Après cette longue période enfermée, Isabelle et Victor on hâte de retrouver leur liberté. Lors de ce week-end ils vont se lâcher et nous livrer des moments très chaud.
Proposée le 16/04/2020 par Instant coquin
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme
Cela faisait déjà plusieurs semaines que nous attendions avec impatience cette annonce, enfin le déconfinement. Isabelle et moi étions impatients de retrouver une vie normale. Cette période fut l’occasion de se reconnecter tous les deux pendant de longues journées que nous partagions entre télétravail, cuisine, films et des moments plus intimes. Ces derniers étaient quasi quotidiens et nous avions retrouvé la libido de nos débuts.
La fin de semaine approchait et j’avais organisé une petite escapade à ma belle. Le printemps était déjà bien avancé, et avec lui les journées se rallongeaient, les rayons du soleil étaient déjà bien puissants. Donc dans nos valises on y glissa des tenues plutôt estivales, pour les soirées, mais aussi la journée,tenue chic, maillot de bain on ne sait jamais et baskets.
Isabelle : - Alors Victor ! Est-ce que tu vas enfin me dire où l’on va ?
Victor : - Je t’ai organisé un week-end ma chérie, j’espère que tu ne seras pas déçu.
- Tu sais tellement bien comment me faire plaisir ! (dit-elle en esquissant un sourire malicieux et un regard espiègle).
Ils prirent la route. Isabelle se demandait, où Victor pouvait-il bien m’emmener ? Elle voyait les panneaux défiler et la direction que Victor avait prise la laissait faire des suppositions sur la destination. Elle imaginait qu’ils allaient se retrouver dans un havre de paix au milieu de la verdure, en pleine nature…
Victor tourna au milieu d’une longue ligne droite sur un chemin bordé de cyprès. Rien ne laissait entrevoir le lieu, quand nous arrivâmes devant une magnifique bâtisse en pierre, Victor se gara et se précipita pour m’ouvrir la portière de la voiture.
- Nous voilà arrivé très chère.
- Mais cet endroit est somptueux mon chéri, je sens que nous allons passer un excellent séjour.
Après les formalités d’usage, Victor et Isabelle arrivèrent dans la chambre, elle était immense, avec un lit qui l’était tout autant et une épaisse moquette recouvrait le sol. Dans la salle de bain une baignoire et une douche à l'Italienne cloisonnée par une grande vitre transparente.
- Préparons-nous pour le dîner, j’ai réservé une table.
Isabelle sort la robe qu’elle avait prévue pour l’occasion, elle la posa sur le lit et fila sous la douche. J’en étais sorti depuis quelques minutes et pendant que je me préparais, je contemplais Isabelle derrière la vitre.
Humm, j’admirai les filets d’eau qui glissaient sur sa peau mate (ce confinement nous avait permis de préparer notre bronzage pendant ses après-midi presque estivaux), la mousse surlignait ses courbes généreuses. Isabelle était une grande brune avec de longues jambes, ses cheveux lui arrivaient au milieu du dos, sa poitrine ni trop grosse, ni petite était charmante, des seins à croquer, une taille fine surlignait ses hanches généreuses et ses fesses galbées.
Victor était prêt et il m’attendait patiemment dans un fauteuil au coin de la pièce. Quand je sorti de la salle de bain en petite tenue, l’effet de celle-ci sur lui était palpable, ses yeux se dirigèrent vers mon soutien-gorge en dentelle noir, puis descendirent vers le bas pour admirer mon porte jarretelle et ma culotte dessinant parfaitement le contour de mes fesses, sous laquelle on pouvait entrevoir le sillon de mes fesses et les lèvres de ma chatte épilée comme il se doit.
Sa bouche était grande ouverte de surprise et après quelques instants ses yeux reprirent le dessus et remontaient pour croiser les miens, j’esquisse alors le même sourire qu’à notre départ. J’enfile ma robe et mes chaussures à talons qui avait pour effet de galber mes fesses encore plus pour les rendre irrésistiblement attirantes. J’invitai mon cher et tendre à reprendre ses esprits pour que nous allions dîner.
Arriver dans la salle du restaurant, je sens quelques regards se diriger sur moi, mon cul ne laissait pas indifférent, je ne boudais pas mon plaisir. Victor quant à lui n’était pas mal non plus, il portait magnifiquement sa chemise blanche sur son pantalon à pince bleue qui lui moulait les fesses. Sa chemise était ouverte sur son torse, des effluves de son parfum s’échappaient pour arriver jusqu’à moi. Tel un filtre d’amour, je me sentais irrésistiblement attiré par Victor, envie de m’abandonner à lui, j’étais tout émoustillée quand il le portait et il le savait.
Pendant le dîner nos mains se caressaient sur la table et nos regards nous pénétraient l’un l’autre. Sous la table j’avais quitté une chaussure pour venir avec mon pied caresser l’entrecuisse de Victor, je sentais qu’il n’était pas insensible. Dans son pantalon, son sexe commençait à se gonfler, sous mes orteils je pouvais sentir le bout de sa verge, et dans ses yeux je voyais qu’il était très réceptif. Le dîner se déroulait parfaitement, les plats défilaient, nos discussions passionnées sur divers sujets étaient parsemées par des fous rires.
Isabelle au moment du dessert me dit « Victor j’ai une petite surprise pour toi ». Je la vis se dandiner sur son fauteuil, ses mains s’étaient glissées sous la table, lorsque l’une d’elles réapparut poing fermé. Elle m’ordonna de tendre ma main, je m’exécutai sans attendre et elle y glissa sa culotte. Surpris et un peu gêné je referme ma main immédiatement. Je n’en revenais pas ! Elle avait son intimité à l’air, là sous la table, je mourrais d’envie de me glisser sous la nappe pour aller contempler ce joyau et y glisser ma langue, mais malheureusement l’endroit n’y était pas propice.
Je ne pus me retenir de mettre sa culotte sous mon nez, en gardant bien soin de ne pas laisser deviner ce qu’il s’y trouvait aux autres couples qui étaient autour de nous. Bien que tout propre elle était déjà légèrement humide, une odeur délicate de sa mouille se dégageait, cela eut pour effet de faire frémir mon gland et je ressentis dans mes bourses de brèves palpitations, j’en avais l’eau à la bouche.
Le moment tant attendu de retrouver notre chambre était arrivé, nous prîmes l’ascenseur. J’attrape sauvagement Isabelle par la taille pour la coller à moi.
- Alors petite coquine, tu aimes me surprendre.
- J’espère que tu as apprécié.
- A ton avis ? Alors comme ça tu aimes être la chatte à l’air mademoiselle ? Ce n’est pas très bien, je vais devoir vous punir !
- Oh pardon monsieur je ne recommencerai plus ! J’espère que vous n’allez pas être trop sévère avec moi .
- Je ne sais pas, je n’ai pas encore décidé de l’intensité de la punition.
Nous rentrons dans la chambre, Victor pris place sur le fauteuil, il avait laissé uniquement les lumières des tables de chevet et du bureau. Il me fit signe de venir sur ses genoux, je m’exécutais ne voulant pas encore plus mettre en colère mon maître.
Je me mis sur le côté du fauteuil puis me pencha pour m’installer sur ses genoux, ma croupe était là devant lui, offerte à ses supplices. Il remonta ma robe au niveau de ma taille, dépourvu de culotte, mon porte-jarretelles noir laissait mes fesses à nu. Avec ses mains viriles, les manches de sa chemise retroussées, de la main droite il commença à me les caresser et de l’autre à m’empoigner les cheveux qu’il avait pris soin de nouer.
Puis une première fessée se fit sentir, elle arracha un léger cri de ma bouche, puis une deuxième. Je sentais les picotements sur mes fesses, sans répit il continua encore 4 ou 5 fois sur chacune, j’étais partagé entre douleur et excitation, car il n’y était pas allé de main morte le salaud.
- Alors petite coquine, j’espère que vous avez compris la leçon.
- Oh maitre, je ne suis pas sûre d’avoir été punis assez pour ce que j’ai fait.
Isabelle me surprit, elle semblait aimer ce jeu plus que ce que je n’aurais cru.
Sans me faire prier, je lui tire la tête en arrière en empoignant encore plus fort ses cheveux, puis lui asséna encore une dizaine de claque. Je sentais Isabelle se cambrer encore plus à chaque coup et des gémissements sortir de sa bouche. Son petit cul était rougeoyant, et une chaleur perceptible s’en dégageait.
- Maître Victor, je crois que j’ai compris la leçon, je ne recommencerai plus.
- Bien, tu as été docile et tu as mérité une récompense.
Ses mains se firent plus douces, il lâcha mes cheveux et ouvrit ma robe en faisant glisser la fermeture dans mon dos. Il glissa sa main pour me caresser le dos, tandis que son autre main se faufilait entre mes cuisses. Ma chatte était déjà trempée. Son pouce me pénétrait alors que ses autres doigts titillaient mon mont de Vénus.
Humm, c’était exquis, après avoir reçu une telle correction la sensation de ses doigts sur moi et en moi était décuplée. Je n’arrivais pas à cacher mon plaisir et je ne pus résister à l’envie de me trémousser. Ses doigts glissaient avec une facilité déconcertante, je sentais des flots de liquide se déverser dans mon vagin et mon entrecuisses se tremper de ma mouille. J’étais à deux doigts de jouir, au sens propre comme au figuré.
Il m’ordonna de me mettre debout, la robe toute ouverte tomba naturellement au sol, d’une main il ôtât les agrafes de mon soutien-gorge qui glissa le long de mes bras pour rejoindre ma robe. Ses doigts repris en moi un rythme plus soutenu, il savait bien que j’aimais ça. Je mis une jambe sur un accoudoir et là de plus belle il me doigtait sans relâche, nous savions ce qui allait arriver…
Sans crier gare, un jet de cyprine sorti de mon urètre, puis un deuxième, une flaque de mon jus recouvrait la moquette maintenant. Je criais de plaisir, ça l’excitait terriblement de me faire gicler ainsi, il savourait son plaisir en me fixant droit dans les yeux. J’étais toute à lui, ma chatte grande ouverte à ses doigts, le liquide chaud coulait le long de mes cuisses. N’en pouvant plus, je le suppliai d’arrêter, mes jambes n’arrivaient plus à me porter, je manquais d’oxygène, des vagues de plaisirs me faisaient chavirer. Je m’écroule sur le lit, toute étourdi.
Le temps qu'Isabelle retrouve son souffle et ses esprits. Je retirais mes vêtements. Une fois nu je la rejoins sur le lit, je la retourne sur le ventre et me mis sur elle, ma queue était bien gonflée et toute raide, prête à l’explorer. Mon gland glissait sur ses lèvres pour le mouiller. Je sentais ses lèvres s’écarter au passage de ma queue, je tenais une de ses fesses dans ma main et l’empoignais.
J’avance mon bassin et ma verge glissa en elle, je n’eus pas besoin de lubrifier pour y pénétrer. Mes mains prenaient ses fesses pour les écarter et rentrer plus profondément, tout doucement je faisais des vas et viens. Isabelle s’agrippait aux draps, poussant des soupirs sous chaque coup, ma queue coulissait avec assurance dans sa chatte humide, jusqu'au fond de son vagin.
J’étais cambré tel une soumise à son maître, offrant mon intimité à ses assauts, ses mains écartaient mes fesses pour que chaque coup me pénètre jusqu’à la garde. Putain c’était bon, je sentais mon anus se dilater à force d’être écartelé de la sorte, sa bite me baisait sans relâche, j’avais presque envie que sa queue glisse dans mon cul. Je ne sais pas si ma tenue y était pour quelque chose, mais cela augmentait mes désirs et mes fantasmes les plus pervers. Je me sentais un peu salope, et j’aimais me faire prendre de la sorte.
Je remonte mon buste pour m’offrir en levrette, espérant que cette nouvelle positon le fasse jouir, car je commençais à être épuisé. Mais à ma surprise, c’est moi qui suis prise d’un orgasme, Victor s’activa de plus belle. À son tour il explosa en moi, je sentais sa verge tressaillir, déversant son flot de sperme, c’était à son tour de crier de plaisir.
Épuisés tous les deux par cet instant torride, nous nous sommes glissés sous les draps. L’un contre l’autre, yeux dans les yeux, un léger sourire de satisfaction sur les lèvres. Avant de nous endormir, il me glissa dans l’oreille que j’étais une soumise très obéissante.
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