--Au top ! Pour moi, c’est parfait. La tenue, le maquillage discret, impeccable, les bijoux de pacotille. Le puceau ne va pas résister…
--J’espère bien qu’il ne va pas résister. Il y a un gros paquet de fric qui m’attend s’il me baise…
--A oui ? tu ne m’as pas dit combien tu avais demandé à Marika.
--Cinq mille. Pour aujourd’hui et la semaine dernière…
--Cinq mille. Et bien, tu n’y vas pas de main morte…
--J’ai lâché ce chiffre comme ça, mais j’étais prête à négocier un peu. Mais elle a acceptée sans rechigner et pire elle m’a promis de doubler la somme si tout marchait comme elle l’avait prévu.
--Dix mille ! Tu deviens hors de prix, ma chérie…
Salomé retrouva Marika devant les bureaux de sa société un peu avant midi. Elle aussi jugea la jeune femme parfaite pour ce qu’elle avait prévu. Elles allèrent en taxi au restaurant où Erik les attendait.
Salomé fit la connaissance du fils de Marika. Un beau jeune homme, grand, baraqué, les cheveux blonds en brosse, des épaules larges, un physique de sportif. Il parlait un français très correct mais avec un petit accent guttural. Sa mère l’avait prévenu dans la matinée qu’elle ne pourrait pas lui consacrer l’après-midi comme prévu mais qu’une de ses collaboratrices se chargerait de lui faire visiter Paris. En découvrant Salomé, Erik était ravi que sa mère ait un rendez-vous important. La jeune femme lui plaisait énormément et il fantasma pendant tout le repas sur ce qu’il pouvait faire avec elle. Il imaginait que, sitôt seuls, Salomé lui propose de retourner à son hôtel et qu’il passerait l’après-midi sous la couette en sa compagnie.
Il fût un peu déçu car dès le repas terminé, elle lui proposa d’aller visiter le musée d’Orsay à la découverte des peintres impressionnistes. Devant les femmes nues des tableaux de Renoir, Salomé lui demanda :
--Elles sont vraiment belles, ces femmes. Tu ne trouves pas ?
--Oui, Elles sont un peu grosses. Je préfère les filles plus minces, comme toi.
L’allusion fit plaisir à Salomé. Au moins, elle semblait plaire à Erik. Ils visitèrent ensuite l’ile de la Cité, la Cathédrale et la Conciergerie. Erik ne manquait aucune occasion de toucher Salomé, de lui prendre la main, de se coller à elle. Ses manœuvres d’approches se révélaient maladroites et un peu gauches, mais elles signifiaient au moins qu’il n’était pas timide. Salomé faisait comme si elle ne se rendait compte de rien, sans pour cela réagir en vierge effarouchée. Ils allèrent à la Tour Eiffel. Erik se comportait en parfait gentleman, il payait les taxis et les entrées. Il offrit même un rafraichissement à Salomé. Ils montèrent au sommet et depuis la plate-forme, Salomé lui fit une visite de la capitale. Erik se collait à elle quand elle lui montrait quelque chose comme pour mieux suivre la direction de son doigt. Erik tenta de l’embrasser plusieurs fois et Salomé se déroba à chaque fois. Se prenant au jeu décidé par Marika, elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était une fille facile.
Le téléphone d’Erik sonna. Il répondit en s’éloignant de quelques pas. La conversation dura quelques instants puis il revint vers Salomé l’air ravi :
--C’était Mam qui me disait qu’elle ne pourrait pas diner avec moi ce soir. Elle te demande de bien vouloir continuer à me servir de guide et diner avec moi, si c’est possible. Si tu n’es pas disponible, il faut que tu la rappelles.
--Pas de problèmes, je suis totalement disponible.
--Tu n’as personne qui t’attend ?
--Non, je vis seule.
--C’est « cool » alors…
Erik reçu cette information comme une invitation à tenter sa chance à nouveau. Il enlaça la taille de Salomé et essaya de l’embrasser encore une fois. Et une fois encore, Salomé se déroba à ses lèvres insistantes. Il lui demanda, bougon, mais sans relâcher son étreinte :
--Je ne te plais pas…tu me trouves trop jeune peut-être ?
--Ce n’est pas ça…mais ta mère…c’est ma patronne…tu comprends.
--Je comprends mais elle n’est pas obligée de savoir. Moi, je ne lui dirai rien.
--Tu me le jures ? Car je ne sais pas comment elle réagirait si elle savait…je n’ai pas envie de perdre mon job.
--Je ne lui dirais rien du tout. Je te le jure.
--Dans ce cas…
Salomé posa ses mains sur les larges épaules d’Erik et lui offrit ses lèvres. Il ne se fit pas prier de l’embrasser longuement en la serrant dans ses bras puissants. Erik était puceau mais Salomé n’était pas la première fille qu’il embrassait. Elle apprécia beaucoup ce long baiser, pendant que la langue du jeune homme fouillait sa bouche, caressait ses lèvres, s’enroulait autour de la sienne. Quand il libéra sa bouche, ce fut pour lui dire :
--On ne va pas rester ici. On pourrait aller quelque part pour être plus tranquilles.
--Si tu veux. Où allons-nous ?
--A mon hôtel !
--Tu crois ? Si ta mère revenait plus tôt que prévu.
--Aucun risque. Quand elle a des trucs comme ça, elle en a pour des heures. Je suis certain qu’elle ne rentrera pas avant 10 ou 11 heures. Et puis ma chambre a un accès direct dans le couloir et la porte qui donne dans le salon a un verrou. Donc on sera vraiment tranquille.
--Hummm, je vois que tu as tout prévu, petit coquin.
En disant cela, Salomé pensa que Marika avait vraiment tout prévu, elle. Ils prirent un taxi pour aller à l’hôtel. Erik l’embrassa encore pendant le trajet et posa sa main sur son genou. Tout cela sous le regard désapprobateur du chauffeur de taxi qui matait dans son rétroviseur. Il semblait totalement offusqué de voir un si jeune homme avec une femme de trente ans. Le pourboire que lui laissa Erik lui tira quand même un petit sourire.
Sitôt arrivés dans la chambre, et les portes verrouillées, Erik se rua sur Salomé pour l’embrasser de nouveau. Mais cette fois-ci, il passa ses mains sur tout son corps, lui pelota les fesses en remontant sa courte jupe. Il tenta ensuite, maladroitement et sans succès de dégrafer sa jupe. Salomé le laissa faire quelques secondes puis elle se retira :
--Tu es bien pressé. Attends un peu. Laisses-moi faire !
Elle lui posa son pull et sa chemise, et le fit assoir sur le lit. Elle posa elle-même sa jupe, puis quitta son collant pendant qu’Erik quittait son pantalon et ses chaussettes. Son boxer présentait déjà une protubérance sans équivoque. Quand Salomé eut terminé de poser son chemisier, elle enleva son soutien-gorge en regardant Erik qui avait la bouche subitement sèche comme de l’étoupe. Ses seins nus firent encore s’accroitre l’érection du jeune homme. Son boxer distendu le gênait. Salomé s’approcha, s’agenouilla devant lui puis posa sa main sur la bosse de son sous-vêtement. Elle sentit un chibre dur, palpitant et qui semblait d’une belle taille ; confirmant ainsi l’hypothèse de Marika. Elle glissa ses pouces sous l’élastique et elle tira le boxer sur les cuisses musclées d’Erik. Il se souleva un peu pour lui faciliter la tâche.
Sa queue, libérée de sa prison, jaillit, droite et raide. Salomé s’en empara et commença à la branler doucement en fixant Erik dans les yeux. Il était rouge écarlate, il n’osait pas bouger comme tétanisé de sentir son membre dans une autre poigne que la sienne.
Salomé approcha sa bouche du gland rose. Elle posa un petit bisou du bout des lèvres sur la pointe avant d’en faire le tour avec sa langue. Erik respirait bruyamment, comme essoufflé ou en proie à une crise d’asthme. Salomé prit ensuite dans sa bouche cette grosse fraise sur laquelle perlait déjà une goutte de rosée et pompa Erik lentement. Ses lèvres glissaient sur la hampe, descendaient puis remontaient. Elle faisait alors une petite pause, enroulant sa langue autour du gland, glissant sur la collerette. Erik poussait des grognements de plaisir. Cela dura peu de temps, le temps pour Salomé de prendre trois ou quatre fois la grosse bite au fond de sa bouche, Erik poussa un grognement plus fort que les précédents et se vida dans sa bouche, incapable de refréner son plaisir.
Erik était totalement déconfit, presque au bord des larmes. Il bredouilla :
--Excuses-moi…je…je n’ai pas pu me retenir…c’était trop bon…
--Ce n’est pas bien grave, ça arrive parfois…c’est la première fois pour toi ?
--Oui.
--Je m’en doutais un peu. Mais rassure-toi, je ne suis pas fâchée.
--C’est vrai, tu ne m’en veux pas ?
--Pas du tout et pour te le prouver, je vais t’apprendre si tu veux.
--Oh, oui. Je veux bien que tu m’apprennes.
Son ton enfantin faillit faire éclater de rire Salomé mais il l’émut aussi. Elle se releva et demanda à Erik de lui poser sa petite culotte. Il tendit ses mains vers le petit morceau de dentelle blanche. En tremblant un peu, il le fit glisser sur les cuisses de Salomé. Elle s’allongea sur le lit et proposa à Erik de s’allonger auprès d’elle. Elle lui prit la main et la posa sur son sein :
--Il faut toujours prendre son temps avec une fille, tu sais. Caresses-moi la poitrine. Doucement, prends mes seins à pleines mains, comme ça, c’est bien ! Pétrit le un peu, pas trop fort. Tu peux même pincer les tétons sans trop serrer, c’est parfait. C’est très agréable.
Erik s’appliquait à suivre les indications et les conseils de Salomé.
--Tu peux aussi m’embrasser en même temps…
Tout en continuant à la peloter, il glissa sa langue dans sa bouche. Puis, heureuse initiative, il glissa ses lèvres sur son cou et continua jusqu’au globe d’un blanc laiteux. Il saisit le tétons dressé en ses lèvres, le pinça et fit glisser sa langue sur la pointe. Salomé fourragea dans les cheveux blonds d’Erik :
--Hummm, c’est très agréable. Tu apprends vite !
Erik abandonna son téton pour la regarder, le regard emplit de fierté. Salomé lui chuchota :
--Mets ta main sur ma cuisse…oui…comme ça…à l’intérieur…caresses-moi…remontes lentement…poses ta main sur ma chatte.
Erik se laissait guider, suivait à la lettre les indications de Salomé.
--Continue, tu vois comme elle est gonflée…glisse ton doigt entre mes lèvres…enfonce le ici, maintenant…tu sens comme je suis chaude et comme je mouille…c’est toi qui me fait mouiller…tu sens comme c’est doux dans mon con…remontes maintenant…doucement…tu sens comme un petit bouton sous ton doigt…caresses moi ici, très doucement car c’est très sensible…mouilles ton doigt encore…oui, oui …c’est bon. Tu vas faire cela avec ta bouche, maintenant.
Erik ne se le fit pas dire deux fois, il se glissa entre les cuisses ouvertes de Salomé. Il fit avec sa langue tout ce qu’il avait déjà fait avec ses doigts. Et, encore une fois, il prit des initiatives. Erik branlait le con de Salomé pendant que sa langue lui agaçait le clitoris.
Si, au début, Salomé avait un peu accentué ses soupirs de bonheur, maintenant les petits cris, les gémissements qui s’échappaient de sa bouche n’étaient pas feints. Erik la conduisait au plaisir aussi habilement qu’un homme d’expérience. Elle se caressait la poitrine, se pinçait les tétons, se cambrait pour mieux offrir sa chatte aux caresses. Elle cria de plaisir quand l’orgasme monta en elle, secoua son corps et tous ses membres.
Erik arrêta de la sucer pour venir l’embrasser. Salomé lécha le pourtour de sa bouche couvert de mouille :
--C’était vraiment exquis, chéri. Tu m’as fait jouir merveilleusement …
Erik semblait aux anges, fier comme un coq de sa prestation. Salomé glissa sa main entre leurs ventres et y trouva sa queue redevenue fièrement rigide.
--On dirait que tu es de nouveau prêt. Tu veux me baiser.
--Oui, j’en ai très envie. J’espère que je serais plus résistant que tout à l’heure.
--Ne t’inquiète pas. Tu as jouis tout à l’heure, ta résistance a augmenté et moi je suis encore très excitée. Moi aussi j’ai envie que tu me baises mais attends une seconde…
Salomé prit une capote et l’enfila sur la queue tendue d’Erik. Elle l’attira sur elle et guida son membre vers son con ouvert et détrempé. Erik l’enfila rapidement et la besogna immédiatement sur un rythme rapide. Salomé le calma :
--Ne vas pas si vite, chéri, prends ton temps. Je vais te montrer.
Elle posa ses deux mains sur les fesses d’Erik et lui montra quelle fréquence adopter, et aussi quelle ampleur donner à ses allers-retours. Erik comprit vite et s’appliqua à la fourrer lentement. Salomé noua alors ses chevilles sur les reins du jeune homme et remonta ses genoux pour lui ouvrir grand sa chatte. Elle se fit baiser comme cela pendant un long moment. Elle ressentait ce gros chibre qui coulissait facilement dans son con, elle appréciait les pauses que faisait Erik qui semblait mieux contrôler la venue de son plaisir. Il en profitait pour l’embrasser. Salomé sentait elle aussi son plaisir remonter, devenir envahissant. Elle glissa sa main entre leur ventres collés l’un à l’autre et se masturba. Le plaisir d’Erik devenait incontrôlable, le doux frottement, les contractions du con de Salomé sur sa queue, sa main qui s’agitait dans l’interstice de leurs ventres, tout cela devenait intenable pour le jeune homme. Malgré lui, ses coups de reins devinrent plus rapides, plus brutaux. Il défonçait la jeune femme comme une brute, avec des han de bucheron, insensible aux cris d’orgasme de Salomé qui se tortillait sous son corps. Insensible aussi aux ongles plantés dans ces omoplates. Erik se vida en poussant un grognement grave et rauque.
Les deux amants restèrent enlacés, la bite d’Erik se détendait dans le con de Salomé encore agité de petites contractions de plaisir. Ils étaient en sueur l’un et l’autre. Salomé lui demanda :
--Ça t’a plu ?
--Oh, oui. C’est vraiment « great ». Et toi, est-ce que ça été mieux que tout à l’heure quand je t’ai sucée ?
--C’était super mais j’ai bien aimé quand tu m’as sucée. C’est différent mais il vaut mieux faire les deux.
--Je comprends.
Ils partagèrent une canette de jus de fruit prise dans le mini-bar, prirent une douche en commun avant de se remettre au lit pour se câliner de nouveau, s’embrasser et bavarder un peu.
Salomé s’assoupit et les caresses d’Erik la tirèrent de son léger sommeil. Elle lui demanda :
--Tu veux encore ?
--J’aimerai bien mais pour l’instant je ne peux pas.
Effectivement sa queue restait un peu molle, sans consistance. Salomé lui dit :
--Je vais te refaire bander. Et te faire découvrir autre chose…
Salomé disparut quelques minutes dans la salle de bains et posa un préservatif à portée de main. Elle se glissa sur son ventre plat et suça le chibre mou et flasque qui reprit rapidement de la vigueur. Elle le coiffa de la capote et chevaucha Erik. Elle dirigea elle-même sa queue vers sa rosette qu’elle avait abondamment lubrifiée dans la salle de bains et s’empala aussitôt sur le dard qu’elle maintenait avec sa main. Erik se raidit :
--Mais qu’est-ce que tu fais. Tu te trompes…
--Non, je ne me trompe pas. C’est exactement ce que je voulais te faire découvrir. Tu aimes ?
--Oui, c’est très serré. Ça ne te fait pas mal ?
--Non, laisses-moi faire.
Salomé se pencha en avant et donna des coups de bassin destinés à faire coulisser le dard dans son cul. Totalement excitée par les deux orgasmes précédents, Salomé devint vite en proie à une troisième tempête de plaisir. Elle s’empalait elle-même sur le dard d’Erik qui accompagnait ses mouvements en lançant des petits coups de bassin. Ils jouirent en même temps et s’écroulèrent sur le lit.
Ils s’endormirent cote à cote. Un bruit léger réveilla Salomé. Quelqu’un venait d’entrer dans le salon de la suite. Marika sans doute. Elle en eut la confirmation quand regardant la porte, elle vit la poignée descendre lentement. Erik dormait profondément.
En silence, avec mille précautions, Salomé se leva, récupéra ses vêtements et son sac, déverrouilla la porte et entra dans le salon. Elle y trouva Marika qui lisait un dossier en sirotant un cocktail. Elle l’accueillit à voix basse :
--Alors ça s’est passé comme je le souhaitais ?
--Oui, totalement. Erik dort comme un ange.
--Mais tu l’as épuisé ! Le pauvre chéri, ça a dû le changer de ses plaisirs solitaires.
--J’espère ! Il a joui trois fois.
--Trois fois, pas étonnant qu’il dorme. Et toi, est-ce que tu as eu du plaisir ?
--Trois fois aussi. Ton fils deviendra un amant merveilleux. Ses futures conquêtes seront comblées.
--Parfait. J’en étais sûre et je suis ravie d’avoir fait appel à toi. Tiens je t’avais préparé une enveloppe au cas où on se croiserait.
--Merci Marika.
--C’est moi qui te remercie. Bien je te laisse partir. Tu feras mes amitiés à Mathilde quand tu la verras.
--Je n’y manquerais pas.
Les deux femmes s’embrassèrent avant de se quitter.
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