Un arrangement comme un autre (2)

Sofia, une jeune étudiante de 24 ans va t'elle accepter le marché que lui a proposé son colocataire? Seras-tu elle prête à assumer cet arrangement si étrange et pourtant si excitant ? En plusieurs parties, donc il y aura une suite.

Proposée le 23/02/2020 par Blueberry89

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

J'avais passé toute la journée à réfléchir, essayer de trouver une autre solution. A part déménager et arrêter mes études pour prendre un boulot à temps plein, je ne voyais pas du tout comment m'en sortir.

La proposition de Max me revenait sans cesse en tête. Jamais je n'aurais imaginé que mon ami, celui que je côtoie tous les jours depuis des années avaient ce genre d'idées.
Je dois bien avouer qu'il m'est arrivé de fantasmer sur lui, ainsi que sur Léo, notre deuxième coloc. Ces mecs sont le jour et la nuit: l'un est grand, brun, sportif et charismatique, l'autre est plus petit, blond, d'un tempérament assez calme et plutôt timide. Pourtant ils sont complices jusqu'à partager certaines conquêtes. J'en ai entendu plus d'une crier à travers les fins murs de nos chambres et au vue de leurs gémissements, ils avaient l'air particulièrement doués.
C'est vrai que c'est quand même un peu tordu comme arrangement: si j'acceptais, j'allais devoir le sucer dès qu'il me le demandait. Autrement dit, j'allais carrément devenir une décharge à foutre. Étrangement, cette idée me donna des frissons. Les souvenirs de mon orgasme de ce matin remontèrent. Je devais me rendre à l'évidence: cette situation me rendait folle et m'excitait tellement! C'était inimaginable...

Il fallait que je prenne mon courage à deux mains : c'était la seule solution pour pouvoir rester et continuer mes études. De plus, j'allais allier l'utile à l'agréable... Ma décision était prise! J'attendis que Leo aille se coucher. Max avait l'habitude de veiller un peu tard devant la télé et je le trouvais naturellement, assis sur le canapé, une bière à la main, seul dans la semi obscurité.
- Sofia? Tu n'es pas couchée ?
- Je voulais te parler...de ta ...proposition...l'arrangement
Il se redressa, étonné puis me jeta un regard enjôleur avec un grand sourire suggestif.
- Donc tu y as réfléchis...
- Oui. Mais je tiens à poser mes conditions avant toute chose.
- Je t'écoute.
- Je te ferai une pipe à chaque fois que tu voudras mais seulement ça. Il n'y aura aucune autre pénétration, interdiction de me toucher ailleurs que la tête.
- Ça me va. Tu as d'autres exigences ?
- Je veux aussi le droit de refuser, si tu abuses trop.
- Ah ça c'est non. Sinon tu vas refuser tout le temps...
- Alors disons 3 refus par semaine...
- Un seul, et c'est non négociable.
- ....C'est d'accord. Mais je compte sur toi pour respecter mes conditions.
- Évidemment. C'est un plaisir de faire affaire avec toi.

Nous nous regardions sans dire un mot, chacun attendant que l'autre ne pose la question fatidique... Je décidai de prendre les devants et m'agenouillai devant lui. Il me fixa intensément, les pupilles dilatées par l'excitation. Je passai d'abord la main sur la bosse qui s'était formée à travers son jean. Il était dur et tellement tendu que j'eus du mal à défaire sa braguette. J'étais impatiente de voir ce qui se cachait là dessous, au vue de ce que je tenais sous mes doigts, je n'allais pas être déçue. Son membre apparut alors, me laissant bouche bée. Il en profita pour glisser une main sur ma nuque et de son autre main il empoigna sa queue qu'il vint frotter contre mes lèvres. La sensation de la peau si douce de son gland sur mes lèvres me donna des frissons jusque dans le bas des reins où je sentais monter un désir que j'allais devoir assouvir seule plus tard. Je sortis ma langue pour humecter mes lèvres et l'effleurai légèrement. Il eut un frisson, la pression sur ma nuque se fit plus intense. N'y tenant plus, il força l'entrée de ma bouche et grâce à sa prise sur ma nuque, il s'enfila tout entier dans ma gorge et poussa un long soupir de satisfaction. Il me retint quelques secondes puis relâcha sa prise, me laissant reprendre mon souffle. Mais sa main sur ma nuque insista pour que je reprenne ce que j'avais commencé. Je passai alors doucement ma langue sur le bout de son gland, décrivant des cercles, puis je léchai sa hampe de haut en bas jusqu'à atteindre ses couilles, auxquelles je donnai quelques petits coups de langue. Je frottais son sexe contre ma joue et d'une main lui malaxant les couilles. Je posai son gland sur mes lèvres, goûtant avec plaisir au désir qui y perlait. Enfin, mes lèvres s'enroulèrent autour de sa queue et j'accueilli cette queue si dure et épaisse dans la chaude humidité de ma bouche. Une fois bien enfoncée, j'aspirai son membre et commençai un long et intense va et vient.
- Oh si tu savais depuis combien de temps j'en rêvais de baiser cette petite bouche trop bavarde. Vas y suce ma belle, comme ça c'est bien...hmmm

Il me laissa faire un petit moment mais sa nature dominante reprit vite le dessus et la pression qu'il exerçait sur ma nuque devint plus forte. Il accentua la cadence, soulevant le bassin pour me donner son propre rythme. Il me baisait littéralement la bouche, comme il l'avait promis. Un rythme sauvage, bestial, complètement fou. Et j'adorais ça. Ma culotte était trempée et je mourrais d'envie de me toucher mais je résistais. Il était sur le point de jouir et d'un puissant coup de rein, il s'enfonça profondément dans ma gorge et y déversa sa semence en de longues saccades. Il y en avait tellement que je dus tout avaler au risque de m'étouffer. Il fit encore quelques mouvements, extrayant sa sève jusqu' à la dernière goutte. Puis il me relâcha et je pus enfin me redresser. Nos regards se rencontrèrent et je vis à quel point le désir était encore présent en lui. Mais... Il devait voir la même chose dans mes yeux! Il fallait que je parte au plus vite. Je me relevai, essayant de paraître aussi digne que pourrait l'être une fille qui vient de sucer son coloc...
- Bon, j'imagine que le marché est conclu et que je peux rester ici. Je vais me coucher, bonne nuit.

Je ne lui laissai pas le temps de répondre et filai directement dans ma chambre, là où un certain ami à piles m'attendait impatiemment.

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