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Chez la mère de mon patron

Mai 2020, nous sommes en plein confinement. J'ai besoin de documents pour mon travail. Seule la maman de mon patron est restée à Paris. Il me demande de passer chez elle pour récupérer les fameux documents.

Proposée le 27/09/2024 par sorggulp

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


« Allez à l’appartement de ma mère, elle vous donnera tous les documents dont vous avez besoin »
La conversation téléphonique à peine terminée, je méditais quelques instants sur la suite à venir. Nous étions en mai 2020. Toute la population était confinée depuis presque 1 mois et je devais absolument récupérer des documents pour tenir à jour la comptabilité de l’entreprise. Problème : mon patron s’était exilé dans sa maison de campagne en compagnie de sa famille et ne pouvait pas répondre à ma demande.
Fort heureusement, sa mère habitait le même immeuble dans un appartement situé deux étages au-dessus du sien.
J’avais eu l’occasion de la croiser de nombreuses fois au cours de réunions ou simplement par hasard lorsque je travaillais. C’était une femme très distinguée, d’une soixantaine d’années, habituée à fréquenter la bourgeoisie parisienne, qui connaissait parfaitement toutes les us et coutumes de ce milieu. Grande, élancée, sa mise était toujours parfaite.
Elle avait toujours un petit mot agréable pour chacun lorsqu’elle venait à l’entreprise. Bref, c’était une très belle femme.
Mon doigt pressait la touche du vidéophone à l’entrée de l’immeuble haussmannien. Je reconnais immédiatement sa voix qui m’invite à me rendre au 3 -ème étage. L’avenue est quasiment déserte, je regardais les pigeons se balader au beau milieu de celle-ci, chose invraisemblable en temps normal.
Le hall était immense, un tapis rouge me guidait vers l’ascenseur . Silence total. Je pressais le bouton du 3eme étage. A la sortie, un tapis rouge toujours. Silence
Seulement deux portes en chêne massif se faisaient face sur le palier. L’une d’entre elle était légèrement entrouverte. Je portais bien sûr le masque de rigueur.
Je reconnaissais le visage de ma patronne apparaitre dans l’ouverture. Elle me saluais d’un large sourire tout en m’invitant du geste de la main à entrer.
Je pénétrais dans un autre monde. Le couloir d’entrée semblait interminable. D’innombrables meubles de styles étaient disposés de chaque côté ainsi que des tableaux de peintres.
Mais la principale surprise se trouvait ailleurs. Lorsque la porte se refermait, je découvrais ma patronne en peignoir. « Belle femme » pensais-je en regardant discrètement les courbes délicieuses dissimulées sous le satin noir.
Je vous prie d’excuser ma tenue mais je ne m’attendais pas à vous voir arriver si tôt ! Entrez-donc nous serons plus à l’aise dans mon bureau.
Elle m’indiquait la porte de celui-ci.
Prenez place me dit-elle en m’indiquant une chaise stylée tandis qu’elle faisait le tour du bureau . Celui-ci était encombré de tout un tas de paperasse.
Elle s’asseyait en poussant un profond soupir. Sa lourde poitrine se soulevait sous le peignoir, attirant immédiatement mon attention. Elle semblait abattue par tous les derniers évènements.
Quelle drôle d’époque tout de même mon cher, je me retrouve seule dans cet appartement (elle était veuve depuis quelques années) et mon fils est parti avec ses filles à la campagne. Moi qui raffolais des mercredis pour les avoir avec moi. Cela me faisait une compagnie ! Je m’ennuie à mourir avec ce satané confinement ! soupirait-t-elle en remettant de l’ordre sur le bureau.
« Il faut que je cesse de me lamenter ainsi ! Mon fils m’a demandé de vous donner ces documents » dit-elle en prenant une grosse enveloppe marron sur le bureau.
« Vous allez me confirmer si vous avez bien tout ce qu’il vous faut » dit-elle en se levant. Elle fit le tour du bureau. Mon rythme cardiaque fit un bond en voyant le haut de sa cuisse apparaitre dans l’ ouverture du peignoir. Je feignais n’avoir rien vu mais je sentais mon visage s’empourprer. Elle prit place sur la chaise située près de la mienne. Elle croisait les jambes, découvrant par la même occasion le haut de sa cuisse. Je sentais mon sexe durcir.
- « Enlevez donc ce masque, nous ne craignons rien ici mon cher » me dit-elle avec un grand sourire
Sa chevelure blonde faussement désordonnée lui donnait un air de bourgeoise un peu garce qui me troublait au plus haut point.
Soudain la sonnerie d’un téléphone retentit. Ma patronne se redressait pour saisir le combiné situé sur le bureau. Tandis qu’elle me tournait le dos, je pouvais admirer à loisir la cambrure parfaite de ses reins ainsi que le galbe évocateur de ses fesses. Elle se retournait tout en se calant debout contre le bureau face à moi. Mon regard se trouvait au niveau de son ventre. Les deux pans du peignoir s’ouvraient légèrement sans qu’elle ne semble s’en apercevoir dévoilant une partie de corps. C’était visiblement son fils (donc mon boss) qui était au bout du fil. Elle semblait absorbée par la conversation.
Arrête de te faire des films mon cochon pensais-je laissant mes yeux se balader sur le peignoir entrouvert. Mon cerveau était en ébullition Je ne devais pas être si discret que ça car je sentais soudain son regard se planter dans mes yeux. Elle me gratifiait d’un grand sourire tout en continuant de bavarder avec son fils. Alors que je feignais d’observer le tableau situé au-dessus de la cheminée, elle changeait de position provoquant l’ ouverture « accidentelle » de son peignoir. Je tentais désespérément de fixer mon regard sur ce fichu tableau mais je ne pouvais ignorer la superbe vue qui s’offrait à moi qui était beaucoup plus intéressante que la vieille croute pendue au mur ! Tandis qu’elle bavardait, sa chatte apparaissait furtivement dans l’échancrure du peignoir. Elle feignait de remettre de l’ordre dans sa tenue. Pas de doute possible, elle était nue sous son peignoir ! L’air de la pièce était devenu suffocant tandis que ma queue me faisait souffrir.
Ma patronne continuait de discuter tout en me jetant des coups d’œil de plus en plus fréquents. Le temps semblait s’être figé. Je bandais comme un âne et cherchait par tous les moyens à dissimuler mon état en posant la grosse enveloppe sur mes genoux.
Elle pivotait sur elle-même pour saisir un document posé derrière elle sur le bureau. Le peignoir s’ouvrait alors en grand. Non seulement je pouvais admirer ses jambes magnifiquement dessinées mais surtout sa chatte parfaitement épilée. Je suffoquais.
Tout en gardant sa position, ma patronne me jetait un coup d’œil très explicite. Je ne pouvais laisser passer pareille occasion ! Je laissais tomber la grosse enveloppe pour me positionner entre ses cuisses grandes ouvertes. Mon regard était comme hypnotisé par la chatte de ma patronne. Mon cerveau n’arrivait pas à analyser la situation. Irrésistiblement, mes doigts remontaient à l’intérieur des cuisses pour venir se poser sur les grosses lèvres luisantes d’excitation. Je caressais celles-ci sur toute leur longueur tandis que je respirais à plein nez l’odeur de femelle en chaleur qui s’en dégageait. Je glissais un doigt dans le sillon parcourant lentement celui-ci, m’attardant sur le bouton rose. J’écartais les grosses lèvres pour glisser ma langue dans le sillon brûlant. L’odeur de femelle en chaleur me rendait fou. Je mordillais le clito dressé tout en lapant à pleine bouche la chatte béante de ma patronne qui se trémoussait de plaisir sur le bureau mais qui continuait malgré tout à bavarder avec son fils. Elle écartait plus largement les cuisses tout en plaquant mon visage de sa main libre contre sa chatte. Elle m’intimait silencieusement de lui brouter le minou plus profondément. Je ne me faisais pas prier, lapant frénétiquement toute la fente dégoulinante. Ma patronne se trémoussait de plus en plus sur le bureau, tentant tant bien que mal de continuer la conversation avec son fils au téléphone.
Elle se cambra brutalement ce qui fit tomber un objet sur le bureau, étouffant un cri tout en éloignant le combiné de son visage et en se mordant les lèvres. Mes doigts poisseux de cyprine plongeaient au fond de sa chatte en faisant un bruit de succion. Son bas-ventre tremblait sous les assauts continus. Elle fermait les yeux en tenant le combiné le plus loin possible de son visage.
« Allô, Allô ? » grésillait le combiné tombé sur le bureau
« Ne t’inquiète pas mon chéri, c’est juste le courrier qui est tombé du bureau ! Je suis si maladroite ! » dit-elle à son fils alors que j’étais coincé entre ses cuisses.
J’en profitais pour accélérer le rythme. Je lapais sa fente sur toute la longueur en mordillant son clito de plus en plus fortement. Elle écartait encore plus largement les cuisses, allant même jusqu’à placer ses pieds sur le rebord du bureau pour mieux m’offrir sa chatte dégoulinante. De mon autre main libre, j’ouvrais comme je pouvais mon pantalon pour libérer ma queue raidie d’excitation.
« Je dois te laisser mon chéri, j’ai encore un peu de travail » souffla-elle. Elle raccrocha le combiné juste à temps. Elle poussa un cri alors que ses cuisses se refermaient sur mon visage. J’allais étouffer lorsque son corps fut parcouru de vibrations incontrôlées. Ma patronne poussa un autre long cri rauque en me plaquant des deux mains le visage contre sa chatte en feu. La jouissance fut extrême. Elle s’affala sur le bureau, faisant tomber au passage de nombreux objets au sol. Elle semblait possédée par un démon, poussant de petits cris qui en disaient long sur le plaisir qu’elle ressentait.
je me redressais, le pantalon baissés aux chevilles. De ma position, j’étais juste à la bonne hauteur face à sa chatte offerte. Ma patronne était allongée sur le bureau dans une position indécente. Jamais je n’aurais imaginé vivre cela. Elle était encore plus désirable que je ne l’avais imaginé. Je positionnait ma queue à l’entrée de sa grotte de plaisir. Sa chatte soyeuse m’accueillit avec une douceur incroyable puis je sentis la douce chaleur de son vagin envelopper ma queue tandis que je progressais au fond de celui-ci. Je restais quelques instants ainsi immobile. Ma patronne poussait un long soupir de bien-être en se trémoussant sur le bureau.
Me retirant lentement, je donnais ensuite un grand coup de rein pour mieux sentir ma queue coulisser au fond de sa chatte. Une sensation de bien-être parcourut tout mon épiderme lorsque je butais au fondu vagin détrempé. « Ohhhh c’est bon, continue ! » dit-elle les yeux clos. Le tutoiement eu pour effet de me libérer totalement.
« Cela fait si longtemps que je n’ai pas baisé comme ça ! va-y, baise-moi plus fort ! » dit-elle en haletant. Je posais alors ses pieds sur mes épaules afin de mieux la pénétrer. Je prit soin de bien retenir mes coups, la pénétrant lentement dans un premier temps, observant avec délice ma queue coulisser dans sa chatte. J’étais aux anges.
Les seins se balançaient à chaque mouvement. Je les saisissais de deux mains. Ma patronne gémissait comme une chienne en chaleur ce qui m’excitait encore plus. Elle semblait possédée. La tenant fermement par les hanches, j’accélérais le rythme. Je lui labourais la chatte sans ménagement sans plus réfléchir. C’est qu’elle aimait ça la salope ! Elle poussait des gémissements de plus en plus prononcé en se malaxant les seins des deux mains. Celles-ci descendirent sur sa chatte pour écarter au maximum les lèvres afin que je puisse la baiser encore plus profondément. Ses doigts malaxaient de temps à autre mes couilles qui butaient contre elle. Ma patronne fut une nouvelle fois traversée de secousses convulsives. Elle gémissais en tournant la tête dans tous les sens tandis que je m’affairais de plus en plus rapidement dans sa chatte.
Elle cria : « Encore, encore ! Défonce-moi la chatte ! c’est tellement bon ! » je regardais ma queue coulisser dans sa chatte qui faisait de gros bruits de succion ; sa main vint me malaxer les couilles, imprimant par la même occasion le rythme qui lui convenait ; La cadence montait encore. Mon bas-ventre claquait contre ses cuisses. Je transpirais sous l’effort intense.
Elle poussa de nouveau un long râle en se redressant sur les coudes, me fixant comme une chienne en chaleur. De mon côté, je perdais aussi le contrôle. Je sentis une énorme décharge parcourir mon corps pour se concentrer ensuite dans mon bas-ventre. La jouissance fut incroyable. Je jouissais tout en continuant de labourer ma patronne déchaînée. Je respirais bruyamment en la pénétrant comme un sauvage. Je sentais de longs jets de foutre chauds parcourir mon sexe puis se répandre dans la chatte de ma patronne . Je poussais une dernière fois pour me planter tout au fond de sa chatte afin de mieux répandre ma semence bien au fond de son ventre. Epuisé, je m’affalais sur ma patronne, le sexe toujours planté en elle. Je posais mon visage entre les gros seins moelleux. Elle me caressais distraitement les cheveux, les yeux fermés. Je m’assoupissais quelques instants, épuisé par l’intensité des dernières minutes.
Nous reprenions lentement nos esprits.
Me retirant de ma prison de soie, je remettais de l’ordre dans ma tenue. Ma patronne se redressait, un filet blanchâtre coulait à l’intérieur de sa cuisse. Elle le nettoya du bout du doigt pour le porter à sa bouche. « Hummmm, c’est si bon » dit-elle en léchant consciencieusement son doigt.
« Mon fils m’a dit qu’il ne pourrait pas rentrer avant la fin du confinement. Je compte sur vous pour que je ne m’ennuie pas durant tout ce temps ! me dit-elle en caressant distraitement ma queue au travers de mon pantalon.
Je ressortais de l’appartement complètement sonné. Finalement il avait du bon ce confinement !

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