Parti pour assister à un baptême avec ma femme. Je vais devoir faire face à une créature très tentante. Vais je céder à la tentation et obéir à la citation d’Oscar Wilde? Vais je avoir la force de lutter?
Proposée le 20/12/2019 par Marcialus
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nous sommes invités pour le baptême de la fille d’un couple d’amis. Ils habitent à 800 km de chez nous et nous proposent de dormir chez eux pendant deux jours.
Les valises faites, les sacs de couchages chargés dans la voiture, nous voilà partis. La route se passe super bien et heureusement que la clim est là car les 30 degrés que nous offre le soleil sont un régal si on se pose pour se faire bronzer mais dans une voiture, c’est une toute autre histoire. Nous sommes fin juin et l’été est décidément la saison que je préfère. La chaleur, les fruits, les robes, les minijupes, les décolletés... bref, tout ce qui donne à cette saison tout sa saveur.
Il est 21h et nous arrivons à notre point d’arrivée. Le temps de descendre les bagages dans la maison de nos amis. Nous repartons de suite pour manger au restaurant.
Nos amis ont réservé pour 10 personnes. Je m’installe au milieu de la table en face de nos amis et côté de ma femme. Les autres s’installent aussi et nous allons faire connaissance car à part les parents de la future baptisée, nous ne connaissons pas grand monde. Dans ce groupe, une personne attire mon attention. Une dénommée Marion. Je ne sais pas pourquoi mais jusqu’à présent je n’ai jamais rencontré de Marion qui ne soit pas jolie. Et en voilà encore une qui n’est pas une exception à la règle.
Cheveux longs, ondulés, épais, les yeux verts, le nez aquilin, une fine bouche, des fossettes, fine, élégante, charmante, un sourire radieux. Malgré tout, je fais mine de m’ouvrir aux autres pour ne pas en faire mon obsession.
La soirée se déroule à merveille et nous reprenons la route de la maison de nos amis qui va nous servir d’hébergement pour ces deux prochaines nuits. Une chambre nous a été réservée et je découvre que Marion passera aussi les deux prochaines nuits dans cette maison. Le canapé du salon lui a été attribué.
Nous nous endormons tous, moi, crevé par les 7h30 de route sous un soleil de plomb, je ne mis pas longtemps à rejoindre le paradis des rêves.
Le lendemain matin, je me réveille le premier, j’enfile mon jean, mes baskets et fonce à la boulangerie pour ramener des croissants à tout le monde. A mon retour, je découvre Marion, debout, encore à moitié dans son sac de couchage ouvert jusqu’au bassin. Une crinière de lionne loin d’être déplaisante, un t-shirt puis un détail attire inéluctablement mon attention; ce court tissus en dentelle noire qui ficelle sa hanche. Cette vue ne pouvait que m’exciter bien évidemment. Mais ce qui m’excite le plus, c’est le sourire qu’elle me lance en voyant mon air hébété face à ce petit morceau d’elle exposé de cette façon. Est-ce calculé? Je ne le sais pas. Je secoue un peu ma tête comme pour me remettre les idées en place, je l’entends lâcher un mini rire et je retourne dans la chambre après avoir posé les croissants sur la table du salon.
Tout le monde me remercie pour les croissants. Nous déjeunons et je sens Marion me jeter des regards plus ou moins insistants. La température monte et mon épouse ne semble s’apercevoir de quoique ce soit.
Nous nous préparons tous pour nous rendre à la mairie ou aura lieu le baptême républicain. J’enfile un pantalon bleu, une belle chemise. « Mais qu’est ce qu’il est beau » lance Marion.
La cérémonie est courte. Toute la famille de nos amis s’est jointe à nous. Nous filons au restaurant. Nous mangeons bien et rigolons bien. Je m’évertue à ne pas penser à elle mais ce n’est pas évident.
La moitié de l’après midi pointe son nez et nous partons en courses pour la fête de ce soir dans la maison de nos amis. Mon épouse étant fatiguée, je la dépose à la maison et nous partons à 4 vers le centre commercial. Inutile de préciser que Marion était du voyage. Dans les allées du magasin, je lui pose des questions sur elle pour en savoir plus. Elle me dit qu’elle est coiffeuse et qu’elle connaît nos amis depuis longtemps. Elle devait venir avec son copain mais il n’a pas pu venir. Il s’est désisté au dernier moment.
Les courses finies, nous fonçons vers la maison, le temps de tout mettre place. Il est déjà 18h30 et les invités arrivent pour 19h. La soirée bat son plein. De la musique, de l’ambiance, les gens dansent et s’amusent. Vers 4 heures du matin, tout le monde est quasiment parti et nous allons tous nous coucher.
Une petite demie heure plus tard, mon épouse dort à poing fermé. Je me lève pour aller me chercher un verre d’eau. Je sors de la chambre, referme discrètement la porte. Je fais quelques pas discrets dans le salon, je me dirige dans la cuisine le tout sans allumer la lumière pour éviter de réveiller tout le monde. Je saisis un verre, le place sous le robinet, je l’ouvre, l’eau coule. A ce moment, je sens deux bras enlacer mon torse, me le serrer. Je sens une poitrine moelleuse s’écraser dans mon dos. Il n’y a pas de doute, ce parfum, c’est celui de Marion...
Je me retourne et pose pas bouche sur la sienne. Un long baiser langoureux se met en place le tout en se pelotant, se caressant, se découvrant du bout des mains et des doigts. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt. Moi je descends les miennes le long de son corps et je décèle un t-shirt et une fine culotte. Je suis excité comme un fou ce qu’elle est justement en train de constater puisqu’elle vient de plonger une de ses mains dans mon boxer pour saisir la partie la plus rigide de mon anatomie pour le stimuler encore plus.
Je la pousse contre le frigo, l’embrasse dans la nuque, soulève son t-shirt afin de pouvoir lui lécher les seins avant de descendre plus bas. Je me mets à genoux, descends sa culotte et commence un cunilingus. Elle pose une de ses jambes sur une de mes épaules et me tient pas les cheveux. Une de mes mains parcourt ses seins tandis que l’autre caresse sa cuisse levée.
Elle me fait signe de me lever, je m’exécute, elle m’embrasse à nouveau et me retourne. Elle saisit à nouveau mon membre avec une de ses mains avant de se baisser pour m’offrir une pipe. Mmmh comme c’est agréable. Elle sait y faire! Après quelques instants, je la vois se relever. La lumière verte du four à micro-ondes est assez forte pour que je vois Marion se diriger vers le plan de travail et se pencher en avant face à celui ci. Elle s’offre à moi. Lubrifié par sa bouche, mon membre ne lutte absolument pas pour pénétrer son vagin par derrière. Elle lâche un léger gémissement. Dans la panique, je colle ma main sur sa bouche. Il ne faut surtout pas que quelqu’un nous entende. Je fais des mouvements de va et viens de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je m’évertue à lui administrer des coups de reins silencieux. Je sens sa bouche s’agiter de gauche à droite jusqu’à ce qu’elle parvienne à saisir mon majeur pour le mettre dans sa bouche et l’enrouler avec sa langue. Elle se cambre de plus en plus. Je mouille le pouce de l’autre main pour l’enfoncer dans son anus. Je la sens me mordiller. Quelques secondes plus tard, je me retire et crache tout ce que j’avais sur le bas de son dos et ses fesses.
Aller, va te coucher mes glisse-y-elle au creux de mon oreille avant de m’embrasser une dernière fois. Ce que je fis.
Le réveil est merveilleux. Nous faisons vite car une longue route nous attend aujourd’hui. Nous saluons tout le monde. Un long regard s’échange entre Marion et moi. Nous ne nous échangerons même pas nos numéros de téléphone. Comme ci ce que nous venions de vivre était une courte parenthèse de quelques minutes dans nos vies respectives.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email