Histoire Erotique

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Peut-on vraiment faire confiance à sa femme ?

L’histoire qui suit raconte comment une soirée d’apparence anodine a dérapé en trio improvisé entre ma femme, un vieil ami et moi. L’histoire est en partie réelle et en partie fantasmée. Le récit vous laissera des indices.

Proposée le 13/01/2021 par Wiseguy55

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Les amis ça va ça vient, on se perd de vue, on se retrouve. Parfois le courant ne passe plus et parfois les années d’éloignement ne n’ont rien changé à une vieille complicité. J’ai un ami depuis plus de trente ans, même si on ne s’est jamais totalement perdu de vue, il faut bien reconnaître que les circonstances de vie ont fait que nous nous sommes éloignés.

Et puis un jour, une notification sur Facebook m’avertit de son changement de statuts de « en couple » à « célibataire ». Je ne suis pas très étonné à vrai dire. Avant cette relation ci, il était incapable de rester avec une fille plus de deux ans et je savais pour avoir été mis dans la confidence à de nombreuses reprises qu’il était incapable de rester fidèle à ses copines. Cultivé, il a pour lui un physique très avantageux, un sens de l’humour très développé. Grand, mince, cheveux châtains foncés et yeux sombres, il a toujours attiré les filles depuis qu’on est tout gamins. Tout le contraire de moi, avec ma dégaine de talonneur et ma timidité maladive, qui tentais de faire aussi discret que possible ce corps trop imposant pour moi. Il plaisait à toutes les filles, je plaisais à très peu. Alors, le véritable ami qu’il était et qu’il est toujours se tenait le plus loin possible des rares copines que j’avais. Dieu sait si avec certaines d’entre elles il n’aurait eu qu’à claquer des doigts.

À vrai dire, il est même à l’origine de mon premier et seul plan à trois (du moins à ce moment-là) avec une de ses ex copines. Mais ça vous le savez déjà.

Quand j’ai rencontré celle qui allait devenir ma femme, je la lui ai naturellement présentée. J’ai vu qu’elle lui plaisait malgré qu’elle ne soit pas son style de fille. Mon ami aime les filles assez grandes, brunettes, peau mate avec des hanches étroites et grosse poitrine. Ma femme est de taille moyenne, à des grands yeux bleus et des cheveux blonds coupés au carré. Une silhouette très fine malgré des hanches marquées. Elle a des petits seins à croquer. Elle a un charme naturel et une allure sexy à rendre dingue. Et ça n’a pas changé en vingt ans. Elle reste désirable et est d’ailleurs toujours beaucoup sollicitée. Son appétit sexuel n’a pas toujours été constant mais dans ses « bonnes » périodes elle est capable des bien des choses.

J’avais parlé avec elle à l’époque de l’attirance que je soupçonnais mon ami d’avoir pour elle. J’avais été assez surpris qu’à l’époque elle m’avoue elle aussi ressentir de l’attirance pour lui. Ce qui m’avait surpris ce n’est pas qu’elle éprouve de l’attirance, ce qui m’avait surpris c’est la facilité avec laquelle elle me l’avait avoué. Néanmoins il ne s’était jamais rien passé entre eux.

Mais on ne garde pas un si bel oiseau en cage, fusse t’elle morale. Je l’ai appris à mes dépends. Ma femme, trop jolie pour moi a eu quelques amants en vingt ans de mariage. Ça a été compliqué mais j’ai réussi à l’accepter.

J’appelle donc mon ami pour prendre de ses nouvelles après sa séparation et très vite nous décidons de nous revoir. Il viendra manger samedi prochain.

Il arrive en retard comme à son habitude et vient armé. Deux bouteilles de vin et une de single malt. C’est sa manière à lui de me faire comprendre qu’on a plein de truc à se dire. La soirée s’annonce longue. On parle de tout et rien, on se remémore notre jeunesse. On rit, beaucoup. On boit beaucoup aussi. Ma femme s’est contentée d’un verre de vin après l’apéro. On vide le reste des deux bouteilles. Après le souper on passe au salon. Vient alors le moment où on parle de sa situation. Il regrette d’avoir torpillé son couple par son infidélité chronique. Ma femme d’habitude si discrète à ce sujet lui parle de nous, de l’attirance qu’elle ressent parfois pour d’autres hommes et plus rarement de femmes et de la difficulté que ça représente parfois de résister à la tentation. C’est vrai que, contrairement à moi, ils sont l’un et l’autre fréquemment sollicités. La conversation prend une drôle de tournure. J’ai l’impression qu’ils se tournent autour. Que le fait de se raconter mutuellement leurs aventures les chauffent. Pour être honnête, cette conversation me chauffe également.

Mon ami me rappelle alors notre soirée il y a plus de vingt ans où nous avions partagé une de ses ex-copines. Ma femme est de plus en plus intéressée et veut des détails. Nous lui donnons alors chacun notre souvenir. Comment cette fille nous avait allumés, son strip-tease. Comment on s’était retrouvés nu en quelques minutes, comment elle nous avait sucé chacun notre tour, comment elle s’était mise à quatre pattes avec lui dans sa bouche et moi dans sa chatte. La sensation étrange de la double pénétration, moi par devant, lui par derrière et comment enfin elle nous avait autorisé à la salir et comment nous lui avions couvert le ventre et le visage de nos spermes.

J’avais beau avoir bu, je remarquais ma femme de plus en plus excitée. Elle nous dit vouloir mettre un vêtement plus confortable et s’éclipse. On ouvre le single malt…

Ma femme revient habillée d’un legging gris clair qui épouse parfaitement ses jolies fesses et ses longues jambes et d’un débardeur décolleté et largement échancré. On peut clairement voir qu’elle ne porte aucun sous-vêtement. Elle va s’asseoir à côté de mon ami et se rapproche de lui très discrètement. Mon ami me sort alors :

- Tu m’en dois toujours une depuis vingt ans.

Avant même que je puisse répondre, elle lui rétorque :

- Et c’est avec moi que tu veux qu’il te rembourse ?

La conversation, ou plutôt leur dialogue, est de plus en plus chaud. Si je ne les connaissais pas aussi bien, je dirais qu’ils s’apprêtent à baiser ensemble.

Troisième verre de single malt et je pique du nez. J’ai vaguement entendu ma femme proposer à mon ami de rester dormir à la maison. Je ferme les yeux, je m’assoupis. Quand je reviens à moi, il me semble les voire en train de s’embrasser, lui la main perdue dans le débardeur de ma femme, elle la paume à plat sur son entrejambe. L’alcool et le sommeil sont plus forts et je sombre à nouveau. Des bruits me tirent de ma torpeur, des gémissements que je reconnais. Je me force à ouvrir les yeux et je les vois nus toujours assis côté à côté dans le fauteuil, elle les jambes grandes écartées, lui avec deux doigts plantés au fond de sa chatte à lui sucer les seins. Il me semble qu’elle le branle. Est-ce un rêve, la réalité ? Je ne suis vraiment plus en état de le dire. Je retombe dans une somnolence et les minutes passent, combien ? Impossible à dire. C’est une sensation très agréable qui me réveille. Je reprends un peu conscience pour m’apercevoir que je suis la bite à l’air, ma femme agenouillée devant moi en appuis sur mes cuisses à me sucer. Je ressens comme des à-coups. Je relève la tête et vois mon ami placé derrière elle agrippé à ses hanches en train de la baiser. Cette vision soudaine a un effet quasi immédiat, je me cambre, lui maintient la tête et jouis dans sa bouche. Puis, je m’écroule et c’est le black-out jusqu’au lendemain matin.

Je m’éveille dans mon fauteuil avec un mal de crâne horrible. Seulement vêtu de mon t-shirt et de mes chaussettes de la veille. Mes fringues en boule au pied de la table basse du salon qui n’a pas été débarrassée. J’enfile mon boxer et vais me chercher de l’aspirine dans la salle de bains. Je vois à ma montre qu’il est déjà 10H30, heureusement on est dimanche et les enfants sont à la campagne chez mes beaux-parents pour la semaine. Pas de traces de ma femme, ok elle dort encore certainement. Je monte à l’étage et vais dans la salle de bains en quête d’aspirine. J’ai vraiment trop picolé hier, j’ai des images de ma femme et de mon ami baisant comme des bêtes qui me reviennent en tête. Ou ais-je bien pu aller chercher un truc pareil !? Je m’apprête à redescendre quand j’entends du bruit dans notre chambre. La porte est entrouverte. Je m’approche et j'entend des bruits de râles et de gémissements qui se font de plus en plus forts. Je pousse la porte suffisamment pour voir à l’intérieur de la chambre tout en restant discret. Et là je vois ma femme de dos, à califourchon sur un homme, une grosse bite plantée dans son vagin, une paire de main lui serrant sa fine taille. Sa petite nuisette de satin bleu cache partiellement le joli tatouage qui couvre sa hanche gauche. Je devrais être fâché mais je suis très excité à la vision de cette magnifique petite femme qui se comporte comme la salope qu’elle est.

J’entre dans la chambre n’y tenant plus. Une sacrée bosse déforme mon boxer. L’adrénaline a complétement fait disparaître mon mal de tête. Ils me voient, ma femme se retourne et me dit en riant :
- Bonjour mon chéri, on ne t’a pas réveillé j’espère !?

Et lui de rajouter en la repoussant de sur lui :
- Amènes toi, la place est chaude !

Incroyable, ils ne se sentent pas gênés le moins du monde. Mais qu’a-t-il bien pu se passer hier soir pour que tout déraille à ce point ? Je tirerai ça au clair plus tard, là j’ai vraiment envie de baiser. Ma femme est couchée sur le dos, elle m’attend les jambes grandes ouvertes. Je m’agenouille entre ses jambes que je bascule sur sa poitrine m’offrant ainsi une vue sur son sexe rougi par la pénétration. Je la prends directement, son vagin est déjà bien humide et détendu par la bite qui s’y trouvait encore il y a 30 secondes. C’est une sensation difficile à décrire. Elle est ouverte, chaude et humide. Ma queue, plus petite que celle de mon ami, ne frotte pas complétement sur toutes les parties de sa muqueuse. Elle gémit, excitée par la situation qui peu à peu la dépasse. Mon ami vient se placer à genoux à hauteur de son visage et, sans lui demander son avis, force l’entrée de sa bouche avec sa bite. On se regarde lui et moi sans dire un mot. On se comprend. Elle a voulu jouer à la salope, elle va avoir ce qu’elle cherche. On va la baiser à fond. On imprime lui et moi des mouvements de plus en plus forts et de plus en plus amples dans ses orifices. En quelques minutes cette femme d’ordinaire active et entreprenante est devenue un jouet, un objet que deux amis se partagent sans ménagement. Sa jouissance elle devra la trouver par elle-même, nous on est juste là pour la baiser et nous faire plaisir avec son corps.

Elle et moi on se connaît par cœur si bien que rien qu’à ma manière de la prendre, rien qu’à mon attitude, elle sait que je veux uniquement de la baise ce matin. Et rien qu’à la manière dont son corps réagit à nos assauts, je sais qu’elle aussi à envie de se lâcher. Je sais aussi qu’elle rêve de se faire prendre par deux hommes depuis longtemps déjà et que là elle a l’occasion de faire tout ce dont elle a longtemps rêvé.

Nos ébats sont réglés tel un ballet, on change plusieurs fois de positions en donnant les directives à ma femme :
- Viens t’asseoir sur ma bite et ouvre la bouche.
- Penche toi en avant, cambre toi.
- Met toi à quatre pattes…

Et très vite, on ne lui donne même plus de directives, mon ami et moi parlons entre nous de ce qu’on veut qu’elle fasse :
- Place la en levrette le cul en l’air. Met lui la tête dans l’oreiller…
- Je la couche sur le côté, prend lui la bouche pendant que je lui défonce sa petite chatte…

On devient de plus en plus obscènes. On se défoule littéralement sur elle réduite à l’état de fuck toy. Si elle ne gémissait et ne mouillait pas autant j’aurais presque des remords. Mais elle est là, ne disant pas un mot, prenant son pied à chaque instant, accentuant au mieux les mouvements qu’on lui imprime. Il est clair qu’elle adore ce qui lui arrive en ce moment.

C’est mon ami qui le premier entreprend de lui titiller son anus. Toujours sans dire un mot, ma femme me lance un regard à la fois effrayé et interrogateur. On avait en effet convenu que quoi qu’il arrive, que même si elle se tapait un autre homme, son petit cul me serait exclusivement réservé. On se disait quelque fois en riant « qu’enculer c’est tromper…mais pour le reste ça va ! ». Pour toute réponse je prends le tube de lubrifiant dans ma table de nuit et la lance à mon ami.
- Tiens, ce sera plus facile comme ça.

Il lui étale du lubrifiant sur et dans le cul, d’abord à un puis à deux doigts. Il ne fait preuve d’aucune délicatesse. J’ai une appréhension car même si je sais que ma femme apprécie à l’occasion que je la sodomise, elle n’est pas super fan de la pratique et je crains que cette intrusion brutale ne vienne casser l’ambiance. Mais contre toute attente, elle se laisse faire une fois de plus et se cambre autant que possible pour faciliter la tâche à mon ami. Je les laisse faire un peu le temps que mon tonus redescende. Je ne veux pas déjà jouir.

Après avoir longuement joué avec le cul et le clito de ma femme, mon ami se couche sur le dos, bite tendue en ordonnant à ma femme de venir sur lui. Il la prend alors entre ses bras et la maintient plaquée sur son torse. Puis, s'adressant à moi :
- Viens, ça va entrer tout seul !

Je me place derrière ma femme, elle est là sur lui, ses fesses écartées, la grosse bite de mon ami plantée dans son vagin, son anus entrouvert luisant de lubrifiant. Cette double pénétration dont ma femme et moi rêvons depuis des années va enfin se concrétiser. Je m’accroupis, d’une main je me tiens en équilibre en prenant appuis sur son dos et de l’autre je guide mon sexe dans son cul. J’arrive à passer le gland mais le reste de la pénétration est difficile. C’est alors la main de ma femme qui prend ma bite et lui donne la bonne orientation. C’est moins facile qu’il n’y paraît dans les films pornos mais on y arrive et j’ai bientôt la moitié de ma queue en elle. Je m’enfonce de plus en plus loin, mon ami force ma femme à passer ses mains dans son dos. J’attrape alors les poignets de ma femme et les maintiens fermement dans le creux de ses reins. Elle est totalement à notre merci. Je sens mon ami s’agiter dans son vagin et je me calque sur son rythme pour alterner les poussées dans le corps de ma femme (elle me dira plus tard qu’elle avait l’impression d’être un fruit mûr qu’on tentait d’ouvrir en deux). Ma femme ne gémissait plus, elle criait maintenant, elle criait des obscénités :
- Baisez-moi, enculez-moi ! Plus fort !!!

On a continué à la baiser en sandwich jusqu’à ce que nos corps nous trahissent. Etant accroupis depuis un bon moment, mes cuisses me faisaient mal, ma femme avait des crampes dans les hanches et les épaules et mon ami commençait à suffoquer sous nous poids cumulés. On a donc fait une petite pose le temps de retrouver la forme.

On s’est assis tous les trois, adossés à la tête de lit. Ma femme s’est placée entre nous deux et a écarté ses jambes posant la droite sur ma cuisse et la gauche sur celle de mon ami. On a joué avec ses jolis seins pendant qu’elle nous branlait, on lui a fouillé le sexe, mes doigts et ceux de mon ami se retrouvant en même temps dans son vagin. Elle nous a embrassé chacun notre tour en disant entre deux baisers qu’il était un peu tard pour les préliminaires. Qu’importe, on a repris des forces comme ça et quand je me suis senti suffisamment en forme j’ai dit à mon ami :
- Tu veux l’enculer ?

Sans rien dire et sans changer de place, il a fait s’asseoir ma femme sur lui, ses fesse à elle contre son pubis à lui, lui a ouvert les jambes et a placé son gland à l’entrée du cul de ma femme. Elle m’a dit :
- Tu es sûr ?
- Au point où on en est… !

Il a alors entré sa grosse queue lentement dans le petit trou de ma femme qui grimaçait de douleur. Son cul était déjà bien irrité de mes assauts et mon ami a une bite nettement plus épaisse et plus longue que moi. Néanmoins, elle s’est empalée et j’ai vu cette grosse bite presque entièrement disparaître dans le cul de ma femme qui du coup criait de douleur. Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment-là mais j’ai eu une envie irrépressible de lécher le clitoris de ma femme ainsi exposé. Quand j’ai commencé à la lécher j’avais en gros plan la bite de mon ami qui défonçait le cul de ma femme et ça m’a encore un peu plus excité. Ma femme criait toujours, mais cette fois de plaisir. Quand elle a enfin jouit, j’ai arrêté de la lécher et me suis écarté. Mon ami a jouit à son tour, au fond de son cul en la tenant fermement par les hanches. Je voyais ses couilles se contracter au rythme de ses jets.

Ma femme a ensuite roulé sur le ventre et a écarté ses jambes légèrement pour que je puisse admirer le sperme de mon ami s’écouler de son cul. Elle m’a regardé et m’a dit :
- Vas-y, t’en meure d’envie.

Je me suis mis sur elle et je l’ai sodomisée à mon tour, la dilatation faite par la grosse bite de mon ami et son sperme encore dans le cul de ma femme servant de lubrifiant ont rendu la pénétration facile. Une dizaine d’aller retours dans ce petit cul ouvert et gluant ont suffi à ce que je jouisse à mon tour au fond de son petit trou.

Pendant ce temps-là, ma femme, qui sans que je m’en aperçoive, avait passé sa main sous son ventre caressait son petit bouton et a jouit une deuxième fois.

Son petit cul rougis dégouline de nos spermes mélangés. Le ruissellement vient couvrir sa vulve. On reprend notre souffle…

…<<...>


Je m’éveille dans mon fauteuil avec un mal de crâne horrible. Seulement vêtu de mon t-shirt et de mes chaussettes de la veille. Mes fringues en boule au pied de la table basse du salon qui n’a pas été débarrassée. J’enfile mon boxer et vais me chercher de l’aspirine dans la salle de bains. Je vois à ma montre qu’il est déjà 10H30, heureusement on est dimanche et les enfants sont à la campagne chez mes beaux-parents pour la semaine. Pas de traces de ma femme, ok elle dort encore certainement. Je monte à l’étage et vais dans la salle de bains en quête d’aspirine. J’ai vraiment trop picolé hier, j’ai des images de ma femme et de mon ami baisant comme des bêtes qui me reviennent en tête. Ou ais-je bien pu aller chercher un truc pareil !? Je m’apprête à redescendre quand j’entends du bruit dans notre chambre. La porte est entrouverte.

Je pousse la porte de notre chambre, ma femme s’éveille et s’étire et baille dans notre lit. Elle ouvre les yeux et se redresse doucement, la bretelle de sa petite nuisette de satin bleue file et tombe de son épaule. Elle me demande avec un air moqueur si j’ai bien dormi et si je n’ai pas trop mal au crâne. Je lui demande ou est passé notre ami à quoi elle répond :

- Chez lui je suppose. Il est parti hier soir ! C’est quoi cette bête question ?

Je lui raconte alors mes sensations de la veille alors que j’étais saoul. Cette impression que j’avais qu’ils se chauffaient mutuellement, ces visions d’eux deux nus dans le canapé en train de se branler mutuellement. Cette impression de pipe qu’elle m’a faite alors qu’il la baisait par derrière. Comment je me suis réveillé à poil dans le salon…

- Faut plus que tu picoles autant, ça te donne des hallucinations.

Oui, c’est sans doute ça. Mais alors pourquoi avait-elle cet air coupable quand je lui racontais mes visions ?

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Superbe..
Posté le 18/07/2021

Anonyme
L’air coupable n’est pas le souci. La baise sans capotes oui : grossesse , MST, HPV !!!
Posté le 14/01/2021


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