Histoire Erotique

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Il craignait qu'elle se soulage sur lui, mais en tombe amoureux

Lise a choisi un maniaque qui s'avère avoir la hantise d'une femme incontinente au lit et lui fait prendre toutes les précautions. Mais l'enthousiasme va emporter tout ça.

Proposée le 26/09/2019 par spiroutic

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Lise a quitté son compagnon car il ne s'intéressait pas vraiment à son joli bas-ventre.
Puis, suivant le conseil d'amis communs, elle a rencontré Jean. "Il est strict et parfois barbant mais il est consciencieux et fidèle, conformément à son éducation."
En plus il fait très "mec", ce qui l'émoustille. Elle est donc prête à tolérer son caractère.

Cela fait dix jours qu'il lui a proposé leur premier rendez-vous amoureux, curieusement un apres-midi.
Et hier soir ils se sont mis en ménage.
Juste avant de se mettre au lit, Jean a lourdement insisté pour que Lise repasse aux toilettes. Pourquoi pas ? Mais en plus il la guettait derrière cette porte. Lise n'a pas voulu se fâcher pour si peu. Puis elle a été vivement treinte et pénétrée par ce vrai mec.
Du plaisir enfin.

***

Et le matin il la réveille doucement et l'entraine nue par la main dans les toilettes, encore !
Elle est pourtant persuadée de pouvoir se retenir longtemps encore.
"Tu dois te vider complètement, je te regarde pour vérifier."
Oh le mufle ! On avait pourtant prévenu Lise qu'il peut être strict et barbant.
Lise se calme et s'abandonne. Après tout, ça fait partie de la découverte de son corps par le mec. Elle termine même en poussant une belle giclée et affiche un sourire coquin.
Il l'embrasse la soulève et la porte vite au lit pour une matinée très virile.

Une fois comblé il lui raconte :
"J'avais sept ans, en vacances à la campagne et partageais un lit avec ma petite soeur. Une nuit, avant l'aube je m'éveillai dans une mare de pisse, l'avant de mon pantalon de pyjama était sec, l'inondation ne venait pas de moi mais de la petite qui, en plus, avait troussé sa chemise de nuit en dormant, laissant le champ libre à son maudit jet.
Dans la puanteur croissante j'ai attendu l'arrivée de ma mère à huit heures, ne pouvant dormir. Alors adulte j'ai pris le maximum de précautions avec les rares femmes qui venaient, surtout le matin, quand leur vessie est très pleine."

***

Le lendemain, même scène sur les wc. Mais avant de se tremper la fente, elle lui suggère vainement d'un geste, de caresser le clito. Ensuite l'accouplement lui parait plutôt fade.

Cependant une autre nuit, surles wc, il ose lui toucher le clito alors qu'elle n'en peut plus de se retenir .
"Mmmpiss..." .Il prolonge sa caresse malgré le petit déluge.
- "Encooore"
Devant l'air émerveillé de Lise il ose se souiller la main pour malaxer l'orifice giclant.
Elle crie et rit en même temps. La voyant ainsi heureuse il renonce à la pénétrer ce matin là.

***

Le lendemain il rentre de travail plus tôt que prévu, demande du sexe tout d suite en oubliant de s'inquiéter de la vessie de sa chérie, qui se trouve être pleine.
cette pression interne avive les sensations de Lise. Maintes fois elle croit ne pouvoir se retenir mais cette imprression de désastre imminent devient chaque fois un petit plaisir merveilleux sous les coups du pénis. Voila un bel orgasme et quelques cris.

Essouflés, ils veulent aller aux wc, tous les deux au même moment mais l'homme y est déja et arrose, alors elle se rabat sur la baignoire, pas le temps de s'y accroupir, elle offre involontairement une belle cascade à la vue de son homme fasciné, dans la même pièce.
"Je l'ai échappé belle conclut il".

***

Au milieu de cette journée, constatant le bonheur que lui permis une vessie pleine, Lise élabore un stratagème pour la prochaine fois :

à Huit heures moins vingt elle trouve un prétexte pour descendre à la cuisine où elle boit discrètement trois verres d'eau accompagnés d'une préparation diurétique aux plantes, cela devrait rester dans l'estomac jusqu'à huit heures, le moment où elle devra pisser devant lui.
Mais ensuite, si les préliminaires peuvent durer vingt minutes, la potion sera descendue dans les reins pour remplir la vessie peu à peu. Ensuite à moi les belles sensations !

Elle devra garder un oeil sur le réveil pour synchronises ses ébats avec ses reins.

***

Donc à huit heures du matin comme d'habitude, elle offre sa vidange aux yeux du mec, mais cette fois elle suggère:
-"à ton tour mon gros matou"
-"Mais je n'ai aucun problème de ce côté"
-"Oui mais tu serais plus à l'aise après"
-"Ce n'est pas mon avis je t'assure, D'ailleurs... non rien"
-"Un petit peu alors" dit-elle pour gagner le temps de remplir à nouveau sa vessie.
-"Je ne t'imaginais pas aussi coquine, reste là debout"
Elle n'avait pas prévu ça, il déploie son pénis en tre les jambes de la femme et envoie quelques gouttes dans la cuvette.
-"Tu me mets en érection et ça me bloque la vessie"
Il l'enlace et l'embrasse longuement.
Voila cinq minutes de gagnées.

Arrivée au lit, assise, elle attrape sa lime à ongles "Je ne voudrais pas te griffer" et gratte pendant deux minutes.
Alors chose inhabituelle, il se lève pour boire quatre gorgées au robinet. "Pour me rendre du tonus"
ça alors, lui aussi préfère se remplir la vessie. Elle n'avait jamais remarqué ! Il parait sûr de se retenir, lui.
Il revient pour lui caresser longuement la croupe.
Un coup d'oeil ssur le réveil : c'est théoriquement le moment. Elle ne sent pas encore la pression de vessie mais en changeant de position retouve cette petite gêne prometteuse.
Il lui plie les jambes sur les seins pour mieux voir la fente, ce qui comprime un instant la vessie en lui arrachant un petit cri.
-"Oh mon petit oiseau, la nature veut que tu devienne maintenant une grosse femelle"

Et il lui tire le postérieur pour la mettre en levrette, lui caresse le dos pour la cambrer, fait mine de lui peindre le postérieur avec son pénis comme pinceau. Le vagin excité se mouille.
Il la pénètre puis y coulisse vivement.
Elle sent le plaisir monter mais sa vessie pleine cogne. Sur le point d'uriner elle crie.
-"Tu ne veux plus ?"
-"Si si"
Ses tentatives de serrer son sphincter sont ressenties avec plaisir par l'homme qui éjacule bientôt, essouflé comblé.
Supposant que la pénétration va cesser, elle calme son sphincter et se laisse aller.
Orgasme Vingt secondes après sentant la miction imminente elle se dégage et s'assoit vite pour cacher dans le drap un début de jet.

Lui court aux wc pour pisser bruyamment. Elle voudrait aussi, alors elle tente le coup :
-"Assis toi pour faire" et elle s'assoit devant lui, postérieur tendu
-"Un peu de place" et elle commence à pisser devant son ventre tandis que lui continue.

Plus tard elle ose remarquer :
-'Toi aussi tu étais bien rempli, tu aurais pu mouiller en dormant"
-"Mais euh.. et toi je t'avais pourtant vue te vidanger..."
-"Mmm les mystèrs de la nature."

***

Trois jours plus tard, le rituel matinal change : il ne l'amène pas aux wc mais vite dans la baignoire pour l'installer à quatre pattes.
Elle avait repris son diurétique, ignorant qu'elle n'aurait pas à passer aux wc.
Alors le premier coït y fut plutôt humide et merveilleux. Le second, dix minutes plus tard fut un déluge.

***

Quelques jours de repos sexuel et le soir au lit, ayant renoncé au rituel de l vidange préalable, Jean s'aperçoit que Lise vient de se faire épiler "le maillot". Il couvre la zone de baisers.
"Une bonne fée t'a transformée en petite fille."
Puis il s'endort car elle doit garder son énergie pour d'importantes réunions à son travail demain.
Il se trouve qu'ils ont pris des billets pour aller au théâtre ce soir-là.
Il passera la prendre.

Lise ignore qu'il passe à la maison à midi pour poser un paquet plat dans la chambre : une bonne protection de matelas qu'il installe aussitôt.

Il récupere sa chérie à son travail.
"Pas une minute de repos entre ces réunions, raconte t-elle, ils servaient du café mais pas le temps d'aller aux toilettes. Maintenant je somnole un peu."
Ils arrivent au théâtre juste au bon moment. Pendant le spectacle Jean caresse la main de Lise pour la garder éveillée. De plus, Lise éprouve alors son mal de dents récurrent, donc le spectacle fini, ils vont prendre un soda que Lise accompagne de deux cachets analgésiques.
"Cela risque de m'endormir un peu plus" Prévient-elle.
Ensuite, les wc étant bondés, le couple rentre vite.
"Pas de problème, je contiens", dit Lise en retournant vers la voiture.

***

En montant leur escalier, Jean doit soutenir Lise somnolente. Alors il lui fait ôter sa robe longue et allonge aussitôt sa compagne sur le lit. Son dessous combinaison-jupon ne couvre aucune culotte !
Il se dit que cela tiendra lieu de chemise de nuit et se déshabille à son tour.
-"veux te lever pour pipi ?"
-"Mmmoui... zzzz..."
Tant pis, il la laisse dormir, gardant la veilleuse allumée.

A un moment elle serre les cuisses mais il la caresse pour la calmer.
Il peut enfin s'avouer à lui même qu'il n'attendait que ce moment. Et revient son vieux souvenir d'une petite chemise de nuit remontée...
Il s'enhardit à trousser délicatement le jupon pour dégager le pubis épilé. Il avait six ans et subit ce maudit jet qui avait dû jaillir comme ça, visualise t'il de l'index... Aujourd'hui il ne dirait pas maudit mais merveilleux jet.
Est-il un mufle ? Lise semble dormir à l'aise, il n'ose la réveiller.

***

L'heure passe et la fraicheur arrive, Lise à demi-nue frissonne dans son sommeil. Il ne peut s'empêcher de lui caresser le ventre, malgré la vessie durcie et prometteuse.
Elle esquisse le réflexe de serrer les cuisses...
Un bref gargouillis ? Oooh oui elle pisse ! Son jet aplati siffle par moment, prend de la vitesse, monte à douze centimètres et crée une flaque ambrée endiguée par les cuisses.
La mare s'approfondit et maintenant le jet y retombe en clapotant "plouc glouglou..."
Et bien sûr tout déborde, une autre mare atteint Jean qui ne bouge pas. Le matelas courbé par son poids attire le liquide autour de lui.
Il se penche pour embrasser le haut de la fente puis a l'idée de passer l'index sur le petit trou pour moduler le jet de plus en plus fortement. Lise en frémit. Jean en bande.
Elle s'eveille partiellement.
"'ncore...". Petit râle de plaisir. Puis elle écarte les cuisses et remarque le clapotis.
-"Oh, c'est qui qui à pissé ?
-"Ton cachet t'a fait oublier les wc"
-"Oh pardon, pardon, je me souviens m'être retenue toute la journée, quelle galère, et j'anticipais souvent le bonheur de me soulager en sortant.. Hiii !"
Un jet a encore jailli une seconde.
-"le matelas est protégé"
-"Chouette, merci beaucoup", elle se détend et attrape ses genoux pour faire remonter son sexe, ferme les yeux sourit, puis pisse une dernière fois en poussant trois secondes un jet vertical comme un geyser lui retombant dans l'anus. La coquine !

***

Jean aussi a envie de pisser mais bande à mort. Il chevauche sa compagne désormais bien éveillée qui l'enserre de ses cuisses. Jean éjacule longuement en vacillant de plaisir.
Il ne bouge pas pour mieux mémoriser ce moment extatiqu mais finit par s'endormir, pénétrant toujours Lise d'une verge mollissante.
Une demi-heure plus tard il s'éveille frisonnant de froid et de son envie devenue terrible.
Dans un recoin de sa tête, un mauvais génie lui souffle :
"Au point où ils en sont, pourquoi se gêner ? ". Il va se lever, mais la nature le devance. Un grand frisson le fait pisser sans pouvoir s'arrrêter, au fond de la fente de sa compagne, que cette chaleur intime éveille à nouveau.

-"Oh oh oh il a osé" fait-elle avec une série de petits cris. Jean ne sait s'il s'agit de reproches ou de félicitations.
Ils restent ainsi souillés, interloqués par l'obscénité de leur situation.

Jean en revient au souvenir de ses sept ans, il n'avait pas vu tout ça sous le drap!
Puis un fragment de souvenir très refoulé tente de remonter : Au bout d'une heure à patienter dans la mare de sa petite soeur, n'avait-il pas lui-mêmeun peu contribué à cette mare ? ("ça ne se verrait pas..."). Son souvenir se précise, amenant de la honte. Voila ce qui avait noirci ce souvenir somme toute assez banal.
Mais maintenant, ayant tout transgressé, il plane de bonheur. Une si grande tolérance réciproque, c'est peut-être l'amour.

Assurément, il ne craint plus d'être mouillé par les petites filles, ni par les grandes.

l'épilation récente de Lise lui inspire une autre idée torride : D'abord protéger le canapé, puis s'y installer avec elle sur ses genoux (en chemise très courte), quand il lui aura placé une tétine dans la bouche et un hochet dans la main...

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