Chez Aldo

"La vie dissolue d'Axel D." Chez Aldo est un petit bar où se retrouvent tous les noctambules parisiens qui souhaitent un peu de frissons. L'endroit est envahi pour les transexuels et autres travestis qui font leur show. Axel va s'y laisser prendre.

Proposée le 17/02/2021 par LINOGREG

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Parfois, après des dîners interminables ou des soirées ennuyeuses, Axel s’arrêtait prendre un verre « Chez Aldo » : un bar de nuit, proche de chez lui.

C’était un petit espace d’une soixantaine de mètres carrés où se retrouvait toute la faune interlope de la nuit parisienne et notamment des travestis et autres transsexuels. Aldo était le nom du patron aux allures de « Michou » mais en plus viril et surveillait depuis son bar les entrées et les sorties mais aussi les débordements de sa clientèle.

Axel aimait bien cet endroit car il s’y passait toujours quelque chose d’intéressant et distrayant avec ce côté underground. Tout le monde connaît mais personne n’y est allé ! La plupart du temps, l’animation improvisée venait des travestis qui faisaient leur show en dansant de façon extravagante.

A bien des égards, ils (elles) étaient bien plus excitants que certaines filles
« zéro sex appeal » avec lesquelles il venait de passer la soirée.
Il avait d’ailleurs lu dans un journal style Psychologie Magazine un article au titre évocateur comme « Au secours, mon mari aime les transsexuels ! » qui expliquait que les hommes attirés par le 3ième sexe n’ont pas obligatoirement une tendance homosexuelle. Bien au contraire, souvent les vrais homosexuels ne sont pas du tout attirés par un transsexuel. C’est vraiment une envie d’hétérosexuel.

Il appréciait cette ambiguïté souvent troublante tant il était parfois difficile d’imaginer qu’un pénis se cachait dans cette culotte.

La plupart du temps, il se contentait de prendre un verre et éventuellement de se faire peloter les couilles à travers son pantalon par une ou deux de ces extravagantes pour finir par rentrer chez lui.

C’est juste un soir, alors qu’il était attablé au bar en train de jouir du spectacle qu’un transsexuel vint s’asseoir sur le tabouret voisin pour commander un verre.

Puis elle se retourna vers lui en prenant une cigarette en disant d’une voix grave :

« Tu ne pourrais pas m’allumer ? » avec un large sourire.
« Bien sûr ! » répondit Axel en sortant un briquet de sa poche pour allumer la cigarette.
« Tu es gentil toi ! » dit-elle en crachant sa première volute de fumée.
« Merci ! » marmonna-t-il
« Oh ! mais tu es un timide ! » lança-t-elle en mettant sa main sur sa cuisse.

Puis elle posa plein de questions cherchant apparemment à lier conversation.
« Tu habites où ? » « Tu es marié ? » « Tu viens souvent chez Aldo ? »
Sans trop s’étendre, Axel répondait aux questions pour ne pas paraître trop désagréable.

Elle était habillée très « femme fatale » avec un tailleur dont la jupe arrivait à mi-cuisse et dont on pouvait apercevoir le début d’une gaine sur laquelle était accrochée des bas noirs. Elle portait des escarpins vernis avec des talons aiguilles. Elle avait des cheveux blonds naturels sur un visage refait. Elle était attirante par son excentricité et son ultra féminité. Seules ses mains permettaient de comprendre que l’on n’avait pas à faire à une « vraie femme » mais à « un clone à bite ».

Elle devenait de plus en plus intrusive en pelotant la cuisse et le bras d’Axel cherchant à attirer son intention. Elle finit bien entendu par caresser son sexe à travers son pantalon et prit la main d’Axel pour la mettre sur sa poitrine.

« Je m’appelle Livia ! et toi ? » demanda-t-elle
« Axel » répondit-il spontanément en se mordant la lèvre de ne pas avoir donné un faux prénom « Et tu viens d’où Livia ? ».
« Je suis Argentine, Mon Chéri ! On a le sang chaud, tu sais ».
« Sûrement ! » rajouta-t-il pour ne pas la décevoir « Tu parles très bien le français ».

Puis s’ensuivit une conversation tout aussi banale que celle déjà commencée.

La créature finit par proposer à Axel de passer un moment ensemble.

« Je vais bien m’occuper de toi ! » lui dit-elle en mettant son bras autour du cou.

Elle lui proposa d’aller dans le petit hôtel voisin.

« Normalement c’est 150 € pour une heure, Bébé. Mais pour toi je le fais à 100 € car tu me plais ».

Il hésita mais il commençait à être drôlement excité surtout qu’elle lui chuchotait dans l’oreille toutes les choses qu’ils allaient faire.

« Je suis une cochonne ! Tu ne vas pas le regretter » finit-elle par dire comme ultime argument pour le décider.
« Je n’en doute pas ! » dit-il en souriant.

Axel et Livia sortirent de « Chez Aldo » et elle lui prit le bras pour aller dans l’hôtel qui était mitoyen. Elle se mit un peu à l’écart quand Axel régla la chambre avant de prendre la clef. De toute évidence, le veilleur de nuit était complice et il ne posa aucune question.

Une fois dans la chambre, Axel ne savait pas trop ce qu’il fallait faire. Il s’assit sur le lit en attendant les instructions de Livia. Celle-ci éteignit la lumière et laissa seulement celle de la salle de bain allumée afin de créer une ambiance plus intime.

« Mets-toi à l’aise ! tu peux mettre tes affaires sur la chaise » dit-elle
« n’oublie pas mon petit cadeau ».

Axel s’exécuta et posa deux billets de 50€ sur la table de chevet puis se déshabilla et garda simplement son caleçon et s’approcha vers Livia.
Elle s’était aussi dévêtue et portait seulement ses bas et porte-jarretelles avec son string et avait gardé ses escarpins à talons aiguilles. Elle était fière de sa poitrine siliconée imposante.

Celle-ci se mit face à lui et lui effleura doucement son dos et ses hanches comme pour lui faire des frissons. Elle pinça ensuite ses deux tétons à lui en faire mal puis lui baissa son caleçon. Elle toucha son sexe et l’embrassa sur la bouche mêlant sa langue à celle d’Axel. Il apprécia ce baiser intrusif.

Elle lui demanda de s’agenouiller devant elle et sorti sa bite de son string.
C’était un véritable braquemart déjà bien gonflé par l’excitation.

« Suce, Bébé ! » ordonna-t-elle en lui prenant la tête.

Axel résista un peu :
« Mais je n’ai jamais fait ça !» dit-il.

Elle ne lui laissa pas trop le temps de s’expliquer et lui mit son sexe dans sa bouche. Axel se mit à la sucer et manqua d’étouffer lorsqu‘elle lui enfonça au fond de sa gorge et entreprit un va et vient.

Il commençait à apprécier ce qu’il était en train de faire.

« T’es une bonne petite chienne » lança-t-elle à son intention comme un compliment.

Elle se retourna et avec ses deux mains écarta ses fesses et ordonna :
« Lèche petite salope ! ».

Il s’exécuta et enfonça sa tête entre ses deux globes. Il lui lécha son petit trou tout en pénétrant sa langue à l’intérieur puis revint lui sucer la bite en la tirant vers l’arrière. Livia semblait apprécier et gémissait des mots en espagnol qu’il ne comprenait pas.
Elle lui demanda :
« Tu veux que je te baise ? »
« Quoi ? ! ! » répondit-il étonné

Elle lui claqua les fesses et insista :

« Que je baisse ton petit cul ! »
« Mais je n’ai jamais fait ça » dit-il un peu paniqué « Ta bite est énorme ».
« Je fais ça doucement ! Tu vas aimer Bébé ! ».

Cela n’avait pas l’air négociable ! Visiblement Axel ne pouvait pas y échapper et il était aussi tout émoustillé de cette nouvelle expérience.

« Mets toi à quatre pattes sur le lit. Petite pute ! Je vais bien te préparer »

Elle arracha avec les dents une pochette de préservatif qu’elle enfila sur son sexe et tartina l’anus d’Axel de vaseline.
Il sentit le gland approcher de ses fesses et elle força tout doucement pour tenter de le pénétrer. Axel hurlait que cela lui faisait mal et tentait de se dérober. Elle arrêtait alors sa progression quelques secondes pour qu’il puisse respirer et continuait de plus belle. Il avait mal et cela n’était pas du tout agréable.
Une fois qu’elle eut enfoncé son sexe en entier. Elle attendit un peu avant d’entamer un petit va et vient puis d’accélérer régulièrement. Elle mit ses doigts dans la bouche d’Axel comme un mors de cheval.
Ce dernier commençait à apprécier au fur et à mesure que la douleur disparaissait et qu’il prenait plaisir à se faire défoncer. Elle arrêta de le sodomiser et lui ordonna de se coucher sur le lit les jambes en l’air. Elle se mit sur lui pour le pénétrer en position du missionnaire et lui roulait des pelles :

« Tu es ma petite pute ! Dis-moi que tu aimes » lui chuchota-t-elle à l’oreille.
« Oui j’aime ta bite ! » répondit Axel.

Il était dans les bras d’un transsexuel en train de s’offrir comme une petite femelle et cela l’excitait plus que la sodomie en elle-même.

A la fin de la séance, Axel se rhabilla le plus rapidement possible voulant quitter cette chambre où il s’était fait prendre par un transsexuel.
Il ouvrit la porte doucement pour ne pas réveiller les chambres voisines et d’un signe de la main il salua Livia qui trainassait sur le lit.

« Muchas Gracias ! » dit-il pour lui faire plaisir.
« Que nada ! » répondit une voix grave lui rappelant qu’il y avait eu tromperie sur la marchandise. Il n’allait pas oublier tout de suite car il eut mal au derrière pendant au moins quatre jours.

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