Le réservé Mike est repéré par une petite femme à première vue vulgaire, mais qui s'avère pleine de vie et capable d'espiègleries humides. Et ce n'est pas complètement une inconnue.
Proposée le 14/06/2019 par spiroutic
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Mike, toujours aussi râleur au volant, peste contre les manifestants qui viennent de quasiment bloquer la file de véhicules. Il descend pour se renseigner et peut-être tenter de négocier car, outre son mauvais caractère, il a une raison bien physique d'être pressé. Il n'arrive pas à se faire entendre, et mainenant en plus une averse glacée le surprend. Chose qu'il n'a jamais supportée en d'autres moments, alors il serre les cuisses mais doit finalement ouvrir vivement sa braguette pour arroser brusquement la chaussée devant tout le monde. Du coin de l'oeil il aperçoit même une ou deux femmes. Puis il rentre aussitôt dans sa voiture, tête baissée. Coïncidence ou pas, son véhicule arrive ensuite à passer.
***
Le lendemain, comme d'habitude, il participe au club de marche dans les bois voisins. Deux nouveaux sont annoncés. A un endroit très touffu on discute d'un raccourci que Mike confirme. La petite nouvelle passe devant et ils progressent dans un étroit sentier. Cette fille doit être très sûre d'elle pour marcher en groupe habillée en jupe.
Ce n'est qu'après deux minutes qu'il s'aperçoit que personne ne les a suivis. Sans doute est il déja charmé par les mouvements de la petite (mais plus toute jeune) Estelle.
Autre surprise, un arbre s'est abattu en travers du sentier !
Mike commence à cher un passage du regard quand la petite s'accroupit en le regardant du coin de l'opeil et ... Quoi ? elle se trousse et pisse devant lui !
Il détourne péniblement le regard mais entend tout... Puis il ne voit ni n'entend remonter de culotte.
- Désolé de n'avoir pu me retourner, on est vraiment à l'étroit entre ces branches.
- Un cas de force majeure, répond-elle, amusée.
Il a déja entendu cette voix mais où ? réfléchit-il en reculant lentement.
***
La semaine suivante il appréhende un peu de recroiser Estelle à la séance de marche, mais elle prend les devants :
- Je crois que vous venez du quartier des Noisetiers ?
- Oui, comment...
- J'ai de la famille là-bas.
Mais un coup de vent glacial les frappe provoquant chez Mike encore la même réaction, il doit ouvrir sa braguette immédiatement pour évacuer.
- Waow ça recommence, s'exclame Estelle, nullement gênée.
Comment "ça recommence" se demande Mike furieux, elle ne m'avait jamais encore vu...
Aaah si, la garce, il sait maintenant où il avait déja entendu sa voix : à la manif sur la route !
Il lui tourne le dos et avance rapidement. Une autre marcheuse se retourne et demande:
- Estelle est derrière vous ?
- Oui oui, elle disait être du quartier des Noisetiers et... , tente Mike curieux.
- En fait, on la retrouvera toujours car son père est inspecteur de police, plaisante la femme.
Mike ne connait qu'un seul inspecteur aux Noisetiers : son cousin au second degré, mais alors...
Il s'arrête le temps qu'Estelle revienne à son niveau et, la regardant de haut, lui assène :
- Mademoiselle Lestrade, je présume ?
- Ah tu as trouvé. Nous cousinons au troisième degré.
- Tu as donc manigancé contre moi.
- Plutôt manigancé vers toi, j'admire les hommes sûrs d'eux qui.. (petit éclat de rire)
Des rumeurs familiales remontent à la mémoire de Mike : on disait que l'ex de la fille Lestrade l'avait quittée en la traitant de cochonne.
Elle reprend :
- Tu avais entendu parler de mon grand-père professeur. Il disait souvent qu'il ne faut pas lutter contre sa nature profonde.
Mike fait une moue dubitative et tente de sortir de cette polémique en parlant de leur ancêtre commun qui avait écrit un journal de voyage lors de la colonisation de la Nouvelle-Calédonie.
- Surprise ! ce journal manuscrit est chez moi ! Dit-elle. Mon grand-père le tenait bien protégé des enfants, mais comme j'ai grandi...
- Je n'en suis pas sûr, au propre et au figuré, rétorque Mike s'efforçant d'être désagréable.
- Je crois plutôt que tu aimerais bien venir le lire.
Là, Mike piégé n'ose pas dire non.
***
Plus tard Estelle lui présente sa maisonette pourvue d'un jardin clos avec table d'extérieur.
A l'intérieur les voila ensuite devant la petite bibliothèque. Estelle est vêtue d'un sage pantalon plutôt ample.
- Avec mon père toujours derrière mon dos, j'ai dû attendre l'âge de trouver une encyclopédie pour voir mon premier zizi, lui révèle t-elle en pouffant de rire. Et toi n'avais tu pas symétriquement une curiosité refoulée pour les petites fentes ?, le surprend-elle en s'aidant d'un clin d'oeil des plus malicieux.
- Mmm...
- Voici le manuscrit, dans cette boite. Tu vas lire comment les gens allaient tout nus et ...
- Un peu de hauteur de vue, mademoiselle.
Et il se plonge dans la lecture de son ancêtre pendant une heure, lui semble t-il. Mais quand il pense à regarder sa montre, il s'aperçoit que deux heures ont passé.
- Estelle, où es-tu ? Pardonne-moi d'avoir trainé, je pars.
_ Il fait presque nuit et j'ai une chambre d'ami là-haut.
- Oh, je ne me permettrais pas...
- Allons, allons, viens la voir.
Quand il s'aperçoit que la porte peut fermer à clé, il se laisse convaincre.
Elle lui sort même une grande robe de chambre. Ils descendent un moment pour partager thé et biscuits puis Mike remonte vite, tourne la clé et se déshabille. Finalement il trouve cette fille plus espiègle que vicieuse.
***
Il s'éveille peu avant neuf heures et descend vite aux toilettes. Devant, il secoue trois fois la poignée sans succès.
- Estelle !
- Je suiiis là, fait-elle du fond du jardin.
Un journal est étalé sur la table en planches traitées disjointes. Estelle lit, agenouillée sur la table ! Elle est en chemise de nuit, les genoux sagement couverts posés sur le journal.
- Les toilettes sont ...
- Je m'en occupe, mais regarde une minute, ils parlent de notre manif.
Mike s'approche de la petite femme, facile à regarder ainsi juchée en hauteur. Il perçoit aussi son odeur attendrissante comme celle d'une fillette.
Elle bouge son index près de ses genoux.
- Là, et puis là aussi plus bas ...
Elle se met sur ses orteils et, brusquement, lève sa chemise en écartant bien les genoux. Sa "petite" fente apparait en plein soleil. Mike, très surpris, ne peut faire que "eeeeh..."
- Attends !
La fente s'entrouve un peu et... nooon ! Elle pisse !
Le jet dru surgit du milieu de la fente, sous le ventre fuyant, ce qui donne un peu l'illusion qu'il provient de la région de l'anus. Mike assiste à la plus merveilleuse des leçons de gynécologie. Comparé à son corps masculin c'est comme si son jet jaillissait directement entre les testicules, nullement freiné par son long pénis. Une autre différence est le petit bruit de sifflet créé par les petites lèvres.
La pisse inonde tout le journal. Le jet vibre parfois quand la fille frissonne de plaisir, et quiand elle rlève le buste pour allonger le tir.
Quinze longues secondes de déluge... Se retenait-elle depuis midi ?
**
Il bande fortement et dénoue la robe de chambre trop génante, pour déployer sa longue queue.
- Ouiii, suis moi !
Elle serre les cuisses pour stopper la miction mais ne réussit qu'à s'éclabousser tout le postérieur. Quel spectacle ! Mike l'aide à descendre. Ils quittent le journal troué et la table ruisselante. Elle court vers sa chambre, poursuivie par la grosse queue.
Elle le reçoit entre ses cuisses qui l'agrippent. Mike la pénètre d'un coup et peut enfin admirer de près ses yeux coquins.
- Aaahaah, enfin, fait-elle, secouée mais radieuse, puis "ouille ! la grosse bite, attends"
Elle se décroche pour se mettre sur le flanc et présente son derrière. Mike la pénètre délicatement dans la position "des cuillères".
La femme, rassurée par ce rebranchement rapide se laisse aller à geindre, faisant onduler son joli petit cul aspirateur de sperme.
Car Mike n'en peut plus d'attendre et, fou de bonheur, injecte quatre copieuses saccades de sperme.
Il plane une minute, puis sent venir une cinquième saccade malgré le ramolissement de son membre. Il réalise avec effroi qu'il est sur le point de pisser dans le vagin et se lève aussitôt.
- Pipi, vite !
- Suis moi.
Elle saute, dégoulinante, et l'entraine vers la grande baignoire attenante. Dedans s'y trouve un tabouret en plastique blanc sur lequel elle s'agenouille puis lève le cul en position levrette.
- Vise mon joli urinoir !
Mike serrant son gland déja pissant n'a plus le choix et monte debout derrière la petite femelle.
Il lâche son gland qui giclait n'importe comment et se libère avec un immense soupir. Estelle qui entend le jet tomber fait " Ouiii ! dans mon cuuul !"
Le mâle vise la raie du cul que fait résonner son jet rebondissant Il force la puissance et s'applique à viser le vagin et l'anus, ce qui fait gronder de plaisit la femme, comme une lionne.
Sa vessie à moitié soulagée, il s'interrompt deux secondes pour respirer.
Alors l'extrème obscénité de la situation le fait à nouveau déja bander, il se colle au postérieur immonde et après quelques maladresses le pénètre puis y coulisse. Il a froid mais sent que ça vient, croit envoyer sa semence mais il n'en reste plus. Oooh, en fait il pisse à l'intérieur et mainternant n'en a plus honte.
Le couple entend le vagin gargouiller puis déborder. La femme hurle de joie.Décomplexé il se soulage à fond dans ce joli urinoir et son membre raccourci retombe.
La femme frissonnante lève encore plus le derrière et...
Elle pisse sur le ventre de l'homme ahuri qui éprouve la force d'impact de ce jet brûlant.
- Tu fais comme une petite vache, fait-il, en observant bien d'où ça sort.
- Meeeuh !
Il lui tire les tétons pendant la dernière giclée.
Elle quitte le tabouret, qu'elle jette en dehors, et entraine Mike au fond de la baignoire souillée où ils s'enlacent pendant dix minutes. Elle semble apprécier l'odeur.
Mais, bien sûr, il s'en suit une longue scéance de nettoyage commun qui s'achève sur une chaise quand Mike passe maternellement le sèche-cheveux sur son amante.
Epuisés, ils ont l'idée d'aller dormir dans la chambre d'ami dont le lit est encore propre, pour l'instant.
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