Il y a dix ans j\'ai fais une rencontre très intéressante qui s\'est arrêtée il y a sept ans, le destin a décidé de nous réunir à nouveau
Proposée le 24/04/2015 par marc6931
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Transport
Type: Histoire vraie
Moi c’est Marc, j’ai maintenant 55 ans, c’est l’été, en ce mois de juillet il fait une chaleur épouvantable, j’arrive de Marseille où je suis allé chercher une voiture, je m’arrête faire le plein et quand j’arrive à la caisse j’entends une voix que je crois reconnaitre, « mais c’est marc » je me retourne et mon visage s’éclaire, c’est Hélène (voir : Une rencontre imprévue) , ça fait sept ans qu’on ne s’est pas revus, elle a très peu changée, toujours aussi belle, on se fait la bise, elle me dit que Jean est aux brosses pour laver le camping-car, après avoir payé et échanger quelques banalités on se dirige vers le site de lavage, Jean me regarde, il a les yeux qui brillent, je connais bien ce regard, il a l’air toujours aussi coquin, ils sont là car ils suivent le tour de France, c’est jour de repos, demain grosse étape de montagne, ils lèveront le camp vers 5h pour accéder au col avant la fermeture de la route, la première chose qu’il me demande c’est si je veux les rejoindre là où ils stationne pour la nuit, je suis bien ennuyé, je devais rentrer cette nuit, j’ai trop envie d’eux, je téléphone chez moi et prétexte une panne d’éclairage, le vendeur doit passer dans la soirée pour me dépanner, je lui dis que je vais dormir dans la voiture, une grosse berline bien confortable, de toutes façons je suis sur une aire d’autoroute donc je ne risque rien, elle acquiesce, OK j’ai une bonne partie de la nuit pour moi, je rentre dans le camping-car et je les informes de mon mensonge, ils sont ravis, je demande discrètement à Jean si il a toujours des pilules miracle, bien sûr qu’il en a et Hélène est au courant, il m’en donne une que j’avale de suite, comme le lieu de stationnement pour ceux qui suivent le tour est dans un village à la sortie de l’autoroute, il me dit de prendre avec moi sa femme au cas où on serait séparés, et c’est parti, elle me raconte qu’après mon départ ils ont fait la connaissance de plusieurs gars mais Jean ne s’est jamais aussi bien entendu qu’avec moi, elle n’a pratiquement jamais participé, et depuis 2ans plus rien, avec un éclat de rire elle m’a dit « qu’est-ce que tu vas prendre dans le cul, a son regard j’ai vu qu’il est tout excité » et toi que devient tu ? j’ai un ami que je vois assez régulièrement, mais pas d’autre femme que la mienne, sa main est entre mes cuisses, elle me caresse doucement la queue, elle la libère de mon slip et la branle, elle veut me sucer mais je lui dit non de toute façon on arrive, je me gare à coté de leur camping-car, comme il fait encore jour pendant qu’elle nous prépare de quoi souper nous on bois l’apéro, pour moi pas d’alcool, Jean me raconte ses soirées sexe, insistant sur le fait qu’il n’a jamais retrouvé un cul aussi beau et aussi accueillant que le miens, tu parles il me flatte pour me mettre à l’aise, le diner est prêt, ils ont décidés qu’on souperait à l’intérieur car ils ont la climatisation, à peine à l’intérieur, ils se mettent à poil, je les imites, pendant le souper, je suis assis entre les deux, lui est à ma gauche, de temps en temps il me caresse les fesses, Hélène a fait pratiquement tout le repas sa main sur ma bite, je les ai caressés aussi, le repas est vite expédié, on se rince la bouche, un coup de brosse à dents, et au lit, Hélène m’embrasse partout, Jean lui me présente sa belle bite bien raide devant la bouche, je la lèche sur tout son long m’arrêtant sur ses grosses couilles, il en frémit de plaisir, je la gobe en entier d’un seul coup, Hélène me fait me déplacer légèrement pour accéder à ma bite qu’elle enfourne entière dans sa bouche chaude et humide, je me régale, Jean me jouis dans la bouche et je déguste son nectar avant de l’avaler, Hélène me fait frissonner de plaisir, j’éjacule et elle avale mon suc, on est en travers du lit, elle se couche sur le dos, je la pénètre doucement, je veux sentir ma bite progresser dans sa chatte, un fois au fond je m’arrête, elle a compris, c’est elle qui se baise, Jean en profite pour m’enculer comme avant avec force, je sens bien sa grosse queue, ses va et viens de plus en plus violent, ses couilles frappent mes fesses, il est cramponné à mes hanches, j’ai le sentiment de rêver, j’ai un plaisir immense qui m’envahit, je vais jouir du cul, pendant ce temps je ne reste pas inactif, je m’occupe de ma belle, je l’embrasse sur tout le corps, son cou, ses seins je mordille délicatement ses tétons, je sens qu’elle va jouir, elle active ses mouvements pour se baiser, je sens sa cyprine me mouiller la bite, ça déclenche en moi un énorme orgasme, c’est la première fois que je jouis à la fois de la bite et du cul, Jean a senti sa queue qui se mouillait et il m’a rempli le cul de son sperme, on est restés dans cette position un long et tendre moment, ils ont emménagés un coin toilette prévu pour, il y a une douchette, on se laves, et on reviens s’assoir sur le bord du lit Jean se laisse tomber sur le dos, j’ai de suite compris, sa femme viens se positionner sur lui et s’empale, moi je suis derrière elle, je lui fait un anus lingus, je lui mouille abondement son petit trou et je la pénètre avec ma langue, je me mouille la queue et délicatement je rentre mon gland, je m’arrête, elle passe ses mains derrière et elle s’écarte les fesses, je rentre le reste de ma bite jusqu’au fond, mes couilles sont contre son cul, Jean continu à la baiser, elle mets ses mains sur le lit le long du corps de son mari pour bien se caler, je lui prodigue des va et viens lents au début, elle couine, j’accélère, d’une main je prends la bite de Jean et j’accompagne son pilonnage, je sens la cyprine qui commence à couler le long du pieux qui la démonte littéralement, j’accélère encore et avec des râles de plus en plus fort elle jouis, grâce aux pilules Jean et moi on est encore en forme pour un bon moment, elle prend la place de son homme, il se met à califourchon sur elle et se fait sucer, moi je baise Hélène, elle se crispe et se met à jouir, Jean en fait autant, j’ai enfin un orgasme violent, on s’allonge côte à côte et on s’est endormis, 3 heures trente le réveil sonne, je sors de mon sommeil, je suis dans une drôle de posture, tous les trois en chien de fusil, ma bite dans la chatte d’Hélène, la queue de Jean dans mon cul, il se met à faire des va et viens, moi je caresse les seins de ma belle, elle bouge le bassin pour se baiser, la position n’est pas très confortable aussi on en change, elle et moi on est à quatre pattes, ma bite dans sa chatte, Jean en profite pour m’enculer, je sens sa grosse bite faire ses aller retours, à chaque fois qu’il recule il laisse sa queue sortir et la rentre d’un coup sec, ça me fait sursauter mais je me régale, Hélène en profite pour changer de trou, par les violents coups de reins de Jean j’encule Hélène, elle gémit de plus en plus fort, je la branle et je sens sa cyprine me mouiller les doigts, j’explose dans son cul, elle jouis en haletant, Jean me pilonne de plus en plus fort il veut jouir, je reçois des jets de sperme dans mon fourreau à bite, on se laves, Hélène me donne son nouveau numéro de téléphone, Jean me demande si j’habite toujours au même endroit, je lui confirme que oui, le tour va passer près de chez moi dans huit jours et ce sera une journée de repos, on se donne rendez-vous, je pars après pleins de baisés à tous les deux, il me reste 150 kms avant d’arriver chez moi, la nostalgie s’installe en moi, j’ai quand même l’espoir de les retrouver dans huit jours me donne du baume au cœur, huit long jours à attendre, je les appels tous les jours, avec Hélène on se dit des mots d’amour, avec Jean s’est diffèrent pour lui ce qui compte c’est qu’il va bien m’enculer, pas un poil de romantisme, les jours me sembles une éternité, enfin le jour tant attendu arrive, Hélène me met un SMS, ils sont arrivés la veille et ont pris une place au fond, c’est plus discret, j’arrive vers treize heures, elle est dehors en short et caraco, il y a une place juste à côté, je me gare, je la rejoint, on s’embrasse, direction le C.C. on entre, Jean est déjà à poil, je vous passe les détails, c’est toujours la même chose, on baise, s’encule, se suces, chacun de nous en a pris pour son grade, Hélène a eu droit à une double pénétration vaginale, une fois de plus elle a refusée de se faire enculer par son mari, trop grosse dit-elle, pourtant moi je la prend sans gel juste un peu de salive la première fois et elle rentre très bien, on se quittes à regrets vers 17 heures, ils doivent reprendre la route, on est restés en contact, on s’appelle assez souvent, elle n’a toujours pas cédée à Jean, maintenant ça fait 2 ans et je me demande si un jour je les reverrait, c’est-on jamais. Le destin !!!
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